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Racisme anti-blancs : témoignage.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
22 novembre 2010, 13:50   Racisme anti-blancs : témoignage.
Je ne sais pas s'il faut parler de racisme, je crois qu'il s'agit de haine, de ressentiment, de jalousie, de désir de vengeance, mais pas de racisme au sens de mépris d'une "race inférieure".
Utilisateur anonyme
22 novembre 2010, 21:15   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Cessez donc de finasser mon Cher Florentin.
Écoutez, cher Monsieur K, je ne suis pas de gôche, j'utilise les mots dans leur sens précis, je n'ai pas le goût de l'insulte ou de la diabolisation et encore moins de la démagogie. Je ne dis pas ça pour vous mais pour insister sur le fait qu'on ne peut pas critiquer l'adversaire et tomber dans les mêmes travers.
Utilisateur anonyme
22 novembre 2010, 22:17   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Croyez-vous vraiment qu'ils regardent les Français-de-souche autrement que comme une race inférieure ? - Les FDS ? Pfff !!!, des "bollos", des "victimes", des "p'tits céfrancs", des "Gaulois", des "faces de craie", des "fromages", des "bouffeurs de porc", des "koufars", etc, etc.
J'avoue que ces fanfaronnades de ratés me laissent totalement froid. Ces malheureux sont plus à plaindre qu'autre chose, quoiqu'un bon coup de pied au cul leur ferait du bien.
Florentin,


Vous allez trop à En Calcat, et vous avez sans doute fréquenté Dom Marie de Floris, vous savez, le fondateur de Toumliline au Maroc. Vous êtes, en quelque sorte, dans les griffes de Golias pour ne pas voir les évidences qu'on vous expose.
Cher Jean-Marc, votre réaction m'étonne; je vois bien tous ces pauvres types qui la ramènent mais leurs insultes ne font que les rabaisser et le fait que la honte ne les effleure même pas me sidère.
Florentin,

Je persiflais !

Il me semblait que vous m'aviez rejoint dans le gauchisme !

Pour ces gens-là, ce sont des connards, pardonnez ce terme, mais il n'y en a pas d'autre.
J'avais bien compris et j'ajouterai une chose. Le fait d'avoir eu des enfants, de les avoir vu grandir et devenir des adultes, conditionne le regard sur les autres enfants. Voir des jeunes à la dérive me rend triste, il est difficile d'éviter les comparaisons.
Vous avez raison. Je n'ai pas d'enfants, mais je m'occupe de sportifs d'une vingtaine d'années, et j'ai toujours été surpris de voir combien ils apprécient la fermeté sans méchanceté.

Rien n'est pire que de les laisser à la dérive. Si, une chose est pire : ne pas mettre la distance nécessaire et faire copain-copain.
Il me semble qu'au contraire les gens que l'on évoque ici tiennent encore et toujours les blancs pour une race supérieure. D'où la haine et les insultes.
Didier, ce que vous dites est pour moi évident. Il y a, nettement, un complexe d'infériorité à l'oeuvre.
Le ressentiment du "perdant radical" face à la mauvaise conscience du gagnant vieillissant
La moins efficace et la plus dangereuse des attitudes face à ce syndrome qui chez un être ou un groupe social réunit, à doses égales, le complexe d'infériorité, la haine et la jalousie/envie est très sans doute la pitié. La pitié, la condescendance, face à ce syndrome, vous conduit droit à la morgue, au sens du bâtiment et des locaux que l'on désigne sous ce terme et, pour les sociétés, au cimetière de l'histoire. Ce cocktail, cette grenade -- complexe d'infériorité, haine, envie -- est très dangereux; il est de ceux qui font les révolutions, qui changent le cours de l'histoire. Il faudrait s'en défendre comme d'une menace suprême, ce qui est très difficile.
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 11:15   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Je ne sais pas s'il faut parler de racisme, je crois qu'il s'agit de haine, de ressentiment, de jalousie, de désir de vengeance, mais pas de racisme au sens de mépris d'une "race inférieure".
Certes, cher Florentin, mais il me semble que l'on peut conduire la même analyse à propos du "racisme" que l'on dénonce chez les "français de souche" envers leurs divers hôtes divers. Pensez-vous que chaque petit gaulois à qui l'insulte vient à la bouche ait très présente à l'esprit la lecture de Gobineau ?
Ou ils sont tous des racistes, ou ils sont tous des connards. C'est trop sacrifier à la socio-victimologie que donner aux uns le monopole de cette décoration. Cette anisotropie est d'ailleurs la grande escroquerie de la discipline : ce succédanné de matérialisme historique ne vaut que que pour les classes invitées. Les classes invitantes sont toujours nanties d'attributs transcendants et sacrés comme ce "racisme" ; les comportements des autres sont toujours disséquables, explicables à volonté.
La remarque de Didier Goux est pertinente, le reproche de racisme ne marche que dans un sens, quels que soient les qualificatifs employés.
J'ajoute ce lien qui me paraît de circonstance:
-20101123-[zoneb]]Le Figaro
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 16:30   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Citation
Didier Goux
Il me semble qu'au contraire les gens que l'on évoque ici tiennent encore et toujours les blancs pour une race supérieure. D'où la haine et les insultes.

