Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 1604 : Sur la prétendue “montée de l’islamophobie”

Communiqué n° 1604, mardi 9 juillet 2013
Sur la prétendue “montée de l’islamophobie”

Le parti de l’In-nocence, à l’heure où dans une France en voie d’islamisation précipitée l’entrée en ramadan commence à constituer une grande date de l'année sociale et politique, observe le crescendo médiatique du thème de la “montée de l’islamophobie”, présentée même sans rire, ici et là, suivant le modèle avancé naguère par M. Alain Juppé, et prolongé récemment par Jean-Louis Bianco, comme le plus grave danger auquel soient soumis notre nation et notre peuple.

Le parti de l’In-nocence estime bien possible, certes, que l’accablement, l’exaspération, la désolation, le chagrin patriotique, la fureur, même, face à la conquête coloniale en cours, poussent certains de nos compatriotes à des gestes regrettables, contraires éventuellement à l’in-nocence, ce qui ne saurait qu’être condamné. Mais il juge profondément dérisoire, et insultant pour l’intelligence des Français, et pour leur souffrance, de monter en épingle artificiellement les manifestations éparses et souvent bien hypothétiques de l’islamophobie alors que c’est aux tenants de l’islam — sinon comme religion du moins en tant que civilisation et forme de la vie sociale — qu’est attribuable la plus grande part, et de très loin, de la nocence perpétrée dans notre pays, ces agressions petites et grandes dont les médias parlent fort peu, en revanche, et qu’ils se gardent bien d’attribuer à une “communauté” plutôt qu’une autre.
En tout cas, sur le quatrième pilier tel qu'il est respecté en France, aucune information ne nous sera épargnée: Imbroglio sur la date du début du ramadan en France

L'islamisation c'est aussi l'imposition de connaissances et d'une actualité dont, légitimement, on (les Français) devrait n'avoir cure. Ce matraquage est exaspérant.
Citation
Pierre Jean Comolli
En tout cas, sur le quatrième pilier tel qu'il est respecté en France, aucune information ne nous sera épargnée: Imbroglio sur la date du début du ramadan en France

L'islamisation c'est aussi l'imposition de connaissances et d'une actualité dont, légitimement, on (les Français) devrait n'avoir cure. Ce matraquage est exaspérant.

L'avenir, c'est les enfants et les enfants sont musulmans ....

Je me permets de suggérer un communiqué du secrétariat général qui nous expliquera comment le parti de l'innocence compte mettre en oeuvre l'injonction contenue dans l'ultime phrase de l'hommage de Renaud Camus à Dominique Venner :
"Eh bien il faut renverser ce renversement, ne serait-ce que pour arrêter au milieu, un moment, le balancier désaxé de l’histoire"
Oh, eh, on ne va peut-être pas recommencer, chaque fois, à zéro. Que les nouveaux venus se renseignent un peu, avant de lancer des injonctions. Qu'ils s’adaptent aux mœurs du pays, avant de vouloir imposer les leurs.
Moi ce qui m'inquiète, c'est la montée de l'islamophilie. La propagande devient incessante même dans les beaux quartiers. Ce matin, les murs de la station du RER "Luxembourg" étaient couverts de grandes affiches du musée de l'immigration, tandis que d'autres de la chaine de magasin Leclerc célébraient le ramadan.




Mais qu'en pense notre ami Georges ? [george-s-fuly.blogspot.fr]
Citation
Pierre Jean Comolli
En tout cas, sur le quatrième pilier tel qu'il est respecté en France, aucune information ne nous sera épargnée: Imbroglio sur la date du début du ramadan en France

L'islamisation c'est aussi l'imposition de connaissances et d'une actualité dont, légitimement, on (les Français) devrait n'avoir cure. Ce matraquage est exaspérant.

Oh que oui ! Que nous importe leur lune et leurs problèmes astronomico-jeûnaire ! Au demeurant, la situation est même cocasse et comme nous sommes en France, cette situation, cette petite péripétie devrait engendrer non pas des articles au ton concerné dans un quotidien mais un texte ironique, fin, mordant et drôle dans la tradition voltairienne.
Citation
Michel Le Floch
Moi ce qui m'inquiète, c'est la montée de l'islamophilie. La propagande devient incessante même dans les beaux quartiers. Ce matin, les murs de la station du RER "Luxembourg" étaient couverts de grandes affiches du musée de l'immigration, tandis que d'autres de la chaine de magasin Leclerc célébraient le ramadan.




Mais qu'en pense notre ami Georges ? [george-s-fuly.blogspot.fr]

A qui s'adresse ce slogan ? A qui appartient ce "nos" ? Ce slogan est parfaitement discriminatoire ! Il exclut toute une partie de la population dont les ancêtres étaient Gaulois, Francs et comment oublier les descendants de ces légionnaires qui contribuèrent à la romanisation de la Gaule ?
Nos ancêtres ne sont pas des Maghrébins. Soit dit en passant, le couscous n'est pas une trouvaille magrébine mais gauloise, acclimatée dans les colonies romaines d' Afrique par les soldats de Rome.

En un mot, il s'agit, en effet, de matraquage et de propagande. Il faut conditionner les esprits, habituer les gens au Grand Remplacement.
N'oublions pas la parole d'Aurélie Filipetti, "la lutte contre le FN passe par la culture". Il ne s'agit évidemment pas de crédits pour la Comédie Française mais d'entretenir tous ces pseudos artistes, toutes ces associations cultureuses qui ne vivent que des donations de l'Etat et, en contrepartie, se font un devoir de propager la bonne parole remplaciste.

