Les bonnes vieilles méthodes staliniennes du mammouth

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C'est scandaleux, je trouve, de laisser enseigner un homme qui est engagé politiquement. Il serait bien de faire la même chose avec tous les autres encartés PS, PCF, NPA, MoDem, etc. Bizarrement, cela ne choque personne. Badiou fait du maoïsme depuis 35 ans, certains de ses épigones aussi. Il n'est pas loin de dire qu'on ne fait pas d'omelette (révolutionnaire) sans casser des oeufs (nombreux ces oeufs dans le cas de Mao, et appartenant au peuple, au vrai), et parfois le dit carrément. Il fait donc un éloge à peine masqué des massacres de masse, aux frais de la République, dans son institution la plus prestigieuse. Personne ne réagit.

Et de surcroît on n'a pas jugé nécessaire de donner la parole à l'intéressé dans le petit reportage de France 2.

C'est bien ce qui choque le plus, en effet. Les moutons noirs n'ont pas le droit à la parole à la télévision. Leur "cas" est discuté, analysé contradictoirement, nommément (le nom du fonctionnaire de l'éducation nationale mis en cause par la déléguée de parents d'élève est publié) mais son procès médiatique a lieu in abstentia, et bien sûr, sans qu'on lui ai laissé la possibilité de se désigner un avocat.

Vous remarquerez aussi que la représentante de la FCPE dit n'importe quoi et que la plus totale confusion règne dans son discours. Nous lisons que ce professeur est certifié dont recruté par voie de concours. Or, la représentante de la FCPE parle des recrutements d'enseignants par le pôle emploi et ajoute qu'en temps normaux, M. Santamaria n'aurait pas enseigné. Il s'agit donc d'un amalgame parfaitement absurde ! Cependant, il n'y a, hélas, personne pour la contredire.

Citation
Virgil
C'est scandaleux, je trouve, de laisser enseigner un homme qui est engagé politiquement. Il serait bien de faire la même chose avec tous les autres encartés PS, PCF, NPA, MoDem, etc. Bizarrement, cela ne choque personne. Badiou fait du maoïsme depuis 35 ans, certains de ses épigones aussi. Il n'est pas loin de dire qu'on ne fait pas d'omelette (révolutionnaire) sans casser des oeufs (nombreux ces oeufs dans le cas de Mao, et appartenant au peuple, au vrai), et parfois le dit carrément. Il fait donc un éloge à peine masqué des massacres de masse, aux frais de la République, dans son institution la plus prestigieuse. Personne ne réagit.

Et il ne s'agit pas d'un exemple isolé. L'université française a longtemps été "tenue" par le parti communiste et son idéologie trouvait d'excellentes courroies de transmission par de nombreux enseignants qui, eux-mêmes, trouvaient de nouvelles courroies de transmission dans le traitement de l'histoire dans les manuels scolaires.

Je trouve merveilleux de laisser enseigner un homme qui s'est engagé, politiquement ou spirituellement. Ce qui est scandaleux, c'est la cooptation en fonction de telles idées que cela risque fatalement d'entraîner, mal peut-être inévitable. Mais Dieu merci j'ai eu des professeurs qui se fichaient pas mal des "valeurs républicaines" ! Des professeurs de théâtre gauchistes, des professeurs de philosophie successivement hostiles ou favorables à l'islam, des professeurs de mathématiques fous ou catholiques, des professeurs de sport d’extrême droite, des professeurs d'histoire libéraux ... Et dire que j'ai cru être né à la mauvaise époque : celle qui va me succéder s'annonce mille fois pire ! Obliger un professeur de philosophie à "respecter les valeurs républicaines", non mais franchement... On censure les passages politiquement incorrect dans la République ? On brûle Heidegger (ou Marx), selon le camp qui l'emportera ?

