Je ne suis pas raciste. Je ne pense pas que les Arabes, les Noirs ou les Jaunes constituent une race de sous-hommes. La France des de souche est un pays de culture judéo-chrétienne et de race blanche. Le sénégal des de souche est un pays de culture musulmane et de race noire. Le Japon des de souche est un pays traditionnellement shintoïste et de race jaune. Nul racisme là-dedans. Je n'ai pas de préjugés envers les Arabes et les musulmans mais seulement des postjugés. Je n'aime pas les musulmans comme je n'aime pas les nazis. Je suis islamophobe et naziphobe. Je ne suis pas raciste. Je ne peux pas aimer ceux qui représentent 90% de la population carcérale en Ile-de-France, ceux qui menacent ma civilisation, mon vivre ensemble, ma tranquillité, qui placent la Loi de leur Dieu au-dessus la république. Je préfèrerais qu'ils partissent de chez moi. Avec eux la société n'est pas devenue meilleure ni plus douce et apaisée, bien au contraire. On ne manquera pas, bien sûr, de me reprocher d'amalgamer tous les musulmans et donc d'être bien raciste. Primo, comme je l'ai dit plus haut, il ne s'agit pas de préjugés mais de postjugés à leur encontre, c'est-à-dire du primat accordé au Réel dans mon sentiment de désamour. Secundo, comme déjà dit aussi, je ne considère nullement que ce sont des sous-hommes. Tertio, si je considère que tout individu est bien unique, singulier, ne se réduisant pas stricto sensu à sa communauté d'appartenance et/ou d'origine, pour autant je ne me contente pas de m'abriter paresseusement, et finalement un peu lâchement, derrière ce trop facile paravent antiraciste usé jusqu'à la corde ; pour faire très court on sait au-moins depuis Kant que la synthèse (littéralement
mettre ensemble), est une des activités phares de notre cerveau, laquelle nous permet d'accéder à une connaissance, à une perception
phénoménale du Réel, par le biais de la sensibilité et de l'entendement. Cette synthèse nous donnant spontanément (c'est-à-dire sans analyse aucune) le sentiment que l'on a des évènements et des choses se présentant à nous dans l'Espace et le Temps. Cette activité de synthèse (d'amalgame) est constitutionnelle à notre esprit. Inconsciemment on met ensemble tout ce qu'on juge relevant d'un même concept. Quand les musulmans, en France, sont surreprésentés dans les prisons, les trafics de drogue et agressions en tout genre, par quel miracle pourraient-ils être aimés de moi, de nous ? N'ayant aucune possibilité matérielle de les juger pris un par un, ils se trouveront nécessairement rejeter en bloc. C'est pour cela qu'ils se trouvent soi-disant
discriminés quand il s'agit de location d'appartement ou d'entrée en discothèque. Les
postjugés, et non les idées reçues, sont passés par là. C'est bien sûr dommage et injuste pour tous ceux qui sont
biens sous tout rapport mais c'est fatal. Cette méfiance n'étant pas due au racisme des
de souche mais à ceux qui, par leur comportement détestable, l'ont rendue inévitable.
L'individu existe toujours bien, mais la prégnance du milieu sur lui est ici très forte, surtout quand cet environnement (islamiste) est de nature totalisante pour ne pas dire totalitaire. Par contre quand je connais personnellement un de ces individus et que mon analyse juge qu'il est une personne
bien sous tout rapport alors mon jugement analytique peut prendre forme pour cette personne mais uniquement pour elle.