Je l'ai déjà écrit, c'est une forme de totalitarisme post-démocratique et mou. Le pouvoir ne prend pas les esprits de face, il les endort en promouvant un discours univoque, appremment niais et soporifique, mensonger mais omniprésent.
Il semblerait toutefois au vu des sondages que cette propagande patine. Et plus elle devient envahissante et moins elle convainct.
Citation
Cassandre
Il semblerait toutefois au vu des sondages que cette propagande patine. Et plus elle devient envahissante et moins elle convainct.

Chère Cassandre, il faut dire qu'elle est lassante, en plus d'être laide ! En outre, hormis les gourous de Terra Nova et les immigrés qui ont flairé dans ce terreau du Grand Remplacement d'excellentes opportunités pour faire leur trou (et tenter de creuser notre tombe !), cette propagande lourdingue ne peut gommer les faits, têtus comme chacun sait, qui démentent ce discours.
Chaque beurrette vulgarissime, chaque fatma voilée, chaque jeune arabe bruyant et grossier, chaque mama africaine poussant son quintal et sa marmaille sont autant de militants pour le FN qui s'ignorent.

Et ils sont nombreux !
Un article intéressant de la Pravda sur les musulmans qui ne jeûnent pas :
[www.lemonde.fr]

Extrait choisi :
Dans sa famille, seul son père, qui "fume et boit", ne fait pas le ramadan. "Lorsqu'il vivait en Kabylie, c'était très ouvert, pas comme maintenant où tout le monde fait le ramadan, note-t-elle. Il pratique la religion musulmane à sa manière." Un modèle paternel qui l'a aidée à assumer son choix. "A Paris, où j'ai vécu pendant dix ans, c'était plus compliqué d'être différente, car tout le monde fait le ramadan", souligne-t-elle. Aujourd'hui, la jeune femme vit à Poitiers, dans un environnement où elle se sent plus libre d'"affirmer son refus".
Citation
Michel Le Floch
Un article intéressant de la Pravda sur les musulmans qui ne jeûnent pas :
[www.lemonde.fr]

Extrait choisi :
Dans sa famille, seul son père, qui "fume et boit", ne fait pas le ramadan. "Lorsqu'il vivait en Kabylie, c'était très ouvert, pas comme maintenant où tout le monde fait le ramadan, note-t-elle. Il pratique la religion musulmane à sa manière." Un modèle paternel qui l'a aidée à assumer son choix. "A Paris, où j'ai vécu pendant dix ans, c'était plus compliqué d'être différente, car tout le monde fait le ramadan", souligne-t-elle. Aujourd'hui, la jeune femme vit à Poitiers, dans un environnement où elle se sent plus libre d'"affirmer son refus".

Je leur souhaite d'avoir témoigné sous couvert d'anonymat... Sinon, ils pourraient très vite avoir des ennuis avec l'un de ces frappadingues - imam de quartier ou islamo-racaille cherchant à se passer les nerfs sur quelqu'un - ne jurant que par les méthodes saoudiennes.
N'oublions pas la parole d'Aurélie Filipetti, "la lutte contre le FN passe par la culture".

Petit rappel, pour les nouveaux :

Le temps des copains: la ministre de la Culture a été nommée. Le ministère de la Culture, ne nous voilons pas la face, depuis Malraux, a toujours été un ministère de la propagande du Régime, c'est la vitrine de ce que le Régime veut de nous en même temps que le haut-parleur mieux disant ce que le Régime veut que nous pensions de lui. Soit une caricature en mots et en images du Régime rendu à son essence, absolument dénudé. Ecoutons et regardons la dame qui va occuper ce poste... et ne nous leurrons surtout pas: tout ce quelle dit, représente, affirme, projette, invoque et met à l'index, c'est la volonté profonde, metaphysique, programmatique, du pouvoir nouveau, de la nation nouvelle et du peuple neuf à l'oeuvre dans sa construction comme un bloc en sculpture chez les démiurges de l'après-France.

Je redécouvre ce fil de discussion du Forum, au moment de la nomination du gouvernement Hollande, terriblement prémonitoire, s'agissant de Cahuzac, notamment :

I C I
L'anonymat,en ces matières, va de soi. C'est d'ailleurs précisé dans l'article.
De la déclaration de la jeune femme que je cite, on pourrait tirer un joli slogan, qui ferait le bonheur des communiquants de Delanoé : "A Paris, tout le monde fait le ramadan"
Citation
Renaud Camus
Oh, eh, on ne va peut-être pas recommencer, chaque fois, à zéro. Que les nouveaux venus se renseignent un peu, avant de lancer des injonctions. Qu'ils s’adaptent aux mœurs du pays, avant de vouloir imposer les leurs.

Le nouveau venu est attiré par l'enseigne sur la boutique, et favorablement impressionné par l’atmosphère qui y règne. Après avoir lu les dépliants disposés à cet effet sur le comptoir, il pose des questions un peu directes aux vendeurs sur le produit, et quand le patron en personne s'en offusque, il lui repose la seule question qui le taraude : comment renverser ce grand remplacement, de la manière la plus innocente, dans la réalité ?
Citation
Gilles Barrique
Citation
Renaud Camus
Oh, eh, on ne va peut-être pas recommencer, chaque fois, à zéro. Que les nouveaux venus se renseignent un peu, avant de lancer des injonctions. Qu'ils s’adaptent aux mœurs du pays, avant de vouloir imposer les leurs.
Les nouveaux venus sont attirés par l'enseigne sur la boutique, et favorablement impressionnés par l’atmosphère qui y règne. Après avoir lu les dépliants disposés à cet effet sur le comptoir, ils posent des questions un peu directes aux vendeurs sur le produit, et quand le patron en personne s'en offusque, il lui repose la seule question qui le taraude : comment renverser ce grand remplacement, de la manière la plus innocente, dans la réalité ?

