La censure au Figaro

Réaction censurée pardon modérée par LE FIGARO
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Sur l'article : Basquiat, l'artiste roi et sa couronne d'épines .
Rappel de votre message :
"Madoff ou Basquiat? préférer Madoff car quand on a tout perdu on n'a pas sur les bras ces horribles croutes taggées"

La liberté d'expression se réduit chaque jour. La langue de barbe à papa ( c'est sucré, c'est vide et ça colle!) devient la langue officielle de la bienpensance universelle. Toute critique finira par étre censurée mème au Figaro qui ressemble de plus en plus à Libération. Le néo libéralisme gnangnan de Besancenot à Sarkozy nous impose comme seul mot d'ordre:
le très commercial: "je positive" A la fin de l'histoire tout négatif est interdit!

Un éloge de Bouguereau aurait-il subit le même traitement ?

Ou bien peut-être les typographes du Figaro sont-ils par trop pointilleux ? Il faudrait soumettre le même message en respectant l'espace insécable entre les signes doubles et le mot qui précède.

Enfin de là à mettre le titre en capitales, comme les fous... D'autant que ce n'est pas vraiment une nouvelle. D'autre part je ne vois pas vraiment la substance d'un rapprochement entre MM. Madoff et Basquiat. Tant qu'à faire, le parallèle de Mme Aubry me semble plutôt plus pertinent.

J'aurais plutôt fait un parallèle entre Madame Aubry et Monsieur Madoff dans la mesure où l'escroquerie dite de "la pyramide de Ponzi" est bien proche du système de retraites qu'elle défend.

Comme les censeurs du Figaro sont des êtres humains et qu'ils n'ont que quelques secondes pour se livrer à une appréciation, il faut toujours tenter, en cas de rejet d'un message (peu suspect d'infraction aux règles) de refaire passer le même message dans l'espoir de tomber cette fois sur un censeur moins sot que le premier.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Typographie, Bellini, typographie...

toutes mes excuses pour cette faute de gout