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La notion de diversité amènera la guerre.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
18 avril 2010, 17:09   La notion de diversité amènera la guerre.
Avec la notion de diversité, le Blanc n'est pas (pour l'instant) considéré comme faisant partie de la diversité. Car l'on dit bien "jeune issus de la diversité" ce qui implique des jeunes qui ne sont pas issus de la diversité. On pourrait donc dire que le jeune Blanc est issu d'une non-diversité. Etant une non-diversité, il peut être perçu soit comme un fantôme, soit comme un non-humain, soit comme un trop humain, soit comme un non-divers trop divers. Le Blanc finit par être indéfinissable, voire étrange. Voilà un système soit disant contre le racisme qui invente deux groupes : les non-divers (les Blancs) et les divers (les autres ethnies).Les Blancs étant désignés comme des non-divers, comme une non-diversité, Ils seront demain les véritables boucs émissaires, car cette communauté par cette notion non exprimée de non-diversité ou de non-appartenance à la diversité est éloignée des autres communautés d'une manière radicale, leur différence avec les autres groupes est ontologique. La diversité notion floue et bizarre est adulée, la non-diversité n'est pas clairement formulé mais l'existence de son contraire la fait exister comme un fantôme. Par le débat sur l'identité nationale on sait désormais que les Blancs qui sont une non-diversité n'ont pas d'identité, pas de racines, pas de traditions, et que leur traditions ne sont pas le sel de la France. La non-diversité entraine aussi un malaise chez certains Blancs qui peuvent ressentir cela comme une non-existence, un vol non formulé de leur passé, de leur identité et de leur ancêtres. Les Noirs se sentent Africains (certains en tout cas) par amour pour leurs ancêtres. Qu'en est-il des Blancs qui aiment leur ancêtres Européens (et Blancs).
Vous ne seriez pas un peu masochiste, par hasard ?
Difficile de ne pas suivre M. Ganesha dans cette analyse: ce défaut de diversité du Blanc, est un défaut de densité. La créature fantômatique, souffre-t-elle une autre définition que ce défaut de densité et de lien de corporalité entre son corps et le sol qui, plutôt que de la soutenir et la porter, ne fait que l'accompagner dans l'errance et trahir son décollement ? Aucun lien de fierté entre ce corps nébuleux et son sol, et voilà le fantôme se faisant grand transparent (les grands transparents des premiers surréalistes, si bien analysés en son temps par Michel Carrouges dans André Breton et les données fondamentales du surréalisme).

Etre un non-divers, c'est être aujourd'hui un sans-corps, un sans-densité, une notion, un fourre-tout, une coque désertée, un point sans ancrage, une virgule flottante dont la traîne basse caresse le réel sans y laisser de sillon, un bolossé d'avance.
Moi, c'est le contraire : je suis sorti de l'uniformité...
Utilisateur anonyme
18 avril 2010, 18:12   Re : La notion de diversité amènera la guerre.
Ce n'est pas de l'uniformité que je veux sortir,je ne sais meme pas ou elle se trouve.Ce que je dénonce c'est une mise à l'index des Blancs, leur quasi disparition symbolique.La disparition des Blancs en tant que groupe social et culturel ayant une histoire d'une richesse phénoménale ( littérature,musique classique,peinture,opéra,christianisme,philosophie etc...) .
La formulation de ce qu'exprime Ganesha peut paraître par certains aspects exagérée mais force est de reconnaître qu'il met le doigt sur quelque chose d'intéressant.

Analysons un peu plus le tour de passe-passe sémantique produit par la novlangue de l'antiracisme. Le terme de "diversité", est toujours employé de façon impropre : il s'agit d'un terme qui qualifie la nature d'un ensemble d'éléments et non certains éléments de cet ensemble, or il est toujours employé dans cette dernière acception incorrecte lorsqu'on parle de "personne issue de la diversité" pour désigner exclusivement les personnes d'origine non-européenne. Puisque la population est diversifiée, chaque individu est membre de la diversité, et pas seulement ceux appartenant aux minorités. L'usage actuel du terme est aussi ridicule que si on qualifiait les femmes de "membres de la mixité".
On voit bien, comme le montrait Orwell, que l'idéologie passe par la perversion du langage...

