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Communiqué n° 1129 : Sur des escarmouches annonciatrices, par temps de polices idéologiques privées

Communiqué n° 1129, vendredi 12 novembre 2010
Sur des escarmouches annonciatrices, par temps de polices idéologiques privées

Le parti de l’In-nocence constate sans surprise que le chanteur de variétés M. Florent Pagny n'a pas tardé à rentrer dans le rang avec force excuses, suite au tollé orchestré par les milices idéologiques de la contre-colonisation en marche et à leurs menaces coutumières, porteuses de mort civile, pour les insoumis, de mort médiatique, de mort professionnelle et qui sait, peut-être bientôt de mort tout court, comme aux Pays-Bas. Le contrôle tatillon et bien sûr totalement unidirectionnel de la correction idéologique de chacun, la peur qu'il fait régner, le silence imposé sur la plus grave menace qu'ait subie notre peuple au cours de son histoire, n'ont pas manqué de contraindre cet homme de spectacle au reniement de ses paroles, qui n'avaient d'autre tort que d'avoir soulevé, peut-être par accident, un pan du voile sur la réalité que subissent jour après jour les plus exposés de nos compatriotes, et dont nous savons maintenant comment la fuient les plus favorisés.

Le parti de l’In-nocence note que, pendant ce temps, les incidents survenus au collège de Craon révèlent ce que produit de réensauvagement automatique le transfert des jeunes nocents de la ligne de front vers les zones rurales encore un peu épargnées, là où se réfugient de plus en plus ceux de nos concitoyens qui en ont la possibilité. Il voit dans ces incidents ridiculement maquillés dans leur réalité ethnique les escarmouches annonciatrices de la bataille ultime pour imposer dans toutes les parties de notre territoire le même désastre, la même conquête, la même substitution de peuple et de civilisation, intention confirmée par les projets annoncés de diffusion volontariste de populations dites "diverses" en les campagnes les plus reculées. Il ne s'agit de rien d'autre, sous prétexte de "social", que de l'organisation jusqu'au-boutiste de la submersion du peuple hôte, rendue possible par la grande déculturation qu'il a subie et par l'enseignement de l'oubli (y compris sous le nom de "devoir de mémoire"). C'est de la liquidation systématique de son mode de vie traditionnel qu'il est à présent question, de la destruction de sa société sur tout son territoire sans la moindre enclave de sauvegarde, de la fin de son histoire propre.
Très beau communiqué, mais dans la phrase qui se termine par : "[...] peut-être bientôt de mort tout court, comme aux Pays-Bas", on pourrait croire que les "milices idéologiques" peuvent aller jusqu'au meurtre, ce qui n'est pas vrai me semble-t-il. C'est une erreur qu'elles se garderont bien de commettre !
Peut-être, mais il m'étonnerait que l'on comprenne que nous pensons que Mouloud Aounit tiendra lui-même le coutelas.
Un passage de l'affaire de Craon relaté par Le Figaro m'est apparu comme étant particulièrement édifiant :

Citation

Quant aux jeunes, "on a pris les caïds de 14 établissements qui ne se connaissaient pas (....) et on les a débarqués à Craon, avec les inévitables surenchères entre eux pour savoir qui serait le chef", analyse-t-il. "Aujourd'hui, ils ont l'air content de leur coup, en moins de 24 heures ils ont 'vidé' les 350 élèves du collège et ont crié 'on est chez nous'", poursuit l'enseignant, qui souligne être lui-même passé par des établissement difficiles en région parisienne.

Le phénomène de substitution démographique et l'affirmation, en paroles et en actes, de la domination et de la prise de possession territoriale par la force de la part des membres des peuples nouvellement venus et au détriment des autochtones, qui s'est fait graduellement et en une trentaine d'années dans les banlieues françaises dites "sensibles", se trouvent ici, à l'échelle d'un collège, parfaitement condensés en une seule journée, ce qui rend transforme cet événement a priori banal en véritable schéma explicatif symbolique des mentalités en présence et de leurs effets.

Quant aux volontés de la part des élites d'imposer coûte que coûte et contre leur gré aux autochtones des populations "diverses" (et leurs conséquences), comme c'est le cas ici, elles peuvent aussi se résumer par le schéma de pensée que traduisaient les propos d'Azouz Begag en 2005, déjà relatés sur un autre fil de ce forum :
" Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes la-bas, les descendants de Vercingétorix. Il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s'ouvrir il faut y aller au forceps. Partout où la diversité n' existe pas, ça doit être une invasion de criquets, dans les concours de la fonction publique, dans la police nationale. Partout de manière à ce qu'on ne puisse pas revenir en arrière. "

