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Crise migratoire : face au « y a qu’à, faut qu’on », on tient la solution

Envoyé par Éric Guéguen 
Notre cher Président et son prédécesseur ont engagé la France dans des conflits qui n’étaient pas les siens, au nom d’intérêts eux aussi étrangers. Avec pour égérie un homme, pseudo-philosophe, qui sème le trouble dès qu’il pose les pieds quelque part, leurs projets étaient nécessairement mal engagés. Et voilà qu’au nom de ces forces occultes que sont les droits de l’homme et la démocratie, nous sommes allés favoriser, si ce n’est promouvoir, l’islamisme, l’horreur absolue, les têtes tranchées, la destruction du patrimoine de l’humanité, l’anarchie et le chaos.

Résultat : des communautés qui, libres du joug d’un tyran, s’entre-tuent, des villes rayées de la carte, des pays totalement démantelés et des centaines de milliers de personnes en exil. À défaut d’institutions politiques dignes de ce nom, l’Europe s’ébranle à présent pour une photo véritablement plébiscitée pour la douleur qu’elle procure. Et le même pseudo-philosophe de venir nous dire que, maintenant, il faut assumer…

Puisque chacun y va de son « y a qu’à, faut qu’on » pour se donner bonne conscience, voilà ce que je propose au sujet des migrants. Pour leur venir en aide, que nous faut-il ? Une terre d’accueil. Mais laquelle ? Cette terre d’accueil doit tout d’abord être vierge de tout conflit. Ces malheureux fuient une guerre, ce n’est pas pour en vivre une autre. Il faut donc s’assurer que l’ordre y est maintenu, fût-ce de main de maître.

Ensuite, en réponse à l’urgence de la situation, cette terre doit se situer à proche distance des lieux d’exil, et de préférence accessible par voie terrestre, que ce soit depuis l’Afrique ou le Moyen-Orient.

Par ailleurs, au vu du nombre de réfugiés que l’incurie occidentale a poussés loin de chez eux, il conviendrait que ce territoire présente une densité de population très faible, afin de voir venir.

Dans le même ordre d’idées, l’accueil ne serait bénéfique que si l’endroit était reconnu disposer d’immenses richesses, prêtes à profiter à des êtres en péril ayant tout perdu matériellement. Enfin, notre œuvre serait parfaitement achevée si ce refuge pouvait, en outre, proposer aux « migrants » des conditions de vie telles qu’ils ne soient pas trop dépaysés culturellement, en particulier du point de vue fondamental de leurs mœurs et de leurs croyances.

Résumons. Le choix devrait se porter sur une terre pacifiée, relativement voisine, très peu peuplée, riche et, disons-le, musulmane. Est-ce qu’un tel pays existe ? Ne sommes-nous pas trop gourmands ? Ne devons-nous pas en rabattre ? Eh bien, pas du tout : l’heureuse élue, c’est bel et bien l’Arabie saoudite.

Quitte à se montrer capables de déclencher des guerres pour faire basculer une dictature dans un chaos, pourquoi nos génies n’optent-ils pas pour celle-là ? Pourquoi ne pas signifier expressément à la péninsule Arabique son devoir moral en tant que phare du monde arabo-musulman ? Pourquoi les peuples européens doivent-ils payer la note ? C’est très simple. Parce que l’ordre que le dogme des droits de l’homme est incapable de faire respecter au niveau mondial lorsque ses intérêts financiers sont menacés sera imposé avec d’autant plus de fierté et d’aplomb aux masses européennes domestiquées.
Mais non M. Guéguen, il n'y a pas de crise ou de déferlante migratoire, seulement quelques vilaines "idées reçues". Bientôt, c'est toute l'immigration extra-européenne dont on nous dira chiffres à l'appui et droit dans les yeux qu'elle n'a jamais existé : une monstrueuse " idée reçue", la pire de toutes, pure construction fantasmatique (d'"extrême droite" of course).



Migrants : quatre « idées reçues » sur les réfugiés selon « 20 minutes »(quand on pense qu'un torchon pareil est lu par au moins 80℅ des usagers des transports en commun...).
le 24/09/2015

Le quotidien gratuit 20 Minutes nous explique que les inquiétudes suscitées par l’arrivée massive de migrants en France sont infondées.

Idée reçue n°1 : Ils vont envahir la France

En 2015 comme en 2014, la France recevra 65.000 demandeurs d’asile. Soit 980 personnes pour un million d’habitants. Proportionnellement, la France se classe à la 17e place européenne, derrière des pays comme la Suisse, la Belgique ou le Luxembourg. Sans compter que ces demandeurs d’asile ne deviendront pas tous des réfugiés, donc des migrants légaux. En 2014, moins de 22 % ont obtenu leur statut – la moyenne européenne est de 45 %. [...]

Idée reçue n°2 : Ils viennent chercher les généreuses prestations sociales de la France

«Les migrants cherchent à rejoindre la Suède ou l’Allemagne, où les prestations sociales sont équivalentes à celles proposées par la France, mais aussi le Royaume-Uni, où ces prestations sont très faibles. Cela prouve que l’effet d’attraction des prestations est mineur», argue Hillel Rapoport, professeur de sciences économiques à l’Université Paris 1. [...]