Chaque fois que l'occasion en est possible, c'est à dire chaque fois qu'une personne livre la vulgate remplaciste, lui répondre sans chercher la polémique, en demeurant calme et mesuré que nous avons des valeurs autres, en les rappelant et en soulignant à quel point elles s'opposent à celles des remplacistes.
Certes, pour les remplacistes fervents, cela sera sans effet mais les personnes qui pressentent que le discours remplaciste les prend pour des imbéciles, sans savoir comment le formuler, ce sera, peut-être, une façon de les accompagner dans leur prise de conscience et de leur faire comprendre que si le discours remplaciste est représenté dans les médias, il n'a pas conquis tous les esprits.
10 juillet 2013, 20:47   Montbéliard sur semoule
» Soit dit en passant, le couscous n'est pas une trouvaille magrébine mais gauloise, acclimatée dans les colonies romaines d' Afrique par les soldats de Rome

Je l'ignorais (je croyais que l'origine en était berbère); cela ferait une belle enseigne de gargote, tiens, très dans l'air du temps : Au Couscous gaulois
Voire : Au Gaulois qui pédale dans la semoule
Citation
Véra Giorda
Chaque fois que l'occasion en est possible, c'est à dire chaque fois qu'une personne livre la vulgate remplaciste, lui répondre sans chercher la polémique, en demeurant calme et mesuré que nous avons des valeurs autres, en les rappelant et en soulignant à quel point elles s'opposent à celles des remplacistes.
Certes, pour les remplacistes fervents, cela sera sans effet mais les personnes qui pressentent que le discours remplaciste les prend pour des imbéciles, sans savoir comment le formuler, ce sera, peut-être, une façon de les accompagner dans leur prise de conscience et de leur faire comprendre que si le discours remplaciste est représenté dans les médias, il n'a pas conquis tous les esprits.

Donc, si je me permets de vous résumer : notre réaction contre le grand remplacement devrait être un discours sur la nocivité du grand remplacement.

Si c'est cela, je ne m'étonne plus de certaines réactions. Car pour ce qui est de moi, il m'a fallu 30 secondes et une simple poignée de chiffres pour basculer de l'indifférence absolue à l'effroi - le Ciel qui tombe sur la tête ..... Mais je ne suis sorti de l’abattement consécutif qu'en envisageant les solutions, et en me proposant d'en discuter ...
Et en me promettant par ailleurs, par expérience de ma propre prise de conscience, de ne jamais parler du problème à celui qui ne le connaissait pas sans parler de la solution le plus franchement possible. Car le contraire est psychologiquement indéfendable, si ce n'est objectivement cruel.

Mon intuition, confirmée par certaines réactions, est celle-ci : parmi les gens qui nient le grand remplacement, certains le font parce qu'il n'existe pas, selon eux, de manière de s'en sortir décemment. Et telle était bien d'ailleurs la raison de mon propre abattement originel. Est-ce que je me trompe ? Est-ce simplement un biais personnel et marginal ?
Il y a de ça. La difficulté, pour moi, est que je ne vois pas de solution concrète, la seule possible étant de freiner l'immigration : elle est en effet insuffisante si le but est de revenir en arrière.

Dans la pratique, je ne suis pas un adepte du vivre ensemble mais je fais le choix du faire avec.
Donc, si je me permets de vous résumer : notre réaction contre le grand remplacement devrait être un discours sur la nocivité du grand remplacement.

Si c'est cela, je ne m'étonne plus de certaines réactions. Car pour ce qui est de moi, il m'a fallu 30 secondes et une simple poignée de chiffres pour basculer de l'indifférence absolue à l'effroi - le Ciel qui tombe sur la tête ..... Mais je ne suis sorti de l’abattement consécutif qu'en envisageant les solutions, et en me proposant d'en discuter ...
Et en me promettant par ailleurs, par expérience de ma propre prise de conscience, de ne jamais parler du problème à celui qui ne le connaissait pas sans parler de la solution le plus franchement possible. Car le contraire est psychologiquement indéfendable, si ce n'est objectivement cruel.

Cher Gilles, dans la mesure où la doxa ambiante est remplaciste, je crois qu'à ce discours, il faut opposer un autre discours afin d'éveiller les consciences. Les marges de manoeuvre sont faibles. Cependant, les Français, peu à peu, deviennent moins dupes du Grand Remplacement.
Nous sommes encore majoritaires. La jeunesse européenne est de moins en faveur du remplacisme. Voyez la Suède ou l'Italie. Les scores de Marine Le Pen donnent de l'espoir.
Quelle autre solution avons-nous qu'attendre les élections pour "envoyer un signal" comme disent les médias aux politiques ?

Enfin, la crise, la récession de l'Etat Providence peuvent mener les migrants à partir. C'est déjà le cas en Espagne. Regardez le choix du gouvernement néerlandais en matière d'aides sociales.

Le problème de la France, c'est que ce pays semble particulièrement intoxiqué par la culpabilité post-coloniale, hélas !
Dans la pratique, je ne suis pas un adepte du vivre ensemble mais je fais le choix du faire avec.

Comme l'écrivait Graham Greene, c'est bien là le coeur du problème : quel choix doivent faire ceux qui n'ont pas le choix ?