A travers ces propos, on perçoit bien le caractère totalitaire et colonisateur de l'idéologie "multiculturaliste" : comme pour le communisme, le nazisme ou l'islamisme, il s'agit de détruire définitivement, irrémédiablement et méticuleusement l'ordre ancien, sans aucun regret et en étant persuadé du bien fondé de cette opération, quitte à "corriger" les esprit récalcitrants par la force.
En quelque sorte, on nous a servi l'affaire de Craon sur un plateau. Cela montre le chemin parcouru.
A defaut de pouvoir m'inscrire plus avant au noble Parti, je m'inscrirai ici un peu en faux pour sur-interpretation positive.
Car l'affaire Pagny me semble plus relever d'un pet de méthane dans la vase putride médiatique, que d'une manifestation de milice idéologiquement structurée. Non, le faux contrevenant Pagny n'a d'autant moins eu à rentrer dans le rang qu'il n'en est à mon sens jamais sorti.
Tout l'objet de ce non-évènement est là me semble t-il.
Je crains qu'en sur-interprétant cet évènement dans ce début de communiqué - dont je partage par ailleurs les inspirations - nous plaquions au phénomène collectif des qualités d'organisation et d'intentionalité intelligibles - fussent-elles malsaines - dont il n'est vraisemblablement même plus capable.

Dans la dite vase putride ces grenouilles sont décérébrées, leurs gesticulations réduites à d'ultimes rémances de reflexes aussi décousus qu'uniformes dans un bouillon d'inculture en stagnation.
Les non-acteurs n'ont même plus les moyens intellectuels de leurs non-évènements.
Au fond, je crains qu'il y ait moins de "Stasi" que de "stase" généralisée.
D'autres appellent celà "l'oeuvre au noir". Soyons donc patients.

L'analyse des faits de Craon - comme celle de Madame Sorel - renforce, dans l'optique "remplaciste", l'idée d'une logique de contamination virale succédant à, ou complétant, une logique de surdosage démographique exogène... Leviers quantitatifs et qualitatifs d'une arme de désubstancialisation massive. Je reformule ainsi le propros volontairement avec une froideur vaguement technique pour contraster avec le style "maison" irrépressiblement épique ! ...et exprimer à la fois l'étonnement et l'attachement que j'éprouve à vous lire.
Manière de variation sur le thème : "le Parti de l'Innocence sera élégamment chevaleresque ou ne sera pas".
Messire Pascal, votre intervention pertinente me sied, continuez dans ce sens, le débat ne peut que s'élever.
"Il ne s'agit de rien d'autre, sous prétexte de "social", que de l'organisation jusqu'au-boutiste de la submersion du peuple hôte, rendue possible par la grande déculturation qu'il a subie et par l'enseignement de l'oubli (y compris sous le nom de "devoir de mémoire"). C'est de la liquidation systématique de son mode de vie traditionnel qu'il est à présent question, de la destruction de sa société sur tout son territoire sans la moindre enclave de sauvegarde, de la fin de son histoire propre".


Il serait hasardeux de prétendre résumer en quelques phrases l'explication de cette perversion majeure ("l'organisation jusqu'au-boutiste de la submersion du peuple hôte") à laquelle, pourtant, tant de "bons esprits" semblent succomber. Schématiquement : l'idéal diversitaire étant excellent ou pur, le mal ne peut venir que du dehors, i.e. de la figure ignoble du traître (le Français de-souche-qui-ne-veut-pas-disparaître). La logique diversitaire déguise en salauds, i.e. en racistes, les FDS pour les expulser, mais elle fait mieux : elle amène ceux-ci, pour sauver "leur meilleure part", à s'accuser eux-mêmes selon un syllogisme décrit par Girard comme stratégie masochiste . Les procès staliniens, par exemple, relevaient de cette même logique d'externalisation de la source (du mal), autrement dit de la victime émissaire.
Plusieurs parents d'élèves se sont exprimés devant les caméras de télévision. Une mère, geste à l'appui, dénonçait les menaces d'égorgement dont les élèves de ce collège de Craon étaient l'objet. Je trouve que ce genre de menace devrait être sanctionné par une loi dissuasive. L'outrance d'une telle menace ne devrait être, ni banalisée, ni relativisée. L'écart immense entre notre civilisation et ceux qui s'amusent à ce genre de défi doit être pris en compte et bien évalué. Il serait temps de tuer dans l'oeuf ces velléités de massacres que des esprits faibles prennent au premier degré, il serait temps de les mater avant qu'ils passent à l'acte, abrutis qu'ils sont par une propagande d'arriérés.
Ah oui, la victime des procès staliniens — c'est tout à fait ça...
13 novembre 2010, 23:14   Mode de vie traditionnel
"C'est de la liquidation systématique de son mode de vie traditionnel (...)"