Le scandale est que le professeur est mis en cause aucunement pour la teneur ou les méthodes de son enseignement, mais pour les idées politiques qui sont les siennes et qu'il exprime dans la société civile. Ce type de procès, outre qu'il est entièrement instruit à charge, vise la liberté de conscience des individus, droit de l'homme fondamental. Un fonctionnaire risque ainsi d'être sanctionné pour ses idées, alors même qu'elles n'enfreignent en rien le cadre légal ni les principes de la laïcité.

Oui, je suis d'accord avec vous : même en considérant qu'il devrait peut-être pouvoir exprimer ses idées, il est de toute façon scandaleux de lui chercher des noises si son enseignement demeure "objectif", ne serait-ce qu'en apparence - mais d'ailleurs je lui souhaite bien du courage s'il veut faire étudier ne serait-ce que, disons, Nietzsche, le fameux fondateur du nazisme...

Nietzsche, le fameux fondateur du nazisme

Ha bon ? j'ignorais totalement cette histoire-là...

Je m'empresse de dire que le nazisme était un socialisme. NSAPD Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei. Le parti des travailleurs allemands nationaux-socialistes.

Le terme nazi a été inventé par Moscou pour masquer les affinités entre ces deux mouvements tellement proche l'un de l'autre.

Ce qui donne donc NSDAP…

Demandez, cher Jean-Marc, à un certain nombre d'universitaires : ils vous feront un plaisir de vous expliquer comment Hitler est dans Nietzsche comme l'arbre est dans la graine. Je ne sais comment ces gens se débrouillent, compte tenu du philo-sémitisme très prononcé de ce dernier, sauf à dire que le philo-sémitisme est un antisémitisme, mais bon... Il n'en reste pas moins que la vieille légende forgée par son infâme sœur traîne encore dans les couloirs décrépis de certaines universités.

Pourtant, on m'avait toujours laissé croire que Paula Hitler était une femme discrète, qui menait une vie retirée à Vienne...

Tiens, votre remarque me fait penser à ce dessin, très drôle, de Sempé, que mes incompétences en informatique m'empêchent de poster ici...

"Le système ne réfute pas l'examen critique, il le soigne."
Bon çà y est, ils ont eu ma peau.
Une commission "médicale" me met en "longue maladie" jusqu'à une mise à la retraite d'office.
La médicalisation des conflits politiques nous renvoie aux heures les plus sombres du stalinisme.
L'implantation de la gauche dans l'éducation nationale reste donc encore importante mais cependant largement en déclin.
Mes élèves de Terminale littéraire lancent une pétition pour ma ré-intégration.
Signe des temps.
Idem chez les profs où malgré la campagne de presse de dénonciation (Midi-Libre, FR3 Région LR) l'exclusion n'a pas fonctionné.
Bon y'a toujours de l'inertie dans tout système...
Mais la gauche a bien perdu la guerre idéologique.
Même si je rejoins les mites du placard, eux iront dans les poubelles de leur Histoire hégelienne.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Hé bien, Santamaria, voici une affaire lamentable.

Vous ne perdez rien quand ils vous écartent, vous y gagnez votre liberté.

Tant que ces gens voteront en masse pour les syndicats qui vous ont détruit, on ne pourra s'attendre à rien de bon.

Il semblerait que les "profs-électeurs" des syndicats gauchistes ne se soient pas encore assez fait insulter et casser la gueule par les objets de leur adoration.

Donc, un seul souhait : jeunes en tout genre, encore un effort pour être révolutionnaires.

Cher collègue,
Je compatis. Ne baissez pas les bras ! Je viens de revoir le petit sujet de France 3. C'est affligeant. La dame (mère d'élève) qui explique que c'est un effet de la réforme que vous soyez appelé à enseigner alors que c'est votre CAPES qui vous en donne le droit dit n'importe quoi contre vous et sur la réforme.
J'avais réagi avec ironie, en notant que jamais on ne manifeste de crainte que les professeurs engagés à l'extrême gauche utilisent leur cours pour faire de la propagande, à tort, car ils ne s'en privent pas. Quand on sait que le père d'Edwy Plenel fut inspecteur de l'éducation nationale et qu'il sortit sans cesse de son devoir de réserve pour soutenir les indépendantistes algériens du FLN, on mesure le deux-poids-deux-mesures.
Tenez bon !

