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Vous aviez bien dit "dissolution finale" Cassandre ?

Envoyé par Francis Marche 
Eh bien ça y est. Ils l'ont fait. La sémantique politique ne dit plus le sens, elle le hurle et hurle avec lui le retour du refoulé. Quand le kalergisme merkelien signale son essence :

[fr.news.yahoo.com]
Utilisateur anonyme
22 septembre 2015, 07:14   Re : Vous aviez bien dit "dissolution finale" Cassandre ?
Peter Himmelsbach, un jeune commerçant allemand de 28 ans qui visite Dachau pour la toute première fois, estime pour sa part que "la crise des réfugiés, c'est une chance de racheter" la Shoah."
......
SUBLIME !

À encadrer.

Le sentiment de culpabilité, lorsqu'il devient aussi démentiel, non seulement paralyse toute réflexion, tout agir, mais vous pousse droit dans le gouffre.
Ils prostituent ainsi toute l'Europe dans le seul but de "racheter" la Shoah, le colonialisme, l'esclavage, le racisme, la "souffrance diversitaire", les "discriminations", etc. Jamais vu dans toute l'histoire du monde un tel délire ethno-masochiste, enfin je crois. Une première.
[un commentateur sur Yahoo : et bien, puisque c'est écrit à l'entrée, j'espère qu'ils vont trouver du travail :-)...]

Je serais prêt à parier que ce lieu d'accueil a été choisi parce que les trains de migrants y arrivent directement. On ne veut pas être méchant ou cynique, mais s'il existe une France éternelle, on conçoit et on doit accepter qu'il existe une Allemagne éternelle : les méthodes changent, les outils demeurent (le train, le rail, les camps).
Pascal, nous écrivions ici il y a quelques jours (Cassandre, moi et quelques autres) que tout ceci était une shoah inversée, retournée comme un gant et rien d'autre, que les stratégies ethnocidaires empruntent des voies parfois opposées pour un même but. On m'a lancé des tomates pourries pour avoir écrit ça. J'espère que cette nouvelle va en aider certain à laver le caca d'oie qu'ils ont sur les yeux : ethnocide sanglant et ethnocide prétendûment pacifique sont de la même essence, poursuivent le même but; Hitler, Kalergi, même combat.

L'histoire qui se déroule sous nos yeux parle et dit tout du sens de ce qui advient, il suffit d'ouvrir les yeux, de voir ce que l'on voit, acte qui pour Péguy était le plus difficile au monde et, accessoirement, d'ouvrir les oreilles aux discours politiques des acteurs centraux de ce drame qui se joue comme au théâtre : la névrose allemande ("ce que nous faisons là doit racheter la Shoah") vient de trouver sa solution finale : rejouer la scène primitive en en changeant les acteurs. Retrouver le chemin de l'unité ethnopolitique européenne perdue en 1945 par des voies opposées à celle de l'auteur du traumatisme, et en remettre en scène les moyens : transferts de populations, trains, camps.

L'actualité vous a de ces éloquences...
Utilisateur anonyme
22 septembre 2015, 08:12   Re : Vous aviez bien dit "dissolution finale" Cassandre ?
On pourrait même imaginer des remplacistes (l'élite) abandonnant leurs maisons et leurs biens aux "migrants" et s'installant par milliers, en famille, dans ces camps, afin de "racheter" définitivement la Shoah. Peut-être que c'est ça, "La Fin de l'Histoire", au sens hégélien... ?

Il va sans dire que, par la suite, les anti-remplacistes seraient eux aussi " invités" à rejoindre les camps.
Pour parachever cette horreur, rien de plus éloquent que la traduction qui nous est donnée de l'inscription située à l'entrée du camp : "Pensez à comment nous sommes morts ici".

Pensez à comment...
Utilisateur anonyme
22 septembre 2015, 11:33   Re : Vous aviez bien dit "dissolution finale" Cassandre ?
Bein oui Thierry... Mais tout l'problème il est sur comment "racheter la Shoah", et sur les moyens d'utiliser au mieux "la chance" qu'on a de recevoir ces Envahisseurs par millions.
Utilisateur anonyme
22 septembre 2015, 12:23   Re : Vous aviez bien dit "dissolution finale" Cassandre ?
L'histoire qui se déroule sous nos yeux parle et dit tout du sens de ce qui advient, il suffit d'ouvrir les yeux, de voir ce que l'on voit, acte qui pour Péguy était le plus difficile au monde

Cette civilisation européenne que l'idéologie remplaciste défera jusqu'au bout, c'est très exactement ça, que l'on voit, et c'est cela, la destruction - la dé-struction. Ils vont dé-faire tout un travail de "struction" : c'est la marche en sens contraire, le retour aux profondeurs, à l'inouï.
Un extrait d'une conversation entre Julien Freund et Pierre Bérard :

J.F. - En l'occurrence, pour ce qui concerne l'Allemagne, l'hyper morale y secrète une fausse conscience qui confine à une dénationalisation brutale et dangereuse... Oui, la pénitence est devenue tout à la fois l'outil imparable et le solennel alibi d'un vandalisme inédit.

P.B. - C'est la furia teutonica enrôlée cette fois contre ses propres assises. Il ne s'agit pas tant de révoquer l'histoire que de la rendre présente, sans cesse, comme un remord incurable. Jusque dans la tombe l'œil réprobateur pétrifie le Caïn germanique pour lui inspirer une honte éternelle... Il lui est interdit de boire les eaux du Léthé...

L'intégralité de l'entretien ici :
[grece-fr.com]
Utilisateur anonyme
23 septembre 2015, 15:32   Re : Vous aviez bien dit "dissolution finale" Cassandre ?
Merci.