Si, vous disposez de ce choix, alors ce n'est plus un choix collectif, un choix qui s'offrirait à la collectivité nationale et qui représenterait un choix politique pour la nation, une voie programmatique pour son avenir; ce choix que vous dites vôtre n'est qu'un privilège individuel dont jouissent encore un grand nombre d'individus en France, certes, mais plus pour longtemps.
Le Grand remplacement s'adosse à une idéologie, qui, en fait, est l'héritière en quasi-ligne directe du communisme tiers-mondiste. On voit les mêmes acteurs et les mêmes réseaux (cathos de gauche etc.).
Donc, hypothèse de travail : user de la stratégie qui a vaincu le communisme avec l'idéologie du GR (par ex. soutenir des dissidents, qui, de l'interne, détruiront le système). C'est ce point qui n'est pas très abordé.
La question des "mesures concrètes" me semble erronée : les chars soviétiques, une fois l'idéologie communiste déconstruite, n'ont pas déferlé.
« Donc, si je me permets de vous résumer : notre réaction contre le grand remplacement devrait être un discours sur la nocivité du grand remplacement. »

Non, ce résumé n'est pas adéquat — il est juste, mais très insuffisant. Je suis désolé, je n’ai pas le temps de vous répondre, ni de repartir chaque fois da capo. Lisez les communiqués du parti. Lisez, si je puis me permettre, mes discours et mes livres, Le Grand Remplacement, Le Changement de peuple. Je vais essayer de vous trouver la contribution récente, que je trouve intéressante, du jeune identitaire Damien de Saint-Exupéry. Mais surtout il faut gagner en force, pour avoir le pouvoir de faire entendre notre voix et d’influer sur la loi, même avant toute prise de pouvoir. Il faut se montrer, il faut s’afficher, il faut se déclarer, il fait rejoindre les formations existantes, au premier rang desquelles le PI, qui sont disposées à lutter contre le changement de peuple et qui le pourraient d‘autant mieux qu’elles s’exprimeraient au nom de plus de monde.
Face au grand remplacement, le retour au pays
par Damien de Saint-Exupéry

