Élargir l'assiette de l'impôt implique le recouvrement de l'impôt auprès de nouveaux contribuables. Si toute la population, et non pas seulement la moitié, est assujettie à l'impôt, les avis à tiers détenteurs et autres joyeusetés bureaucratiques vont pleuvoir pour lutter contre la fraude fiscale des modestes.
Il paraît que le « travail au noir » représente au moins 10% du produit intérieur brut. La suppression de la monnaie papier et l'imposition à la source seraient une solution au problème (si c'en est un).
Les possibilités d'échapper plus ou moins à l'impôt de façon légale enlève à l'État créancier sa légitimité. Les contribuables doutent plus ou moins de la fameuse équité fiscale. Quelques exemples, en vrac : les revenus immobiliers, les journalistes, les assistantes maternelles, le personnel naviguant d'Air France, les frais réels en général, les médecins libéraux, les employés des organismes internationaux, les bases servant au calcul des impôts locaux...