Quel est-il, en définitive, ce mode de vie ? A titre d'exemple, pensez-vous que cet inimaginable système de déplacements pour se rendre de chez soi à son lieu de travail fasse partie du "mode de vie traditionnel" d'un Français d'aujourd'hui ? Si c'est le cas, à quoi bon se battre pour restaurer quoi que ce soit ? Comment se sentir "envahi" par qui que ce soit quand on passe une moyenne de trois heures quotidiennes dans des RER, des bus ou des automobiles ? Est-ce vie qui vaille ?
Utilisateur anonyme
14 novembre 2010, 08:54   Re : Mode de vie traditionnel
Comment se sentir "envahi" par qui que ce soit quand on passe une moyenne de trois heures quotidiennes dans des RER, des bus ou des automobiles ?

Oui mais si en plus vous subissez la musique (rap ou raï via le portable ou le MP3), les agressions du regard, verbales ou physiques de la Jeunesse-issue-de-la-Diversité je peux vous assurer que votre mode de vie, si a-traditionnel qu'il soit, sera salement "envahi".
Utilisateur anonyme
14 novembre 2010, 09:01   Re : Mode de vie traditionnel
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
14 novembre 2010, 09:24   Re : Mode de vie traditionnel
Mais c'est très très vieux ça mon Cher Didier !
14 novembre 2010, 10:12   Re : Mode de vie traditionnel
Ma mère travaillait très loin de notre domicile. Elle avait, par jour, une heure de trajet de métro le matin et une heure le soir. Elle ne s'est jamais plainte de ces longs trajets et ne comprenait pas quand, quelques années après sa retraite, elle entendait certains s'en plaindre. Elle disait souvent que l'odeur et le voisinage humain du métro lui manquaient !
Il me semble que c'est justement ce voisinage humain de l'époque qui rendait ces trajets très supportables, contrairement à aujourd'hui.
14 novembre 2010, 13:02   Re : Mode de vie traditionnel
Sans mettre aucunement en doute le témoignage de Cassandre, on peut simplement objecter qu'à l'époque où sa mère travaillait je suppose que de tels déplacements pour se rendre au travail n'étaient pas aussi systématiques qu'aujourd'hui. D'ailleurs, je crois que le peuple des villes (singulièrement le peuple de Paris) n'avait pas encore été chassé du centre des villes et trouvait à y gagner sa vie intra muros.

Plus généralement, car il me semble que la question vaut la peine, je suis curieux de savoir quelle idée les nouveaux venus sur ce forum, nés à la fin des années quatre-vingt ou même plus récemment encore, se font de l'expression "mode de vie traditionnel".
14 novembre 2010, 13:23   Re : Mode de vie traditionnel
Citation
Orimont Bolacre
"C'est de la liquidation systématique de son mode de vie traditionnel (...)"

Quel est-il, en définitive, ce mode de vie ? A titre d'exemple, pensez-vous que cet inimaginable système de déplacements pour se rendre de chez soi à son lieu de travail fasse partie du "mode de vie traditionnel" d'un Français d'aujourd'hui ? Si c'est le cas, à quoi bon se battre pour restaurer quoi que ce soit ? Comment se sentir "envahi" par qui que ce soit quand on passe une moyenne de trois heures quotidiennes dans des RER, des bus ou des automobiles ? Est-ce vie qui vaille ?

ll me semble que le communiqué entendait, par "mode de vie traditionnel", le mode de vie français, et plus largement européen et occidental, par opposition aux cultures musulmanes ou africaines. Cela est très important car n'entrent pas uniquement en ligne de compte les éléments "visibles" (façons de s'habiller, nourritures, magasins, religions, etc.) mais aussi tout ce qui relève de l'inconscient collectif des populations et qui fait qu'une culture n'est pas égale une autre. Par exemple : la civilisation occidentale est basée sur l'égalité de droits entre les citoyens, l'émancipation de l'individu à l'égard du collectif et les libertés individuelles, tandis que les cultures musulmanes ou africaines sont, à l'opposé, basées sur le rapport de force, la dépendance des individus vis-à-vis du groupe et l'absence de libertés individuelles. C'est cette différence de mentalités qui explique les chocs culturels que nous voyons tous les jours...
Utilisateur anonyme
14 novembre 2010, 15:33   Passion d'exclure (N°2).
Des élèves d'ERS renvoyés dans le 93
AFP
14/11/2010 |
Les 8 élèves d'un établissement de réinsertion scolaire (ERS) installé à Portbail, près de Cherbourg, ont été renvoyés, moins d'une semaine après leur arrivée, dans leur département de Seine-Saint-Denis après des incidents.

Arrivés mardi dernier dans la Manche, deux élèves ont été renvoyés deux jours plus tard après avoir notamment cassé les vitres du véhicule d'un éducateur. Hier, les six autres étaient également renvoyés après une altercation accompagnée d'insultes à l'encontre d'un garçon de café de la station balnéaire, a-t-on également précisé.

Les jeunes, qui étaient hébergés dans un établissement autonome face à la mer appartenant à l'académie de Seine-Saint-Denis, ont été ramenés à Bobigny, selon le maire Guy Cholot, qui continue à soutenir "le projet sur le fond", à condition qu'il bénéficie "d'un encadrement beaucoup plus soutenu".

"Les jeunes en réinsertion étaient encadrés par d'autres jeunes issus du service civique sans formation particulière", a regretté Guy Cholot. "On a vraiment fait tout ce qu'il fallait. On s'intéresse à ces jeunes désocialisés, on a mis des associations à disposition. C'est maintenant à l'académie de Seine-Saint-Denis de donner les moyens", a-t-il ajouté, refusant un projet qui viendrait troubler la tranquillité de ses concitoyens.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Oui Cher Didier, mais ça va trop vite !!! Craon > Portbail > ?
C'est un problème d'en-ca-dre-ment :


Les jeunes en réinsertion étaient encadrés par d'autres jeunes qui étaient encadrés par d'autres jeunes qui étaient encadrés par d'autres jeunes qui étaient encadrés par d'autres jeunes...
Je crois que si on crachait par terre en promettant de les niquer, ils penseraient qu'on les aime et tout irait mieux.
Utilisateur anonyme
14 novembre 2010, 18:51   Re :Craon, à propos d'encadrement
Evoquant ce sujet en prenant le thé tout à l'heure avec un ami qui dirige depuis dix ans une vingtaine de personnes en ré-insertion dans un chantier du même nom, je lui demandais si au fond notre société n'a pas trop légèrement ou trop artificielement renoncé à la violence, c'est à dire à l'assumer comme réalité.
S'il ne s'agit évidement pas d'envisager de renoncer à réprimer crimes et délits, ni de proner de faire justice soi-même par auto-défence, on peut se demander si le strict principe de délégation de cette repression à l'autorité publique n'est pas illusoire dès lors que les acteurs de violences n'adhèrent pas eux même à ce principe, à cette même autorité, n'en ont même pas conscience.

Mon ami m'a simplement rappellé ceci :
- "Je fais un mètre quatre vingt dix et cent vingt kilos, j'ai Bac+6, des années de kibboutz et une arme dans ma voiture. Pour encadrer mes gars, je n'ai jamais eu de ma vie à me servir de tous ces recours, ni même eu l'idée de le faire face aux coups les plus durs. Mais au cas où, je suis toujours prêt pour le faire.

- Donc pour toi, il faut toujours envisager le pire ?

- C'est bien parce que j'ai appris à l'envisager concrètement que chacun sait qu'il n'est même pas question jouer sur ce terrain où j'aurai le dernier mot. Les plus braques le sentent instinctivement dès leur arrivée.
Le jour où on devra passer par l'autorité publique, comme tu dis, je ferme le chantier, c'est foutu.
Mais on en a jamais eu besoin."

Je pense comme lui qu'on ne peut diriger des gens potentielement violents que muni d'une connaissance et d'une expérience des rapports et des contextes violents. C'est bien plus qu'une formation. L'armée fournissait encore ce contexte il y a peu, lui l'a trouvé partielement en Israël. Je doute que nos personnels d'encadrement socio-truc ou du milieu scolaire aient un once de ces pre-requis.

Quant à nos politiques...
14 novembre 2010, 20:44   Re : Mode de vie traditionnel
"Par exemple : la civilisation occidentale est basée sur l'égalité de droits entre les citoyens, l'émancipation de l'individu à l'égard du collectif et les libertés individuelles, tandis que les cultures musulmanes ou africaines sont, à l'opposé, basées sur le rapport de force, la dépendance des individus vis-à-vis du groupe et l'absence de libertés individuelles."

Pardonnez-moi, mais ce que vous indiquez là ne ressortit pas à ce que je mets - peut-être subjectiement - dans l'expression "mode de vie". Pour moi "mode de vie" appartient aux gestes les plus quotidiens et n'a finalement pas de grand rapport avec les "valeurs" abstraites citées dans ce message. Autrement dit, les néos-musulmans installés en Europe ont selon moi un "mode de vie" très voisin du nôtre, quand bien même ils ont des "valeurs" différentes.
Où l'on voit quand même que les CPF ont peut-être bien mérité leur acronyme, puisque l'inquiétude et la présence du danger peuvent vous refaire une santé. Ou alors...

Je me souviens de l'avalanche de reproches méprisants qui furent adressés à ce pauvre jeune homme bolossé dans l'autobus par une poignée de voyous, alors que tout un collège est mis en déroute et s'égaille joliment dans tous les sens par le même nombre de petites frappes à peu près...
Il n'est pas certain, cher Pascal Demoriane, que l'In-nocence milite pour une société où il faudrait avoir de gros bras pour se faire respecter. Cependant, il est tout à fait exact que beaucoup de nos contemporains, voire la plupart d'entre eux, refusent de s'engager (autrement qu'en paroles plus ou moins faussement rebelles), de payer de leur personne, de résister aux défis, aux regards, aux croisements difficiles, quand ils ne courbent pas l'échine sous les insultes ou ne regardent pas ailleurs quand ils sont témoins d'une agression. Cela fait partie du tableau lamentable qu'offre notre époque.
Utilisateur anonyme
14 novembre 2010, 23:22   Re : Re :Craon, à propos d'encadrement
une société où il faudrait avoir de gros bras pour se faire respecter.

