Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille

Communiqué n° 1321, mercredi 28 décembre 2011
Sur l'ultraviolence à Marseille

Le parti de l'In-nocence se demande si l'emporte l'indignité ou bien le ridicule dans la résolution obstinée du pouvoir médiatico-politique à traiter de l'ultraviolence à Marseille et de ses plus récentes manifestations — quand il est contraint par leur énormité d'en faire état — comme s'il s'agissait d'une série de très fâcheux faits-divers alors qu'on a affaire de toute évidence, toute la nocence ou peu s'en faut étant de même nature et de même origine, à une guerre ethnique déjà déclarée, au sein d'une ville déjà presque entièrement perdue pour notre peuple, sa culture, sa langue, sa civilisation et ses autorités désignées. Il faut vraiment que les centres de commandement idéologiques officiels soient bien sûrs de l'état d'hébétude entraîné dans la population par la grande déculturation, par l'enseignement de l'oubli, par l'endoctrinement perpétuel et l'imbécilisation de masse pour oser lui servir avec un tel cynisme et une si voyante dissimulation une information à ce point tronquée, mensongère, hors de propos.
Pourriez-vous donner un lien au "fait divers" en question ? Merci d'avance.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 08:15   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Bruno,

Il est indiscutable qu'une série criminelle sans précédent frappe l'agglomération de Marseille.

Cela est largement le fait de bandits professionnels. Par exemple, le meurtrier du policier de Vitrolles s'était présenté libre devant les assises du Gard pour braquage et avait pris la poudre d'escampette juste avant le verdict.

Il s'agit de Baptiste Dominici, dont voici le portrait.

Exemple choisi tout à fait au hasard, comme il se doit.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 11:14   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Mais il a le nez et la lèvre en sang, sur la photo, votre M. Dominici. C’est très certainement une victime de violences policières. Il faut ameuter l’opinion publique. Que ne pouvons-nous prendre exemple sur la Lybie, l’Égypte, la Tunisie, où de pacifiques révolutions ont renversé les méchants et où l’on a établi la religion de l’amour fraternel.
Le meurtre d'un policier, cela ne compte pas pour vous ?

Que les malfaisants s'entrebarbecuent, je m'en fiche comme de l'an quarante, je suis même prêt à fournir de l'essence et des allumettes à leurs proches.

Je note que le tueur de policiers est l'homme que je vous montre, je n'y puis rien, c'est vous qui mettez le sujet sur le tapis.
Comment, les malfaisants s’entrebarbecuent et la police ne fait rien ? Mais c’est nauséabond.
Je pense qu'on devrait déclencher une épidémie de bleuite (ce qu'on a peut être fait).
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 11:48   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
Je propose de classer les disputes territoriales à Marseille en trois catégories:
Maghreb/Maghreb, Maghreb/Corses, Maghreb/Gitans.

Cette partition est-elle discutable, et pouvons-nous en quantifier l'importance respective?

Du reste, s'il est indéniable que Corses et Gitans font partie de la France, il persiste chez ces derniers des atavismes spécifiquement violents que l'on peut déplorer (bien qu'ils agissent aussi comme un frein au grand remplacement, en Corse par exemple).
Emmanuel, vous oubliez une composante :


Le 19 décembre, le corps carbonisé de Jonathan Pham Van, un Marseillais de 27 ans, avait été retrouvé dans une voiture en feu sur un parking de Septèmes-les-Vallons, une commune proche. Cet homme, qui avait des antécédents judiciaires en matière de trafic de stupéfiants, avait reçu une blessure par arme à feu à la tête. Dans ce dossier, une information judiciaire devait être ouverte ce lundi à Aix pour "assassinat".
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 11:57   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
Citation
Chatterton
Comment, les malfaisants s’entrebarbecuent et la police ne fait rien ? Mais c’est nauséabond.

Il faudrait peut-être, au sujet du barbecue, rappeler par un communiqué que nous n'attendons pas des médias qu'ils nous familiarisent par les images et les mots employés, avec ces mœurs barbares.