Lorsqu’on parle d'immigration entre gens « conscients », il n'est pas rare de constater un scepticisme surprenant quant aux solutions à apporter au « Grand remplacement ».
Untel, intraitable pessimiste, pense que « nous n'avons plus le choix », qu'il est « trop tard » et que de toutes manières le combat contre l'immigration massive est perdu d'avance. Il préconise donc de s’enfuir au Québec – qui n’est plus épargné —, en Thaïlande ou bien dans le fond d’une vallée perdue, en espérant des jours meilleurs. Dont on ne comprend pas bien comment ils pourraient arriver.
Un autre vous expliquera « qu’il est toujours temps de les franciser » par la conversion religieuse ou républicaine, et qu’il a des exemples parmi ses proches « d’amis maghrébins qui chantent La Marseillaise et/ou fréquentent des paroisses tradis ».
Ce discours, que je pensais vaincu depuis des années par la réalité, je l’ai pourtant entendu il y a peu, de la bouche d'un professeur de banlieue dans un cercle de conférence lyonnais proche de la droite forte.
Continuer à défendre cette assimilation, c’est pourtant avoir deux épisodes et quarante ans de retard. L’échec de l’assimilation (abandon de l’identité d’origine) des années 70 précède l’échec de l’intégration des années 90 (assemblage des deux identités) auquel succède la diversité (exaltation de l’identité d’origine) des années 2000. On sait malheureusement comment se terminent le plus souvent ces juxtapositions hasardeuses de populations hétérogènes…
Et puis, c’est aussi oublier que cette assimilation était envisageable à une époque où l’immigration n'était pas encore un phénomène démographique ou familial de masse mais bien une démarche individuelle de travailleurs volontaires.
Ainsi, les derniers soldats républicains de l’assimilation se basent sur une réalité élitiste ô combien anecdotique, ou du moins en décalage complet avec la démarche psychologique inverse largement adoptée par la plupart de nos hôtes : le communautarisme francophobe et revanchard. De ce fait, c’est le croissant plutôt que la croix qui orne depuis longtemps la poitrine de ceux qui ont toujours préféré la coiffe d’un hijab ou d’un kufi au bonnet phrygien.
Croire que l'on peut inverser cette réalité, c’est au mieux perdre son temps, au pire marquer contre son camp. Plus grave pour les « intellectuels » ou « responsables » : c’est mentir à son camp !
Entre ceux qui ont déjà baissé les bras (ils sont nombreux), et les derniers irréductibles de l'assimilation (beaucoup moins), n'y aurait-il personne pour conjuguer le passé au présent et comprendre qu’il reste encore une solution au « Grand Remplacement »?
Des précédents historiques de retour au pays
Parmi les défaitistes, beaucoup ont pourtant la clef dans leur propre histoire familiale. Pas celle de leurs lointains ancêtres non, celle de leurs parents ou de leur grands-parents. Celle des pieds-noirs, qui ont dû, du jour au lendemain, quitter une terre qui n'était plus la leur, puisque ni les lois, ni les armes, ni les dieux ne pouvaient les protéger du cercueil.
On peut également citer le triste épisode de la « Partition des Indes » de 1947, qui vu douze millions et demi de réfugiés choisir entre le dominion du Pakistan et l’Union Indienne au motif de la religion.
Ces cruels évènements montrent bien que, dans l’histoire récente, des mouvements de retour au pays ont bien eu lieu, sans aucun autre souci que la survie, bien loin des tracas législatifs, du « qui a construit quoi » et des questionnements philosophiques sur le nombre de générations qui vivaient pourtant sur cette terre.
La manière (atroce) dont s’est fait ce retour au pays n'est évidemment pas un exemple pour nous. D’une part car il est issu d’un conflit sanglant, que nous comptons bien épargner à nos descendants en le désamorçant à temps, et d’autre part car il s'est fait dans la précipitation, et donc le tragique.
Le divorce à l'amiable aujourd'hui, plutôt que le drame familial demain
Faisant le constat que :
— toutes les tentatives de société multiculturelles ont débouché sur des conflits (et donc, à terme, sur la disparition de l’un des protagonistes).
— toutes les solutions de vivre-ensemble (assimilation, intégration, diversité) n’ont fait que retarder le conflit et ont fini par lamentablement échouer.
Nous pensons qu’il est préférable pour chacune de ses composantes de se séparer à l’amiable avant d'en arriver à des drames humains (tensions, haines et guerres interreligieuses ou ethniques, agrémentées de conflits socio-économiques et d’éventuelles ingérences/manipulations étrangères) comme l’histoire en compte tant.
Prendre conscience de l'importance de choisir le moindre mal, c’est agir avec pragmatisme et réalisme, pour la paix. L’inverse, c’est entraîner, par mauvaise foi ou idéologie, mais le plus souvent par inconscience, les différents peuples dans la haine et le conflit. C’est-à-dire la guerre. S’ils en veulent, pas nous.
Cette séparation nécessaire peut s’envisager par la mise en place du dispositif de retour au pays. Une mesure accompagnée par un dispositif complet comprenant :
— La lutte totale contre l’immigration clandestine (les clandestins, les réseaux mafieux, les entrepreneurs, les bailleurs – c’est à dire la totalité de la chaîne).
— La fin des pompes aspirantes de l’immigration comme les aides sociales.
— Le droit rétroactif de la nationalité, avec un moratoire sur les naturalisations des 20 dernières années (étude au cas par cas)
— La fin de la binationalité
— Fin du harcèlement judiciaire envers les entreprises, agences immobilières sous prétexte de « lutte contre les discriminations » et retour à la liberté de choix total
— La reconnaissance officielle de l'existence des communautés extra-européennes sur notre sol et pourquoi pas la mise en place d'un dialogue avec leurs représentants respectifs (mettant fin au mythe de la république une et indivisible en conflit avec le réel depuis longtemps).
— La construction de partenariats avec les pays d’origine pour s’assurer que le retour des immigrés extra-européens se fasse dans des conditions optimales, à l’instar des accords italo-africains signé début 2010 par le ministre de l’Intérieur de la Ligue du Nord, Roberto Maroni.
— Dans cette lignée, le soutien des campagnes anti-émigration actuellement mené par de nombreux États, soucieux d’en finir avec une jeunesse (dans lequel l’État a parfois investie des années en éducation ou en santé) qui n’a pour seul espoir que le départ vers l’Europe.
— Enfin, l’interdiction du financement public et étranger des lieux de culte musulmans qui inviterait ces derniers à rejoindre une vraie Terre d’Islam, plus adaptée à les accueillir.
Mais il y a un point que nous ne pouvons négliger : si les immigrés extra-européens sont venus en Europe, ce n’est ni pour la beauté des paysages ni par amour de notre civilisation mais uniquement par survie, ou au moins par l’espérance de trouver chez nous de meilleures conditions de vie, que cela soit vrai ou totalement fantasmé.
Toute politique de retour massif au pays négligeant cet aspect, c'est à dire n’assurant pas des conditions de vie dignes pour ceux qui repartiraient, ne pourrait se faire que par la force, entraînant des souffrances inutiles à chacune des parties concernés. Ce serait donc contraire à notre objectif : la coopération au bénéfice de chacun.
Ainsi, pour être aussi efficace qu’humain, le retour au pays doit être accompagné moralement et matériellement.
Je comprends les nombreuses réticences de ceux qui s'indisposent à l’idée d'une nouvelle dépense, de taille, dans un contexte de crise. Mais en réalité cette dépense n’est qu'un investissement sur les économies réalisées grâce au départ des populations extra-européennes. La baisse du chômage, de l’insécurité et du coût des prestations sociales ou de santé compensera largement, à terme, cette dépense. Quant au montant de l’enveloppe accordée, il pourrait, par exemple, être équivalent au coût moyen des populations extra-européennes dans notre pays sur une période de X années.
Avec cette somme, les volontaires pourraient à la fois s'assurer des conditions de vies équivalentes (voir meilleures) que chez nous, et, en plus, participer au développement économique de leur pays respectifs, entraînant un appel d’air inversé. Un bonus familial pourrait également être de mise.
« C'est impossible ! »
Vous allez donc être surpris d'apprendre... qu’il existe déjà un début de retour subventionné au pays dans le micro-dispositif actuel de lutte contre l’immigration. Il est discrètement dissimulé dans le droit français. Son nom ? L'aide au retour.
Proposé par l’Office Français de l’immigration et de l’intégration, il s'adresse « aux étrangers en situation irrégulière ainsi qu’aux étrangers sans ressources qui souhaitent regagner leur pays. » Evidemment, notre proposition d’aide au retour au pays n’aura pas la clémence de s’adresser aux étrangers en situation irrégulière. En effet, contrairement aux autorités actuelles, nous n'avons pas encore oublié qu’ils étaient délinquants. Néanmoins, nous pouvons imaginer, dans le contexte où, bien sûr, nos idées auraient triomphé dans les urnes (et donc dans les esprits), qu'il s’adresse aussi aux extra-européens binationaux et aux extra-européens en général.
Ce programme actuellement co-financé par le Fond européen pour le retour est donc la preuve que nous n'inventons rien, et que le principe du retour au pays n’est ni dénué de sens, ni absent de toute réalité. Evidemment, il reste à l’améliorer, le promouvoir pour l’intégrer au débat, et en faire l'un des principaux enjeux politiques de demain.
Damien de Saint-Éxupéry
Citation
Renaud Camus
Je vais essayer de vous trouver la contribution récente, que je trouve intéressante, du jeune identitaire Damien de Saint-Exupéry. Mais surtout il faut gagner en force, pour avoir le pouvoir de faire entendre notre voix et d’influer sur la loi, même avant toute prise de pouvoir. Il faut se montrer, il faut s’afficher, il faut se déclarer, il fait rejoindre les formations existantes, au premier rang desquelles le PI, qui sont disposées à lutter contre le changement de peuple et qui le pourraient d‘autant mieux qu’elles s’exprimeraient au nom de plus de monde.

