Les CPF reprennent du service.

70 à 80 "jeunes" cagoulés... :


[tempsreel.nouvelobs.com]

J'ai failli attendre...

N'attendez plus bien cher Jmarc, voici LA solution (jmarciste) pour les Tarterêts :
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Ils courent pour l’amitié entre quartiers
Autour des vertus de l’athlétisme et du civisme, l’animation sportive dédiée aux 6-14 ans prend cette année une dimension nouvelle en visitant plusieurs villes.
23.04.2009, 07h00

Le terrain de foot des Tarterêts transformé en stade d’athlétisme… C’était hier, le temps d’une journée de qualifications des Z’olympiades de la rue. L’initiative, créée en 2004 à Massy par l’association S-Team, vise à sensibiliser les jeunes des quartiers aux valeurs du sport. Cette année, la compétition a été élargie à trois villes (Corbeil, Courcouronnes, demain, et Fleury, le 6 mai), dont les enfants sélectionnés participeront à la grande finale, les 29 et 30 mai à Massy.


Entre le cross, les parcours d’habileté motrice, le lancer de poids ou le saut en longueur, environ 70 jeunes des Tarterêts âgés de 6 à 14 ans s’affrontaient hier dans une ambiance bon enfant. « Allez, allez, on ne lâche rien ! Jusqu’au bout !!! » Tels des fans du Tour de France, les animateurs encouragent les enfants qui terminent, essoufflés, mais le sourire aux lèvres, l’épreuve de cross.
Pour Ahmed Ghazi, président de S-Team, il s’agit de véhiculer, via le sport, des messages universels. Des panneaux installés dans le stade rappellent ainsi que le parcours d’habileté motrice est comme la vie, « semé d’embûches », que le sprint s’apparente à une opportunité, et que « dans ces moments-là, il faut être le plus rapide ». L’autre message, plus local, c’est celui du respect de la différence. Une façon de prévenir les guerres de bandes entre quartiers rivaux qui, notamment à Massy, font des ravages.

« Construire ensemble plutôt que détruire »

« A cet âge-là, ils ont déjà la notion de quartier, poursuit cet ancien éducateur. En les faisant se rencontrer, on espère qu’ils apprendront à construire ensemble plutôt qu’à détruire. » Lors de la finale, ils seront ainsi 300, issus de tous les quartiers de Massy, des Aunettes à Fleury, des Tarterêts ou du Canal à Courcouronnes à concourir. Et le choix de l’athlétisme ne doit rien au hasard. « Au foot, on peut contester, tacler… Pas de ça ici : celui qui passe la ligne d’arrivée en premier a gagné. »
Chez les jeunes de Corbeil, hier, attelés à répondre un questionnaire de culture générale comptant aussi pour les qualifications, l’idée fait son chemin, tout doucement. « On apprend qu’il faut se battre, avoir du mental, être solidaires », explique Foued, 13 ans. « Et pas se taper dessus », complète son copain.


Le Parisien

Bien cher W. Zendji,

Pour ma part, je persiste à penser que la population française a un "bon fond" et qu'elle sait discerner ce qui est bon de ce qui ne l'est pas.

Je ne crois pas utile d'ajouter aux idioties et délires du Bien médiatique des déversements de haine à jet continu.

Que nos adversaires soient stupides ne doit pas forcément nous rendre méchants, et distiller et ressasser les mêmes histoires peut finir par rendre odieux un propos pertinent.

Quand RESF et consorts publient des choses larmoyantes sur telle ou telle famille que la nécessité conduit à expulser, ils sont dans leur style et dans leur registre. Evidemment, personne n'aime l'idée de voir tel enfant ou telle famille expulsée s'ils n'ont eu comme tort que d'être en situation irrégulière. Ceci dit, un citoyen normalement informé se rend compte que c'est un mal nécessaire, et que le bien commun n'est pas la somme des biens individuels. Pour prendre un exemple lié au football, si vous vous levez dans les tribunes, vous verrez mieux. Si tout le monde se lève, personne ne verra rien.

Je crois qu'un des propos du Parti est, justement, de dépasser ce registre de l'émotion pour entrer dans celui de la réflexion.

Dans ce contexte, je me demande ce que des messages répétitifs sur les faits divers peuvent apporter : les liseurs de ce forum, et moi le premier, sont convaincus de la large responsabilité de la contre-colonisation dans l'insécurité galopante. Nous ne sommes pas gâteux au point de l'oublier, et il n'est pas forcément nécessaire de nous mettre tous les jours sous les yeux tel ou tel forfait.

