Communiqué n° 1650, mercredi 23 octobre 2013
Sur l’abandon du droit du sol
Le parti de l’In-nocence se réjouit que M. Jean-François Copé, de façon purement tactique, tâtonnante et velléitaire comme c’est la coutume obligée au sein de son parti, ait rouvert la question du droit du sol, en prétendant l’aménager sans vouloir l’abolir, car il appartiendrait à nos traditions nationales — il s’agit, rappelons-le, d’une tradition toute “moderne”, et qui avait, lorsqu’elle a été inaugurée dans un contexte totalement différent, un sens presque opposé à celui qu’elle revêt de nos jours, en temps d’immigration de masse et de colonisation subventionnée du pays.
Le parti de l’In-nocence profite de l’occasion pour rappeler qu’il est pour sa part totalement opposé au droit du sol et qu’il milite depuis sa création pour qu’il y soit renoncé résolument. En un temps de mobilité presque générale c’est pure folie de donner à n’importe qui dans le monde la possibilité de donner naissance à des enfants français, avec tous les avantages qui sont liés à cette condition, surtout pour ceux qui ne l’héritent pas.