Malheureusement c'est ce serait un mal nécessaire, à moins d'être tous des Ghandi... Je crois qu'aujourd'hui beaucoup de Français ne songent même plus à "se faire respecter" (c'est trop risqué), se faire tolérer leur suffit.
14 novembre 2010, 23:26   Craon / Coran
If we could put the letters but one way
In this lean dearth of words what could we say ?
"Autrement dit, les néos-musulmans installés en Europe ont selon moi un "mode de vie" très voisin du nôtre "

Orimont, je crains de vous avoir mal compris.
Nous bouclons nos filles et nos soeurs ? Nous les obligeons à s'enfermer dans une prison de chiffons ? Nous les menaçons si elles récalcitrent ? Nous, les hommes, nous ne vivons dans la rue, en public, qu'entre hommes ? Nous mangeons hallal ? Nous égorgeons les animaux vivants ? Nous sommes révulsés par les animaux de compagnie? Nous ne mangeons pas de porc ni ne buvons de vin ? Nous faisons ramadan et gonflons tout le monde avec notre jeûne ? Nous crachons par terre à qui mieux, mieux ? Nous vandalisons tout pour exercer notre virilité ? Nous avons plaisir à persécuter les plus faibles ? Nous nous rendons justice nous mêmes ? Si nos fils volent ou violent , nous menaçons de représailles les victimes? Nos fils tabassent les chauffeurs de bus,et qui leur refuse une cigarette ? Nous obligeons l'Autre à raser les murs ? Etc.Etc.
Citation
Autrement dit, les néos-musulmans installés en Europe ont selon moi un "mode de vie" très voisin du nôtre, quand bien même ils ont des "valeurs" différentes.

Vraiment, Orimont, vous m'étonnez car cette allégation est une illusion d'optique qui a des relents de gauchisme.

Alors nous aurions un mode de vie semblable parce que nous achetons dans les mêmes magasins, conduisons les mêmes automobiles ou allons voir les mêmes médecins ?

On se demande pourquoi les francais de souche quittent systématiquement les quartiers quand le nombre d'immigrés dépasse un certain taux si ceux-ci ont un mode de vie voisin du nôtre ?

Ils ont non seulement des valeurs différentes des nôtres mais surtout leur vie familiale et quotidienne est axée autour de pratiques qui nous sont étrangéres.

Je le répéte les populations européennes blanches et exogames ressentent les peuples pratiquant l'endogamie, cad le mariage entre cousins, comme profondèment différents.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 10:22   A propos de gros bras
"Il n'est pas certain, cher Pascal Demoriane, que l'In-nocence milite pour une société où il faudrait avoir de gros bras pour se faire respecter."
Délicat euphémisme. J'avoue être novice en In-nocence, mais je me soigne.

Interroger les prescriptions pratiques que l'In-nocence peut proposer en phase opératoire au regard du thème du communiqué me semble cependant un sujet prioritaire qui ne peut se traiter par d'élégantes pirouettes.

Notez cher Marcel Meyer, que mon "gros bras" ci dessus convoqué au témoignage n'a pas omis de mentioner, comme recours pratique mobilisable, outre son gabarit, le fait qu'il dispose de quelques substanciels bagages intellectuels (modestement résumés par son "j'ai bac+6, - en fait de multiples qualifications).
Un corps bien fait certes, mais dans une tête bien pleine en quelques sortes.
Ce qui n'est pas qu'un détail.
Son In-nocence factuelle tiendrait de celà, son autorité paisible aussi.
Bien des femmes à petits bras savent aussi bien rayonner ce type d'équilibre et d'harmonie, y fonder leur autorité, sans jouer les popeyes. On parle d'ailleurs de "femme de tête" !

Donc non, son expérience n'appelle seulement pas à l'anticipation des nocences probables par une menace latente dissuasive, clef de l'autorité. Il nous suggère plutôt d'intégrer et d'accepter la violence comme manifestation de l'être, posant : peut-on être In-nocent si on ne se sait pas violent par essence ?
Ce qui ouvre évidement une vision tragique de l'existence, voire névrotique dans une société qui associe violence et virilité et qui féminise à contresens toutes formes positive de sociabilité.

D'autre l'on dit avant et mieux que moi. Il y aurait donc un problème de représentation des polarités sexuelles derrière tout cela, une altération du masculin et par suite de l'exercice de la volonté dans les relations sociales. C'est un autre débat, mais j'oserai d'emblée poser l'idée que nous vivons une contre-révolution sexuelle, particulièrement répressive, dont nos gaillards des neo-ghettos de banlieue sont à la fois les plus criants révélateurs, sont comme nous les victimes, mais aussi paradoxalement les agents propagateurs tactiques de bas niveau.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 10:57   Re : A propos de gros bras
D'accord avec Pascal : de plus en plus de situations face auxquelles il nous faudra réagir non pas avec notre intelligence, mais avec notre caractère.

