Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 1304 : Sur la lutte contre la fraude fiscale

Communiqué n° 1304, jeudi 24 novembre 2011
Sur la lutte contre la fraude fiscale

Le parti de l'In-nocence approuve les intentions affichées du gouvernement de consacrer une énergie et des moyens accrus à la lutte contre la fraude fiscale. Déceler, empêcher, punir la fraude fiscale sont la contrepartie indispensable d'une fiscalité juste et stable, dont on peut penser au demeurant qu'elle aurait pour effet d'en réduire la tentation, les occasions et les occurrences. Une piste apparemment peu explorée en ce combat très nécessaire est celle des diverses prévarications intrinsèquement liées au Grand Remplacement, qu'il s'agisse de l'emploi d'immigrés clandestins ou des diverses formes, souvent criminelles, de l'économie parallèle liée à la contre-colonisation. Il semble qu'un simple recours à l'antique méthode s'attachant aux “signes extérieurs de richesse” et à la disproportion souvent phénoménale entre eux et les revenus déclarés, pour ne rien dire des allocations perçues, pourrait donner de très intéressants résultats financiers, en même temps qu'il serait l'occasion de restaurer un peu de l'autorité de l'État en ses “territoires perdus”.
C'est une excellente idée : qu'une part de la taxation soit sur les signes extérieurs de richesse (quand bien même les personnes n'auraient que l'usage de ces biens, car souvent ils sont propriétés de tiers).
Citation
Jean-Marc
C'est une excellente idée : qu'une part de la taxation soit sur les signes extérieurs de richesse (quand bien même les personnes n'auraient que l'usage de ces biens, car souvent ils sont propriétés de tiers).

Cela est déjà prévu par l'article 168 du Code général des impôts.
Ne pas confondre fraude fiscale et évasion fiscale. La première est un délit, la seconde est parfaitement légale.
Au fait, pourquoi ne pas ré-instaurer la vignette pour les véhicules de luxe, par exemple ?
Sur un pare-brise de Ferrari, ça fait pauvre.
Élargir l'assiette de l'impôt implique le recouvrement de l'impôt auprès de nouveaux contribuables. Si toute la population, et non pas seulement la moitié, est assujettie à l'impôt, les avis à tiers détenteurs et autres joyeusetés bureaucratiques vont pleuvoir pour lutter contre la fraude fiscale des modestes.

Il paraît que le « travail au noir » représente au moins 10% du produit intérieur brut. La suppression de la monnaie papier et l'imposition à la source seraient une solution au problème (si c'en est un).

Les possibilités d'échapper plus ou moins à l'impôt de façon légale enlève à l'État créancier sa légitimité. Les contribuables doutent plus ou moins de la fameuse équité fiscale. Quelques exemples, en vrac : les revenus immobiliers, les journalistes, les assistantes maternelles, le personnel naviguant d'Air France, les frais réels en général, les médecins libéraux, les employés des organismes internationaux, les bases servant au calcul des impôts locaux...
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter