Je suis antifasciste et antiraciste et feministe depuis toujours, et non seulement en pensée mais en action.
ceux qui me parlent comme si j'etais nazie ne méritent pas d'autres qualificatifs que petits c...
Ceux qui ne risquent pas de subir une seconde tentative de génocide en quelques decennies pourraient avoir la décence de reflechir avant de reprocher à ceux qui le risquent de dénoncer le danger.
La tactique islamique depuis les premieres conquetes de l'islam - voir les chroniques de Tabari - est d'intimider l'adversaire en lui annonçant :
" Nous aimons la mort autant que vous aimez la vie".
Ce qui est bien évidemment semblable au slogan fasciste, car islam a les memes caracteristiques essentielles que le nazisme.
Quand je parle du refus de la mort aujourd'hui, ce n'est pas pour insulter la France ni l'Europe, qui ont connu et le courage immense face à la mort, et le courage tout aussi certain de dénoncer l'horreur de la mort et de refuser la mort, et de crier "der des der".
Simplement aujourd'hui, dans ces temps athées, la peur de la mort est encore plus grande que du temps des chroniques de Tabari, rendant encore plus facile la pression de l'annonce musulmane.
Je n'ai vu ici aucune réponse à mes arguments précis montrant en quoi Sarkozy met en péril la sécurite du peuple français face à un peril dont l'ideologie a les caracteristiques du nazisme,
alors si il y a "derapage" dans ces pages, c'est celui du basculement dans la hargne "à la Angot".
Ce vieil homme buveur de bière menacé,
ce charcutier tabassé et condamné,
Fanny condamnée,
la police qui a ordre de MAM de ne pas intervenir dans certains quartiers,
les soldats musulmans refusant d'aller en Afghanistan :
l'ordre islamique "s'épanouit" avec la bénédiction de Sarkozy : HAUTE TRAHISON !
[
antifafdoncantiislam.blogspot.com]
Un charcutier devant la justice pour discrimination à l'embauche
L'artisan ne voulait pas employer de musulmans à cause de leur réticence à toucher du porc.
Béatrice Pujebet - [07 décembre 2005] Le Figaro
«Mon père cherchait un employé de cuisine pour sa charcuterie. L'ANPE nous a envoyé une trentaine de candidats. Plusieurs ont demandé s'ils allaient toucher du porc, ce qui était une évidence. Mon père a donc rappelé l'ANPE pour spécifier dans l'annonce que le travail nécessitait un contact avec cette viande-là. Et c'est là que tout s'est envenimé.» Envenimé à tel point que Guy Lefèvre comparaissait hier devant le tribunal de Compiègne pour discrimination à l'embauche. Selon son fils, la discussion avec l'ANPE s'était mal passée : «Le conseiller se demandant si cet ajout dans l'annonce signifiait que mon père ne voulait ni de Noir ni d'Arabe.»
Tout aurait pu en rester là si, en janvier dernier, l'ANPE n'avait pas envoyé Ibrahima Gadio, Français d'origine sénégalaise, à la charcuterie. «Sans nous prévenir, alors qu'on avait une jeune femme en période d'essai», affirme Sylvain Lefèvre. «A peine entré, on a dit à mon client que la place était prise», raconte l'avocate du jeune homme, Me Bénédicte Meunier. Surpris, l'agent de l'ANPE rappelle immédiatement le charcutier qui s'emporte au téléphone. «Le haut-parleur était branché et plusieurs personnes ont entendu M. Lefèvre dire qu'il ne voulait ni de Noir ni d'Arabe», assure l'avocate. L'ANPE a immédiatement informé la Commission pour la promotion de l'égalité des chances (Copec). L'Inspection du travail et le parquet se sont saisis de l'affaire tandis que, de son côté, Ibrahima Gadio, soutenu par SOS Racisme, portait plainte. Hier, deux mois de prison avec sursis et 800 euros d'amende ont été requis contre le charcutier. Le jugement sera rendu le 17 janvier.
«Je ne suis pas dans le péché quand je travaille le porc»
«Il y a peut-être eu des débordements de langage, reconnaît Jean-Paul Roussel, président des charcutiers traiteurs de l'Oise, mais, dans notre métier, on ne peut pas employer quelqu'un qui refuse de travailler le porc.» Le cas d'Ibrahima Gadio n'est pas directement lié à cette obligation religieuse puisque le jeune homme avait déjà travaillé dans la restauration. En revanche, cette interdiction complique les relations de la profession avec ses futurs employés. «Nous n'avons pas d'apprentis musulmans en charcuterie, constate Patrick Mounaix directeur des centres de formation d'apprentis de l'Oise. Et les élèves bouchers vont se former dans des boucheries hallal.»
"Quand on m'a expliqué la formation, je ne savais pas que, à l'examen du CAP, je devrais travailler sur du porc», raconte Samira Elmir, qui veut créer son activité de traiteur oriental, style grande gastronomie. Autour de moi, les avis divergeaient. Mais, à la mosquée, on nous a dit de prendre la religion par le côté le plus simple : je ne suis pas dans le péché quand je travaille le porc.» En revanche, la jeune femme s'interdit de goûter. «C'est mon professeur qui le fait et, pour les examens, il m'a donné des recettes très précises.»
Source: [
justicepourguylefevre.hautetfort.com]
Les agresseurs de Guy LEFEVRE condamnés
Tuesday 14 March 2006 | Société | Email | Print
Les agresseurs de Guy LEFEVRE condamnés
Dans la nuit du 22 au 23 février, alors qu’il se trouve à son domicile, Monsieur LEFEVRE est victime d’un véritable lynchage.
Cinq individus, trois majeurs et deux mineurs, s’acharnent sur lui avec une rare violence. Monsieur LEFEVRE perd connaissance et doit être transporté aux urgences de l’hôpital de COMPIEGNE. Le 13 mars dernier, le Tribunal correctionnel de COMPIEGNE condamne deux des majeurs à 10 mois d’emprisonnement, le troisième à 5 mois, les deux mineurs comparaîtront ultérieurement devant la juridiction compétente.
L’enquête ne s’étant pas orientée dans cette direction, aucun lien entre la condamnation pour discrimination et l’agression n’a été mis en évidence. Cependant, comme l’a indiqué l’avocat de Monsieur LEFEVRE, le doute subsiste.
Les agresseurs appartiennent à la communauté des “gens du voyage”, laquelle se perçoit fréquemment comme victime de discrimination. Ils vivent dans une caravane stationnée à proximité du domicile de Guy LEFEVRE et ne pouvaient ignorer que leur voisin avait fait, quelques semaines plus tôt, la une des journaux locaux, le « politiquement correct » s’étant alors empressé de le caricaturer comme l’archétype du xénophobe qu’il n’a jamais été. "