Quelques exemples, parmi tant d'autres visibles sur ce forum, qui montrent spectaculairement combien la thèse
Pellet ne peut prétendre à d'autre statut que celui d'injure.
Ben oui on ne vous le dira jamais assez bande de ploucs!
Toute cette jeunesse "africaine" qui terrorise à qui mieux mieux les trop fameux "quartiers", brûle voitures, caillasse flics, pompiers ou médecins, détruit écoles et gymnases, rackette, insulte, agresse et "noce" à tout va quand elle ne massacre pas à 20 contre un un tiers croisé par hasard, toute cette flamboyante et généreuse jeunesse "africaine", disais-je donc, n'aspire qu'à une seule chose: aimer et être aimée!!
Mais qu'attendons-nous donc bon dieu de bon dieu pour enfin les aimer??
Daniel TEYSSIER 21/11/2012
Je ne suis pas raciste. Je ne pense pas que les Arabes, les Noirs ou les Jaunes constituent une race de sous-hommes. La France des de souche est un pays de culture judéo-chrétienne et de race blanche. Le sénégal des de souche est un pays de culture musulmane et de race noire. Le Japon des de souche est un pays traditionnellement shintoïste et de race jaune. Nul racisme là-dedans. Je n'ai pas de préjugés envers les Arabes et les musulmans mais seulement des postjugés.
Je n'aime pas les musulmans comme je n'aime pas les nazis. Je suis islamophobe et naziphobe. Je ne suis pas raciste. Je ne peux pas aimer ceux qui représentent 90% de la population carcérale en Ile-de-France, ceux qui menacent ma civilisation, mon vivre ensemble, ma tranquillité, qui placent la Loi de leur Dieu au-dessus la république. Je préfèrerais qu'ils partissent de chez moi. Avec eux la société n'est pas devenue meilleure ni plus douce et apaisée, bien au contraire. On ne manquera pas, bien sûr, de me reprocher d'amalgamer tous les musulmans et donc d'être bien raciste. Primo, comme je l'ai dit plus haut, il ne s'agit pas de préjugés mais de postjugés à leur encontre, c'est-à-dire du primat accordé au Réel dans mon sentiment de désamour. Secundo, comme déjà dit aussi, je ne considère nullement que ce sont des sous-hommes. Tertio, si je considère que tout individu est bien unique, singulier, ne se réduisant pas stricto sensu à sa communauté d'appartenance et/ou d'origine, pour autant je ne me contente pas de m'abriter paresseusement, et finalement un peu lâchement, derrière ce trop facile paravent antiraciste usé jusqu'à la corde ; pour faire très court on sait au-moins depuis Kant que la synthèse (littéralement mettre ensemble), est une des activités phares de notre cerveau, laquelle nous permet d'accéder à une connaissance, à une perception phénoménale du Réel, par le biais de la sensibilité et de l'entendement. Cette synthèse nous donnant spontanément (c'est-à-dire sans analyse aucune) le sentiment que l'on a des évènements et des choses se présentant à nous dans l'Espace et le Temps. Cette activité de synthèse (d'amalgame) est constitutionnelle à notre esprit. Inconsciemment on met ensemble tout ce qu'on juge relevant d'un même concept. Quand les musulmans, en France, sont surreprésentés dans les prisons, les trafics de drogue et agressions en tout genre, par quel miracle pourraient-ils être aimés de moi, de nous ? N'ayant aucune possibilité matérielle de les juger pris un par un, ils se trouveront nécessairement rejeter en bloc. C'est pour cela qu'ils se trouvent soi-disant discriminés quand il s'agit de location d'appartement ou d'entrée en discothèque. Les postjugés, et non les idées reçues, sont passés par là. C'est bien sûr dommage et injuste pour tous ceux qui sont biens sous tout rapport mais c'est fatal. Cette méfiance n'étant pas due au racisme des de souche mais à ceux qui, par leur comportement détestable, l'ont rendue inévitable.
