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Etre journaleux au Monde

Envoyé par Henri Rebeyrol 
17 novembre 2013, 11:33   Etre journaleux au Monde
Une circonstance (une longue attente dans une institution universitaire le 13 de ce mois) m'a conduit à consulter, n'ayant rien d'autre à faire, les journaux disponibles dans un grand salon. En matière de titres, il n'y avait guère le choix : c'était Le Monde et seulement Le Monde (bien pensance oblige), le seul choix possible étant celui du jour de publication : Le Monde du 12, du 11, du 10, etc. en remontant pendant deux ou trois semaines. J'ai donc opté pour Le Monde daté du mardi 12, parce qu'était annoncé dans un bandeau de première page un portrait d'Alain Finkielkraut.

J'ai oublié le nom du journaliste. Peu importe, il ne sera pas immortel. Le "portrait" occupe une page entière et une page en dehors des rubriques ou des pages consacrées aux idées ou à la littérature, comme naguère la page qu'Alain Salles avait consacrée au "cas" Dantec, une page aux confins de la politique et de la psychiatrie ou de la tératologie idéologique. Dans ce portrait, qui a pour titre "l'écorché vif", ce qui en dit long sur la façon dont le journaliste envisage le cas "Finkie", il est révélé que le sujet portraituré a été gravement malade (un lymphome, une dépression), ce qui n'a aucun rapport avec le livre critiqué (L'Identité malheureuse) et ce qui est une façon de suggérer que "l'écorché vif" n'est sans doute pas guéri et qu'il serait sans doute mieux à sa place dans une clinique idoine...

Le portrait est à charge - et Le Monde a évidemment la liberté de publier de pareilles charges. Le problème est que, dans ce portrait, il est question d'un livre et des idées ou des analyses que renferme ce livre. Naguère, il était entendu (déontologie oblige) que la critique d'un livre devait s'accompagner d'un exposé à peu près fidèle ou impartial ou "objectif" des idées ou analyses développées dans le livre. C'est ce qui était enseigné à l'école. Rien de tel dans ce portrait du Monde. Le journaleux, qui est au journaliste ce que le gratteur de crincrin est à Menuhin, Ici Paris à un journal et Le Monde actuel à ce que fut jadis (il y a très longtemps) Le Monde, n'informe nulle part les lecteurs (qu'il doit tenir pour des demeurés) de ce qu'écrit Alain Finkielkraut (la chose, pourtant, est simple), mais il explique ce que Finkielkraut n'a pas écrit et quelles sont ses intentions cachées ou il n'expose que ses propres jugements ou ses a priori sur les sujets abordés dans L'Identité malheureuse. Il a parfaitement le droit de procéder ainsi - mais, dans ce cas, le journal qui publie cela n'est plus un journal d'information, mais un organe de parti ou l'organe des organes...

Le but n'est pas de "pointer" (comme on dit maintenant) ou de démontrer (comme on disait naguère) la malhonnêteté d'un journaleux et du "journal" qui l'emploie (tout cela est connu de tout le monde), mais de comprendre ce qu'est un journaleux. Je ne prendrai qu'un exemple. Un fragment minuscule de l'Identité malheureuse est cité : c'est "l'enracinement dans le sol", à propos de l'amitié réciproque de Lévinas et de Blanchot et de l'estime que Finkielkraut aurait exprimée à l'égard de De Gaulle. Je ne me suis pas reporté au livre pour m'assurer que ce fragment (qui est un beau pléonasme : peut-on enraciner quoi que ce soit ailleurs que dans la terre ? Dans l'air, dans l'eau, dans le feu ? Il faudrait, comme disaient les surréalistes, être "vachement costaud" - mais au Monde, on l'est) y était vraiment, ni quel sens il avait dans le contexte. Mais à propos de De Gaulle, cette métaphore (car c'en est une) est absurde : dans quel sol est "enraciné" De Gaulle ? Aucun. Il a vécu à Lille, à Paris, dans le Périgord, à Varsovie, à Londres, à Alger, dans d'innombrables villes de garnison. Il a acheté une propriété dans la Haute-Marne en 1935 ou 1936, qu'il n'a habitée qu'après 1947, à l'âge de 57 ans.... Bel enracinement que voilà, d'autant plus que, de 1958 à 1969, il a résidé à Paris. De Gaulle est sans doute "enraciné" (je ne sais pas trop ce que signifie cette métaphore), mais pas dans le sol : dans l'histoire de France et du monde, dans l'esprit, dans ses propres illusions (pourquoi pas ? Puisqu'il a toujours fait "comme si"). Il n'a rien du destin des pissenlits ou des libellules, dont se targuaient les Athéniens, du moins selon un philosophe ironique. Grâce à quoi il a pu réduire la superficie de la France impériale des quatre cinquièmes. Je doute aussi que Blanchot ait été enraciné dans quelque sol que ce soit.