«...Jeanne d'Arc, exécutée en 1431 par la méthode du barbecue, c'est vrai qu'elle était trop mytho...
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 11:57   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 12:05   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
Citation
Jean-Marc
Jonathan Pham Van, un Marseillais de 27 ans,

cherchez encore un peu, vous allez trouver son beau-frère, un Norvégien dépressif, à la racine du mal.
Non, non, la racine est un peu plus loin : derrière tout Norvégien dépressif, il y a un Autrichien à petite moustache qui se cache (mal).
C'est vous qui refusez de voir, pour une raison qui m'échappe, l'existence d'une classe dangereuse, qui comporte bien des éléments venus du sud de la Méditerranée, mais aussi un nombre non négligeable de malfaisants qui sont "bien de chez nous".

Vous ramenez tout (sauf la fièvre jaune) au Grand Remplacement, alors qu'une part importante des Nocences ne lui sont pas dues.

La doxa d'extrême gauche ne veut pas voir les dangers de l'immigration, vous ne voulez pas voir la totalité des problèmes auxquels le pays est confronté. La gauche pratique la réduction ad Hitlerum, vous pratiquez celle ad Cambimagnum.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 12:35   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
Trois voyous des cités reconduits à la frontière sans coûter un euro au contribuable. Que demander de plus ?

A reproduire en format industriel.
Agrippa, c'est pour cela que je parle de bleuite, à développer.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 12:38   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Mais enfin, expliquez-moi pourquoi ce site qui, il y a quelques années, était effectivement celui de l'in-nocence, est devenu en fait celui de l'in-migration ? on dirait que tout passe par là, que c'est la cause suprême et première à la fois.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 12:45   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 12:55   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Si, tout comme j'ai lu la rubrique "nocences", de ce site. Cela a été rapide, elle est vide.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 13:08   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 13:24   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
Rapporter la question de l'immigration à celle de la délinquance et de la fraude c'est un peu accuser l'éléphant du magasin de porcelaine d'avoir les pattes sales. L'essentiel est : peut-on le pousser dehors sans casser les étalages ? Est-il domesticable ? Si oui, est-il souhaitable de le faire (sachant qu'il sera toujours un éléphant) ? Il existe certes des éléphants délicats, mais il faut d'abord que le soigneur le soit aussi... or nous en sommes bien loin.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 13:36   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 13:39   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Mais enfin, suis-je le seul à voir que le Grand Remplacement a quasi-remplacé les autres nocences ?
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 16:04   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Didier,

Je me borne à un constat, qui ne me semble pas nécessiter de cours spécifique : le GR occupe maintenant une place centrale, tout ou presque de négatif y est ramené.

Comme tout le monde, je suis bien conscient que l'immigration débridée a une large part dans cette criminalité débordante marseillaise. Cela étant, parler de guerre ethnique déjà déclarée, au sein d'une ville déjà presque entièrement perdue pour notre peuple, sa culture, sa langue, sa civilisation et ses autorités désignées c'est dire que toute cette criminalité est due à une partie de la population, alors que ce n'est tout simplement pas vrai.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 17:52   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Moi je serais vraiment heureux de voir Jean-Marc répondre favorablement à l'invitation de Didier Bourjon pour un entretien (filmé ?). Ce serait du plus haut intérêt, et contradictoire, pour le coup.
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 18:13   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
Au-delà de l'ultraviolence,
un certain "je-ne-sais-quoi" marseillais est résumé par ce texte.

"j'ai plus envie"
Donc, Didier, serions nous d'accord pour dire qu'il y a effectivement un très important problème à Marseille, dû très largement à l'immigration incontrôlée, mais qu'il n'y a pas de guerre ethnique ?
Utilisateur anonyme
29 décembre 2011, 18:22   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Mon analyse est différente, Didier.

Je vois dans cela une "brésilianisation" de certaines zones. La différence importante avec le Brésil est que la presse française soutient les malfaisants.

Que Marseille devienne invivable, je le conçois tout à fait. Que cherchent ces malfaisants ? l'argent, qu'ils sont prêts à prendre n'importe où et à n'importe quel prix. Je ne pense pas qu'ils en veuillent en quoi que ce soit aux indigènes, ils veulent de l'argent, ils tuent pour cela.
Citation
Emmanuel M
Il faudrait peut-être, au sujet du barbecue, rappeler par un communiqué que nous n'attendons pas des médias qu'ils nous familiarisent par les images et les mots employés, avec ces mœurs barbares.