L'individu existe toujours bien, mais la prégnance du milieu sur lui est ici très forte, surtout quand cet environnement (islamiste) est de nature totalisante pour ne pas dire totalitaire. Par contre quand je connais personnellement un de ces individus et que mon analyse juge qu'il est une personne bien sous tout rapport alors mon jugement analytique peut prendre forme pour cette personne mais uniquement pour elle.
Daniel TEYSSIER 09/01/2017
Que ce soit la sainte trilogie bien-pensante du Monde, Libé, Télérama, ou les Verts et leurs acolytes gauchistes, mais aussi une grande part de notre Gauche dite non radicale, ou encore notre très vigilant service dit Public (avec en tête France inter et France culture), quels gros paresseux ils font tout de même à vouloir encore et toujours nous expliquer, à chaque fois qu'un conflit éclate entre les "africains" (nommés ainsi par commodité d'écriture, qu'ils soient étrangers ou français d'origine africaine), ou plus récemment les Roms, et les "de souche", ou à chaque fois qu'une difficulté d'intégration surgit, combien la responsabilité entière en incombe à un nécessaire racisme des indigènes ou, à tout le moins, à leur xénophobie viscérale.
Et ceci bien entendu tout à fait spontanément, sans aucune réflexion ni analyse un tant soi peu menées. L'idéologie seule menant le bal, sans s'encombrer ni se brider d'aucune rationnalité, d'aucune espèce d'intelligence.
Trop fatigant pour ces purs Vigilants! Penser, raisonner, questionner, analyser, rendre intelligible n'est-ce pas déjà donner des signes inquiétants de xénophobie rampante, passer du côté obscur? Alors que tout est parfaitement clair et limpide pour nos Vigilants! Tout est déjà là! D'un côté les éternelles victimes, de l'autre les méchants, les rancis, les salauds de toute éternité! Hors de ce catéchisme prêt-à-ne-pas-penser il n'y a rien!
Cette paresse intellectuelle est bien sûr très tentante et séduisante. Outre qu'elle dispense du moindre effort intellectuel, elle vous confère une posture avantageuse à tous égards, vous érige en Homme vertueux et soucieux de l'Autre, vous situe d'emblée dans la très convoitée confrérie du Camp du Bien! Vous en êtes et vous voulez que ça se sache, être reconnu comme tel! (Si vous êtes journaliste TV surtout ne jamais sourire quand vous recevez Marine Le Pen mais au-contraire tirer une sale tronche d'1 km afin que l'on sache bien combien vous en êtes!).
C'est gagnant-gagnant.
Ce même travers se manifeste de façon identique dans le cas des gens du voyage. Ces derniers tenant le rôle des "africains" et les "de souche" étant bien entendu toujours assujettis à celui de bouc émissaire.
Il nous ait expliqué une fois de plus combien nous nous leurrons sur ces pauvres gens, combien nos préjugés envers eux ne sont que de purs fantasmes et le lot d'une méconnaissance de l'Autre, que toute notre haine vient de là.
On commence à avoir l'habitude d'un tel discours ronronnant. Mais ceux qui nous tiennent ce bien misérable discours (misérable car sans aucune exigence intellectuelle et de plus sans aucune analyse singulière de terrain) sombrent bien souvent eux-mêmes dans les clichés les plus puérils, bien loin de la réalité vécue.
Bien lovés au chaud dans leur bobo-sphère étanche aux joyeusetés qu'offre la Diversité,ils imaginent tous ces sympathiques gens du voyage toujours en train, tel un Django Reinhardt, de jouer de la guitare, les femmes aux belles robes colorées dansant voluptueusement autour d'un feu de camp, les rires fusant de toute part.
Pourtant les chiffres de la gendarmerie sont très significatifs et ne laissent guère de doute. Les gens du voyage sont manifestement très sur-représentés dans les larcins et trafics en tout genre (comme il était dit dans un reportage traitant du métier de gendarme en province, lequel sortait du gnangnan antiraciste ordinaire).