Une race supérieure ? Dans les banlieues française (j'habite dans le 94) l'insulte suprême, aujourd'hui, c'est de se faire traiter de "p'tit céfran". Si l'"intégration" ne marche pas c'est qu'elle suppose une force intégratrice, en même temps qu'elle suppose un modèle civilisationnel (regardé comme "supérieur") en fonction duquel on va chercher à intégrer. Où est la force ? Où est le modèle ? Si nous étions encore quelque peu supérieurs (ou considérés comme tels) ils désireraient de nous ressembler. Bien sûr on peut dire également que c'est parce qu'ils n'y parviennent pas qu'ils nous détestent autant, et qu'ils ne veulent pas être "comme nous".
Petit rappel : dans la culture arabo-musulmane il est naturel de mépriser les faibles, jamais les forts ou les "supérieurs".
Vous voulez dire, cher Monsieur K qu'ils ont peur de se mépriser eux-mêmes ?
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 17:12   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Il y a tant de choses, de mauvaises choses, dans un sentiment tel que le mépris...
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 17:24   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Il me semble qu'un musulman , même illettré et misérable , se sentira toujours supérieur à un non-musulman, car il pense détenir la Vérité et être voué au paradis alors que le mécréant vit dans l' erreur et finira en enfer...
Par ailleurs le modèle familial endogamique est une source de fierté puisqu'il assure un environnement familial foisonnant et que l'individu est constamment entouré et soutenu par une ribambelle d' oncles , tantes, cousins , neveux, etc..
A côté, la famille du boloss, composée le plus souvent d'un père et d'une mère , une fois sur deux divorcés, apparaît bien minable.
Citation
Où est la force ? Où est le modèle ? Si nous étions encore quelque peu supérieurs (ou considérés comme tels) ils désireraient de nous ressembler.

Vous n'avez pas complétement tort mais il suffit à nos chers cpf de faire un tour en Algérie, en Egypte ou dans n'importe quel pays musulman pour prendre conscience de leur infériorité car cher Monsieur K. dans ces pays là régne un chaos endémique et absolument rien ne marche.

C'est dans ces instants là qu'ils saisissent la différence abyssale qu'il y a entre le bled et la France et croyez-moi ils n'ont après qu'une seule idée qui est de revenir d'urgence en Europe car vivre dans le souk permanent c'est dur, très dur même pour une ex-caillera devenu adulte.

Conséquence: même si dans les quartiers ils bouffonnent et prennent les francais de haut ce n'est que de la hâblerie de bas étage car en réalité ils sont écrasés par la supériorité éclatante des sociétés occidentales.