On notera également que le discours antiraciste et métissolâtre que l'on entend à peut près partout n'envisage absolument pas que les différents groupes qu'il considère soient soumis aux mêmes obligations tacitement évoquées. Au peuple d'"origine", on tend de plus en plus à nier l'existence : d'abord par les mots (ceux qui parlent de "diversité" pour qualifier les minorités n'ont pas d'équivalent pour les non-membres de cette "diversité", et les termes de "Blancs" "Gaulois", etc. ont tendance à être considérés comme étant politiquement incorrects), par des assertions ("il n'y a pas de peuple français, il n'y a qu'une France du métissage" (Besson), etc.), par une déconstruction de tout ce qui pourrait constituer un semblant d'héritage enraciné ("Nous sommes tous des enfants d'immigrés." (slogan antiraciste bien connu)). Quand aux nouveaux venus, ils sont constament valorisés : ("L'immigration est la chance de la France" (Bernard Stasi), etc.). On vente jusqu'à plus soif les identités "multiples", "plurielles", comme si le simple fait d'être "multiple" était supérieur. On dit que les gens issus de l'immigration sont la "France d'aujourd'hui", "la jeunesse d'aujourd'hui", (et Dieu sait si la langue du progressisme, qui abhorre tout ce qui est "ancien", donne de la valeur à tout ce qui est perçu comme nouveau, indépendamment de son caractère bénéfique ou non).
Les membres de la "diversité" sont encouragés à se regrouper en différents groupes (CRAN, CFCM, etc.) et à revendiquer les différences tandis que ce même droit est expressément interdit aux "souchiens", car cela serait vu comme du racisme, du lepénisme ou de l'exclusion.

Alors que la politique assimilationnisme de la France glorifiait le passé national, l'amour de la France et préconisait la culture française pour que les immigrés s'en imprègnent et puissent ainsi devenir des Français ne se distinguant pas des autres, l'idéologie antiraciste, au contraire, considère que toute référence à la nation ou un passé commun est forcément excluant et discriminatoire pour les immigrés (voir le débat sur l'identité nationnale, forcément vu comme "nauséabond"). Il ne s'agit plus que les immigrés s'intègrent à la France, mais que la France intègre leurs cultures. Pour ce faire, il faut donc dépouiller la France et les Français de tout leur caractère français et ce, en utilisant la novlangue comme décrite ci-dessus (sans oublier de présenter tout cela comme étant "inéluctable", "souhaitable", "tourné vers l'avenir", etc.) afin de décourager le peuple et de déconstruire l'identité française. Purgée ainsi de tout caractère culturel un peu trop français, la France n'est plus qu'un réceptacle pour les autres cultures, une auberge espagnole ou chacun apporte son plat et le mange dans son coin. On passé ainsi d'un modèle assimilassioniste à un modèle multicultulariste et commnautariste. Les résultats seront dévastateurs : perte de tout sentiment d'identité nationale et donc perte de cohérence de la nation, recul de la culture française, impossibilité pour les immigrés de s'insérer correctement, troubles intercommunautaires, apparitions de revendications identitaires, etc. Les pays du Nord de l'Europe (Angleterre, Pays-Bas, Suède, Danemark) ont institué légalement le communautarisme (contrairement à la France qui reste, de ce point de vue-là, officiellement sur une politique d'intégration bien que les discours tendent vers le multiculturalisme comme je l'ai montré précédemment) et on commence déjà à voir les désastreux résultats...
Utilisateur anonyme
18 avril 2010, 18:50   Re : La notion de diversité amènera la guerre.
Le communautarisme était sans doute voulu,car cela permettra réellement l'émergence d'une Europe sans frontière.De l'Ancien Monde (une Europe des Nations ) ont passera à une "Amérique bis",mais sans la joie qu'on connu les Américains en revant d'une terre nouvelle.Les derniers Blancs avec une conscience verront la disparition des différentes Nations européennes avec effroi.Peut-etre meme aura-t-on un jour le droit au plus grand massacre de Blancs par des populations non-blanches assoiffées de vengeance et de "justice".
18 avril 2010, 19:01   Modèle blanc
Dans le même temps, bien cher Ganesha, comment expliquer que le modèle "blanc occidental" s'impose de plus en plus au reste du monde ?