Apparaissaient dans ce vivifiant reportage, à l'opposé de l'orthodoxie ambiante, tout le racisme, la violence, la maltraitance tenant lieu de quotidien et même de tradition ancestrale.
"Leurs filles" sont systématiquement retirées de l'école vers la douzième année au double motif qu'elles en savent assez pour faire la boniche à la maison et surtout afin de prévenir une malencontreuse rencontre avec un gadjé.
Cela pourrait en ce cas justifier un crime d'honneur!
Dès lors, ne sont-ils pas nécessairement les auteurs privilégiés de leur exclusion, laquelle apparaît comme fortement désirée ne serait-ce que pour sauvegarder un sang pur?
J'ai pu personnellement maintes fois constater tous les problèmes de vols, de rackett, de violence et d'impolitesse amenés à l'intérieur de l'école par les enfants gitans mais aussi par les parents eux-mêmes.
Mais les "de souche" ne peuvent malheureusement pas toujours servir de bouc émissaire à tous les conflits.
Ce serait vraiment trop beau! Par exemple à Perpignan où gitans et arabes s'étaient livrés à de sanglants affrontements d'une extrême violence.
Dans un tel cas de figure on a, bien sûr, dans les médias, renvoyé les deux camps dos à dos. On ne pouvait sérieusement pas s'en prendre un en grippe. Mais que se serait-il passé si l'un des deux protagonistes avait été les "de souche"? La réponse est bien sûr dans la question.
Or qui ne voit que cette posture consistant à expliquer tous ces conflits par un nécessaire racisme des "de souche" revêt elle-même un essentialisme et donc un racisme sournois envers eux?
(ici j'utilise les guillemets car la langue écrite correctement m'y oblige. Je veux bien être l'obligé de ma langue et de sa syntaxe mais c'est faire bien trop d'honneur à un Le Pen que d'en faire le diapason de la langue française en s'interdisant certaines expressions, pourtant bien antérieures à lui, au seul motif qui voudrait qu'un jour on les lui a faites siennes. Par cette même stupide raison, on s'est interdit de parler de nation, de la France, de son drapeau mais aussi de l'explosion de la délinquance ou des problèmes liés à une immigration massive).
Lesquels "de souche" ne peuvent même plus se nommer, se définir et en sont réduits à n'être que des fantômes sans consistance, totalement transparents et finalement inexistants.
Toujours ce fâmeux déni de réalité cher à la Gauche!
Mais je suis injuste. Quelques-uns ou quelques-unes, comme cette défenseuse des "indigènes de la République" les ont baptisés "sous-chiens" et aussi "faces de craie". Donc, au final, il semble qu'ils existeraient bel et bien, malgré toute l'aversion qu'on en aurait. On veut bien les sortir de leur non-existence si c'est pour les insulter!
Il est assez paradoxal de constater à quel point nos Verts et consorts sont très à l'écoute et pointilleux envers ce qui a trait aux droits de ceux qu'on nomme les minorités visibles (eux au-moins existent bel et bien), du respect que l'on doit à leurs cultures et à leurs traditions, alors qu'à l'inverse, ces mêmes droits sont carrément ignorés en faveur des "de souche".
Ces derniers sont en effet les seuls à n'être autorisés qu'à présenter une page blanche pour tout patrimoine culturel et pour tout héritage. Toujours à la recherche incessante du moins-disant culturel et du plus petit dénominateur commun.
Idem pour nos fâmeux Européens convaincus, lesquels on pensait les savoir plus enthousiastes et plus fiers de leurs racines grecques, romaines et chrétiennes et des valeurs qui s'y attachent.
Mais bon! Peut-êre a-t-on mal lu, et qu'il était écrit Européens cons-vaincus!
Et cela pour quelle grandiose raison?
Tout simplement par la peur d'exclure quiconque de notre pays. Pour être sûr de ne pas en laisser quelques-uns sur la touche, nous nous devons de faire profil bas, de ne pas nous définir en rien, considérant que la moindre de nos valeurs affichées représenterait une intolérable arrogance faite aux autres, à l'Autre.