Je ne parle pas bien sûr des adolescents boutonneux et agités qui n'ont jamais mis les pieds dans la patrie de leur parents.
Citation
Par ailleurs le modèle familial endogamique est une source de fierté puisqu'il assure un environnement familial foisonnant et que l'individu est constamment entouré et soutenu par une ribambelle d' oncles , tantes, cousins , neveux, etc.. A côté, la famille du boloss, composée le plus souvent d'un père et d'une mère , une fois sur deux divorcés, apparaît bien minable.

C'est juste mais il n'en reste pas moins que même un musulman fier comme artaban a deux yeux pour voir la prospérité et l'aisance qui régnent dans les pays occidentaux et cela fait mal, trés mal et ils ont le plus grand mal à accepter la mondialisation à l'occidentale qui a eu lieu depuis 4 siècles.

Ce n'est pas le calendrier musulman ou juif qui est la référence dans le monde que je sache ?
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 19:18   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
C'est dans ces instants là qu'ils saisissent la différence abyssale qu'il y a entre le bled et la France et croyez-moi ils n'ont après qu'une seule idée qui est de revenir d'urgence en Europe

Oui cher Rogemi, vous avez raison, sauf que les rares instants où "ils saisissent la différence abyssale qu'il y a entre le bled et la France" ne durent guère longtemps puisqu'ils ignorent presque toujours l'auto-critique, la distance, la nuance, la dérision, l'"objectivité" (je veux parler de sa recherche), etc. - Seraient-ils capables de vivre sans le moindre ressentiment ? Pour moi la réponse est non.
Ce n'est pas le calendrier musulman ou juif qui est la référence dans le monde que je sache ?

Ah oui, et m'étonne chaque jour de plus en plus le fait qu'il n'y ait pas eu encore de récriminations sérieuses à ce sujet, de la part des officines en tous genres qui veillent à la bonne marche du monde divers - il y a bien eu quelques timides tentatives, je crois, mais elles n'ont guère eu de suites autres que d'anecdotique curiosité...
Citation
Seraient-ils capables de vivre sans le moindre ressentiment ? Pour moi la réponse est non.

Oui vous avez raison mais cela n'a rien à voir avec nous car entre eux ils sont aussi aussi comme cà.

Je suppose que c'est la conséquence directe de la structure anthropologique musulmane cad de l'endogamie qui détermine les rapports familiaux et sociaux dans les pays arabo-musulmans.

Dans les années 80 et 90 E. Todd a écrit des choses très intéressantes sur ce sujet. Dommage qu'entre-temps il soit devenu un des pourfendeurs du grand remplacement.
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 20:37   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Pourfendeur du grand remplacement ?...
Quelques remarques :

- ces gens-là nous copient, alors que nous ne les copions pas. Or, on copie la culture dominante. Le "P'tit Céfran" ne rêve pas de turbans ou de djellabas, ni de dromadaires, et "Oud" ne veut rien dire pour lui. Les autres rêvent de vêtements de marque, avec petite pochette, de BMW et de rap, qui est une musique américaine ;

- la famille de type endogamique n'est pas vécue positivement par les jeunes gens, de quelque origine qu'ils soient. La vaste famille élargie avec tablées de cousins le dimanche était la norme en France il y a cinquante ans, d'ailleurs. D'autre part, la famille immigrée est bien souvent éclatée, l'homme délaissant son épouse vieillie et courant la gueuse, cette femme restant seule pour (mal) élever ses petits mâles. On notera que lesdits mâles ne s'assemblent point par familles, mais entre pairs ;

- ils retournent effectivement souvent au bled et y redécouvrent la dureté locale, et le fait, comme dit supra, que rien ne marche.

Pour moi, ils sont mus par la haine, la frustration, l'impossibilité de jouir comme on le voit dans les séries, belles femmes, belles voitures, belles villas, alors qu'ils sont "entre mecs", que les villas sont des appartements au 7ème étage et que les voitures ne sont pas à eux.