Prenez nos "jeunes" : ils ne se drapent pas de vêtements ethniques, mais portent de fort coûteux vêtements occidentaux.

Il me semble que la diversité (au sens de pays ayant des "allures" diverses) recule très fortement, et que le modèle, c'est le nôtre.
Mais enfin, va-t-on nous démontrer que le terme de "diversité" est un trompe-la-langue ? N'est-ce pas une cause entendue ?
La situation actuelle ne laisse à mon avis pas présager une évolution à l'Américaine. En effet, aux Etat-Unis, contrairement à ce qui se passe dans les pays multicultularistes Europe, le sentiment national n'a pas peur de s'affirmer et est valorisé, ce qui est très important car cela maintient la cohésion de la nation. Car si les Etats-Unis sont communautaristes, les différentes communautés se reconnaissent toutes dans le drapeau, contrairement à ce qui se passe en France où l'exaltation du sentiment national est mal vu et découragé car assimilé à du fachisme. C'est, entre autres, ce qui explique pourquoi les "jeunes des cités" rejettent la République, chose qui ne serait pas possible aux Etats-Unis (les violences ne seraient pas dirigées contre l'Etat). Il faut dire également que le système américain encourage les individus à se prendre en charge (et donc à s'intégrer), contrairement aux pays progressistes d'Europe qui misent sur l'état providence, qui n'incite pas l'individu à faire l'effort de s'intégrer mais au contraire s'adapte à lui.
Quand au "massacre", je n'y crois pas du tout (ne sombrons pas dans la paranoïa primaire) : au pire nous aurons une évolution de type "Afrique du Sud", avec une explosion de la criminalité (ça en prend déjà le chemin) et une fuite progressive des Blancs vers des cieux plus cléments.
Utilisateur anonyme
18 avril 2010, 19:25   Re : La notion de diversité amènera la guerre.
Fuite ou massacre des Blancs quelle importance.( le résultat est une disparition d'une civisation ).Si les americains ont un sentiment d'appartenance cela tient au fait qu'ils ont toujours le sentiment d'avoir des ennemis d'autant plus que c'est un pays "viril" contrairement aux pays européen que l'on a dévirilisés pour qu'ils ne fassent pas d'ombre au Grand Sam". (D'autant plus que les guerres qu'ils font sans cesse participent à ce sentiment national.......Mais à la première crise économique vraiment radicale,tout cela s'éffondrera et les groupes éthniques se sépareront. ) Quant au vetements occidentaux quand on voit comment s'habillent les rappeurs , il est difficile d'appeler cela une esthétique européenne (ou meme une esthétique tout court )..Cela fait longtemps que nous sommes le golem des Etats-unis.
Auriez-vous, bien cher Ganesha, des lumières sur la relation des maghrébins aux africains sub-sahariens ?
Utilisateur anonyme
18 avril 2010, 19:44   Re : La notion de diversité amènera la guerre.
Je ne pense pas croire savoir exactement ce qui se passe en France ,mais je pense que dans certaines banlieues la solidarités entre certaines ethnies se fait sur le dos des Blancs.Cela ne veut pas dire que se soit le cas dans toute la France.Mais "sos racisme" et autres associations ont bien attisé les mémoires pleines de haine et de vengeance.L'avenir ne présage rien de bon.Car meme s'ils ne connaissent pas exactement ce qui c'est passé pendant la colonisation ,un nombre important de ces jeunes issus de l'immigration construisent leur personnalité autour de ce ressentiment envers la France.Cela leur permet de vivre un collectif ( sur le dos de la tranquillité des français).
Bien cher Gilgamesh,