Absolument d'accord. Les médias raffolent de cette "récupération" langagière, ils s'en régalent. Au besoin ils inventent eux-même les écœurantes expressions qu'ils nous servent comme une information — ce qu'elles sont bien du reste, mais pas comme ils l'entendent, puisqu'elles nous peignent le paysage mental, non seulement de ceux qui les profèrent, mais aussi et peut-être surtout de ceux qui s'ingénient ainsi à les transmettre. C'est la même pâtée malsaine qui repaît les uns et les autres. Dire laidement la laideur, bêtement la bêtise, violemment la violence, c'est étayer ces trois dernières.
L'on assiste à deux phénomènes conjoints, une double évolution à Marseille. L'hyperviolence n'y est pas une nouveauté hélas, et les "fusillades de bar" (Bar des Marronniers, l'effroyable fusillade du Bar du Téléphone en 1978 qui laissa dix personnes, tout de même, sur le carreau) à Marseille, n'ont pas attendu l'exemple du Brésil.

L'hyperviolence telle qu'elle pouvait exister dans les années 50 ou 70 du siècle dernier était le fait du "milieu", et si la mort qu'elle distribuait ne se distinguait guère, dans ses modalités, de celle dont les journaux font la chronique aujourd'hui il n'en demeurait pas moins que la ville, si votre vie n'avait aucun rapport avec l'existence et les agissements du Milieu, restait viable, dans ses quartiers et dans ses rues. Vous ne risquiez pas votre vie pour un regard jugé déplaisant et vous pouviez passer l'après-midi dans le quartier de la porte d'Aix sans être incommodé par l'immondice.

La double évolution, pour faire court, est la rencontre de l'immondice et de la Kalachnikov, par l'essor de l'un et le passage de l'autre dans des mains immondes, qui a rendu la ville invivable. Il est scandaleux de dire cela, et de le dire ainsi, mais le réel est un scandale bien plus grand encore.
Jean-Marc, je crois que vous faites fausse route. L'argent, pour s'en emparer, dans cette région de France, n'a jamais appelé le recours à la violence (Spaggiari, la truanderie et la corruption, celles qui usent par exemple des machines à sous, de l'achat d'élus, le proxénétisme et les trafics, forment un système qui écarte, par exemple le braquage ou le saucissonnage comme moyens commun de se procurer de l'argent), ensuite considérez les faits froidement: on a tiré sur la police très récemment, on tue désormais, pour un "casse de harengs surgelés", moins de 500 euros. Les virtuoses de la Kalach ne tuent pas pour l'argent, mais pour imposer leur périmètre, instituer leur suprématie, tenir en respect les agents de l'ordre public.
Dire laidement la laideur, bêtement la bêtise, violemment la violence, c'est étayer ces trois dernières.

C'est pour lire des phrases comme celle-ci que je passe du temps — et trop peu — à fréquenter l'In-nocence. Merci, cher Francmoineau.
Ah ben c'est Francmoineau, en même temps...
Justement, Francis : le meurtrier de Vitrolles appartenait au crime organisé, Spaggiari, non.

La source principale d'argent, pour les grands malfaisants, c'est la drogue, et ensuite, sans doute, le jeu, effectivement. L'inventeur du Barbecue dans le sens moderne se nommerait Farhid Berrhama, il aurait été très proche de Francis Vanverberghe (comme quoi ce genre de milieu est très divers). Je pense qu'une bonne partie des tirs sont en fait entre membres de ce milieu, et que si guerre des territoires il y a, c'est entre eux.

Cela étant, il faut bien que les second couteaux vivent, et les vols à main armée ont toujours été fort importants dans les Bouches-du-Rhône.
« alors qu'on a affaire de toute évidence, toute la nocence ou peu s'en faut étant de même nature et de même origine, à une guerre ethnique déjà déclarée »

