Soile Lautsi, une immigrée finlandaise indécente
L'arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme contre la présence de crucifix dans les écoles italiennes est le résultat d’une plainte déposée par une femme d’origine finlandaise nommée Soile Lautsi qui l’a actionné à travers toutes les instances. Elle a immigré en Italie, a épousé un Italien. Elle est athée et membre d’un Club italien d’agnostiques (Unione e ATEI agnostici razionalisti). Maintenant, il ne fait aucun doute qu'en dehors des communistes, des athées et des musulmans, personne ne s'oppose en Italie aux crucifix dans les écoles. La majorité de la population italienne est clairement pour leur présence dans les salles de classe.
Question:
Peut-on considérer comme convenable qu’une immigrée entame un combat juridique contre la culture de son pays d'accueil? Est-ce décent ? Est-ce gentlemanlike ? Pour ma part j'aurais honte d'immigrer vers l'Espagne et de faire campagne contre la corrida, d’ immigrer en Norvège et de protester contre la chasse à la baleine. Comment un nouveau venu peut-il avoir l'idée de s’opposer, dans sa nouvelle patrie, à des traditions, des coutumes, des habitudes vieilles de plusieurs siècles?
Cette femme est vraiment une sagouine pour, en tant que nouvelle arrivante, avoir l’impertinence de vouloir faire interdire les crucifix et cela en Italie, vieille terre catholique. Elle ne mérite que notre mépris.
L’Etat italien vient de faire appel de cette décision qui l’obligerait à verser à cette finlandaise la somme de 5000 euros à titre d’indemnisation pour préjudice moral parce que ses deux enfants, agés respectivement de 11 et 13 ans devaient subir dans leur salle de classe la vue du crucifix lorsqu’ils lisaient le tableau noir rempli par leur instituteur. Cette contrainte indirecte serait une atteinte à leurs droits constitutionnels. Le procédure d’appel durera plusieurs mois.