12 juillet 2010, 21:11 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
12 juillet 2010, 21:29 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
12 juillet 2010, 21:32 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
12 juillet 2010, 21:42 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
Citation
Dire d'Heidegger qu'il est extrêment "intelligent" c'est un peu comme de dire que Wagner, c'est très joli... Heidegger, Cher Rogemi, c'est autre chose.
12 juillet 2010, 22:31 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
Utilisateur anonyme
12 juillet 2010, 22:39
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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13 juillet 2010, 07:17 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
Utilisateur anonyme
13 juillet 2010, 09:24
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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13 juillet 2010, 10:47 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
Utilisateur anonyme
13 juillet 2010, 18:20
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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Utilisateur anonyme
13 juillet 2010, 19:26
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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13 juillet 2010, 19:52 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
13 juillet 2010, 19:55 Deep Throat |
Utilisateur anonyme
13 juillet 2010, 20:58
Re : Deep Throat
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13 juillet 2010, 22:48 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
Utilisateur anonyme
13 juillet 2010, 23:53
Re : Pourquoi il faut en sortir ?
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14 juillet 2010, 02:44 Les CPD |
Utilisateur anonyme
14 juillet 2010, 05:18
Re : Les CPD
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14 juillet 2010, 07:23 Re : Les CPD |
Utilisateur anonyme
14 juillet 2010, 11:56
Re : Les CPD
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14 juillet 2010, 12:21 Re : Les CPD |
Citation
Monsieur K.
Oui Cher Bernard, vous avez raison, Heidegger dit lui-même de sa pensée qu'elle est proche des Upanishads (il faudrait que je retrouve la phrase exacte).
14 juillet 2010, 13:04 Re : Holzweg |
14 juillet 2010, 13:12 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
14 juillet 2010, 13:24 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
14 juillet 2010, 13:34 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
14 juillet 2010, 13:55 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
Utilisateur anonyme
15 juillet 2010, 00:10
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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Utilisateur anonyme
15 juillet 2010, 00:50
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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15 juillet 2010, 07:44 Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle". |
Citation
Le Vide en Occident et en Orient, Hermès p. 332
Utilisateur anonyme
15 juillet 2010, 11:21
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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15 juillet 2010, 11:41 Toponimye |
15 juillet 2010, 11:47 Re : Toponimye |
Utilisateur anonyme
15 juillet 2010, 13:46
Re : A propos de la "faiblesse de la pensée actuelle".
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C'est exacte ! Et il faut bien penser cette amitié de René Char et Heidegger !Citation
virgil
Cher Rogemi,
Heidegger n'a pas collaboré avec la tyrannie : il a cessé d'être recteur en 1934, à un moment où le nazisme n'avait pas encore tout à fait pris le contrôle du pays - même si cette prise de contrôle semblait sans doute inéluctable.
De nombreux témoignages font état d'absence de neutralité de Heidegger au sujet des nazis dès 1934, lorsqu'il était interrogé sur le sujet. Il n'a rien publié pendant la période, à part une ou deux plaquettes. Quand les nazis ont cherché à récupérer Nietzsche, il a fait cours sur lui et a montré que ce que Nietzsche nomme le nihilisme, les nazis en sont les parfaits représentants ! Même chose pour Hölderlin, les nazis ont tenté de le récupérer et Heidegger, en faisant cours sur lui, a montré que ses poèmes étaient incompatibles avec le nazisme.
Les étudiants de l'époque entre 1934 et 1945 sont nombreux et unanimes : suivre les cours de Heidegger amenait à ouvrir les yeux sur la vraie nature du régime, lequel n'était d'ailleurs pas dupe, comme en témoignent les nombreux rapports sur "la philosophie enjuivée de Martin Heidegger" (expression souvent utilisée dans ces rapports).
Curieuse collaboration.
Une anecdote pour conclure : Heidegger était si peu en odeur de sainteté en 1937, que lorsque la Sorbonne organisa le colloque célébrant le bicentenaire de la publication du "Discours de la méthode", on s'étonna dans les cercles philosophiques français que Heidegger n'ait pas été envoyé par l'Allemagnee - on ne l'avait pas autorisé à y prendre part. Devant cet étonnement, les autorités nazies ont finalement proposé à Heidegger d'y aller : c'est lui qui refusa - ne voulant pas servir ce régime.
Les autorités politiques et universitaires françaises ne voyaient pas en 1937 les nazis comme de dangereux criminels : Heidegger si.