On ne peut, en fait, mépriser un mode de vie auquel on aspire.


Toute autre est la position des salafistes, dans le monde musulman, qui, eux, ne convoitent pas ces biens matériels. Ils méprisent l'occident, c'est certain.
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 21:07   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Le "P'tit Céfran" ne rêve pas de turbans ou de djellabas

Euh si vous alliez dans les "quartiers" vous seriez surpris de voir le nombre de "p'tits Céfrans" singeant les manières - parfois même les habits pour les mieux dés-"intégrés" - du bled.


On ne peut, en fait, mépriser un mode de vie auquel on aspire.

Si si BCJM, tout comme certains méprisent les femmes qui se refusent.
Qu'il y ait des jeunes qui singent leurs manières, je le conçois tout à fait.

Il n'en demeure pas moins que mépriser et haïr sont deux choses fort différentes.
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 21:21   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Il n'en demeure pas moins que mépriser et haïr sont deux choses fort différentes.

Face à une meute de CPF enragés ce genre de distinction n'a plus guère d'importance.
Vous pouvez généraliser en "Face à une meute d'imbéciles enragés ce genre de distinction n'a plus guère d'importance".
23 novembre 2010, 22:19   Les morts crânent
Citation
Francis Marche
La moins efficace et la plus dangereuse des attitudes face à ce syndrome qui chez un être ou un groupe social réunit, à doses égales, le complexe d'infériorité, la haine et la jalousie/envie est très sans doute la pitié. La pitié, la condescendance, face à ce syndrome, vous conduit droit à la morgue, au sens du bâtiment et des locaux que l'on désigne sous ce terme et, pour les sociétés, au cimetière de l'histoire. Ce cocktail, cette grenade -- complexe d'infériorité, haine, envie -- est très dangereux; il est de ceux qui font les révolutions, qui changent le cours de l'histoire. Il faudrait s'en défendre comme d'une menace suprême, ce qui est très difficile.

Oui, cocktail explosif, très inflammable, imprévisible, de ceux qui ont effectivement, comme ressentiment, déterminé le cours de l'histoire, selon un Nietzsche.
23 novembre 2010, 22:28   Re : Les morts crânent
Pourquoi des vérités aussi simples, élémentaires, que le génie de Nietzsche articula mieux que nous et bien avant nous, ne sont toujours pas utilisées pour l'action politique ? Les signes du futurs sont aisés à lire, et enfin, ne s'embarrassent d'aucunes voies chicanières prétendûment stratégiques pour se réaliser: le ressentiment de masse est d'essence meurtrière et il est le signe certain, brut, non annonciateur, non indiciel mais signalétique, de la fin du monde qui a l'impudence de le tolérer.
Le calendrier occidental s'est imposé naturellement pour la simple raison que la notion d'histoire est une idée occidentale. L'Islam n'a pas d'histoire à ses propres yeux, beaucoup se croient toujours au temps des Croisades et nourrissent leur ressentiment de ces archaïsmes.
On ne peut, en fait, mépriser un mode de vie auquel on aspire.

Etrange méjugement des complexités de l'âme humaine...
Oui, c'est cela, le ressentiment de masse, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures.
Utilisateur anonyme
24 novembre 2010, 01:39   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Citation
Francmoineau
On ne peut, en fait, mépriser un mode de vie auquel on aspire.

Etrange méjugement des complexités de l'âme humaine...

Ou du danger de la pensée naïve...

..................................................

Pourquoi des vérités aussi simples, élémentaires, que le génie de Nietzsche articula mieux que nous et bien avant nous, ne sont toujours pas utilisées pour l'action politique ?