Vivons donc couchés! Il ne saurait être question de proposer, aux nouveaux venus qui, bien souvent à notre corps défendant, nous ont choisis pour hôte, un quelconque catalogue des valeurs qui fondent notre civilisation et qui ont façonné notre vivre-ensemble, sans être illico presto taxés d'arrogance et de violence faite à leurs cultures d'appartenance.
Quel anthropocentrisme redoutable fait-on preuve dès lors qu'on critique l'excision, la polygamie ou le port de la burqua. Ne sont-elles pas en effets de bien innocentes traditions culturelles à préserver de notre xénophobie pathologique et de notre soi-disant universalité des Droits de l'Homme.
De Gaulle avait défini les Français comme étant majoritairement catholiques et de race blanche. Et pourtant c'était bien avant la lepénisation des esprits.
Il est aujourd'hui très délicat de s'exprimer en ces termes bien que j'ai du mal à y percevoir un quelconque racisme. J'y vois juste l'expression bien modeste de la reconnaissance d'une simple réalité historique.
De la même façon que si on me déclarait tout de go : le Soudan est majoritairement un peuple de race noire et de religion musulmane, ou encore, le Japon est majoritairement un peuple de race jaune et de religion shintoïste, j'aurais du mal à croire que mon interlocuteur fait preuve d'un racisme inacceptable.
A en suivre la sainte trilogie du Monde, Libé,Télérama, la France des "de souche" ne serait qu'un marécage nauséabond et infect dans lequel pataugeraient ses indigènes, presque tous racistes en diable.
C'est, paraît-il, ce que l'Homme de Gauche se doit, de nos jours, de déclarer pour faire montre de bien-pensance, c'est à dire d'appartenance au camp du Bien.
Tout au contraire, je crois, au rebours de la doxa antiraciste des Vigilants, que la France des "de souche" est un des pays les moins racistes du Monde, un des plus tolérants et des plus accueillants.
Le racisme le plus tonitruant et le plus affiché étant le racisme anti-juif et anti-blanc (dans les cours d'école on entend plus de "sale juif", de "sale feuj" ou de "sale français" que de "sale arabe" ou "sale nègre"), mais aussi entre ethnies noires ou encore entre noirs et arabes (le nombre d'unions consacrant un noir à un arabe est infime même si tous les deux sont musulmans. Les Noirs ne sont pas acceptés par la famille arabe).
En outre que penser des nettoyages ethniques de masse qui font florès en Afrique noire? Sont-ils à l'abri d'une qualification de racisme au seul motif que des Noirs massacrent d'autres Noirs?
Il y a de cela quelques années, quand un militant de la cause communiste déblatérait contre la France et sa politique sociale, il était coutumier qu'il se voit répondre : "Citer moi un seul pays où on vit mieux qu'en France!". Et immanquablement le bec de ce militant s'en trouvait cloué, bien en peine qu'il était d'en trouver un de ces pays, surtout parmi ceux chers à son idéologie. De nos jours, bien entendu, on pourrait plus facilement en trouver de ces pays.
Je serais tenté d'imiter cette réaction d'époque. "Citer moi un seul pays d'Afrique moins raciste que la France, plus tolérant et accueillant avec l'étranger, avec l'Autre".
Arrêtons donc de dire sur tous les tons qu'il y a du racisme, de la xénophobie et de la discrimination en France et que tout cela fait que les immigrés se trouvent exclus et non intégrés dans ce qu'on dit être chez eux.
S'il s'agit de nous dire qu'il y a du racisme en France cela est une banalité sans aucun intérêt. Aucun pays au Monde ne saurait se prévaloir d'une virginité à ce sujet. Aucun n'en est exempté.
Du reste, comme nous l'a bien expliqué CL Strauss, xénophobie n'est pas racisme!