Je veux bien croire qu'il y ait certaines bandes mixtes (qui regroupent d'ailleurs "de souches", maghrébins et noirs), mais il ne me semble pas qu'en Afrique du nord on soit très ouvert aux sub-sahariens.
18 avril 2010, 21:36   Re : Solidarités ethniques
Je pense, hélas, que Ganesha a raison. Je crois l'avoir déjà écrit sur ce forum : il se pourrait bien que les horreurs commises, hier, au nom du racisme se commettent demain au nom de l'antiracisme et de son avatar " Diversité " . Selon la nouvelle vulgate l'humanité est à la fois diverse et Une. Elle ne connaît pas de races sauf une, mais maudite, celle des blancs. Un quatrième reich planétaire semble vouloir se préparer contre eux et cette fois personne ne volera au secours de ces nouveaux parias et ils ne trouveront refuge nulle part.
Oui je sais, j'y vais un peu fort, mais dans toute vieille Corse qui se respecte il y a une Cassandre radoteusequi sommeille)
19 avril 2010, 05:01   Paralogismes
Un "divers" n'est jamais tel que par rapport à ce qui a forme comme même, de ce fait érigé en point de référence.
Hors de celle-ci, en l'absence de celle-ci, tout divers ne veut strictement plus rien dire.
Le sens même du divers lui est garanti par l'identification toujours possible du même, et donc par son existence pérenne.
19 avril 2010, 07:19   Re : Paralogismes
Vous... êtes sûr ?
19 avril 2010, 07:52   Un peu d'espaces !
Quel dommage que M. Ganesha ignore l'espace, ce souffle typographique de tout texte... Vous savez, après les virgules ? Après les points, etc. ? D'un autre côté ses textes sont trop intéressants pour qu'on les supprime, malgré le défi qu'ils lancent aux règles de ce forum. Sommes-nous censés les aérer nous-mêmes ?
Utilisateur anonyme
19 avril 2010, 08:21   Re : Un peu d'espaces !
(Message supprimé à la demande de son auteur)
19 avril 2010, 08:29   Re : Paralogismes
[quote="Bernard Lombar
Vous... êtes sûr ?[/quote]

Qu'il n'y ait de différence que par rapport à quoi l'on diffère ? Plutôt...
Utilisateur anonyme
19 avril 2010, 08:34   Re : Paralogismes
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
19 avril 2010, 08:47   Re : La notion de diversité amènera la guerre.
Je ne suis pas vexé car je réalisais que mes textes étaient"étouffant"; mais de la conscience à l'action il y a parfois une marge ( chez moi ). D'autant plus que je ne suis pas un spécialiste de l'ordinateur. Je ne sais toujours pas utiliser l'accent circonflexe (avec le clavier ). Je ferai des éfforts à l'avenir. ( Je vais étudier les règles de la ponctuation.)
Ce qui me semble le plus urgent :
- pas d'espace après la parenthèse ouvrante, ni avant la parenthèse fermante ;
- pas d'espace après les guillemets anglais ouvrants ("), ni avant les fermants ;
- espace, en revanche, après les guillemets français ouvrants («), et avant les fermants ; ces guillemets doivent être préférés, les guillemets anglais servant en second ordre ;
- espace avant les ponctuations hautes (; : ? !), la ponctuation française différant ici de l'anglaise.
Oubliez pour l'instant les "insécables", "fines" et "justifiantes", ce sera pour une autre fois.
19 avril 2010, 09:57   Re : Paralogismes
Certes, mais vous parliez de "divers"...
19 avril 2010, 10:52   Re : Un peu d'espaces !
On pourrait aussi rappeler à l'ensemble les différentes combinaisons que nous imposent nos maudits claviers pour obtenir de superbes capitales accentuées !
19 avril 2010, 11:26   Espaces
Bien cher Bernard,


Ne pourrait-on se contenter d'une règle minimale, qui assurerait une présentation homogène et a priori plaisante à l'oeil ?

