Communiqué n° 1728 : Sur la vérité par le Mundial

Communiqué n° 1728, vendredi 27 juin 2014
Sur la vérité par le Mundial

Le parti de l’In-nocence considère que la Coupe du monde de football aura eu au moins le mérite, malgré les tentatives d’occultation des médias collaborateurs et remplacistes, de dissiper les dernières illusions sur la francité de prétendus “Français” qui sont parfaitement clairs, eux, dans la revendication agressive et volontiers vandale de leurs appartenances véritables. Pour plus d’évidence encore, on en viendrait presque à souhaiter une rencontre entre la France et l’Algérie.

Le parti de l’In-nocence estime qu’en de pareilles conditions, alors que des centaines de milliers de nos prétendus concitoyens manifestent leur patriotisme à l’égard d’un autre pays que la France — et qui pis est fort peu amical à son égard —, ne peuvent plus être aveuglés sur la réalité de ce qui survient que ceux qui veulent passionnément l’être, et le rester. Notre patrie à nous fait l’objet d’une agressive conquête, notre peuple d’une violente substitution ethnique, notre culture et notre civilisation d’un brutal Grand Remplacement. Ce n’est que dans la lutte anticolonialiste, urgente, que demeure une chance ultime d’échapper à l’asservissement, à l’islamisation et à la dilution sans honneur.

Je souhaite la victoire de l'Allemagne. En ce qui concerne le prochain 1/8 de finale, bien entendu. Pas d'allusion aux HLPSDNH.

Ce communiqué est bienvenu car il rappelle que les violences ne sont qu'un détail dans cette histoire.

L'important est de voir, de nos yeux, des Français soutenir une équipe de football d'un autre pays, et par là soutenir et chanter la gloire d'un autre pays que celui qui, pour la plupart, les a vus naître. Et tout y est, drapeaux, chants (nationaux et religieux), et insultes contre le pays d'accueil (brûler le drapeau français semble être un passage obligé de ces rassemblements festifs).

Sur ce point, Christophe, vous avez raison.

Il est inadmissible que des citoyens insultent le drapeau national, et l'incurie des autorités est patente.

Je note d'ailleurs que les stades de la Coupe du monde nous montrent un public français chantant la Marseillaise et des joueurs (à l'exception de M. Benzema) faisant de même.

Il est important de dire ce qui est mal, il est aussi important de dire ce qui est bien.

Dire ce qui est bien, c'est dire ce qui est normal, dire "la moindre des choses".

Ne pas chanter la Marseillaise, peu m'importe. Cependant, que celui qui ne la chante pas soit celui qui a dit "l'Algérie, c'est mon pays", cela signifie bien des choses.

Des Français supportent une autre équipe, un autre pays, et un joueur de l'équipe de France dit que la France n'est pas son pays (combien pense la même chose sans oser le dire ?). Combien de temps pouvons-nous tenir de la sorte ?

Il y a quelques années, ni l'équipe, ni le public ne chantaient. Je note un progrès.

Si on n'accepte pas que les choses progressent, que les choses retournent à la normale, que cherche-t-on alors ?

Les joueurs la chantent. Conviction, ordre donné, coup de com' ?

Cher ami,

C'est comme la politesse, les bonnes manières : si quelqu'un est poli, bien élevé, on ne demande pas pourquoi. L'essentiel est que la personne soit polie.

De même, si les joueurs donnent tous les signes extérieurs de la "francitude", il faut considérer cela au moins comme une allégeance.

Je note aussi, et vous aussi je pense, les chants du public.

Les chants du public et la ferveur me réjouissent. Devant ma télé, je me comporte de la même façon. Mais, malgré tout, il y a comme un goût amer dans la bouche quand Benzema marque. Je ne crois pas être trop exigeant. Un succès en finale de coupe du monde grâce à un but de Benzema ne me fera pas oublier ceci : cet homme joue pour lui, le maillot bleu ne veut rien dire, la France n'est rien qu'un pays qui lui permet de briller devant des milliards de téléspectateurs, flattant ainsi son ego surdimensionné d'homme egocentré.

Si la France devait affronter l'Algérie, que fera-t-il ? Je l'imagine déjà marquer un but et faire signe à ses partenaires qu'il n'a pas l'intention de le célébrer, "par respect pour l'Algérie".

Je crois que c'est la clé du problème : cet homme, et les autres, doivent-ils choisir ? Doit-on leur demander d'être français ou algérien ? Peut-on être l'un et l'autre ? Je crois que non et les violences et les drapeaux agités montrent bien que, eux non plus, ne souhaitent pas "cumuler". Ils ont choisi, et ce n'est pas la France qui a leur préférence.

C'est effectivement un problème, je n'en disconviens pas.