L'homme blanc, chrétien, hétéro, occidental...comme aime à se définir Richard Millet, n'est pas plus atteint qu'un autre de son espèce, bien que le projecteur soit souvent braqué complaisamment sur Lui! Il n'en a aucunement l'apanage, ni l'exclusivité. Croire et militer pour l'idée qu'il en serait plus atteint que d'autres de son espèce, nous ferait immanquablement tomber dans un racisme anti-blanc.
On peut penser que la xénophobie est certainement au coeur de l'Homme, intrinsèque à sa nature. Raison de plus pour ne pas l'exacerber par des comportements agressifs et irrespectueux.
Il est en effet tout à fait naturel pour des autochtones, quels qu'ils soient, de se montrer quelque peu méfiants envers de nouveaux arrivants (comme c'était bien la cas quand des Blancs européens s'implantaient ou seulement visitaient des contrées de pygmées ou d'arborigènes), lesquels ont une culture et des traditions parfois très éloignées de celles de leurs hôtes.
Mais, dès lors que s'est écoulée cette phase transitoire durant laquelle on s'observe et se jauge, durant laquelle on ne confiera pas d'emblée son portefeuille ou ses clés de voiture (comme on le fait avec ses proches), il n'y a plus guère de problèmes d'intégration, à condition qu'il y ait un réel désir de vouloir s'intégrer et donc un minimum d'acculturation, à condition aussi bien sûr de ne pas se trouver en butte à un pur racisme doctrinaire (tels les juifs en Allemagne nazie. Dans ce cas bien entendu pas d'intégration envisageable. On est marqué à tout jamais comme sous-homme), mais aussi à condition, et ce n'est presque jamais exposé dans nos médias de la bien-pensance, que l'on se comporte
avec un minimum d'honnêteté et de savoir-vivre envers les hôtes!
Pour être aimé il faut se rendre aimable!
Or le trop-plein de comportements associaux n'a pas rendu possible une bonne intégration des "africains". Le comportement délinquant ou criminel de certains portant immanquablement ombrage sur l'ensemble des immigrés africains. C'est fatal.
Un propriétaire ayant déjà eu quelques mésaventures de loyers impayés ou de dégradations de son bien, avec un des membres d'une minorité visible, ne louera plus son logement à un de ceux-là.
Idem pour un patron, qui a pu connaître maints déboires avec de jeunes "africains", et de ce fait ne sera pas très chaud à renouveler l'expérience.
Bien souvent on a donc tort de parler de discrimination à l'embauche ou au logement. On a affaire surtout à du froid pragmatisme et les responsables ne sont personne d'autres que ceux qui, par leurs comportements délinquants, l'ont rendu possible.
Pour être aimé il faut se rendre aimable!
A l'inverse, après une difficile période d'observation, les Italiens, Polonais, Espagnols ou Portugais, se sont rapidement intégrés car ils ont su être de dignes ambassadeurs de leurs pays d'origine.
Leur insertion/intégration/assimilation s'est faite avec une certaine rudesse et intransigeance. Mais bien heureusement ils avaient le souci de réussir leur intégration et étaient fiers de recevoir la nationalité française et d'épouser son Histoire. Pleins de reconnaissance aussi à l'égard de ce pays qui avait bien voulu les accueillir en son sein, malgré les difficultés que leur faisaient certains de ses indigènes.
On comprendra notre prolo "de souche" quand, face à ce carnage dont jamais dans l'Histoire de France, aucune autre immigration n'avait donné lieu, il se souvient de la cité paisible où il avait emménagé, où il y faisait bon vivre (bien qu'on ne parlait pas encore du vivre-ensemble), et qu'il se dit que finalement on était beaucoup mieux avant, c'est à dire sans eux, du temps où la France était certes blanche mais où on ne se barricadait pas chez soi, où les enfants allaient à l'école en toute sécurité, où la racaille "sensible" ne tenait pas le haut du pavé, où on savait lire bien avant d'entrer au collège, où on pouvait sortir de chez soi sans nécessairement toujours fermer à clef, où on pouvait librement se promener en tout lieu de France, que ce soit en banlieue ou ailleurs, où la honte habitait encore les voleurs démasqués, où il faisait encore bon vivre dans une France relativement très unie dans ses moeurs, ses projets et sa façon de vivre, de sentir et de penser.
