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Communiqué n° 1453 : Sur une idée du bourgmestre de Bruxelles, M. Freddy Thielemans

Communiqué n° 1453, mercredi 10 octobre 2912
Sur une idée du bourgmestre de Bruxelles, M. Freddy Thielemans

Le parti de l’In-nocence a relevé avec intérêt, comme un signe heureux d'une lente évolution des esprits, l’idée avancée récemment par le bourgmestre de Bruxelles, M. Freddy Thielemans, selon laquelle il conviendrait d'aborder la question des limitations des naissances. M. Thielemans est depuis lors revenu sur sa demi-proposition, impressionné qu’il a été, hélas, par le tollé que bien entendu elle a soulevé chez ses camarades socialistes et de la part du complexe remplaciste dans son ensemble : selon lesquels pareille esquisse de projet risquerait de paraître faire allusion aux populations étrangères et immigrées — ce que M. Thielemans a démenti.

Le parti de l’In-nocence espère bien que M. Thielemans pensait essentiellement en effet aux populations étrangères et immigrées et voit mal comment il pourrait en aller autrement de la part du bourgmestre d'une ville où la population indigène est déjà minoritaire et où le prénom le plus fréquemment donné en 2011 est Mohammed.

Le parti de l’In-nocence, quoi qu’il en soit, approuve totalement l’idée suggérée, insuffisamment développée puis à demi retirée par M. Thielemans. Il l’approuve à deux niveaux : au regard de la population en général, dont l’augmentation incontrôlée est un désastre écologique, culturel, ontologique et civilisationnel, avec la croissance démesurée des villes, qu’elle implique, la disparition de la campagne, l'imposition de la banlieue universelle et de cortège inévitable de nocences de toute espèce ; et au regard des populations issues de la contre-colonisation, dont l’afflux incessant et le haut taux de croissance démographique assurent dans presque tous les pays d’Europe le processus précipité de changement de peuple et de civilisation.

Le parti de l’In-nocence rappelle à cette occasion qu'il est favorable pour sa part à une révision radicale et à un renversement des politiques natalistes. Il estime qu’il convient de cesser d’urgence d’encourager la mise au monde de plus de deux ou trois enfants par couple, ces politiques étant, d'une part, incompatibles avec tout effort écologique et constituant, d’autre part, un formidable levier pour le changement de peuple et pour la colonisation en cours. Les pays d’Europe sont les premiers dans l’histoire à payer des fortunes pour assurer le Grand Remplacement de leurs populations.
Citation
Il estime qu’il convient de cesser d’urgence d’encourager la mise au monde de plus de deux ou trois enfants par couple,

En valeur absolue je suis d'accord avec ce communiqué mais je me demande si le PI a réalisé que cela fait belle lurette que les De Souches ont arrêté de faire plus d'un enfant "1/2" par femme !

Ou est-ce "1 1/4" et ne me dites pas que ce taux est de 2 enfants par femme comme les chiffres officiels le prétendent.

Le nombre de couples mariés ou pas qui sont sans enfants est énorme et cet état de fait est d'ailleurs absolument unique dans toute l'histoire de l'humanité.