La référence du texte, je viens de la trouver, grâce à une recherche sur sa première phrase.

[www.ndf.fr]

Elle est en date du 2 Juillet.

J’apprécie d’autant plus ce texte qu’il contient les choses suivantes :

Toute politique de retour massif au pays négligeant cet aspect, c’est-à-dire n’assurant pas des conditions de vie dignes pour ceux qui repartiraient, ne pourrait se faire que par la force, entraînant des souffrances inutiles à chacune des parties concernés. Ce serait donc contraire à notre objectif : la coopération au bénéfice de chacun.

Cette dépense n’est qu’un investissement sur les économies réalisées

Quant au montant de l’enveloppe accordée, il pourrait, par exemple, être équivalent au coût moyen des populations extras-européennes dans notre pays sur une période de X années.


Et si j’apprécie ces considérations, c’est que ce sont les miennes - textuellement, pour : « le coût moyen .. sur une période de X années ». Le texte où elles sont rassemblées est disponible - sous une première forme - depuis le 29 mai exactement sur le net, et j’en ai transmis une version au BI le 31 mai de la manière suivante :

Nous avons pris en compte votre demande de contact sur Génération-Identitaire.com, nous vous contacterons prochainement par Email.
Voici les informations que vous avez saisies :
Nom : Barrique
Prénom : Gilles
Email : -----------------
Votre message :
Ceci peut peut être vous intéresser.

[retro-migration.olympe.in]

Pour n'écarter aucun moyen de reconquête, sans y réfléchir sérieusement.

Comment vous avez connu Génération Identitaire :
par sa principale ascension symbolique, qui a visé juste.


Me voilà donc parfaitement rassuré, sur trois points :
1°) Les liens que votre secrétariat général déclare intempestifs ne l’ont pas été pour Damien Rieu …
2°) Le BI est vraiment ce qu’il promet : pour la vision, que j’appréciais déjà : respectueux de tous les niveaux politiques (Commune/Pays/Région/France/Europe) : et pour la méthode, enfin exprimée : résolu à « trouver un passage », une « fenêtre » pour un grand déplacement qui ne violerait pas l’humanité, mais « ferait » au contraire pleinement « avec » elle.
3°) Last, but not least : vous-même soutenez cette approche pacifique..

Car telle était ma crainte, vu un « demi-échange » sur fdesouche, qui me laissait supposer que cette approche vous était un sujet de plaisanterie … Elle ne l’était donc pas, et si je ne l’avais pas exprimée avant, j’aurais été, moi-aussi, sans aucun doute, facilement convaincu de m'y intéresser, par la prose et la photo du « petit sanglier » …

En vous remerciant pour votre réponse, et naturellement pour toute votre action, je vous prie, Monsieur, d’agréer mes salutations respectueuses.
Citation
Jean-Marc du Masnau
Il y a de ça. La difficulté, pour moi, est que je ne vois pas de solution concrète, la seule possible étant de freiner l'immigration : elle est en effet insuffisante si le but est de revenir en arrière.

Dans la pratique, je ne suis pas un adepte du vivre ensemble mais je fais le choix du faire avec.

La solution concrète, Renaud Camus vient de l'"autoriser" par son dernier message sur ce fil ...
Citation
Véra Giorda

Cher Gilles, dans la mesure où la doxa ambiante est remplaciste, je crois qu'à ce discours, il faut opposer un autre discours afin d'éveiller les consciences. Les marges de manoeuvre sont faibles. Cependant, les Français, peu à peu, deviennent moins dupes du Grand Remplacement.
Nous sommes encore majoritaires. La jeunesse européenne est de moins en faveur du remplacisme. Voyez la Suède ou l'Italie. Les scores de Marine Le Pen donnent de l'espoir.
Quelle autre solution avons-nous qu'attendre les élections pour "envoyer un signal" comme disent les médias aux politiques ?

Enfin, la crise, la récession de l'Etat Providence peuvent mener les migrants à partir. C'est déjà le cas en Espagne. Regardez le choix du gouvernement néerlandais en matière d'aides sociales.

Le problème de la France, c'est que ce pays semble particulièrement intoxiqué par la culpabilité post-coloniale, hélas !

Merci encore de cette réponse.

Juste un point : la récession de l'Etat providence supprime l'incitation à venir, mais est insuffisante pour inciter à la retromigration des familles installées. Tel est le sujet - entre autres - qui aurait être discuté dans la proposition

[www.in-nocence.org]
"sur la retromigration pacifique"

.. laquelle a donné lieu à beaucoup de choses intéressantes, mais à aucune réponse à la proposition ....à l'exception d'une : "mais on connait déjà, ça marche pas ", par quelqu'un qui n'avait vraisemblablement pas lu la proposition ....

Eh bien cette réponse; le BI vient de la faire - et c'est Renaud Camus qui a pointé dessus .... - et elle me satisfait au plus haut point - et pour cause ...