La tournure de cette phrase indique clairement que la quasi totalité de la délinquance, sous toutes ses formes, a pour cause la "guerre ethnique" y mentionnée et le Grand Remplacement. Lobjection de Jean-Marc selon laquelle ce genre de phrase revient de fait à réduire ou rapporter les manifestations de violence à la seule — ou peu s'en faut — présence d'étrangers sur le territoire national ne me semble pas infondée, quelle que soit d'autre part la vérité, pour autant qu'on puisse en prendre la juste mesure, d'une telle assertion.
Un lecteur non prévenu et plutôt neutre n'apportera probablement pas à l'interprétation de ce communiqué la finesse exégétique de Didier.
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 08:59   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Je me permets d'ajouter ceci au commentaire de Didier Bourjon : les nocences induites par le Grand Remplacement ont également ceci de particulier qu'elles ne sont pas les nôtres, ni à nos yeux, ni aux leurs, ce qui, d'une part, abaisse considérablement le "niveau de tolérance" de la population à leur égard (le fait qu'un sac à main soit dérobé par un réfugié ou immigré, et non pas un "Français de souche", est une circonstance aggravante, ne serait-ce qu'en vertu des lois de l'hospitalité), et d'autre part permet dans bien des cas de faire de cette nocence un véritable instrument de conquête (cf. la conférence de Renaud Camus aux Assises contre l'islamisation).

La nocence induite par le Grand Remplacement, si elle n'est pas la totalité de la nocence pratiquée sur le territoire de la France, loin de là, est donc bien plus et bien autre chose que la "simple" nocence, et l'on ne saurait la traiter (dans les faits comme dans l'analyse) de la même manière. C'est pourquoi l'on a raison, oui, de consacrer plus de temps et d'espace à une agression commise par un Tunisien fraîchement débarqué que par une "Français de souche" : le pays est tenu de s'occuper du second, rien ne l'oblige à supporter le premier ni à en imposer les turpitudes à sa population, qui se transforme d'ailleurs petit à petit en "ses populations" sous l'effet conjugué des discours d'une partie de "l'élite intellectuelle, culturelle et politique" et des nocences des grands et petits délinquants issus de l'immigration.
(le fait qu'un sac à main soit dérobé par un réfugié ou immigré, et non pas un "Français de souche", est une circonstance aggravante, ne serait-ce qu'en vertu des lois de l'hospitalité...)

Circonstance aggravante au regard de l'opinion, sans doute, mais pour ma part je vois mal comment ce pourrait ou ce devrait l'être au regard de la loi.
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 10:16   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Oui, cher Didier, mais dans la citation de Jérôme Reybaud il est question d'"immigrés", qui après tout peuvent très bien avoir renoncé à leur nationalité d'origine pour adopter la nationalité française. Et là, on marche sur des oeufs, la "double peine" ne fonctionne pas. Je vais faire mon François Bayrou : la loi républicaine doit être la même pour tous. La "nationalité à points", alors ?
Oui, double peine pour les étrangers et expulsion (à partir de telle ou telle condamnation) et nationalité à points pour les immigrés naturalisés : cela me semble l'évidence, et je préfère marcher sur des oeufs que sur la tête.
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 10:31   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Rappelons au passage qu'insurrection à mobile ou programme ethnique et politique et trafic de stupéfiant dans le tiers monde vont ensemble comme cul et chemise, des Farc colombiens aux talibans afghans, des groupes chinois insurrectionnels en Birmanie en passant par les prochinois népalais, production et revente de narcotiques épaulent, alimentent et arment les insurrections. Sur ce plan transverse (qui n'est pas subsumable a l'avancée territoriale de l'Islam mais qui la sous-tend fort bien), Marseille et le reste de la France, pays en voie de tiersmondisation, à Etat faible et corrompu et à bride idéologique, ne présentent aucunes caractéristiques qui pourraient faire de cette ville et de ce pays une exception à cet égard.
Je suis entièrement d'accord avec ce que disent Didier et Jérôme Reybaud.
Lisez le très gauchiste "Guide du routard " . Quel premier et solennel avertissement donne-t-il à son lecteur : ne jamais choquer par sa tenue ou son comportement les habitants du pays visité ; en respecter scrupuleusement les us et coutumes. Conseil de politesse et de bon sens me direz-vous, non sans raison. Or ce qu'il y a de choquant avec ces populations nouvelles, est que, loin de respecter le peuple d'accueil comme cela est la règle depuis la nuit des temps, hormis, précisément volonté de conquête, elles se comportent ainsi qu'on ne le dit qu'avec trop de justesse, " comme en pays conquis". Et si elles se comportent de la sorte, en contradiction, encore une fois, avec les règles immémoriales et universelles de l'hospitalité, c'est que volonté de conquête il y a.
Chez les adeptes de la kalachnikov et de la revente du sachet d'héroïne, j'ai failli oublier nos chers insurgés kosovars:


