La violence par les jeunes, toujours plus jeunes.

Océane, 2 ans et demi, agressée en maternelle

"Pour le père de famille, cette agression justifie en tout cas la mise en place de tests, pour dépister dès l’âge de 5 ans les élèves à haut risque, projetée par le ministère de l’Education nationale."

Le Désastre au carré.

Le père marque une pause, puis poursuit. « J’ai vu les enseignants, l’inspectrice. On m’a répété : on est désolés. Je ne demande pas l’exclusion définitive des enfants, mais il faut peut-être les déplacer dans différentes écoles pour les séparer. On nous a expliqué que nous pourrions bénéficier de toutes les dérogations possibles pour inscrire ailleurs la petite, où nous voulons.

Malheureux ! demander la séparation des uns et des autres, une division, un clivage ! et pourquoi pas l'apartheid ?! Voilà : vous pouvez vider la place, ce sera mieux pour tout le monde, pour notre tranquillité morale, ici on ne veut pas de boufonnes de deux ans et demie qui se laissent lyncher sans réagir.

Le dépistage des "enfants à risque" me semble en effet une excellente mesure, à la fois pour eux et pour les autres.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Et pourquoi pas celui des religions à risques, tant que nous y sommes ?

Et des prénoms à risques ?

Pour les parents à risques, vous avez raison.

En fait, je considère que les fauteurs de trouble en général doivent s'attendre à subir la rigueur de la loi. Je suis pour la responsabilisation des individus. Une famille déviante, qui emmerde tout le monde pour être clair, doit s'attendre à voir ses diverses subventions coupées et ses enfants éventuellement placés si elle est incapable de s'en occuper, alors qu'actuellement le seul risque qu'elle court est l'overdose de travailleurs sociaux venus lui expliquer qu'elle n'est composée que de victimes et qu'elle a des DROITS.