Délicat à aborder même ici (pourtant lieu où on débat de maints sujets politiquement incorrects), surtout ici peut être.
Il ne s'agit donc pas, vous l'aurez deviné, ni du Grand Remplacement, ni du lien existant entre la nocence généralisée et l'immigration, encore moins de ce qui a trait à la décivilisation ou à la déculturation en marche.
Non il ne s'agit bien entendu pas de ça! Ces thèmes-là étant, bien heureusement, traités, commentés et analysés comme ils doivent l'être, c'est à dire sans détour, sans réfréner sa pensée ni ses mots pour la dire.
Je veux parler de l'homosexualité, et plus précisément de l'homosexualité masculine, et encore plus précisément de l'aversion profonde, d'une sorte d'écoeurement ou de dégoût hautement répulsif qui saisit l'immense majorité des hétéros à la vue de 2 hommes se livrant à des actes sexuels ou même seulement en train de s'embrasser sur la bouche.
Pourquoi donc un acte, qui est pourtant d'amour, nous met si mal à l'aise, nous soulève si instinctivement le coeur? Je n'ai pas de réponse toute faite et ne sais quelle place accordée à Dame Nature, ni quelle autre à nos fameux stéréotypes culturels (très en vogue ces temps-ci).
Qu'on ne se méprenne pas sur mes propos. Il ne s'agit, faut-il le préciser, en aucune façon d'homophobie, de haine à l'encontre des homosexuels ou d'aversion envers leur personne. Je ne leur souhaite bien sûr aucun mal ni aucun maux mais au contraire tout le bonheur possible et pouvoir vivre, comme tout à chacun, en toute sérénité.
Il s'agit seulement et uniquement de cette répugnance instinctive qui se manifeste en nous, telle une répulsion fondamentale nietzschéenne, à la vue de débats amoureux de 2 hommes.
Mais il y a plus. Cette aversion instinctive est-elle éprouvée et ressentie par un homosexuel assistant aux débats amoureux d'un homme et d'une femme ? Je n'en sais trop rien mais j'en doute un peu.
Ce que je voulais finalement dire en ce petit paragraphe, c'est qu'il est, surtout de nos jours, fortement problématique de témoigner de cette aversion primaire sans être illico qualifié d'homophobe. De la même façon qu'il est tout aussi difficile de témoigner du danger que représente le Grand Remplacement sans se voir taxé de raciste ou autres gracieusetés.