Utilisateur anonyme
11 juillet 2016, 11:29
Les nouveaux dieux
|
11 juillet 2016, 13:42 Re : Les nouveaux dieux |
11 juillet 2016, 14:14 Re : Les nouveaux dieux |
Citation
Francis Marche
la bimbo d'un côté, le bourin à plastique lisse et reluisante de l'autre [...]
11 juillet 2016, 16:32 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
11 juillet 2016, 18:00
Re : Les nouveaux dieux
|
11 juillet 2016, 18:30 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
11 juillet 2016, 19:32
Re : Les nouveaux dieux
|
11 juillet 2016, 20:16 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
11 juillet 2016, 20:22
Re : Les nouveaux dieux
|
12 juillet 2016, 11:42 Re : Les nouveaux dieux |
12 juillet 2016, 12:52 De l'indétermination |
12 juillet 2016, 14:28 Re : Les nouveaux dieux |
Citation
Afchine Davoudi
Pardon, mais c'est à mon avis une grande erreur que d'associer ces images à celles d'animaux, fussent-ils considérés comme particulièrement frustes et libidineux.
L'animal est toujours une perfection en soi. L'homme n'est jamais l'équivalent de l'animal : ou bien il s'élève à sa condition d'homme et commence dès lors à devenir respectable, parfois admirable ; ou bien il sombre, comme c'est sa pente naturelle, mais alors il est très, très en dessous de l'animal.
Bref, de grâce, n'insultons plus les animaux ici — pas même les babouins.
12 juillet 2016, 15:13 Re : Les nouveaux dieux |
12 juillet 2016, 15:25 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
12 juillet 2016, 16:34
Re : Les nouveaux dieux
|
12 juillet 2016, 18:34 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
12 juillet 2016, 19:54
Re : Les nouveaux dieux
|
Utilisateur anonyme
12 juillet 2016, 20:01
Re : Les nouveaux dieux
|
Utilisateur anonyme
12 juillet 2016, 20:26
Re : Les nouveaux dieux
|
12 juillet 2016, 21:58 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
12 juillet 2016, 23:45
Re : Les nouveaux dieux
|
13 juillet 2016, 08:24 Re : Les nouveaux dieux |
13 juillet 2016, 08:48 Re : Les nouveaux dieux |
13 juillet 2016, 12:48 Re : Les nouveaux dieux |
Citation
Afchine Davoudi
« il n'y aura donc pas de "condition d'homme" univoque à laquelle s'élever, d'ultime vocation humaine à accompli »
Et pourtant... L'in-nocence d'un Camus, le surconscient d'un Paul Diel...
Nous sommes bien là pour tendre vers quelque chose, n'est-ce pas ?
13 juillet 2016, 15:09 Re : Les nouveaux dieux |
13 juillet 2016, 15:14 Re : Les nouveaux dieux |
Citation
Serge Diot
Effectivement, un gros salaire et être vu au côté d'une célébrité constituent des avantages indiscutables dans la conquête. Et cela ne concerne pas seulement les footballeurs.
D'ailleurs ce que vous dites, Francis Marche, est illustré par Adriana Karembeu, super canon Bulgare, compagne éphémère d'un footballeur champion du monde et mise orbite dans la galaxie médiatique.
13 juillet 2016, 15:20 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
13 juillet 2016, 18:11
Re : Les nouveaux dieux
|
13 juillet 2016, 19:29 Sois belle et instruis-nous |
13 juillet 2016, 20:12 Re : Les nouveaux dieux |
13 juillet 2016, 21:04 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
14 juillet 2016, 10:29
Re : Les nouveaux dieux
|
Utilisateur anonyme
14 juillet 2016, 10:37
Re : Les nouveaux dieux
|
14 juillet 2016, 14:05 Sauver les belles |
14 juillet 2016, 14:27 Re : Sauver les belles |
15 juillet 2016, 14:36 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
15 juillet 2016, 15:01
Re : Les nouveaux dieux
|
15 juillet 2016, 19:58 Re : Les nouveaux dieux |
15 juillet 2016, 22:01 Re : Les nouveaux dieux |
Citation
Alain Eytan
» J'évoquais ici le Beau comme révélation et mission chez un sujet qui s'en découvre investi
Sacrée mission alors, ingrate, pénible souvent, car la belle forme, comme la bonne parole peut-être, se heurte souvent à une incoercible réaction de rejet, d'incompréhension, de stupeur : je crois que Simone Weil, dans le court extrait cité plus haut, avait eu l'intuition juste : si le beau attire, c'est pour le toucher, le modifier, le souiller, selon ses termes ; tel quel, intouchable et intouché, inentamé dans sa perfection, il scandalise, il heurte, il est une irruption inacceptable d'un ordre autre, et probablement perçue comme intrinsèquement menaçante, parce qu'insensée en soi : le beau comme perfection est ce qui se suffit à soi-même, ne souffre plus aucune relation à une altérité (ce qui est la condition du sens), il est "ce qu'on peut pas vouloir changer", et instaure une distance qui ne pourra être comblée, manifestant l'étrangeté par excellence dans un monde de demi-mesures et d'entre-deux.
J'avais cité il y a quelques années ce passage de l'Amour fou :
« C'était quelque être très jeune, mais de qui ce signe distinctif ne s'imposait cependant pas à première vue, en raison de cette illusion qu'il donnait de se déplacer en plein jour dans la lumière d'une lampe. Je l'avais déjà vu pénétrer deux ou trois fois dans ce lieu : il m'avait à chaque fois été annoncé, avant de s'offrir à mon regard, par je ne sais quel mouvement de saisissement d'épaule à épaule ondulant jusqu'à moi à travers cette salle de café depuis la porte. Ce mouvement, dans la mesure même où, agitant une assistance vulgaire, il prend très vite un caractère hostile, que ce soit dans la vie ou dans l'art, m'a toujours averti de la présence du beau. »
16 juillet 2016, 06:50 Re : Les nouveaux dieux |
16 juillet 2016, 18:51 Re : Les nouveaux dieux |
26 juillet 2016, 08:54 Re : Les nouveaux dieux |
Utilisateur anonyme
26 juillet 2016, 09:28
Re : Les nouveaux dieux
|
26 juillet 2016, 13:50 Divagation d'une chaude journée d'été : les voies impénétrables |