C'est grâce à Alain de Benoist que j'ai découvert Julien Freund, et grâce à Julien Freund que j'ai découvert Carl Schmitt, et grâce à Carl Schmitt que j'ai découvert Donoso Cortés (bon là j'arrête...).
La dialectique Abel-et-Caïn avait déjà été évoquée, ici, il y a plusieurs années à propos de l'hommage du capitalisme technosphérique (celui de la technosphère Apple, Facebook, etc.) au communisme (ce dont Mao et Pol Pot avaient rêvé, soit la disparition de la vie privée en tant que propriété de soi, à soi et par-devers soi, Facebook l'a fait). Facebook est donc aussi un hommage au communisme mort. Un hommage des terminateurs au terminé :

[www.in-nocence.org]

L'accueil merkelien-kalergiste des populations appelées, sommées de se rendre en Allemagne au camp de Dachau est un hommage (et message) addressé à deux classes de morts : celle des victimes du nazisme autant que celle que constitue le cadavre collectif du nazisme mort. L'unité de sens du roman historique allemand se paye au prix de cette ambivalence.
Par une sorte de paradoxe (pas si paradoxal quand on y réfléchit), le capitalisme mondialisé et ses institutions (ONU, OMC) sont les véritables héritiers du projet communiste d'unification sans frontièriste de l'humanité. D'ailleurs aujourd'hui les rescapés du gauchisme et certains prédateurs de la finance marchent ensemble. Ainsi l'Open Society de Soros ( qui a gagné des milliards en spéculant contre la livre britannique dans les années 1990) est derrière tous les projets de légalisation du cannabis, de Seattle à Montevideo, et de lutte contre les discriminations en finançant associations et chercheurs (comme Jobard du CESDIP qui a reçu de l'argent de l'OS pour étudier les contrôles aux faciès).
À propos d'Abel et Caïn, il faut rectifier une erreur qui n'a que trop duré. En réalité, Adam et Ève n'ont eu qu'un seul enfant, qu'ils ont prénommé Abd-el-Caïn ; Et ce sont ces enfoirés de sionistes qui, plus tard, pour occulter le fait qu'Adam et son épouse étaient de bons musulmans ne demandant qu'à vivre en paix, ont créé ce mythe ridicule des deux frères (dont un assassin, en plus). Tout en camouflant soigneusement que le serpent tentateur s'appelait Goldstein : usant d'arguments proprement infernaux, ce reptile visqueux a réussi à persuader la tendre et naïve Ève de soulever le grillage de sa burka ; c'est comme ça qu'elle a découvert l'existence des pommes, et que l'envie lui a pris de s'en croquer une petite, pour voir.
Utilisateur anonyme
23 septembre 2015, 21:51   Re : Vous aviez bien dit "dissolution finale" Cassandre ?
l'hommage du capitalisme technosphérique (celui de la technosphère Apple, Facebook, etc.) au communisme (ce dont Mao et Pol Pot avaient rêvé, soit la disparition de la vie privée en tant que propriété de soi, à soi et par-devers soi, Facebook l'a fait). Facebook est donc aussi un hommage au communisme mort.

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Très juste. Mais finalement cet hommage n'a rien très surprenant puisque communisme et capitalisme ont en commun, et ce dès le départ, les mêmes postulats égalitaires et économisants. Et à l'homme devenu un être intégralement économique, devenu une chose, il est indifférent d'avoir ou de n'avoir pas de vie privée : une chose n'a rien à cacher.
Je ne sais pas certaines choses que personne, de toute façon, ne sait. Le communisme fut l'agent de l'expansion, trivialement géographique, du capitalisme dix-neuviémiste, soit sa conquête orientale (Chine, Vietnam, bientôt Cambodge et Birmanie). Ce fut ma thèse et ça l'est encore tant que personne ne vient me la démolir en emportant ma conviction. Mais il doit aussi être possible de penser que le communisme, s'il fut une ruse historique du capitalisme, ne le fut que subjectivement et qu'une force guidante et surplombante tenait les rênes des deux, c'est ce que nous disait Alain Eytan il y a quelques années quand il disait et écrivait des choses utiles. Ce serait la technè, cette force qui emporte tout devant elle comme une rivière en crue nos meubles, nos immeubles et les paperasses qu'ils contiennent, et le communisme, dans cette crue irresistible, ne fit que ce que tous les politiques font toujours : être porté par le flot la tête émergeant pour feindre de le maîtriser et d'en orienter le cours.

Donc, est lisible, dans l'état des choses actuel en Orient, ce fait qui fait sens : le communisme, outil, intermède, entretoise de 70 ans fut la passerelle historique du capitalisme européen (davantage qu'Occidental, car l'Amérique s'en exclut religieusement) vers l'Orient, soit. Mais cela est une manière dantesque ou shakespearienne de dire l'histoire, et il se peut bien que l'impensable soit : que cette manière de penser ne soit qu'un dit original et romanesque et qu'il ne touche pas, ne saisisse pas le réel supérieur et "métaphysique" de cette histoire : une force tierce et supérieure voulut le communisme et le capitalisme et son axe et son cours se situent au-delà de ces manifestations. C'est une terrible hypothèse qui fait fi de notre liberté historique. Je n'en sais pas plus que vous.
Imaginez cette Europe qui vient : sous la férule d'une Allemagne d'autant plus sûre d'elle, d'autant plus disposée à imposer ses diktats qu'elle sera, à nouveau, comme cul et chemise avec les musulmans qui ne lui ont toujours voulu que du bien ...
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