L'Etat devra à terme réquisitionner les familles.
En vue de l'accueil des Mineurs Etrangers Isolés (MEI), l'Etat devrait, en toute logique, procéder à la réquisition des familles afin de procéder à l'enregistrement des nouveaux arrivants, à leur installation sur le territoire dit 'français', en attendant que leur majorité rende leur naturalisation automatique, et leur expulsion des centres d'accueil tout aussi automatique.
En effet, il faut considérer la progression géométrique observée:
En
2005, La France estimait en 2005 qu’ils étaient de 4 000 à 6 000
En
2014, plus de 7 000 mineurs isolés étrangers ont demandé l’asile.
En 2016, le chiffre est de 12 000
En
2017, le chiffre de 25 000 devrait être atteint d’ici à la fin de l’année,
Un chiffre avoisinant 50.000 mineurs isolés pour l'année 2018 correspond donc à la progression géométrique observée.
Avec 50.000 nouveaux mineurs isolés au cours d'une même année, l’État aura donc tout naturellement à se tourner vers les familles (si possibles, de nationalité dite 'française') afin de se sortir de cet épineux problème.
Bien entendu, il faut envisager de rendre la solution pérenne.
Bien entendu, un salaire s'imposerait.
Bien entendu, cette nouvelle activité participerait de la croissance.
Bien entendu, cette nouvelle activité participerait de la résorption du chômage.
#Pas_Touche_A_Ton_Mineur_Isolé_Qui_fait_Aussi_Gagner_Un_Point_De_Croissance
(Qu'est-ce qu'on parie ?)