Mes élèves de Terminale littéraire lancent une pétition pour ma ré-intégration.
Signe des temps.

Voilà en effet qui devrait inciter à l'optimisme, même si cette affaire est de bout en bout ignoble (cher Jean-Marc, Monsieur Santamaria est peut-être en passe de perdre une chose, tout de même... son gagne-pain).

Non, je ne pense pas : c'est plus subtil et plus retors ; M. Santamaria est pour eux malade, forcément malade.

Il n'est pas révoqué, révocation que le Conseil d'Etat aurait évidemment annulée.

En n'enseignant pas on finit par perdre une partie de son traitement, et on perd d'emblée tous les ajouts divers : conseil de classe, heures supplémentaires, prime de professeur principal, on ne progresse plus dans les échelons, etc. C'est très rapidement une perte sèche financièrement. Ce n'est pas la situation financièrement dorée qu'on a créée pour Robert Redeker (labo CNRS fantôme). C'est une mise-au-ban, une humiliation, à la manière des purges brejneviennes (qui médicalisaient là où Staline criminalisait).
L'UNEF est en train d'essayer d'empêcher Gollnisch que je n'apprécie pas particulièrement de reprendre ses cours, au motif qu'il ne s'est pas excusé, comme si cinq années d'interdiction d'enseigner n'étaient pas une punition suffisante. C'est proprement odieux.
Lugan subit en son temps les cabales de l'UNEF, Bruno Julliard en tête, qui fut d'ailleurs condamné, avant de devenir l'expert de l'éducation au PS... un grand ami de la liberté d'expression et du débat, ce Julliard.

Oui, vous avez raison, mais ne ramenons pas un acte odieux à son aspect pécuniaire.

Je suis un lent. Je suis scandalisé, vous avez mon soutien cher Monsieur.

Monsieur Santamaria, toutes mes félicitations, vous venez d'être victime d'une discrimination en raison de vos opinions politiques. Vous allez pouvoir porter plainte au pénal (à vous de voir contre qui : la FCPE ? l'administration ? d'autres ?) ceci en vous fondant sur les articles 225-1 et suivants du code pénal. Vous pouvez envisager l'affaire sous l'angle du harcèlement moral à caractère discriminatoire (art. 222-33-2 du code pénal ainsi que l'article 6 quinquies de la loi n°83-634 du 13 juillet 1983) ou bien sous celui de la discrimination commise par une personne dépositaire de l’autorité qui refuse le bénéfice d’un droit ou entrave l’exercice normal d’une activité (art. 432-7) ou encore sous celui de la provocation à la discrimination (cf l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse). Je vous recommanderais plutôt le harcèlement moral à caractère discriminatoire.

Si cela vous semble trop compliqué, saisissez Dominique Baudis, Défenseur des droits (ex-Halde), 7 rue Saint-Florentin à Paris 8ème, qui saisira le juge à votre place. Il est là pour cela.Vous pouvez même le faire en quelques minutes en ligne : [www.halde.fr]

Les formalités sont réduites. Réunissez quelques preuves si vous pouvez (tracts, témoignages des élèves, extrait de France 3). N'oubliez pas de préciser les conséquences de cette affaire pour votre santé, votre vie familiale, votre réputation. Voici les coordonnées des deux représentants de Dominique Baudis dans votre département qui ont pour mission de vous aider à constituer votre dossier : [www.halde.fr]

Admirez le beau mécanisme que notre République met à votre disposition pour défendre vos droits. Telle est la volonté souveraine du législateur. Vous ne voulez pas le décevoir j'espère ? Alors à votre clavier !