Pourquoi ? parce que pour retrouver le simple, l'élémentaire, il nous faudrait redécouvrir les "conditions primordiales de la vie", or nous sommes épuisés, et essentiellement parce que nous avons négligé les racines terrestres de la plante-homme. Retrouver ces racines, et donc l'aptitude à la lutte, à la diététique et au sens hygiénique, impliquerait de retrouver l'ordre nietzschéen des raisons : le corps d'abord ! Ces vérités "simples", "élémentaires", sont inconcevables, et donc "inutilisables", par un système politique libéral.
Citation
Alain Eytan
Oui, cocktail explosif, très inflammable, imprévisible, de ceux qui ont effectivement, comme ressentiment, déterminé le cours de l'histoire, selon un Nietzsche

Alors, comme cela, vous, Monsieur Eytan lui-même, vous croyez tout simplement que les grands hommes déterminent l’histoire. Je sais bien que les subtilités semblent être pourchassées en ce moment sur notre forum mais je suis sûr que vous pourriez nous ajouter un petit quelque chose sur l’histoire qui détermine les grands hommes.
Utilisateur anonyme
24 novembre 2010, 09:17   Re : Racisme anti-blancs : témoignage.
Je sais bien que les subtilités semblent être pourchassées en ce moment sur notre forum


[Moi qui pensais, un peu bêtement c'est sûr, qu'Alain Eytan était le participant le plus subtil (dans l'acception du terme la plus positive qui soit) de ce forum...]
Les nomades, guerriers, ont toujours méprisé les sédentaires, besogneux. Pour eux le travail est affaire de femmes, ou de jeunes adolescents quand il s'agit de garder les troupeaux. Toutefois ils ne cessent de convoiter les biens fabriqués par les sédentaires qu'ils méprisent, d'où la tactique de la razzia dont ils s'enorgueillissent. Il se trouve que ces moeurs bédouines transformées en injonctions divines par Mahomet, sont devenues sacrées chez les musulmans. Ils ressentent donc comme leurs ancêtres nomades cette fascination - mépris teintée de ressentiment pour les besogneux d'occident dont ils s'enorgueillissent de pouvoir profiter.
24 novembre 2010, 10:45   Ressentiment
"Oui, c'est cela, le ressentiment de masse, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures."

N'y a-t-il pas des circonstances historiques où le "ressentiment" ne suffit pas à expliquer le soulèvement ou la simple révolte des masses ? A ce compte-là, si le peuple historique de France, ou se reconnaissant tel, venait à se soulever en masse contre la "Contre-colonisation", on pourrait dire qu'il agit par "ressentiment" (ce que d'aucuns, d'ailleurs, ne se privent pas d'avancer dores-et-déjà pour expliquer le vote prétendûment d'extrême-droite dans tel ou tel pays d'Europe.)

Que devient le juste ressentiment des tragédies classiques ?
Citation
Éric Veron
Citation
Alain Eytan
Oui, cocktail explosif, très inflammable, imprévisible, de ceux qui ont effectivement, comme ressentiment, déterminé le cours de l'histoire, selon un Nietzsche

Alors, comme cela, vous, Monsieur Eytan lui-même, vous croyez tout simplement que les grands hommes déterminent l’histoire. Je sais bien que les subtilités semblent être pourchassées en ce moment sur notre forum mais je suis sûr que vous pourriez nous ajouter un petit quelque chose sur l’histoire qui détermine les grands hommes.

Mais où avez-vous donc vu que je pensais une chose pareille, cher Éric, dans cette phrase ?... Nietzsche à la rigueur, et encore, ne s'agissait-il selon lui que de puissances instinctives de vengeance, ou de "volontés des tarentules", lesquelles ne pouvaient à ses yeux prétendre au qualificatif auguste de "grand homme"...
En tous cas s'il y en a un qui a largement déterminé l'histoire c'est bien Mahomet , quand on voit que quinze siècles après sa mort ses sectateurs appliquent encore, à la lettre, et avec succès, le programme qu'il avait prévu avec les moyens qu'il avait conseillés.
Je n'ai vu nulle part que vous pensiez une chose pareille, cher Alain. Je suis simplement demandeur de quelques pistes de réflexion de votre part sur le sujet.
Et n'oublions pas le nez de Cléopatre.
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