Enfin, et si par effet de style, par humeur, par profusion l'on veut être redondant ?
Il ne faudrait quand même pas que le souci de la correction à tout prix étouffe une certaine maladresse parfois indispensable (véritable catégorie existentiale d'
ouverture sur l'être), ni ce que Valéry a appelé
la manœuvre du langage, "l'enchaînement des actes, l'acquisition de l'indépendance des mouvement de l'esprit ; et déliés, la liberté de leur composition dans le discours"...
Ce qu'il importe c'est de faire savoir d'une façon ou d'une autre que l'on connaît les règles, seule licence honorable de les outrepasser sans n'être qu'un vulgaire resquilleur.