Dans une famille amie cinq frères et soeurs, tous mariés, ont donné naissance à un seul enfant. En fait il s'agit d'une particularité occidentale cad des peuples de race blanche.
La même semaine pratiquement, la Libre Belgique publiait pourtant une interview du Professeur Christian De Duve, prix Nobel de médecine en 1974, qui, à 95 ans, n'a pas grand-chose à craindre du complexe médiatico-politique. Il y déclare :
" En regardant le futur, je suis extrêmement inquiet sur l’avenir même du monde. C’est surtout en matière de démographie que la cécité est la plus forte. De mon vivant, la population mondiale aura quadruplé avec ce que cela signifie comme occupation des derniers recoins habitables de la planète, pollution de l’environnement et exploitation irresponsable des ressources naturelles. Les conséquences de cette explosion démographique représentent une menace terrifiante pour l’humanité. Si on ne fait rien celle-ci pourrait disparaître et pas à très longue échéance, je parle en termes de quelques siècles ou même beaucoup moins. Je suis donc ébloui par le passé que j’ai vécu et effrayé par l’avenir."
Il faudrait le recruter pour l’In-nocence, nous manquons de Prix Nobel.
La population indigène est minoritaire à Bruxelles ?
Cher Alain Eytan, je vais tenter de vous répondre même si ce n’est pas très aisé. Je pense que la plupart des lecteurs de ce forum ne connaissent pas le système institutionnel bruxellois.
Bruxelles-Capitale est une Région. Elle comprend 19 communes dont Bruxelles-ville avec un bourgmestre PS, Freddy Thielemans donc.
Les communes les plus pauvres sont socialistes (tu m’étonnes dirait mon neveu !). Si vous voulez vous donner la peine de jeter un coup d’œil sur le lien ci-dessous, vous y trouverez la répartition des différentes communes bruxelloises. Une fracture économique et sociologique Nord-Sud est très nette et elle se marque de plus en plus, les communes du Sud étant les plus vertes et les plus prospères, les moins « diverses » aussi ( les plus appréciées des ressortissants européens…).Et, contrairement à Paris, il n’y a pas ici de banlieues « sensibles », plus on s’éloigne du centre de la ville, plus on entre dans la banlieue et la grande banlieue, plus le phénomène des vertes et paisibles contrées s’intensifie.
[www.bruxelles.irisnet.be]

« Selon les dernières statistiques, la Région bruxelloise comptait 1089538 habitants, dont 30 % de nationalité étrangère, contre 6,4 % en Flandre et 9,5 % en Wallonie. 60 % de l’immigration à Bruxelles est européenne tandis que 16 % vient du Maroc et 3 % de Turquie. »
(La Libre Belgique Momento, 08/03/2012, page/bladzijde 4 Copyright IPM)
[www.ibsa.irisnet.be]

Ixelles et Uccle sont les communes les plus prisées par vos compatriotes. Ainsi que Saint-Gilles, atteinte, depuis un certain temps déjà et au désespoir des socialistes de « gentrification », ce mot qui fait horreur aux bonnes âmes. (Il est connu qu’on est censé recueillir toute la misère du monde mais lorsqu’il s’agit d’accueillir de riches étrangers, certains font la fine bouche. Mais « cours toujours » pensent tous les gens que je connais et certainement beaucoup que je ne connais pas !). Cependant, Charles Picqué, Ministre-Président du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale est un socialiste qui n’a jamais hésité à prendre dans ce domaine des décisions, disons, de droite.

« À Ixelles, un habitant sur huit est français ! »
[archives.lesoir.be]

Pour vous parler d’Uccle (que toute la France connaît sans doute à présent), « près des trois-quarts de la population d’Uccle sont de nationalité belge (73 %) et 70 % des étrangers sont issus des pays d’Europe occidentale. La présence française est particulièrement marquée, en partie en relation avec l’implantation dans la commune du Lycée français. Le profil socio-économique de ces migrants correspond assez fidèlement à celui de la population belge d’Uccle. ». Elle compte 76000 habitants, ce qui en fait la plus peuplée, dont un quart d’étrangers, très majoritairement français.
[www.cocof.irisnet.be]
Merci pour ces précisions, chère Aline. Ainsi, si j'ai bien bien compris, dans toute la Région bruxelloise, les non-indigènes d'origine extra-européenne sont encore assez largement minoritaires, mais pour ce qui concerne Bruxelles-ville même, qui concentre les populations les plus "défavorisées", il est possible que ce rapport soit en effet inversé...
les non-indigènes d'origine extra-européenne


Vous supposez donc qu'il y a des indigènes d'origine extra-européenne ?
D'après l'article indiqué supra, Jean-Marc, il y a dans la Région bruxelloise une forte proportion d'immigrés d'origine européenne ; ceux-ci étant "non-indigènes", les immigrés non-européens deviennent donc des "non-indigènes d'origine extra-européenne".
Je crois que cela répond à votre question.
Un indigène étant originaire du pays, celui d'origine extra-européenne ne peut l'être. La construction "personnes d'origine non-européenne" aurait à mon avis eu le même sens.
13 octobre 2012, 00:38   The more the merrier
Je suis bien d'accord avec vous : le "non-indigène d'origine extra-européenne" n'existe, sous cette appellation, que pour être distingué du "non-indigène européen". L'"indigène", lui, est par voie de conséquence en principe belge natif et européen.
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