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Impact imminent ? (droit dans le mur, suite (dos au mur, fin))

Envoyé par Louis Piron 
Les alarmes sont débranchées, les voyants rouges restent allumés, tout y fait ; pendant l'été 2012, la France continue à croire qu'elle peut reconduire le monde au réel s'abstraire du réel.

LEAP 2012.06.18 GlobalEurope Anticipation Bulletin N°66 (Alerte Rouge / Crise systémique globale)












Lefigaro.fr 2012.07.11 Jean-Marc Ayrault (Plans sociaux: "des solutions")

Citation

"Dossier après dossier, nous rechercherons les solutions, à la fois économiques et sociales, parce que c'est la nécessité, c'est l'urgence et nous voulons y faire face"
.
Dans tous les cas, rien ne va plus.
Sur Radio courtoisie, en rediffusion de l'émission de l'économiste Alain Cotta, un invité (Boublil ?) disait que la crise demandait un recul de 5% du pouvoir d'achat des français, ce qui nous ramènerait au niveau de 2005. Il faisait valoir que revenir au niveau global de richesse de 2005 n'avait rien d'effrayant...
La situation de la France est particulièrement intéressante. En dépit de la conjoncture, elle emprunte, tout comme l'Allemagne ou les Etats-Unis, aux taux les plus bas de son histoire, voire à des taux négatifs à court terme. Et tant que les investisseurs continuent à percevoir la France comme un pays "sûr", tout du moins relativement à ses voisins méridionaux, cette situation peut parfaitement perdurer. Or pour un pays dont la dette dépasse désormais 90% du PIB, cette situation n'est rien de moins qu'une bénédiction et un sursis inespéré. Encore faut-il comprendre ce que signifie un sursis. Car la dangerosité de cette situation est qu'elle est susceptible de laisser croire à un gouvernement déjà largement dans le déni qu'au fond rien ne presse et surtout pas les coupes budgétaires.
Or quand le basculement s'opère, c'est-à-dire que la France rejoint aux yeux d'une majorité d'investisseurs la liste des pays dont on doute qu'ils seront jamais capables de rembourser leurs dettes, il est déjà trop tard. Une hausse même modérée des taux d'emprunts allourdit tellement le service de la dette que la plus rigoureuse des politiques de rigueur s'avère en comparaison quantité négligeable. Les exemples de la Grèce, de l'Espagne ou de l'Italie sont là pour en témoigner.
Heureusement que le changement c'est maintenant.
Utilisateur anonyme
19 juillet 2012, 11:44   Re : Impact imminent ? (droit dans le mur, suite (dos au mur, fin))
(Message supprimé à la demande de son auteur)
« On apprend grâce au Wall Street Journal que la BCE aurait conseillé aux ministres européens des finances, lors de leur dernière réunion, de faire participer les détenteurs de créances seniors au renflouement des banques espagnoles. »

Hé bé ! Mon vieux !... (Accroche ta ceinture !!)
Utilisateur anonyme
17 août 2012, 12:05   Re : Impact imminent ? (droit dans le mur, suite (dos au mur, fin))
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Le choix de l'inflation par la BCE est désastreux pour la jeunesse européenne

Je me permets de vous soumettre cet article qui m'a paru particulièrement éclairant.
Utilisateur anonyme
17 août 2012, 15:07   Re : Impact imminent ? (droit dans le mur, suite (dos au mur, fin))
(Message supprimé à la demande de son auteur)
« Grèce : l'Allemagne chiffre la sortie de l'€ » (The Financial Times Deutschland)

[www.lefigaro.fr]

« La presse française c'est 2 milliards de subventions » (Le Cri du Contribuable)


« La presse française c'est 2 milliards de subventions » (Le Cri du Contribuable)

À bien réfléchir, la presse française est devenue complètement inutile puisqu’elle se contente de reprendre les dépêches d’agence, en rajoutant des fautes de français et des rappels à l’ordre idéologiques (qui sont également des fautes, mais d’un autre ordre).

On pourrait parfaitement supprimer tous les quotidiens nationaux et mettre sur papier et en ligne le fil des dépêches AFP. L’information, la libre expression, le pluralisme des opinions n’en souffriraient absolument pas. Cela ne changerait rien.
Les Experts avec Nicolas Doze, Olivier Delamarche et deux chefs d'entreprises français, en direct de l'université du Medef (Bfm Business, vendredi 31 août 2012)

Partie 1/4 :



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Partie 3/4 :



Partie 4/4 :




Peut-on encore « sauver les meubles » ?...
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