Les Français ont horreur du bourrage de crâne : dans mon esprit, le recul dans l'opinion de l'amour pour l'immigrationnisme, recul que je constate dans bien des entretiens, tient au moins autant au fait qu'on nous claironne que c'est ce qu'il faut penser (et nous Français sommes emmerdants, nous pensons à rebours de ce qu'on nous dit) qu'aux éléments de fait que nous constatons.

Cher Jmarc, permettez-moi de vous remercier pour ce message plein de bon sens. Par association d'idées, qu'il faudrait sans doute que je prenne le temps de démêler, il me fait penser à une remarque entendue l’autre jour dans une « salle de profs ». Une dame disait qu’elle était ravie quand, en France, on la prenait pour une Suisse ou une Québécoise.
« Pourquoi donc ? » lui fut-il demandé. Voilà sa réponse : « Je préfère qu’on ne sache pas que je suis belge à cause des blagues belges ». En l’entendant je me suis dit que de pareilles crétines les méritaient bien ces blagues belges !

Cher Jmarc, j'avais commencé à surligner une phrase de votre message pour l'approuver mais c'est à son ensemble et à sa tonalité que je voudrais, avec votre permission, m'associer. Et pourtant, je crains que votre postulat sur le « bon fond » de la population française ne commence à se déliter.

Pour ma part, je persiste à penser que la population française a un "bon fond" et qu'elle sait discerner ce qui est bon de ce qui ne l'est pas.

Là, je crains que nous ne touchions le fond du fond de la pensée gnangnan... il ne manque plus que l'éloge de la "France profonde", pleine de ressources et de combativité, etc., les amis du désastre ont encore de beaux jours devant eux.

Certes, cher W. Zendji, mais je crains que l'ardeur qui vous anime ne vous amène à réduire par trop la pensée de Jmarc jusqu'à lui faire dire ce qu'il ne dit pas.

Bien cher W. Zendji,

Vous me voyez confus de rédiger aussi longuement quand votre maîtrise de la langue vous permet, par la citation d'une seule phrase, de tout résumer.

En fait, j'établis une très nette distinction entre la population en général et les élites auto-proclamées. Allez voir les sites du Monde et de Libération, vous serez surpris par les réactions des abonnés.

Je persiste à croire que la France des quartiers pavillonnaires , celle du conservatisme (hiérarchie de la fonction publique et de l'armée), celle des personnes âgées, celle de l'enseignement catholique, celle des professeurs de l'enseignement public qui ne prostituent pas leur rôle d'éducateur à la vulgate matérialiste, celle de l'ordre, celle des gens qui travaillent, celle des immigrés décents (vous pourrez commenter et citer), celle de MM. Strauss-Kahn, Rocard, Delors, Juppé, l'amiral de Gaulle, même celle de Jacques Chirac, si français dans ses hésitations, ces multiples facettes d'une seule France, cette France donc a une analyse convergente de certains problèmes et pense, de façon très concrète, les choses suivantes, certes avec des gradations :

- la France ne peut accueillir toute la misère du monde ;

- la place des délinquants est en prison ;

- le travail doit être encouragé ;

- l'enseignement doit faire l'objet d'une révision profonde.


En revanche, plusieurs catégories n'appartiennent pas, dans mon analyse, à cette majorité à "bon fond" :

- les Français de souche génétiquement programmés pour naître avec un poil dans la main, refuseurs d'emploi de père en fils et vampires des allocations en tout genre, ces Français qui sont doués pour geindre ;

- les étrangers qui abusent des bienfaits de notre système et tentent de nous imposer leur vision du monde ;

- les Français dits intellectuels, journalistes, magistrats dévoyés et autres bien-pensants qui se prosternent devant la Bonne Diversité et qui expliquent à longueur de journée aux deux catégories ci-dessus qu'elles n'ont aucun devoir et surtout beaucoup de droits.


Je reste par ailleurs persuadé que la classe sociale à laquelle j'appartiens, à laquelle appartient le Maître et dont il a fort bien parlé ce samedi, a eu un grand tort : l'éducation que nous avons reçue nous a donné des obligations, des devoirs, dont le devoir d'état. Or, j'ai et nous avons méconnu ce devoir en nous gaussant de la France profonde, comme vous le dites, en souriant du Beauf de Cabu ou des personnes simples qui, au fond, n'avaient d'autre tort que de ne pas avoir bénéficié des mêmes facilités. Nous les avons effectivement, pour une large part, abandonnées entre les griffes de la contre-colonisation.

