Du grain à moudre

Résumé de l'émission de cet après-midi consacré à la question "Faut-il régulariser les clandestins qui travaillent" :


J'allais-dire et Je-veux-dire sont, j'allais dire, dans un bateau, je veux dire. Si J'allais-dire tombe, je veux dire, à l'eau, qui d'autre peut rester, sinon Je-veux-dire ? Situation simple à comprendre et qui se vérifie inversement dans le cas où c'est Je-veux-dire qui tombe, j'allais dire, à l'eau : il ne viendrait à personne l'idée de contester qu'alors c'est J'allais-dire qui reste, il n'y a rien à dire là-dessus.

J'ai envie d'dire que c'est pas faux!

Le seul intérêt de cette émission était de montrer de façon éclatante le parfait consensus syndical et patronal sur cette question des clandestins. Pour le reste, comme il est habituel dans ce genre de "débats", on n'y a guère moulu de grain mais on y a brassé beaucoup de vent.