Ces raccourcis ont un but : discréditer, disqualifier, invalider une pensée, en faisant croire aux demeurés qui lisent Le Monde que Finkielkraut, Barrès, Maurras ou Pétain, c'est du pareil au même ou que Finkielkraut ressuscite des identités mortes, celle de la France royaliste, catholique, conservatrice, colonialiste, impérialiste, "raciste" (ou prétendument raciste). La ficelle est grosse, mais au Monde, on n'est pas regardant sur les moyens. La fin justifie tous les moyens. Or, une lecture simple, terre à terre, mot à mot, un peu laborieuse, etc., telle que les maîtres de CM2 autrefois la pratiquaient, montre que l'identité malheureuse (id est qui rend malheureux Finkielkraut parce qu'elle est à l'agonie) est celle de la République, telle qu'elle s'est déployée depuis 1792. Tous les thèmes abordés sont propres à la pensée républicaine : le savoir, la raison, les lumières, la laïcité, l'école, l'instruction publique, l'universalité de la condition humaine, le souci du monde, l'égalité en droit, la courtoisie, le mérite éminent des femmes, l'héritage, etc. Aucun de ces thèmes n'appartient en propre à la France ou à l'identité de la France ou s'ils y appartiennent, c'est partiellement ou à la suite de contingences historiques ou de cauchemars, dont nous ne sommes pas totalement éveillés, comme dirait Joyce.
17 novembre 2013, 11:56   Re : Etre journaleux au Monde
Merci pour cette réflexion. Selon vous, comment l'esprit moderne parvient-il à réduire la "pensée républicaine" à Hitler ? Qu'y a-t-il, dans cette pensée, ou du moins certains aspects de cette pensée (même la laïcité ne semble plus être aussi évidente), qui puisse prêter le flan à cette reductio, à cet amalgame hystérique ?
17 novembre 2013, 14:41   Re : Etre journaleux au Monde
Tentative de réponse à votre question, Olivier Lequeux :

La pensée moderne (laïque, démocratique, féministe...) s'oppose sur pas mal de points à la vision musulmane traditionnelle ; elle rejette donc l'Autre ;
elle est donc nazie-raciste-xénophobe.
17 novembre 2013, 14:48   Re : Etre journaleux au Monde
Merci cher Rebeyrol. Je lis de plus en plus Le Monde comme Amalric (le père) ou Souvarine devaient lire La Pravda. Le Monde est devenu, pour la France, l'organe central du mondialisme, et à cet égard il est précieux. Bénissons-donc son existence, source inépuisable d'émerveillements. Ainsi, en cette fin de semaine, j'ai pu lire par exemple la tribune de Marie Darrieusecq, cette merveilleuse écrivaine POLienne, accourue, si courageusement, au secours de la malheureuse Taubira. Elle a écrit un manifeste, lequel mérite à mon sens d'être conservé précieusement, tant toute l'ingénierie racial antiraciale, impensée (comme dirait Derrida) de notre époque, s'y exprime avec une sorte d'innocence touchante : la France catholique et blanche doit disparaître au profit d'une citoyenneté mondiale sur fond de métissage généralisé. L'homme de demain sera beige de peau, ses cheveux seront bruns et même les Suédois l'ont compris et s'y mettent avec enthousiasme, nous explique Marie. Le Quatrième Reich (comme vous avez raison cher Marche) est en marche et Mmembé, le Camerounais, est son prophète : les lebensborn de demain n'accoucheront plus de bêtes blondes mais de petits métis bruns. Inch'Allah !
Mais ce n'est pas tout. Vendredi, le supplément consacré à la "culture" et aux "idées" nous expliquait, dans un article consacré à la problématique de l'intégration, que le problème en France, outre un Etat trop assimilateur, c'était les professeurs de l'éducation nationale (!!!), encore trop blancs et eurocentrés, et les catholiques, qui - l'article citait ses preuves sociologiques issues d'une étude "scienenentifiques" -, sont infiniment plus endogamiques et communautaristes que les musulmans. Vive Le Monde !
17 novembre 2013, 15:56   Re : Etre journaleux au Monde
Les folliculaires du Monde sont-ils autistes ou stupides ? Comment peuvent-ils ne pas savoir qu'une forte proportion de leurs lecteurs (lecteurs d'habitude ? lecteurs "captifs" ?) ne pense nullement comme eux ? Du coup, leur entreprise de démolition consistant à consacrer une pleine page à un auteur, fait que les ventes du dernier livre de leur "victime" vont automatiquement augmenter dès le lendemain.
17 novembre 2013, 16:02   Re : Etre journaleux au Monde
Il n'est pas impossible qu'une partie des journalistes de la feuille de chou de référence y écrivent un peu comme nous la lisons.
17 novembre 2013, 16:42   Re : Etre journaleux au Monde
J'avais proposé à certains de lancer un faux Je Suis Partout, dans lequel les éditoriaux reprendraient la thèse "Quatrième Reich" de l'aracialisme absolu que vient d'exposer Darrieussecq dans Le Monde.