[www.fromthewilderness.com]
Cher Didier, merci de vos précisions. Tout est tellement compliqué.
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 11:30   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
En disant cela, je songeais à ce film de Denys Arcand, L'Âge des ténèbres, où le personnage principal, employé dans une sous-sous-sous section provinciale du gouvernement du Québec, et chargé d'écouter toute la journée de pauvres gens lui conter leurs malheurs absurdes, personnes qu'il redirige le plus souvent vers d'autres sous-sections du même immense organisme bureaucratique, décide un jour de quitter son travail ; c'est le jour de la mort de sa mère ; il remonte la file des gens qui attendent devant son bureau et s'arrête devant quelques inconnus à qui il dit : "Nos vies sont trop complexes". C'est une phrase qui m'est restée en mémoire.
Mais pourquoi justement ne pas faire simple ?

Dans cette affaire marseillaise il y a, en gros, deux sortes de gens.

Des malfaisants, majoritairement issus de l'immigration, je veux bien l'admettre, mais pas exclusivement.

Des victimes des malfaisants, qui sont aussi bien issues de la population traditionnelle que de l'immigration, en gros des gens qui aspirent simplement à une vie paisible, une vie de famille.

Pourquoi dans ce cas ne pas prendre des mesures d'exception contre les malfaisants et laisser les autres tranquilles ?
Cachez donc cet aspect civilisationnel que je ne saurais voir. Il suffit pourtant de voir le film "Un prophète" pour bien comprendre. Avouez le Jean-Marc, c'est par pure commodité d'être politiquement correct que vous vous affirmez un désaccord. Mais alors vous ne défendez pas, et même vous accusez de racisme, ceux qui- nombreux - et qui sont au plus près de cette réalité - voient dans tous ces faits qui s'accumulent autre chose que des problèmes de délinquance. Comment mener une politique correcte en ne nommant pas les choses? Le vrai problème est d'éviter d’entériner une acceptation de la situation en participant à l'intoxication et en pratiquant l'hypnotisme d'une part, d'éviter que la marmite explose d'autre part.
Ostinato,


Le problème serait quasi-résolu si les immigrés étaient tous malfaisants : il suffirait effectivement de taper dans le tas.

Or, ce n'est pas le cas, il y a parmi eux (et parmi les descendants d'immigrés) bien des gens honnêtes et travailleurs.

Vous ne trouverez jamais une majorité de Français pour oublier cela, et vous allez à l'échec si vous ne prenez pas soin de distinguer les uns des autres.

A un hypnotisme ("Il n'y a pas de problème, ils ne posent pas de problème") correspond un autre hypnotisme ("Il y a un seul problème, tous sont problème").
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 12:39   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 13:02   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Or, ce n'est pas le cas, il y a parmi eux (et parmi les descendants d'immigrés) bien des gens honnêtes et travailleurs.

Fatigant [surtout pour Didier].
Je suis sûrement fatigant.

les immigrés (et descendants de) honnêtes et travailleurs, amoureux de l’État de droit, de la tranquillité publique, de la civilité et de la courtoisie française, de la culture de notre pays et des cultures européennes avant que d'être ouvert comme ces dernières le sont remarquablement et nativement à toute autre culture, amoureux de la démocratie politique, du droit, de la liberté, et des acquis de la modernité occidentale, fruit du labeur et des sacrifices des nombreuses générations de nos aïeux au long de quinze siècles au moins de construction patiente de ce pays pour ne prendre que l'exemple de la France, ces immigrés là : soit ils sont Français ou en passe de le devenir tout à fait, exclusivement, sans retour, et ils doivent en donner tous les gages, et en accepter toutes les conditions, et le démontrer dans la durée, et être les premiers à lutter contre les dérives communautaristes, mafieuses, "civilisationnelles" de leurs ex-compatriotes ou assimilés, sans en être si peu que ce soit complices intellectuellement, moralement, intimement, ne serait-ce qu'au détour d'une solidarité familiale, et surtout pas passivement

Je ne vois absolument pas pourquoi vous exigeriez des descendants d'immigrés plus que ce que vous exigez des Français qui ne descendent pas d'immigrés. Vous avez de la France une conception qui ne convient sans doute pas aux immigrés, mais qui est probablement odieuse à beaucoup de Français. Vous ne restaurerez pas la France contre la majorité des Français, songez-y. Vous compromettez une juste cause par l'excès, vous menacez tous ceux dont une partie de la famille vient de l'immigration, car à ces descendants vous demandez des gages, plus qu'à je ne sais qui (finalement, qui ne descend pas des immigrés, en comptant les Francs ?).