Je fais mon mea culpa en ce domaine, et je vous avoue trouver bien plus de bon sens et de plaisir, actuellement, dans la fréquentation des gens simples et sans détour que dans celle de brillants penseurs consummés par la culpabilité et conchiant sans relache les valeurs auxquelles je suis attaché.

A titre d'exemple, dites-moi ce que vous pensez de cet article :

[www.liberation.fr]

- les Français de souche génétiquement programmés pour naître avec un poil dans la main, refuseurs d'emploi de père en fils et vampires des allocations en tout genre, ces Français qui sont doués pour geindre ;

- les Français de souche génétiquement programmés pour se faire mousser au travail ces Français qui sont doués pour faire accroire aux autres qu'ils bossent bossent et bossent alors qu'en réalité ils sont parfaitement inutiles, spécialement dans le privé.

- les parachutistes dorés, génétiquement programmés pour ne penser qu'à leur intérêt immédiat, aprèsmoiledélugistes de père en fils.

- les étrangers qui abusent des bienfaits de notre système et tentent de nous imposer leur vision du monde ;

- les Français dits intellectuels, journalistes, magistrats dévoyés et autres bien-pensants qui se prosternent devant la Bonne Diversité et qui expliquent à longueur de journée aux deux catégories ci-dessus qu'elles n'ont aucun devoir et surtout beaucoup de droits.

Que celui qui n'a jamais pêché leur jette la première pierre.

Finalement, bien cher Orimont, je crois qu'on peut résumer ainsi :

- les déments qui ne rêvent que de dissoudre notre Nation dans le Grand Tout et qui ne détestent rien de plus que ce que son idée même représente ;

- les profiteurs au-delà du raisonnable (car nous sommes tout de même en France, et profiter un peu n'est pas un bien grand crime ! ne faire que "profiter" et s'en vanter, là est la honte).

Je n'avais pas pensé au privé, mais vous avez raison : c'est une sous-catégorie, celle des profiteurs donneurs de leçons (commente qui veut !).

"(...) les Français de souche génétiquement programmés pour naître avec un poil dans la main refuseurs d'emploi de père en fils et vampires des allocations en tout genre,(...)"

Sincèrement, jmarc, vous y croyez à l'existence assez représentative de cette catégorie pour qu'on la place dans une liste ? Dans quel monde vivez-vous, me demandiez-vous naguère à propos de la pornographie et je pourrais vous renvoyer l'interrogation à propos du monde du travail. Nous ne sommes plus dans les années 80 ni même 90 et il y bien plus, chez les Français de souche, des "accepteurs" de n'importe quel job et si c'est un CDI ils ne vous disent même pas ce qu'ils font, ils disent qu'ils font un CDI. Ignoreriez-vous que les petits branleurs ne font plus rire personne et que les bulletins de salaire font désormais figure de lettres de noblesse.

"Je n'avais pas pensé au privé, mais vous avez raison : c'est une sous-catégorie, celle des profiteurs donneurs de leçons (commente qui veut !)." Vous voulez parler des "consultants" en tout genre ?

Je persiste à croire que la France des quartiers pavillonnaires , celle du conservatisme (hiérarchie de la fonction publique et de l'armée), celle des personnes âgées, celle de l'enseignement catholique, celle des professeurs de l'enseignement public qui ne prostituent pas leur rôle d'éducateur à la vulgate matérialiste, celle de l'ordre, celle des gens qui travaillent, celle des immigrés décents (vous pourrez commenter et citer),

Mais dans quel monde vivez-vous bien cher Jmarc ??? Pour être efficace une action idéologico-culturelle doit s'appuyer sur des forces concrètes, politiques, dont elle est le prolongement complémentaire. SOS Racisme, antenne du PS, est un exemple criant de succès propagandiste. La pression exercée sur les décideurs par des cercles de lobbies minoritaires bien relayés, tels que le MRAP, la LICRA, le DAL, Ras l'Front et j'en passe et des meilleurs ne s'explique pas seulement parce qu'ils sont politiquement ultracorrects, mais aussi parce qu'ils ont su adapter une formulation forte à leur message en utilisant toutes les ficelles de la nouvelle donne médiatique. La France dont vous parlez si bien se fiche radicalement des idées, et si d'aventure elle s'en occupe c'est en restant bêtement attachée à une vision révolue du mécanisme de diffusion des idées.

Question : de quelle manière comptez-vous gagner cette "guerre idéologique" ? quelles sont vos idées, où sont-elles représentées ? qui les incarne ? quels sont vos moyens de diffusion ? où et comment existez-vous médiatiquement ? Pardonnez-moi mais là, nous sommes à des années lumières de "la France des quartiers pavillonnaires"...