En fait, depuis que j'ai vu, par pur hasard sur France ô, la frimousse d'Arnaud Gouillon le 4 Janvier 2011, c'est la meilleure nouvelle pour moi - pour le sujet qui nous concerne, s'entend -. Mais cette fois ce n'était pas un hasard ... Eh bien tant mieux !

Très cordialement .
Citation
Michel Le Floch
Moi ce qui m'inquiète, c'est la montée de l'islamophilie. La propagande devient incessante même dans les beaux quartiers. Ce matin, les murs de la station du RER "Luxembourg" étaient couverts de grandes affiches du musée de l'immigration, tandis que d'autres de la chaine de magasin Leclerc célébraient le ramadan.


Le musée de l'histoire de l'immigration lance sa nouvelle campagne et invite ses abonnés, via son compte twitter, à lui envoyer des photos de cette campagne d'affichage, cool non ?

"Chers twittos on attend vos photos de la campagne d'affichage avec le lieu de prise de vue hash #Muséeimmigration [www.histoire-immigration.fr] …"

[twitter.com]
Ce qui compte, on le comprend bien, est moins le musée (que personne ne visite) que l'affiche de propagande, le message politique, le discours de refonte du peuple devant pénétrer et corrompre l'âme et la conscience du peuple à qui l'on dit, l'on répète, l'on chante sur tous les tons l'antienne de l'aliénation nouvelle : "tu n'es pas celui que tu crois être", "tu es Autre que toi-même"; ainsi tourne la manufacture idéologique de la France d'après, à plein régime, 24 heures sur 24, sous l'oeil vigilant du Ministère de la Propagande, pour accomplir l'indispensable oeuvre de démoralisation. C'est aux agents communistes du KGB soviétique que l'on doit ce concept de démoralisation des nations, processus de refonte identitaire par matraquage, ce que l'on appelait encore "guerre psychologique" dans les années 60 du siècle dernier, stade premier et indispensable de l'installation du Régime d'après, quelle que soit son étiquette -- jadis et ailleurs, communiste, ici et maintenant, totalitariste européiste et égaliste-raciste.

Voir cette vidéo d'un entretien avec un transfuge du KGB, qui avait quitté son pays pour gagner les Etats-Unis au péril de sa vie et qui, en 1985, nous expose le programme, les méthodes, les ficelles du système de démoralisation tel qu'il était mis en oeuvre à cette époque par l'Union soviétique, aujourd'hui par les régimes des pays occidentaux tombés dans le piège totalitaire de l'Union européenne:

video: [www.youtube.com]
Citation
Francis Marche
Ce qui compte, on le comprend bien, est moins le musée (que personne ne visite) que l'affiche de propagande, le message politique, le discours de refonte du peuple devant pénétrer et corrompre l'âme et la conscience du peuple à qui l'on dit, l'on répète, l'on chante sur tous les tons l'antienne de l'aliénation nouvelle : "tu n'es pas celui que tu crois être", "tu es Autre que toi-même"; ainsi tourne la manufacture idéologique de la France d'après, à plein régime, 24 heures sur 24, sous l'oeil vigilant du Ministère de la Propagande, pour accomplir l'indispensable oeuvre de démoralisation. C'est aux agents communistes du KGB soviétique que l'on doit ce concept de démoralisation des nations, processus de refonte identitaire par matraquage, ce que l'on appelait encore "guerre psychologique" dans les années 60 du siècle dernier, stade premier et indispensable de l'installation du Régime d'après, quelle que soit son étiquette -- jadis et ailleurs, communiste, ici et maintenant, totalitariste européiste et égaliste-raciste.

Voir cette vidéo d'un entretien avec un transfuge du KGB, qui avait quitté son pays pour gagner les Etats-Unis au péril de sa vie et qui, en 1985, nous expose le programme, les méthodes, les ficelles du système de démoralisation tel qu'il était mis en oeuvre à cette époque par l'Union soviétique, aujourd'hui par les régimes des pays occidentaux tombés dans le piège totalitaire de l'Union européenne:

video: [www.youtube.com]

Oui, mais l'on peut se poser aussi la question : pourquoi maintenant ?
C'est selon moi, que nous sommes près de la bifurcation.
Plutôt que d'y voir la dernière oeuvre de propagande démoralisatrice, on peut aussi y voir la première oeuvre de propagande fondatrice. Ce discours ne s'adresse peut-être pas à nous, les remplacés, mais aux remplaçants.
Certes, prenons le slogan "nos ancêtres n'étaient pas tous gaulois". On peut penser qu'il ne vise pas à chasser toute descendance gauloise. Mais imaginez toutefois que le projet réussisse - et vous connaissez sa probabilité -, cette affiche pourrait être comme une plaisanterie entre nos remplaçants. "tu serais pas un peu gaulois, toi ?".
Que cette interprétation ne soit pas délirante se lit dans d'autres faits : quand un professeur du collège de France fait des discours dithyrambiques sur l'islam, il ne s'adresse pas à nous, mais à ses futurs employeurs : il y aura encore besoin de professeurs au collège d'Afrance;
Les choses - les naissances plutôt - étant ce qu'elles sont, le Peuple de France n'a pas besoin d'être démoralisé pour être remplacé ! Il lui suffit de laisser aller la barque.
Dans les années 80, le discours anti-raciste - au sens strict - était indispensable, vu qu'il visait à tuer toute résistance à l'immigration. Mais vous constaterez que ce discours n'est plus dominant - et pour cause !
Big Brother - quel qu'il soit - a toujours un temps d'avance. Normal : c'est lui qui nous a déclaré la guerre.
Regardez à quoi nous en sommes réduits ! A commenter des affiches qui actent notre disparition !
C'est pour cela que, selon moi, quelque soit le vecteur d'action préféré par chacun d'entre nous, il nous faut brandir nos propres signes après les avoir faits, et non pas tenir compte de leurs signes.
Vous le faites assez - je l'ai vu sur un autre fil -, et c'est tant mieux. Même si vous ne répondiez pas à la question que je posais, vous disiez alors ce que vous aimez.
La répugnance multi-dimensionnelle pour nos envahisseurs - naturelle, eu égard à ce viol permanent - ne suffira pas à nous motiver. Le fait de promouvoir ce que nous aimons et - selon moi- ce que nous voulons, suffit amplement à désigner ce que nous n'aimons pas et ce dont nous ne voulons pas.
Au fond, après nous avoir rendu bêtes, il ne faudrait pas qu'ils parviennent à nous rendre méchants.
Les programmes politiques et méta-politiques (tel celui que nous observons) ne sont pas nécessairement couplés au rythme des naissances, à l'essor génique de l'ethnie concurrente ou à la montée de la concurrence ethnique.

