Le souffle du Bien...

Très drôle, la fin.

Quand ces pistonnés se mettent à réfléchir, ça fait pouet-pouet, mais ça ne me fait toujours pas rire.

Cette jubilation partagée par ce journaliste pourri et ce sinistre ministre devant le métissage inexorable de mon pays me fait vomir.

La fin console, Mitterrand se prend visiblement les pieds dans le tapis...

"Ce mouvement est génial, ce mouvement est formidable... ce mouvement est formidable..."
"On va continuer, j'espère bien, oui... parce que c'est la réalité de la France..."

« Il est très brillant, Frédéric Martel. » (sic)

Grand acteur des années soixante : Delon. Grand acteur d'aujourd'hui : Debouze. Indigènes est Le Guépard d'aujourd'hui... Par le ministre français de la culture... Effroyable...

Deux grands acteurs d'aujourd'hui: Debouzes.

F.M. ou le triomphe de la pensée cul-cul la pral. Il faut le nommer président de la maison de la... de la... Mais il y en a déjà un qui a d'ailleurs un nom assez printanier : ICI

Il cache sa particule.

Enfin, voici la preuve que certains cherchaient : les majuscules doivent être accentuées.

En effet ! C'est bien avec un accent.

C'est à Catherine de Médicis que l'on doit le développement de la confiserie en France.

Les historiens s'opposent sur les origines de la "Praline".

S'ils sont à peu près d'accord sur l'époque de sa création (XVIII° siècle), en revanche, alors que certains pensent qu'elle fut inventée par Clément Jaluzot, maître sommelier du Duc de Praslin, d'autres affirment que le mérite en revient à un certain Pralin, cuisinier du Maréchal Duplessis.

Mais c'est seulement après 1812 (sous le règne de Napoléon), avec la découverte du sucre de betterave que la confiserie devint une véritable industrie.

Aujourd'hui, grâce à la MAISON DE LA PRALINE à CHARLIEU (42), un nouvel essor lui est donné Max Fleurdépine ne cesse de réfléchir à de nouvelles alliances, de nouvelles textures, de nouveaux mariages, tous plus savoureux les uns que les autres, pour notre régal à toutes et à tous...

L'abus n'est pas dangereux !

"On va continuer, j'espère bien, oui... parce que c'est la réalité de la France..."

Vous avez raison de relever cette phrase, M. Francmoineau, car elle résume toute la philosophie, si j'ose dire, de cette pauvre époque : on ne cesse pas d'indexer la loi sur le fait, en la fondant sur l'interpétation d'un processus historique et démocratique qu'il ne s'agit rien moins que d'actualiser et d'entériner par le droit. D'où la profusion de lois d'adaptation. Dans cet extrait d'émission, le ministre de Cette-chose-qui-n'a-plus-de-nom-dans-aucune-langue le dit bien : l'Etat doit suivre la société, qui a toujours sur lui une longueur d'avance. Le tort des hommes politiques est selon lui d'être constamment à la traîne, et de prétendre, au nom de valeurs périmées, exercer une contrainte sur le processus en le ralentissant et en le régulant.

Oui, la loi et le droit ne sont quasiment plus normatifs, mais descriptifs, en somme. Comme le dictionnaire...

Tout ce que vous dites me parait suffisamment grave et flagrant pour mériter un communiqué.

À propos de la praline qu'évoque M. Agrippa, il serait temps de la réhabiliter. Mais dans sa version full metal jacket, moins digeste.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

La fin de l'extrait est éloquente et montre bien que tout ce qui a trait à la "discrimination positive" et ses dérivés ne peut se présenter que par des moyens détournés et à grands renforts de fausse logique, de bons sentiments et de mots creux ou vidés de leur sens ("diversité", "métissage", etc.) car dès que l'on nomme les choses clairement, comme cela est fait à la fin, l'obscénité et l'iniquité du concept sautent à la figure.

Quant à l'insignifiant Frédéric Martel, il s'était déjà distingué par un coup bas en 2008 à France Culture, alors qu'il produisait une émission diffusée juste avant Répliques, en expliquant qu'il préférait la France de Diam's à celle de Renaud Camus. (Réponse de Finkielkraut ci-dessous.)

C'est ce qui s'appelle se faire moucher.