On pourrait parodier Beaumarchais :

Aux vertus qu’on exige dans un descendant d'immigré, Votre Excellence connaît-elle beaucoup de Français de souche qui fussent dignes de nous venir de l'étranger ?
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 14:23   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Que puis-je vous dire d'autre ?

Si vous prenez les Français actuels, et si vous considérez ceux qui ont au moins un grand-parent Espagnol, Italien, Portugais, Algérien, Polonais, Vietnamien vous trouverez bien du monde...

Et dans votre logique, comment considérez-vous le cas des enfants nés d'un couple immigré/français ? sont-ils descendants d'immigrés ou ne sont-ils pas comptés de la même façon ?

A partir de quelle dilution le caractère immigré disparait-il ? le faire de se nommer Ben Machin suppose-t-il qu'on doive donner des gages spécifiques jusqu'à la trentième génération ?
Que voulez-vous ? une France composée de citoyens et de métèques ? c'est cela ?

Comment faites-vous pour ne pas voir le gouffre devant lequel vous êtes ?
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 14:48   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
(finalement, qui ne descend pas des immigrés, en comptant les Francs ?).

BCJM, vous avez chaussé les très très gros sabots, là ! Ça ne vous gêne pas un peu pour marcher ?
Ecoutez, je suis peut-être un grand délirant, mais je note qu'Alain, qui ne manque pas d'intelligence, comprend le genre de phrase (ou, plutôt, la façon dont est tournée la phrase) de ce communiqué de la même façon que moi.

Pensez à ce lecteur neutre, qu'il évoque.

On n'est pas forcé de remplacer Jocelyn Bisounours par Didier Méchantours, il y a peut-être un juste milieu.
Utilisateur anonyme
30 décembre 2011, 16:29   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Voir des ours partout...


Que celui qui n'a pas ce type d'obsession me lapide de la première pierre...
Jean-Marc, je peux à la rigueur comprendre l'objet des réticences que vous formulez à l'encontre du libellé du communiqué, encore que ...
Encore que les raisons de vos réticences me déconcertent. Nous serions tous descendants d'immigrés ?
Excusez-moi, mais sauf à sombrer dans la caricature, c'est à la fois une affirmation à peu de frais, une approximation historique et un grossier raccourci.
Les grandes vagues migratoires ne sont guère antérieures en France au tournant du XIXe siècle et surtout ne sont pas de même nature que celle qui nous préoccupe davantage ici, la plus récente, la plus massive, la plus déstabilisante d'entre toutes. Sauf à remonter aux Francs saliens,certes, mais là nous sortons d'un débat raisonnable et nous nous enfonçons dans le ridicule.

Raccourci, disais-je, comparable a priori à celui qui sous la plume d'une Esther Benbassa, d'un Noël Mamère, d'une Eva Joly, de tous les idéologues à la petite semaine qui à longueur d'antenne ont la prétention de formater l'opinion, n'a pour ambition que de couper l'herbe sous le pied de ceux, heureusement encore nombreux, qui osent revendiquer une identité française historique à laquelle, contrairement aux néo-arrivants et à leurs rejetons, nos aïeux ont ardemment souhaité se rattacher. Je dis bien ardemment et au prix d'infinis sacrifices. Sacrifices ? Le mot, depuis, a fait scandale et il est devenu tabou.

Mes aïeux ? Mon père est est né au Maroc, d'un père polonais et d'une mère corse. Du côté de ma mère, les origines sont toscanes et kabyles. C'est dire ! C'est dire si je ne me reconnais pas dans le portrait du "souchien" à la Bouteldja !
Et pourtant, contrairement à ce que vous dites, mes parents, grands-parents ni moi-même ne nous sentons menacés par le programme implicite exposé par le communiqué. Pourquoi ?