«Les demandeurs d’asile n’ont pas accès aux mêmes prestations sociales que les nationaux et ils n’ont pas non plus le droit de travailler», rappelle Olivier Clochard, chercheur au CNRS. Pendant cette période, ils doivent vivre avec 91 euros par mois s’ils sont hébergés dans un centre ou 343 euros s’ils n’ont pas d’hébergement. C’est moins que le RSA (524 euros pour une personne seule) ou que le minimum vieillesse (800 euros). Enfin, lorsqu’ils deviennent des réfugiés, donc des migrants légaux en droit de travailler, « les études prouvent qu’ils rapportent davantage qu’ils ne coûtent à la sécurité sociale », complète l’anthropologue Michel Agier.

Idée reçue n°3 : Ils viennent prendre nos emplois

«L’arrivée des migrants peut faire souffrir seulement les personnes les plus immédiatement substituables, c’est-à-dire les immigrés des générations précédentes et les natifs les moins qualifiés», avance Hillel Rapoport. [...]

Idée reçue n°4 : Ils n’ont qu’à migrer vers les pays « musulmans »

Ils le font : sur les 4,3 millions de Syriens qui ont fui leur pays depuis 2011, seuls 270.000, soit à peine plus de 6 %, ont rejoint l’Europe. [...] En revanche, ils ne vont pas dans les riches pays du Golfe, qui leur ferment leurs portes, par crainte de les voir importer chez eux leurs envies de libertés, de droits et de justice sociale. De toute façon, les Syriens ne veulent pas rejoindre des pays «où les travailleurs émigrés sont extrêmement mal traités», rappelle Maryse Tripier, et «s’ils fuient une dictature, ce n’est pas pour rejoindre un autre régime autoritaire… Ils aspirent à vivre dans une démocratie», insiste Olivier Clochard. C’était d’ailleurs pour cet idéal qu’ils s’étaient battus en 2011.
… si j’étais le dirigeant de Frontex

Interview de Thilo SARRAZIN
13 septembre 2015

Ce que j’ai écrit dans le livre „Deutschland schafft sich ab“ (L’Allemagne disparaît) s’est entièrement vérifié.





"Le faible taux de natalité, la radicalisation de l’islam, le décalage grandissant en matière d’éducation, la mutation de quartiers entiers se poursuivent. Situation qui va encore s’accentuer maintenant. J’en suis évidemment très préoccupé.

L’entraide est une bonne chose. Pourtant la question de la solidarité doit être séparée de la question de savoir ce qui est bon sur un long terme pour notre État, pour notre société.

Nous devons protéger notre propre population et notre modèle de société des menaces extérieures. Les pays en mauvaise situation ont le devoir de se développer convenablement. En 1960, Singapour était plus pauvre que le Ghana. Constatez la différence entre ces deux anciennes colonies britanniques aujourd’hui. Singapour ne doit sa situation actuelle à aucune puissance extérieure.

C’est un scandale dû à l’incapacité politique et au fantasme : 30 ans après le premier accord de Schengen, les politiques n’ont pas compris qu’il est possible d’éliminer le contrôle aux frontières internes que lorsque les frontières externes sont contrôlées avec efficacité. C’est tout à fait réalisable techniquement.

… Les murs et clôtures ne sont pas une si mauvaise chose pour le contrôle des frontières. L’Empire chinois a développé sa culture derrière un mur de 10'000 km durant 1800 ans. L’Empire romain s’est protégé des Germains et d’autres migrants de régions plus sauvages par des limes pendant plus de 400 ans avec succès. Partout dans le monde, des civilisations et cultures dotées d’une avance matérielle se sont protégées de l’immigration non règlementée.

Les Américains évitent une grande partie de l’immigration non voulue. La petite proportion d’illégaux crée suffisamment de problèmes. Les Américains n’ont toutefois pas notre problème d’ordre quantitatif avec la proximité de l’Afrique et ses 1,2 milliards d’habitants, qui s’élèveront à 4,4 milliards en 2100 selon les prévisions de l’ONU.

... Lors de la Première Guerre mondial, les Britanniques ont réussi à protéger la totalité de la mer du Nord des forceurs de blocus, cela sans radar et jusqu’en 1916 sans reconnaissance aérienne.

… Si j’étais dirigeant de Frontex avec des moyens politiques et financiers, chaque bateau serait contrôlé. Dans le cas où ce ne serait pas un navire commercial, tous les occupants seraient ramenés au point d’embarquement sur la côte africaine et je détruirais le bateau. Vous pouvez être certain que les tentatives cesseraient après six semaines. Il n’y aurait plus de victimes dans les traversées.

Les réfugiés d’Irak et de Syrie doivent être accueillis à proximité de leur pays d’origine, c’est-à-dire en Turquie, au nord de l’Irak, en Jordanie. Le retour après la guerre en serait facilité.

L’opinion publique subit une énorme pression par la couverture émotionnelle et absolument unilatérale des médias, surtout de la tv. J’ai l’impression que la grande majorité de la population n’ose plus exprimer ouvertement ses peurs et son avis. Je ne peux dire qu’une chose : il y a une très grande colère rentrée et une très grande frustration qui ne sont pas simplement limitées à la Saxe."

Les observateurs. ch
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