Il y a celui-ci qui est très bon :
"Cachez ce Rom que je ne saurais voir ! Cela dit quand les faits deviennent aveuglants même les sociologues postbourdieusiens ne peuvent plus les nier. J'en veux pour preuve l'article, paru dans Le Monde daté d'aujourd'hui, sur l'étude, à paraître prochainement aux éditions du Seuil, et réalisée par Hughes Lagrange sur les facteurs culturels liés à la délinquance. Après quelques années d'enquête, cet homme de gauche arrive à la conclusion que le taux de délinquance est de deux à quatre fois plus élevés chez les Maghrébins et les Subsahariens que chez les autochtones et que l'explication ne réside pas fondamentalement dans la stigmatisation ou l'exclusion sociale mais bel et bien dans une inadaptation aux valeurs du pays d'accueil du fait de moeurs antagoniques (polygamie notamment) au système de valeurs (encore) dominant. C'est peu dire que Muchielli n'est pas content.
Quoi qu'il en soit ne rêvons pas amis in-nocents car selon Lagrange, tout cela c'est la faute à la France, qui accueille mal et... ne respecte pas assez les spécificités culturelles des immigrés !
Il en va de la question de la délinquance comme de la question de l'immigration. Comme les faits sont impossibles à nier, les amants du désastre adoptent une nouvelle ligne de défense. Avant-hier, on nous serinait : "il n'y a pas plus d'immigrés qu'en 1937" ; aujourd'hui on nous dit : "Désormais la France est multiraciale, multiculturelle, diverse et c'est comme ça, faut s'adapter ou ce sera la guerre civile (dixit le gros Yazid)" ; sur la délinquance ça donne : hier : " à condition de vie égale, la délinquance n'est pas plus élévée chez les arables et les Noirs que chez les Souchiens" ; aujourd'hui c'est "la délinquance est quatre fois plus élévée chez les blacks parce que la France est pas gentille, stigmatisante, irrespectueuse, blablabla."
Voilà c'est comme ça. En tout cas Zemmour doit bien rire."