L'Etat islamique est magnanime : il a la bonté de nous annoncer ses coups.
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Donc, ils vont attaquer l'Europe par l'Italie.
Pendant ce temps, l'Europe apprend que les chefs des armées pro-russes du Dombass ukrainien sont déterminés à avancer jusqu'à Kiev. L'un de ces soldats ne mâchait pas ses mots devant les caméras il y a quelques jours :
nous ne nous arrêterons pas, nous irons jusqu'à Berlin. Dites à Mme Merkel qu'elle peut déjà nous préparer le thé.
Si l'Europe continue de nier l'extrême gravité des conflits qui la visent et qui s'apprêtent à la traverser, à pénétrer les territoires de ses nations, si elle continue de nier que les conflits de civilisations, non contents d'exister, se règlent par les armes, il devient concevable que la progression de ces conflits différents en viennent à faire se télescoper leurs armées dont les chefs sont animés d'ambitions démesurées: si les armées russes qui guerroyent en Ukraine descendent assez bas dans le continent, elles pourraient rencontrer les fous d'Allah remontant d'Afrique. L'Union européenne, soucieuse de leur faire bon accueil comme elle le fait pour tous, devrait alors réquisitionner tous les hôtels des stations des Alpes pour loger les combattants. Une aubaine pour certains hôteliers de stations en perte de vitesse, et dont les creux saisonniers sont une source de préoccupation constante pour l'économie locale.
Que ces soldats soient donc les bienvenus ! Le Samu social s'occupera des blessés, à l'arrière. A Courchevel, où les chalets seront transformés en hôpitaux de campagne, déjà, on se frotte les mains.
Et puis il faudra compter avec un demi million de réfugiés venus d'Afrique. Tous les hôtels de la Franche-Comté à la région parisienne enfin pleins à craquer de gens dont l'Etat et l'UE paieront les factures ! Dieu que la guerre est jolie !
Une vidéo édifiante où l'on voit comment le "malheur" des uns (les clandestins) fait le bonheur des autres (des hôteliers français) grâce à la manne que versent les contribuables français et européens et qui alimente le système en place. Où une certaine France renoue avec une certaine tradition : celle du petit commerçant qui fait son beurre de l'état de guerre; et où l'on voit une famille de "réfugiés" georgiens, logée à l'hôtel et ne payant rien depuis cinq ans, ne pas pouvoir se retenir de rire de découvrir les Français aussi gogos :
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