Le premier sacrilège de la tyrannie contre le peuple, le premier de ses écarts se trouve dans la définition identitaire qu'elle lui dicte, le regard sur lui-même qu'elle lui impose, soit le discours qui, s'adressant à lui, opère d'autorité la refonte du regard qu'il porte sur lui-même : désormais, tu es ce que je te dis que tu es. C'est le syndrome Pinocchio, celui du mensonge et du sur-mensonge réflexif, qui dans leur dynamique complexe, crée la fiction, le faussel (ou fauxel, selon les auteurs...) dont le nez s'allonge partout tous les jours un peu plus.

L'entreprise est hypnotique: l'hypnotiseur de foire vous dit, tu es un chat, et vous miaulez; tu es un serpent, et vous rampez et sifflez sur commande. Ce musée, ses affiches, sont de ce cirque-là.
Je me permets d'ajouter que le syndrome Pinocchio est aussi une version pervertie de la relation père-fils: le fils façonné, à l'identitée dictée, n'est plus libre, ne sera jamais un homme libre.

Seuls les pires régimes paternalistes, mais pire encore que les pires d'entre eux, par exemple, le franquisme, s'autorisent cette terrible privauté : dire au peuple qui il est.

Le régime Ceaucescu, en Roumanie, par exemple, s'était autorisé cela : se forger un peuple Pinocchio, à son image.
Aucun gouvernant n'a le droit de nous dire qui nous sommes.

Comment un principe et une vérité aussi fondamentaux et intangibles ont-ils pu se perdre, dans l'univers conscient et informé où nous baignons ?
En l'occurrence, le "gouvernant" essaie plutôt de nous persuader qui nous ne sommes pas ; je ne sais quoi, du façonnement par une origine toujours subie, ou d'une tentative de démoulage par aseptisation raciale (que vous prétendez, Francis), est le plus liberticide.
De toute façon, la "liberté" en question, dans ce domaine (celui des options à cocher dans la série des embrigadements collectifs), m'a toujours paru être un sacré miroir aux alouettes, mais c'est une autre question...
Citation
Francis Marche
L'entreprise est hypnotique: l'hypnotiseur de foire vous dit, tu es un chat, et vous miaulez; tu es un serpent, et vous rampez et sifflez sur commande. Ce musée, ses affiches, sont de ce cirque-là.

Mais si cette entreprise visait à nous hypnotiser, cela devrait marcher un peu mieux, non ?
C'est bien du cirque, mais ce cirque ne vise pas à montrer son numéro, mais la sollicitude du directeur à la destination de ses protégés. Cette propagande s'adresse aux remplaçants, et pas aux remplacés. Par elle l'Afrance, dans sa toute puissance étatique, leur signifie officiellement : vous pouvez vous payer la tronche des Gaulois et des Céfrancs - c'est ainsi qu'on dit, n'est-ce pas ? -, nous sommes de tout cœur avec vous dans cette entreprise.

Citation
Francis Marche
Les programmes politiques et méta-politiques (tel celui que nous observons) ne sont pas nécessairement couplés au rythme des naissances, à l'essor génique de l'ethnie concurrente ou à la montée de la concurrence ethnique. [/i]

Je ne suis pas un mordu de la théorie du complot, d'autant que les choses sont visibles ...
Quand le Pentagone, et donc, en suivant, le gouvernement central des Etats-unis base toutes ces considérations stratégiques sur l'islamisation de la France, et au delà, de l'Europe, vous vous doutez bien qu'il ne se base pas sur une soudaine épidémie de conversion, non plus que sur des actions organisées en ce sens par lui-même, mais sur la seule natalité allogène en France, telle que les chiffres circulent partout sur l'internet.

Le gouvernement français a acté le grand remplacement, et c'est bien d'ailleurs ce qui rend malade certaines personnes "de Gauche"- je songe à la courageuse Michèle Tribalat -, parce qu'elle ont toujours cru que "la Gauche", depuis qu'elle existe en France, voulait le bonheur du Peuple de France, alors qu'il n'a jamais été question de cela.

Et le fameux shérif du Monde a lui aussi acté du grand remplacement, de sorte que ses messages compassionnels s'adressent officiellement, aujourd'hui même, à l'Islam en France ! Seul les Russes, parce que c'est ainsi que sont les affinités et qu'on les change pas comme cela, n'hésite pas une seconde à envoyer aux gens de France des appels du pied, qui ne risquent pas d'être entendus. Car nous avons appris à haïr les gens qui nous méprisent à juste titre, et à mépriser les gens qui nous aiment sans raison.
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