Jean-Marc, ce sont bien plus que des gages que tous sans exception ont donné à la France avant que de pouvoir prétendre avoir ici "fait souche". Le premier de ces gages a consisté à apprendre la langue française, écrite et parlée, que mes grand-parents maîtrisent ou maîtrisaient parfaitement. Je leur ai toujours connu assez de délicatesse et de respect d'autrui pour parler français en présence de Français et non arabe, italien ou polonais. Qu'en est-il aujourd'hui ? Vous arrive-t-il de vous rendre à la Poste Colbert, à la CAF, à l'Hôpital nord, ou tout bêtement au Carrefour du Merlan, le plus "exotique" - et le plus fliqué - de l'Hexagone ?

Je n'ai jamais vu mes grands-parents préoccupés d'entretenir leurs racines au point de souhaiter se distinguer et ériger entre eux et les autres, leurs hôtes, la barrière de la langue, de la culture, de la religion, de l'ethnie, de la couleur de peau (le CRAN serait-il autre chose?) ou d'usages spécifiques hautement revendiqués.
Mon arrière-grand père avait renoncé à l'islam, religion dans laquelle il avait été élevé, avant de quitter l'Algérie, au lendemain de la Première Guerre mondiale. Il tenait cette religion pour archaïsante. Je ne l'ai, hélas, pas connu, et je le regrette car nous aurions probablement eu beaucoup de choses à nous dire.

Tous ont eu en commun de ne rien réclamer pour eux-mêmes qui déroge aux règles, aux lois françaises, aux coutumes régionales, aux habitudes. Tous se sont appliqués à cultiver chez leurs enfants savoir-vivre, respect d'autrui, goût du savoir, de l'effort, du travail et quelque souvenir qu'ils aient cultivé de leur passé c'est bien la culture française qu'ils transmettaient à leurs enfants.
Jamais mon grand-père adolescent ne se serait risqué à insulter un enseignant ou lui manquer de respect et un enseignant se fût-il plaint ce n'est pas lui qui aurait essuyé les récriminations des géniteurs. Au contraire il eût été soutenu et approuvé.
Mes parents m'ont inculqué les mêmes principes.

A aucun moment je ne les ai vus se comporter, eux ou mes grands-parents comme si la France était autre chose que leur pays, son histoire leur histoire et son destin le leur.

Pourtant, les discriminations, les propos blessants en référence à leurs origines, rien de tout cela ne leur a été épargné.
Je vous ferai aimablement remarquer que c'étaient des temps où n'existait aucune des lois qui protègent aujourd'hui les néo-arrivants contre racisme, avéré ou supposé, rejet et discriminations. La Halde n'existait pas alors. Et ne parlons même pas des allocations diverses et variées, des commodités, des conditions de logement, cent fois plus salubres quelques progrès qui restent à accomplir que celles dans lesquelles les brassiers italiens ou polonais ont été accueillis dans la France rurale du début de XXe siècle. Qui accepterait aujourd'hui sans plainte déposée devant le tribunal idoine ou récrimination relayée par les médias de dormir dans une étable, sur une litière de vieille paille, dans un grenier, sans eau courante, avec pour unique perspective le labeur à accomplir sans renâcler pour 3 misérables sous ?

On peut raisonnablement considérer, sans même rappeler les faits divers les plus dramatiques tels que les tueries d'Aigues-Mortes qu'eux ont subi véritablement de front xénophobie, discriminations, humiliations, bassesses et mesquineries, misère dont les "sensibles" se plaignent aujourd'hui comme si ces injustices dont ils n'expérimentent probablement pas le quart en intensité de ce qu'elles furent pour leurs prédécesseurs leur étaient réservées.

Leur demander des gages ? Oui, sans hésiter ! Et plutôt deux fois qu'une dans la mesure où le respect outrancier des différences auquel nous enjoint la doxa favorise l'entrisme d'une civilisation et d'une religion dont les valeurs sont aux antipodes des valeurs occidentales et que je vois mal comment empêcher que surviennent des dommages prévisibles.