Je veux dire par là que l'usage général de l'espace simple (en un mot la large touche du clavier) en lieu et place de toutes les espaces (« insécables », « fines »,... ) me semblerait, à première vue, satisfaisant (je ne perçois pas bien, sur un écran, les différences entre espaces).

Par ailleurs, et comme nous le dit Gilgamesh, un « sticky » sur la ponctuation et l'orthotypographie serait utile.
19 avril 2010, 11:35   Re : Espaces
Les « fines » et « proportionnelles » n'ont pas cours ici (il faut un traitement de texte ou un logiciel de composition, et non l'outil rudimentaire fourni par le programme Phorum). Les « insécables », en revanche, permettent de ne pas avoir une ponctuation haute ou un guillemet solitaire en début de ligne (puisque les lignes sont agencées automatiquement par le navigateur, selon la taille de la fenêtre, la définiton de l'écran, la police par défaut, etc.)
19 avril 2010, 11:47   Re : Espaces
Microsoft Word lui-même ne respecte pas la féminité du mot "espace" en typo...
Utilisateur anonyme
24 avril 2010, 00:22   Re : La notion de diversité amènera la guerre.
Citation
Ganesha
Ce n'est pas de l'uniformité que je veux sortir,je ne sais meme pas ou elle se trouve.Ce que je dénonce c'est une mise à l'index des Blancs, leur quasi disparition symbolique.La disparition des Blancs en tant que groupe social et culturel ayant une histoire d'une richesse phénoménale ( littérature,musique classique,peinture,opéra,christianisme,philosophie etc...) .

le blanc , tout comme SA musique classique ,qui elle a bien disparue ;
que reste t-il de nos jours des sentiments que transporte cette musique , qui n'a nullement besoin de paroles pour exister ?( toutes glose est opaque ) disait Simone Weil en décrivant Mozart !
cette musique typiquement Européenne et depuis le moyen âge ,vat trop profondément au coeur de l'äme ,il semble que même nos contemporains blanchiens n'osent plus ouvrir leur coeurs de peur d'y découvrir des sentiments cachés , est ce timidité ou paresse , allez " laissez moi rire " ce n'est pas les cpe qui vont écouter pleurer leur Khalsom et encore moins Mozart , et pourtant Igor pourrai bien aussi faire une bonne base de rap .
J'ai connu dans ma vie toutes sortes de gens : communistes , écologistes , sciento logistes , témoins de quoi ? , homosexuel , oenologues, numismates, mycologues, astronomes ...mais de mélomanes trés peu et j'ai pourtant commencé à 12 ans , mais il y a une chose que je n'ai pas encore essayer ....vas savoir peut être qu'un jour ou une nuit ???
24 avril 2010, 00:43   Aria
"(...) mais de mélomanes trés peu (...)"

Pemettez-moi de vous dire que vous n'avez pas choisi la facilité avec l'ambition de rencontrer beaucoup de mélomanes. A mon avis, l'espèce n'a jamais été très répandue, elle a pu se raréfier. La musique sert beaucoup de maîtres parce que tout le monde est équipé d'une paire d'oreilles sans paupières, comme le rappelle Pascal Quignard. Le son n'a aucun mal à se frayer un passage ; la musique à ses facilités et d'abord la danse, l'envie de danser, bien commode et irrésistible, que la musique sait communiquer. On aura eu pas mal envie de danser au XXème siècle. La musique, et je prends le mot au sens strict de combinaisons de sons, se prête volontiers à la ritournelle, ce qui n'a pas échappé longtemps à la radio. Tout cela a pu, en effet, diminuer la quantité, déjà réduite par nature, des mélomanes.
Utilisateur anonyme
24 avril 2010, 07:25   Re : Aria
(Message supprimé à la demande de son auteur)
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