Bien cher W. Zendji,

Je pense, très sérieusement, que nous avons un socle d'idées en commun, mais avec d'assez profondes divergences aux limites (comme on dirait en mathématiques).

Du point de vue tactique, j'ai l'impression que le discours unilatéral des organismes et groupuscules que vous citez commence à lasser, justement par sa répétition. Il nous appartient de ne pas tomber dans le même travers, et de ne pas rester au stade du fait divers, quelque frappant qu'il soit.

Les Français ne sont pas idiots : ce que nous disons ici, à savoir que les "jeunes" sont, en général, issus de la contre-colonisation, ils le savent aussi.

Si vous écoutez de jeunes Français de milieu populaire (je pense à la France des pavillons, car les jeunes gens y sont très majoritairement "de souche", ils sont étudiants, employés, ouvriers, apprentis ou chômeurs, en tout cas pas sociologues), vous constaterez la chose suivante, qui est d'ailleurs assez compréhensible : ces jeunes ne forment pas à proprement parler des bandes, car l'acception est négative. Ils forment des groupes, parfois assez nombreux. Les éléments issus de la diversité y sont fort bien tolérés, dès lors qu'ils ne sont pas nombreux, et ce sont souvent des garçons très bien (ce que j'appelle les "immigrés décents" par opposition aux hordes sauvages. Un jeune maghrébin ou un jeune noir qui va dans un groupe de blancs s'écarte autant du délire communautaire que le jeune blanc qui rejoint un groupe ethnique s'acculture. Tout simplement, ces jeunes gens ne sont pas dans une optique de contre-colonisation, mais d'assimilation). Ces groupes, donc, sont tout à fait capables, dans ces zones hors des cités de s'opposer aux malfaisants, aux racailles : ils ne s'en privent pas, croyez-moi. De même, du point de vue du langage, ils sont bien moins sensibles au politiquement correct que nos médias. Bien évidemment, et je crois utile de le préciser, la majorité des enfants d'immigrés vivent entre eux, mais un nombre non négligeable a fait le choix de notre société. Ils serait dommage, pensez-y cher W. Zendji, qu'ils soient nos nouveaux harkis.

Les jeunes Français de souche dont je parle ont des idées très précises sur la violence des bandes, et savent qu'on ne peut s'y opposer que par le fait majoritaire. Ils ne sont pas parfaits, c'est vrai. Ils boivent plus que de raison, ils fument diverses substances et écoutent des musiques que nous n'aimons pas. Cela étant, ce ne sont pas des mauvais bougres, ce ne sont pas des voyous. Le lisse, le propre Monsieur Besancenot au verbe châtié est un ennemi de la Nation, pas eux.

Je prends à ce sujet Cassandre à témoin, car je la crois habitante de l'Hérault : si, effectivement, la Paillade, le Petit Bard, le quartier de la Pointe-Courte à Sète ont été contre-colonisés, il n'en va pas de même de toute cette kyrielle de villes-lotissements, Paulhan, Fabrègues, Portiragnes, etc...

Le combat n'est pas dans le fait de convaincre ceux qui, issus du peuple, ont souvent des idées saines : je ne vote pas pour l'extrême droite, mais je constate, dans les Pyrénées-Orientales, que je connais bien, dans l'Hérault aussi, que le Front National a atteint, dans ces villes-lotissement des niveaux très forts, plus de 30% en moyenne, et que Monsieur Sarkozy, qui a adopté durant la campagne une posture sécuritaire, a écrasé Madame Royal. Un jeune homme de vingt ans peut écouter des rapeurs, avoir son meilleur ami d'orgine étrangère et voter pour le Front National. Tout cela est compatible. Il y a, à l'évidence, un vivier pour le vote national, s'il arrive à se dépêtrer de cette malédiction qui gâche chaque élection par des excès. Les bandes ethniques sont malfaisantes, les skinheads sont odieux (je ne sais d'ailleurs si on doit les blâmer ou les plaindre).

Le combat se déplace vers la "classe prétendument intelligente", c'est à dire les enseignants, les cadres, certaines professions libérales. Cette classe-là, vous ne la convaincrez pas avec des faits divers. Prenez l'émission de Renaud Camus : quelqu'un qui a fait des études et qui écoute est forcément intéressé et, s'il n'est pas malhonnête, se rend compte qu'il y a un fond de vérité.

J'ai cité un article de Libération, supra. Il aurait été inimaginable il y a encore un an.