Lorsque je vois ce qu'est devenue Marseille, une ville quasiment invivable, tant de quartiers perdus, perclus de fraudes, dominés par les barbus et les caïds, ces gages, je suis consterné que ce pays ait renoncé à en exiger de plus solides tant qu'il en était temps ! Ces gages, non seulement nous n'en avons pas réclamé assez mais c'est la France qui au piège de ses propres principes en a donnés et de sévères aux immigrants. Nous marchons sur la tête depuis plus de trente ans. Il serait temps que cela cesse.
Utilisateur anonyme
31 décembre 2011, 13:04   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Très beau plaidoyer, Monsieur Serge.
Belle maîtrise et belle expression. Merci, Monsieur Serge.
Serge,

Je vais faire court.


Je reprends votre formule :

Jean-Marc, je peux à la rigueur comprendre l'objet des réticences que vous formulez à l'encontre du libellé du communiqué, encore que ...
Encore que les raisons de vos réticences me déconcertent. Nous serions tous descendants d'immigrés ?
Excusez-moi, mais sauf à sombrer dans la caricature, c'est à la fois une affirmation à peu de frais, une approximation historique et un grossier raccourci.


Il y a, évidemment, une part de caricature (je ne vois pas comment on peut comprendre autrement l'allusion aux Francs, j'aurais pu tant que j'y étais nier l'existence du francosaure, animal préhistorique aimable et gentil, qui ne se nourrissait que de fromage et de vin).

Sur le fond, je me fiche éperduement de savoir qui est le grand-père de quelqu'un : de mon point de vue, seul le comportement de la personne qui est en face de moi a de l'intérêt. C'est d'ailleurs une tradition française que de ne pas raisonner par castes et clans.

J'en reviens à votre première phrase : pourriez-vous développer les raisons pour lesquelles vous comprenez l'objet de mes réticences, après en avoir critiqué la forme ? vous me consolerez, je plie sous le poids de la honte...
Utilisateur anonyme
31 décembre 2011, 16:31   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Travailler honnêtement, payer ses impôts, respecter la loi. Pas moins, pas plus.
Utilisateur anonyme
31 décembre 2011, 16:44   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Justement, avec les gens honnêtes, travailleurs, respectueux de la loi et qui payent leurs impôts, y a-t-il un problème ? pour moi non, et avec les malfaisants de toute origine, oui.
Utilisateur anonyme
31 décembre 2011, 16:56   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
(Message supprimé à la demande de son auteur)
"de mon point de vue, seul le comportement de la personne qui est en face de moi a de l'intérêt. C'est d'ailleurs une tradition française que de ne pas raisonner par castes et clans. "

Je n'en disconviens pas. C'est même précisément là où le bât blesse. Cette tradition est loin, très loin d'être l'héritage partagé des populations issues des pays d'Afrique sub-saharienne ou des pays d'islam.

Dans ces traditions-là, chaque jour nous apporte son lot de témoignages de ce que l'individu, a fortiori s'il est du sexe féminin, peut être sacrifié à l'honneur ou à l'intérêt du clan, de la caste, de la tribu. Ces sociétés persistent à se comporter à bien des égards comme des sociétés holistiques. Or c'est ce spectacle-ci que nous donnent à voir les quartiers, des individus submergés par des logiques de groupe qui les dépassent.

Le communiqué du PI tel qu'il est libellé trouve ici toute sa pertinence.
Cela dit, "Monsieur Serge", ça fait un peu "Madame Claude", non ? (smiley)
C'est exactement cela, c'est là que le bât blesse.

Une logique de groupe pour les malfaisants, une logique d'individus pour la tradition française.

Ces malfaisants sont, j'en conviens volontiers, fortement issus de l'immigration, mais il n'y a pas que des gens issus de l'immigration parmi les malfaisants. De même, il n'y a pas que des malfaisants parmi les gens issus de l'immigration.

Pourquoi dès lors perdre notre façon de voir et adopter celle des malfaisants, en raisonnant par groupes qu'on proclame homogènes ? pourquoi parler de guerre ethnique ?
Utilisateur anonyme
31 décembre 2011, 17:20   Re : Communiqué n° 1321 : Sur l'ultraviolence à Marseille
Citation
Jean-Marc
C'est d'ailleurs une tradition française que de ne pas raisonner par castes et clans.

...
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter