Sur le premier point :demander à ce que soit utilisé un appareil français pour transférer une personne dont on a souligné qu'elle possédait la nationalité française en même temps que la nationalité israélienne, et pour la libération de laquelle les autorités françaises avaient fait, semble-t-il, cerains efforts, ne me parait pas relever de la "communicationite" présidentielle,, tout au plus de la "communicationnite" française. Il faut s'entendre, sur le plan huimain tout cela est dérisoire;sur le plan politique, soit l'on implique la France pour la défense de l'un de ses ressortissants bi-national, soit on s'en abstient, on ne peut mettre en avant l'appartenance nationale française unique ment lorsque cela parait utile, et l'oublier lorsque le résultat est obtenu. Je parle ici non de la famille , mais des autorités politiques.
Sur le second point ce n'est pas parce que l'information émane de France-Israél qu'elle est fausse, simplement s'agissant d'un sujet sensible en Israél, on peut légitimement souhaiter d'autres sources pour la confirmer ou l'infirmer. Ce serait quelque chose comme de l'esprit critique, à moins que justement, cette information, interprété d'une certaine manière, vienne flatter une opinion déja faite.