Pour une fois que le droit des discriminations sert à la cause identitaire...

Si vous vous lancez dans ce petit jeu de l'oie (l'oie anti-discriminations) vous obtiendrez peut-être ceci :

- la satisfaction de voir vos ennemis se tordre la bouche pour vous répondre que non, non, ils ne vous considèrent pas du tout comme quelqu'un de vilain ;

- l'avantage de recevoir un chèque de montant correspondant au produit de la transaction pénale que le Défenseur des Droits aura négocié pout votre compte avec le ou les auteurs de la discrimination dont vous êtes victime, en échange de la renonciation par vous à toutes poursuites pénales.

La règle de ce jeu est ici : article D.1-1 du code de procédure pénale

Tout cela est évidemment gratuit pour vous.

» Je ne sais comment ces gens se débrouillent, compte tenu du philo-sémitisme très prononcé de ce dernier

À ce point ? Mélangeons les genres...

« Qu'est-ce qui s'ensuit ? Qu'on fait bien de mettre des gants quand on lit le Nouveau Testament. Le voisinage de tant de malpropreté y oblige presque. Nous fréquenterions des "premiers chrétiens" tout aussi peu que des Juifs polonais : ce n'est pas qu'on ait besoin de leur reprocher même la moindre des choses... Tous les deux sentent mauvais. » (L'Antichrist)

Et concluant : « Faut-il encore que je dise que dans le Nouveau testament n'apparaît qu'une seule figure qu'il faille honorer ? Pilate, le gouverneur romain. Prendre au sérieux une querelle de Juifs, il ne pouvait s'y décider.
Un Juif de plus ou de moins — qu'importe ?... »

Tout amateur de "grand style" et de grand spectacle, de quoi relevait selon lui l'Ancien Testament, que Nietzsche ait été, ses passages les plus laudateurs concernant les Juifs le sont à titre redoutablement ambigu, puisqu'ils sont admirés pour ce dont ils sont accusés, et qui n'est, dans la "thématique" nietzschéenne, tout de même pas une mince affaire : Il leur impute à crime d'avoir initié la "révolte des esclaves", et d'être donc originellement responsables de la dénaturation des valeurs vitales.
C'est en tout cas un aspect des choses qu'il faut également prendre en compte...

Est-ce que Nietzsche ne serait pas farouchement "judéophobe", pris au sens d'une haine de la religion juive, mais d'une très grande admiration pour le peuple juif qui lui est contemporain - qu'il n'hésite pas, si je me souviens bien de mes lectures, à appeler race ?
(D'autre part j'ai parlé trop vite, comme souvent, d'autant plus que je n'ai même pas lu l'Antéchrist... J'ai lu et relu, en revanche, Par-delà Bien et Mal, ce qui explique un peu ma compréhension de la chose).

Citation
« Faut-il encore que je dise que dans le Nouveau testament n'apparaît qu'une seule figure qu'il faille honorer ? Pilate, le gouverneur romain. Prendre au sérieux une querelle de Juifs, il ne pouvait s'y décider. Un Juif de plus ou de moins — qu'importe ?... »

Selbstredend !

Tous les philosophes allemands du 18, 19 et 20 ème siècle ont éprouvé une haine profonde du judaisme que ce soit Kant, Hegel, Fichte, Marx, Schoppenhauer, Nietzsche, Heidegger et consorts.

On remarquera que l'anti-christianisme et l'anti-judaisme au fond c'est la même chose cad la détestation du prophétisme hébreu.

A nuancer pour Nietzsche, cependant (le Nietzsche de Par-delà Bien et Mal, je tâche d'être précis) qui constate d'une part le "grand style" à l’œuvre dans l'Ancien Testament, et fait remarquer, d'autre part, qu'il est curieux que Dieu ait décidé de parler grec, et qu'il l'ait si mal appris...