L'aryanisme hitlérien et l'aracialisme métisseur de Darrieussecq sont deux faces d'une même médaille : dans ces deux projets d'humanité, la diversité des races humaines doit disparaître; dans le permier projet l'unité raciale, la parfaite homogénéité de race, devait être obtenue par soustraction; dans le second elle doit l'être par arasage fusionnel cependant que dans les deux le fanatique objectif d'un Reich européen demeure inchangé.
17 novembre 2013, 16:51   Re : Etre journaleux au Monde
Je suis entièrement d'accord avec Francis. Il y a longtemps que je pense de même. Nous nous acheminons, en effet, vers une sorte quatrième reich où l'Européen "de souche" sera aussi dénigré et discriminé que le fut le juif sous le troisième.
17 novembre 2013, 17:19   Re : Etre journaleux au Monde
J'ai lu le papier de Mme Darrieussecq. Il ne dépare pas dans Le Monde. Il est dans la ligne : nul, insignifiant, soi-mêmiste en diable (un milliard de Noirs, et moi, et moi, et moi), narcissique, plein de diffamations sur sa famille (les parents, profs de chez profs, les voisins, les cousins, les anciens profs, les amis, les Basques, Blanco, etc. vont sans doute apprécier d'être traités de racistes), inconsistant.
Cette dame est "normalienne". Elle en est fière, comme si l'ENS (qui coûte la peau des fesses aux Français) avait pour raison d'être de former des bécasses ou des diafoirus. Quoi qu'il en soit, cet article confirme ce que disait Aron de l'ENS dans les années 1960 et ce dont De Gaulle avait fait l'expérience en 1959 : dans cette école, on ne pense pas, on ne réfléchit pas (sinon le Maître), on n'y apprend quasiment rien, on ne forme que de petits singes à demi savants ou des bécassines encore plus bêtes que le modèle breton.
Marie Darrieussecq contemple, fascinée au risque de s'y engloutir, son nombril géant qu'elle prend pour le monde.
17 novembre 2013, 19:07   Re : Etre journaleux au Monde
"...on ne forme que de petits singes savants...". Soyez prudent. L'utilisation du mot singe peut être mal interprétée par les temps qui courent.
En ce qui concerne Alain Finkielkraut et Le Monde, le supplément littéraire avait commencé à distiller son venin en associant le nom de Camus et de Finkielkraut. Brevet d'infréquentabilité assuré.
Mais qu'attendez-vous au juste d'un journal militant?
Utilisateur anonyme
17 novembre 2013, 19:32   Re : Etre journaleux au Monde
Finkielkraut a son avis sur les journaleux du Monde



17 novembre 2013, 20:53   L'homme beige
L'acceptation par l'homme blanc de sa disparition - et même l'enthousiasme qu'il y met - peut être regardée comme le poste avancé d'une autre acceptation : celle de la disparition de l'être humain tel que nous le connaissons. "L'homme beige" de Mme Darrieusecq est un fantasme de laboratoire, à l'image de ces créatures uniformément bleues du film Avatar, et nullement le fruit délectable d'un "sens de l'histoire" dirigé vers le grand mélange. Dans le même sens, le "4ème Reich" de Francis Marche, me parait quant à lui une anticipation qui ne concerne ni Blancs, ni Noirs ni Jaunes en tant que tels mais vise à leur égal remplacement. C'est l'espèce humaine qui dans le collimateur.
Utilisateur anonyme
17 novembre 2013, 22:09   Re : Etre journaleux au Monde
Puisqu’il est question du général de Gaulle et du Monde, tenez :

« Salon doré, 16 janvier 1963.
« Le Général me répète, avec encore plus d’énergie, ce qu’il m’a déjà dit plusieurs fois au sujet des journalistes : “Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-paroles. Impossible d’imaginer une pareille bassesse — et en même temps une pareille inconscience de la bassesse.
« “Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d’austérité ni d’effort ! Pétain avait trouvé l’arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre.
« “Bien entendu, cela représente 5 % de la nation, mais 5 % qui, jusqu’à moi, ont dominé. La Révolution française n’a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu’est la bourgeoisie. Cette classe qui s’est de plus en plus abâtardie, jusqu’à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu, le populo ne partage pas du tout ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l’intérêt du pays. Il ne s’y trompe pas souvent.
« “En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d’argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s’entendent pour se partager le pouvoir.
« “Cela m’est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Ça m’ennuierait même qu’ils ne le soient pas. J’en serais navré, vous m’entendez ! Le jour où Le Figaro et L’Immonde me soutiendraient, je considérerais que c’est une catastrophe nationale !” »

Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, éditions de Fallois-Fayard, tome premier, pp. 387-388 (1994).
17 novembre 2013, 23:18   Re : Etre journaleux au Monde
Quelle lucidité et comme cela change des hommes qui nous gouvernent aujourd'hui ! Au fond, la bourgeoisie s'est servie du peuple pour liquider la noblesse et puis elle se sert aujourd'hui de l'immigration pour liquider le peuple, après avoir espéré sous Vichy, que l'Allemagne en la débarrassant de la "gueuse", à savoir la République, le liquiderait politiquement. Le malheur est que cette fois elle semble bien sur le point de réussir son coup.
Citation
Michel Le Floch
Ainsi, en cette fin de semaine, j'ai pu lire par exemple la tribune de Marie Darrieusecq, cette merveilleuse écrivaine POLienne, accourue, si courageusement, au secours de la malheureuse Taubira. Elle a écrit un manifeste, lequel mérite à mon sens d'être conservé précieusement, tant toute l'ingénierie racial antiraciale, impensée (comme dirait Derrida) de notre époque, s'y exprime avec une sorte d'innocence touchante : la France catholique et blanche doit disparaître au profit d'une citoyenneté mondiale sur fond de métissage généralisé.

Les deux derniers paragraphes du chef-d'oeuvre:

L'humain du futur sera beige foncé avec des cheveux bruns. La France, le monde, se métisseront. Et la Suède persévérera avec la France, le Maroc ou les Philippines, par les langues et les paysages, la forme des fleuves et des mots, les climats, les usages, les savoir-faire, les mythes.

Le remplacement des peuples est un fantasme ridicule. Des peuples ont disparu, oui : les Lutrawita de Tasmanie, certains Indiens d'Amérique, et presque tous les Héréros de Namibie. Disparus après des génocides motivés précisément par la passion forcenée de la division, la manie de la domination vue comme un sens et une fin.
La pétition qui tue, elle est de Tin, elle vient du CRAN!
Utilisateur anonyme
18 novembre 2013, 00:10   Re : Etre journaleux au Monde
Monsieur Leroy, le roi des montages.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2013, 21:43   Re : Etre journaleux au Monde
Avez-vous lu la tribune de Mme Darrieussecq dans Le Monde, du Masnau ? (Ah non, j‘oubliais que par principe vous ne lisez jamais Le Monde !) Mais vraiment, elle vaut le détour ! Quant à ce montage, je n’en suis pas l’auteur (et serais bien incapable de produire quelque chose d’aussi sophistiqué).
Mon Dieu que vous lisez mal ! Je n'achète pas le Monde. De même qu'il n'y a pas besoin d'être une femme pour être gynécologue, il n'y a pas besoin d'acheter le Monde pour le lire.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2013, 22:05   Re : Etre journaleux au Monde
Oh là là, si on ne peut même plus faire quelques sophisteries tranquille...
19 novembre 2013, 23:36   Re : Etre journaleux au Monde
« Mais aujourd'hui encore, je préfère les bons sentiments aux mauvais. »

Moi aussi ! De même qu'il me marrirait d'avoir l'âme moche et trouble plutôt que belle... Tout n'est pas absolument à jeter, dans le laïus de l'ingénue Darrieusseq ; cela dit, quand elle gagne la berge tranquille et claire de la bienveillance originelle, où attend en s'impatientant un peu l'adonis mordoré et syncrétique du futur, on reste quand même sur le cul...
19 novembre 2013, 23:43   Re : Etre journaleux au Monde
Le cul beige, s'entend.
Utilisateur anonyme
20 novembre 2013, 00:27   Re : Etre journaleux au Monde
Que garderiez-vous donc de l’épanchement darrieussecquien ?
20 novembre 2013, 03:25   Re : Etre journaleux au Monde
L'attachement éperdu aux bons sentiments dans un monde de brutes.
Utilisateur anonyme
20 novembre 2013, 10:26   Re : Etre journaleux au Monde
Qui veut faire l’ange fait la bête.
Encore une paveuse de l'enfer.
21 novembre 2013, 08:50   Re : Etre journaleux au Monde
Citation
Jean-Michel Leroy
Qui veut faire l’ange fait la bête.

C'est effectivement ce qu'on dit, mais comme le bêtes ne feront jamais que les bêtes, cela ne laisse guère le choix.
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