Par ailleurs je crois (hélas) que dans un pays composé de peuples différents par la race, par la religion, par les valeurs et les modes de vie, un régime autoritaire est seul capable d'empêcher la lutte de tous contre tous.
J'ai par fois du mal à comprendre votre but. Voulez-vous d'une France peuplées d'européens de souche (français, polonais, anglais, italiens, suédois, russes...) où voulez-vous d'une France accueillant tous les francophones de quelques natures qu'ils soient pourvu qu'ils aient un diplôme ?
Citation
où voulez-vous d'une France accueillant tous les francophones de quelques natures qu'ils soient pourvu qu'ils aient un diplôme ?

Pour faire vite et simple !

La peau et le diplôme ne joue aucun rôle seule compte la volonté d'accepter les régles du jeu qui aboutissent au renoncement à sa culture d'origine et à devenir francais.

Ce que l'on peut à la rigueur accepter c'est de circonscrire le mode de vie de ses parents et ancêtres à la sphére privée. Ce que font d'ailleurs certains juifs, vietnamiens, etc ...

Au lieu de garder des prénoms imprononcables pour des francais (ce qui d'ailleurs les marque au fer rouge) qu'ils commencent par adopter des prénoms francais. Eh oui le diable se cache dans des détails.
15 novembre 2010, 16:56   Tradition
Il n'est bien sûr pas raisonnable de contester les objections formulées par Cassandre et Rogémi. Mais, dans ce débat comme dans d'autres, s'ils ont tous deux raison, je n'ai pas tout à fait tort. Quand Rogémi écrit : "Alors nous aurions un mode de vie semblable parce que nous achetons dans les mêmes magasins, conduisons les mêmes automobiles ou allons voir les mêmes médecins ?", c'est bien sûr pour laisser entendre que ces points communs ne suffisent pas. En cela je ne partage pas tout à fait son point de vue. Pour moi, ces points communs sont capitaux dans l'examen comparatifs des "modes de vie" et, selon moi, ils possèdent une très grande force de, disons, contamination. L'hypothèse que ces points communs finissent par diriger l'ensemble de la société vers une "batardisation" générale des "mode de vie traditionnels" des uns comme des autres, ne me semble pas à exclure.

En effet, je le répète, c'est l'expression "mode de vie traditionnel" qui a attiré mon attention dans le communiqué, en particulier l'adjectif "traditionnel". En dehors de toute présence musulmane, en quoi notre mode de vie peut-il encore être qualifié de "traditionnel" ? Ne serait-il pas plus juste d'écrire dans ce communiqué que "C'est de la liquidation systématique de son mode de vie progressiste qu'il est à présent question." ?

Ces rassemblements de musulmans en train de prier dans la rue, ces mosquées fréquentées, cette pratique soutenue de la religion, cette supprématie masculine, ne restaurent-ils pas des "modes de vie" qui dessinèrent les traits les plus nets de notre tradition ?
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 17:05   Re : Tradition
(Message supprimé à la demande de son auteur)
15 novembre 2010, 17:15   Re : Tradition
En effet, je n'aurais pas dû être aussi affirmatif avec ce verbe "restaurer" aussi péremptoire. J'aurais dû écrire, par exemple, "cette pratique soutenue de la religion, cette suprématie masculine, n'offrent-ils pas une manière de restauration trompeuse des "modes de vie" qui dessinèrent les traits les plus nets de notre tradition ? "

Il est possible que j'ai de la difficulté à exprimer ce que j'ai en tête, et de façon quelque peu brumeuse. Il me semble que si l'Islam parvient à séduire (notamment les convertis), ce n'est pas seulement par l'oppression mais, précisément, par une recherche, évidemment mal dirigée, de "mode de vie traditionnel".

A mes yeux, le mode de vie induit par le consumérisme est aussi destructeur du mode de vie traditionnel que l'Islam.