Merci de tout coeur pour ces conseils d'ordre juridique. Je vais voir ce qu'il est possible de faire dans cette direction. Merci aussi à tous les intervenants sur ce site ou celui de Midi-Libre pour l'expression de leur solidarité.

Ne rêvons pas et regardons les choses en face car Nietzsche était un anti-sémite rabique.

En effet les disciples de Nietzsche laissent discrètement dans l'ombre les textes trop nombreux dans lesquels leur maître nous parle de "l'instinct juif", ou du peuple juif qui est, selon Nietzsche, "le peuple le plus funeste de l'histoire du monde" (Der Antichrist, 24). "A Rome, écrit Nietzsche, on considérait le Juif comme un être convaincu de haine contre le genre humain : avec raison, si c'est avec raison que l'on voit le salut et l'avenir de l'humanité dans la domination absolue des valeurs aristocratiques, des valeurs romaines" (La Généalogie de la Morale, I, 16). Dans les Evangiles, écrit encore Nietzsche, on est entre Juifs. C'est la race qui intervient ici. Dans le christianisme, compris comme l'art de mentir, c'est le judaïsme tout entier qui parvient à sa maîtrise parfaite. Le chrétien, cette ultime expression du mensonge, c'est le Juif encore une fois, trois fois même (Der Antichrist, 45). Nietzsche n'a pas assez de mots pour exprimer son horreur de voir Rome soumise à trois Juifs et devant une Juive (Jésus, Pierre, Paul et Marie) (Généalogie de la Morale, I, 16).

J'aime bien quand il se défoule sur Wagner. Wagner ou le Graal en carton ! Vivement le Romantisme, le vrai !

Citation
Rogemi
Ne rêvons pas et regardons les choses en face car Nietzsche était un anti-sémite rabique.

C'est faux ; du moins Nietzsche a clairement évolué sur cette question. En 1888, deux ans avant qu'il ne tombât gravement malade, il écrivit :

« Les Juifs sont intelligents au sens le plus absolu : rencontrer un juif peut être une bénédiction. Par ailleurs, on n'est pas impunément intelligent : par cela même on a facilement les autres contre soi. Mais l'avantage reste quand même aux intelligents. — Leur intelligence empêche les Juifs d'être absurde à notre manière : par exemple nationalistes. »

« Quelle bénédiction est un Juif parmi du bétail allemand ! »

Je pourrais aussi vous retrouver des fragments de 1889 où il fulminait contre les antisémites.

Le problème avec cet homme-là, c'est qu'on trouve dans ses écrits à peu près tout ainsi que le contraire de tout — un peu comme dans la réalité pourrait-on du reste à juste titre ajouter.

« Malheur à moi, je suis une nuance* ! » Nietzsche, Ecce homo

* En français dans le texte.

La nuance est ennemie de la cohérence, dirais-je.

Ne trions pas les lentilles, cher Henri, car les idées ont des conséquences et l'oeuvre de Nietzsche a été (est) un riche fonds dans lequel les anti-sémites les plus notoires se sont abondamment servis.

Je crois que Marcel a raison, Rogemi aussi : "c'est plus compliqué...", mais sans recevoir véritablement de solution, on reste avec la complication ; comme si Nietzsche n'était pas capable d'être à la fois antichrétiien, antijudaïque, antisémite, et, pour couronner le tout, virulemment anti-antisémite !...

Il n'en reste pas moins que ce dont sont responsables les Juifs dans nombre de textes est capital : il s'agit vraiment d'un péché originel, d'une pollution des corps et des esprits, d'un pervertissement fondamental des valeurs, et d'une infamante campagne de calomnie menée contre le monde, et l'apparence... Impossible d’ignorer cela.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Citation
Alain Eytan
...comme si Nietzsche n'était pas capable d'être à la fois [...] antisémite, et [...] virulemment anti-antisémite !

Vous m'accorderez, Alain, que cela semble pour le moins délicat ; à moins que sa pensée ait évolué, ce que je crois.