Employons-nous quelques instants à sortir de la bobo-sphère et imaginons ce que peut être la vie au quotidien d'un prolo blanc de souche vivant en cité dite pudiquement "sensible", se faisant insulter par ses jeunes voisins, "africains" pour la plupart, trouvant sa voiture brûlée au pied de son HLM, ses enfants régulièrement molestés et rackettés au sein même de leur école, sa femme interpellée voire agressée par un "sensible", son appartement visité, son sommeil gravement perturbé par tous ces sévices mais aussi par le bruit quasiment incessant de brailleurs et d'engins motorisés.
Il existe des centaines de ces quartiers "à risques" où les quelques Français de souche qui restent, vivent cloîtrés chez eux, hésitent à emprunter leurs escaliers délabrés et gangrénés de petits dealers et supplient les services sociaux de leur trouver n'importe quel logement, du moment que c'est ailleurs!
De plus quand il ouvre la télévision et qu'il voit tel sociologue de service commandé ou tel politique dit "progressiste" lui expliquer doctement que toute cette jeunesse des cités est une richesse pour son pays, qu'elle est victime d'une société raciste et intolérante qui en font des exclus, et que lui, Français de souche, n'est qu'un ignoble individu xénophobe et ranci alors, bien sûr, tout est accompli pour que le Front National et l'islamisme croissent conjointement dans ces zones désertées par la République.
Il aura forcément la nostalgie d'une époque révolue où les cités étaient, certes mixées socialement, mais très majoritairement "blanche". Et comment lui en vouloir?
Avec l'afflux d'immigrés africains, tout a été de mal en pis et a fini dans la ghettoïsation forcée de l'intérieur, par les nouveaux venus.
Loyers impayés en abondance (plus des 3/4) en conséquence de quoi aucune réparation n'est effectuée par les propriétaires et donc dégradation spectaculaire des locaux ; effondrement du prix de vente des biens immobiliers ; explosion de la délinquance pourrissant le quotidien de chacun ; voitures brûlées; niveau dramatiquement bas dans les écoles ; violences et racketts au sein même des écoles (comme l'ânonne la Gauche : Pas d'école-sanctuaire) ; trafic de drogue à ciel ouvert ; bruit incessant de jour comme de nuit ; magasins saccagés ou braqués ; policiers mais aussi pompiers et médecins caillassés ; particuliers (de préférence seul et sans défense comme les personnes âgées) agressés et volés ; pharmacies, médecins, magasins, banques braqués.
Mais qui donc aurait envie de mixité sociale à ce prix?
Ne faudrait-il pas accorder enfin toute son importance à ces comportements associaux plutôt que de tout vouloir justifier paresseusement par le racisme des "de souche"?
Tout cela rendant la vie impossible et faisant place nette, oeuvrant ainsi à une ghettoïsation "africaine".
Comme le disait Emmanuel Valls, dans des paroles "volées" : "J'aimerais plus de métissage donc plus de blancs ici."
Il apparaît donc que, comme pour les gitans, l'exclusion dont seraient victimes les habitants de ce qu'on appelle les quartiers sensibles, est largement le fait du comportement de certains de leurs résidents, désireux de rester entre soi et de se donner tranquillement à leurs commerces juteux (toujours mieux que d'aller bosser pour un salaire de smicard. Ca c'est bon pour le prolo blanc raciste).
Daniel TEYSSIER 28/11/2013
Mais comment donc, dites-moi, devrais-je mieux nommer les choses ?
Quand, dans un même élan, vous passez allègrement de Qui vous savez à tondre les collabos, on mesure toute la rigueur intellectuelle de votre pensée.