Encore une fois, tout bien pesé, si les musulmans s'opposent à une tradition, c'est à celle du progrès, de l'émancipation, autrement dit ils s'opposent à la tradition du détachement de l'emprise religieuse.
15 novembre 2010, 17:37   Re : Tradition
C'est un peu ce que pensait Muray quand il disait aux djihadistes : « nous sommes plus morts que vous ».
Orimont, si je vous comprends, vous rejoignez là Philippe Muray : l'islam ne nous tuera pas parce que nous sommes déjà morts ; il pourrait bien au contraire périr à notre contact, contaminé par notre consumérisme mollasson, aspiré par les souffles fétides et ridicules de notre nihilisme, entraîné avec nous dans le gouffre que nous creusons.
15 novembre 2010, 17:46   Re : Tradition
Mais cher Orimont, ne pas boucler les femmes, ne serait-ce que dans des prisons de tissus, ne pas les menacer de mort si elles récalcitrent ; ne pas vivre séparés d'elles, aimer avoir partout des animaux de compagnie, manger de la cochonaille et festoyer au bon vin , ne pas faire ramadan, ne pas cracher par terre ni, encore moins, sur le "différent" qui passe, ne pas tout vandaliser afin de prouver notre virilité , ne pas prendre plaisir à persécuter les plus faibles, ne pas rendre justice soi-même, ne pas tabasser les chauffeurs de bus, ni notre soeur, notre fille ou notre femme victime de calomnies mais s'en prendre au contraire au calomniateur ; se moquer de la religion, et j'en passe, tout cela faisait partie, hier encore, sans même que nous en eussions conscience, de nos traditions, jusqu'à ce que que l'énorme pression sur notre société d'étrangers sans respect pour celles-ci nous obligent à d'incessantes capitulations. Et il est probable que cela continuera comme un tricot qui se défait maille par maille sans qu'on y prenne garde.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 18:28   Re : Tradition
(Message supprimé à la demande de son auteur)
15 novembre 2010, 18:52   Re : Tradition
"...le mode de vie induit par le consumérisme est aussi destructeur du mode de vie traditionnel...", sans doute, mais cette destruction nous est propre, elle est issue du développement de notre histoire, elle participe d'un destin, et par là aussi c'est tout autre chose...

Tout à fait d'accord. Dans ce cas, il me parait simplement assez vain de faire référence au "mode de vie traditionnel."

___

Cara Sandra,

Ce que vous écrivez ne souffre pas contestation. Mais je pourrais tout aussi bien dresser la liste des actes et des façons d'être devenus courants et qui n'appartiennent en rien à notre "mode de vie traditionnel", sans pour autant devoir à la présence d'étrangers la terrible pression qu'ils exercent .
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 18:56   Re : Tradition
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Je constate que ma remarque et celle de Marcel Meyer se sont croisées.
Il est toujours signifiant de voir apparaître des réactions analogues ou plutôt des réactions qui ont des références identiques, d'assister au surgissement puis à la reprise, selon la lettre ou selon l'esprit, de formules à la mode mais peut-être destinées à tomber dans le domaine commun. Étape suivante : l'auteur n'est plus cité, ses formules, ses idées, sont reprises par ceux qui ne l'ont pas lu, qui ne connaissent même pas son existence.
Pour être honnête, si j'ai lu Muray (son "Céline" et la première série des "Exorcismes"), je ne connais justement que de deuxième main l'idée que m'ont soufflée les propos d'Orimont Bolacre.
Sur le fond "Nous sommes plus morts que vous" ne change pas grand-chose à notre situation. Je crains que, Cassandre ayant raison, nous ne puissions bientôt plus choisir qu'entre Charybde et Scylla.
15 novembre 2010, 19:07   Re : Sir Winston aussi
Je verse dans le débat ce passage extrait des mémoires de Churchill ( je n'ai pas le livre sous les yeux, il me semble que cela vient du deuxième tome de ses Mémoires de guerre )

Winston Churchill sur l'islam :

« Combien effrayantes sont les malédictions que le mahométanisme fait reposer sur ses fidèles ! Outre la frénésie fanatique, qui est aussi dangereuse pour l’homme que la peur de l’eau pour le chien, on y trouve une terrible apathie fataliste.Certains musulmans peuvent montrer de splendides qualités, mais l’influence de la religion paralyse le développement social de ceux qui la suivent.Aucune force aussi rétrograde n’existe dans le monde.Loin d’être moribond le mahométanisme est une foi militante et prosélyte. Il s’est déjà répandu partout en Afrique centrale, attirant de courageux guerriers pour chaque avancée et partout où la chrétienté n’est pas protégée par les armes puissantes de la science, science contre laquelle elle a vainement lutté, la civilisation de l’Europe moderne peut s’écrouler, comme s’est écroulée la civilisation de la Rome antique. »
Citation
A mes yeux, le mode de vie induit par le consumérisme est aussi destructeur du mode de vie traditionnel que l'Islam.

Mais c'est justement cela l'illusion d'optique et c'est l'argument de tous les gauchistes, situationnistes et néo-situationnistes depuis 50 ans. Vous faites du Badouisme.

Ce serait à la rigueur valable pour nous car c'est notre civilisation chrétiennne maintenant sécularisée qui a généré la modernité mais pour la plus grande part des musulmans vivants chez nous le constat n'est pas valide.

Il y a quelques années ma pauvre mère s'étant blessée au bras passa quelques jours dans une clinique cannoise dans une chambre avec une patiente algérienne, agée et au plus mal. Ses filles et la smala autour d'elle se comportèrent comme jamais des francais de souche ne l'auraient fait.
Tous les enfants étaient nés en France mais aucun n'était en fait francais car même sí un observateur neutre et sans idées préconcues on aurait pu les prendre pour des francais à part entière ils ne l'étaient en aucun cas et d'ailleurs ils ne se ressentaient eux-mêmes aucunement francais comme ils nous l'avouèrent ingénument en nous expliquant pourquoi ils voulaient enterrer leur mère en Algérie.

Sans vouloir enfoncer des portes ouvertes il faut reconnaitre que l'utilisation de la technologie ne fait pas d'un musulman un occidental.
15 novembre 2010, 19:33   Re : Sir Winston aussi
"Mais je pourrais tout aussi bien dresser la liste des actes et des façons d'être devenus courants et qui n'appartiennent en rien à notre "mode de vie traditionnel", sans pour autant devoir à la présence d'étrangers la terrible pression qu'ils exercent "

Bien sûr, mais je crois que dans mon message ci-dessus je faisais référence à une sorte de noyau dur de notre mode de vie traditionnel que la modernité n'était pas arrivé à entamer, peut-être parce qu'il est d'une certaine façon d'une modernité intemporelle . Le problème est que notre mode de vie traditionnel avait perdu , précisément, le côté ostentatoire, folklorique, de la plupart des traditions. C'est pourquoi il a été assez facile aux amis du Désastre de faire croire à nos compatriotes que sous prétexte qu'elle ne s'encombrait plus d'oripeaux voyants il n'y avait guère d'identité française.
Citation
Cassandre
C'est pourquoi il a été assez facile aux amis du Désastre de faire croire à nos compatriotes que sous prétexte qu'elle ne s'encombrait plus d'oripeaux voyants il n'y avait guère d'identité française.

Je crois que ceci est très juste. Dés lors se pose la question : ne plus s'encombrer d'oripeaux voyants est-il un bien ou non, un progrès ou non. Je suis, pour ma part et jusqu'à ce soir, convaincu que c'est un bien pour l'individu mais que le peuple s'en trouve malheureusement affaibli.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
15 novembre 2010, 21:36   Tradition
Pour ce qui est de mes lectures, elles ne méritent pour seul qualificatif que celui de vagabondes, pour ne pas dire erratiques, toutes de hasard, de bon plaisir et de rencontres et bien loin de la moindre férule. Je n'ai jamais ouvert un livre de Philippe Muray ni d'Alain Badiou, et non plus d'une quantité peut-être anormale de "penseurs", spécialement ceux du XXème siècle. C'est pourquoi je ne sais jamais duquel de ces penseurs je peux être l'éventuel Monsieur Jourdain, veuillez m'en excuser.

""mode de vie traditionnel." : qui s'inscrit dans une tradition, qui la perpétue en quelques façons, même dans sa destruction... " écrit Didier Bourjon et je veux bien souscrire à cette très pataphysicienne définition, soit dit sans la moindre intention dépréciative. Ainsi le choix des termes du communiqué s'éclaire d'un jour qui me parait acceptable, c'est-à-dire décanté de tout vain passéisme (mais il n'est pas certain que la plupart des lecteurs, faute de cette opportune explication de texte, ne se contentent pas - pour s'en féliciter ou en être consternés - de ranger l'entreprise in-nocente dans le camp des restaurateurs du "bon vieux temps". L'éventualité de ce malentendu est, à mon avis, l'écueil le plus dangereux pour le parti.)

"(...) il faut reconnaitre que l'utilisation de la technologie ne fait pas d'un musulman un occidental." affirme Rogémi et il a raison. L'utilisation de la technologie ne fait pas d'un musulman un occidental mais il fait de lui un excellent utilisateur de la technologie, tout comme un excellent consommateur. Il est beaucoup plus simple (et tentant) d'islamiser la modernité, par techniques interposées, que d'opérer le processus inverse et c'est bien là toute la question. Il suffit de voir comment le pélerinage à la Mecque s'est coulé avec aisance et grand succès dans le moule du tourisme mondial.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2010, 22:44   Re : Tradition
Je n'ai jamais ouvert un livre [...] d'Alain Badiou

(Quel veinard !...)
16 novembre 2010, 00:36   Re : Tradition
Pour ceux que cela intéresseraient j'avais mis à la fin du mois de mai dernier un extrait assez relevé d'un texte d'E. Barilier en ligne se rapportant à Badiou.

Voir la source
16 novembre 2010, 00:46   Re : Tradition
Citation
Je n'ai jamais ouvert un livre de Philippe Muray ni d'Alain Badiou, et non plus d'une quantité peut-être anormale de "penseurs", spécialement ceux du XXème siècle

Que nous importent les auteurs que vous n'avez pas lu ?

Seules comptent vos magnifiques lectures, cher Orimont, de même que les extraits de vos vagabondages littéraires que vous mettez régulièrement en ligne sur ce forum.

Vous m'avez fait découvrir le livre Les Puritains du desert d' André Chevrillon dont la lecture fut pour moi un régal et je vous en suis profondément reconnaissant.
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