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Condamnation de Jean-Marie Le Pen

Envoyé par Antoine de Falveras 
Jean-Marie Le Pen condamné à Paris et débouté à Strasbourg

Reuters | 07.05.10 | 13h20

STRASBOURG (Reuters) - La Cour européenne des droits de l'homme a débouté vendredi Jean-Marie Le Pen, qui s'était plaint devant elle d'une atteinte à sa liberté d'expression après avoir été condamné en France pour des propos hostiles aux musulmans.

Le président du Front national avait été condamné en 2005 à 10.000 euros d'amende pour "provocation à la discrimination, à la haine" raciale ou religieuse pour avoir déclaré au journal Le Monde en 2003:

"Le jour où nous aurons en France non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont (...) et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux, et vous n'avez plus qu'à filer, sinon vous prenez une trempe".

Il avait été de nouveau condamné en 2008 à la même peine pour avoir commenté ces propos en les réitérant dans l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol.

"Les motifs de la condamnation du requérant qu'ont retenus les juridictions internes sont pertinents et suffisants", estime la Cour européenne qui ne juge pas nécessaire de poursuivre l'examen de l'affaire sur le fond.

"Les propos de M. Le Pen étaient assurément susceptibles de donner une image inquiétante de la 'communauté musulmane' dans son ensemble, pouvant susciter un sentiment de rejet et d'hostilité", ajoute-t-elle.

Gilbert Reilhac, édité par Sophie Louet
Il est bon de préciser que la communauté musulmane donne d'elle-même une image plutôt rassurante.
La justice faisant partie du camp des collaborateurs les plus zélés de la contre-colonisation et il était parfaitement inutile d'aller se faire donner des coups de bâtons à Strasbourg.

On paie et on se tait.
Utilisateur anonyme
07 mai 2010, 20:36   Re : Condamnation de Jean-Marie Le Pen
En l'espèce, la Cour note que les propos du requérant s'inscrivent dans le cadre du débat d'intérêt général relatif aux problèmes liés à l'installation et à l'intégration des immigrés dans les pays d'accueil. Quant au contexte de ce débat en ce qui concerne la France, la Cour a précisé dans l'affaire Soulas et autres c. France (no 15948/03, §§ 37-38, 10 juillet 2008) que les problèmes liés à l'installation et à l'intégration des immigrés dans les pays d'accueil font actuellement l'objet d'amples débats dans les sociétés européennes, tant sur le plan politique que sur le plan médiatique. S'agissant plus particulièrement de la France, elle a précisé que cette intégration ne pouvait intervenir qu'à l'issue d'un processus long et laborieux, qui risque de comporter des failles et des difficultés d'application dont pâtira une partie de la population d'origine étrangère ; il en découle des problèmes de mésentente et d'incompréhension qui, dans leur expression la plus grave, se sont déjà traduits par des affrontements violents entre les forces de l'ordre et certains éléments radicaux de cette population.

Ha bon ? Il y a des éléments radicaux parmi les étrangers en France ? Allons donc.

ICI
J'aimerais savoir s'il existe une raison à la volonté d'intégration, non pas plus rapide mais instantanée de populations maghrebines ou africaines par rapport aux générations de Polonais, d'Italiens, d'Espagnols, de Portugais qui ont fait laborieusement leurs classes avant d'accéder, de proche en proche, je veux dire par leurs enfants ou petits enfants, aux plus hautes fonctions.
Parce-que cette intégration devrait être faite alors qu'au contraire les nouvelles générations sont moins intégrées que leurs grands parents, parce-que le flux migratoire continu leur laisse l'espoir d'éviter cet effort, et que plus c'est tardif plus c'est sans doute difficile.
L'avis d'Alain Besançon sur l'intégration des populations musulmanes :


Donc, le problème n'est plus de savoir s'ils partiront mais quand il partiront.
Cher Florentin, ce que vous évoquez me semble tout de même bien peu probable.
Oui mais ce sera un jour eux ou nous.

Voyez ce qui est arrivé aux libanais chrétiens et aux chrétiens dans les pays arabes. Ils étaient chez eux depuis 1800 ans ou plus et pourtant ils furent contraints à l'exil cad chassés de leur propre pays.

On n'en est pas encore là mais l'inéluctable arrivera aussi sûrement que chaque fleuve se jete dans la mer ...
Ceux qui veulent rester devront s'écraser un max, c'est ma conviction.
Je précise que je n'ai pas voulu dire qu'il était peu probable qu'il y ait un jour une confrontation, mais qu'il était peu probable que ce soit eux qui partent.
Je pense exactement le contraire, cher Felix.
La poule et l'oeuf : il me semble que le développement de l'Islam est intervenu après que la politique d'assimilation ait été abandonnée; ce qui ferait que l'islam n'est peut être pas la cause principale ou du moins première des difficutés que rappelle Alain Besançon.
J'écoutais justement la conférence d'Eric Zemmour postée sur un autre fil où il expliquait exactement la même chose, à savoir que c'est l'abandon des politiques d'assimilation et le discours d'S.O.S. Racisme sur le "droit à la différence" qui avaient occasionné le repli communautariste. Je pense que c'est également l'inverse qui s'est produit : comme les nouvelles populations de culture musulmane ne se sont pas intégrées dès le départ, l'antiracisme a inventé ce concept selon lequel l'assimilation républicaine serait raciste, colonialiste, etc. En effet, l'idéologie bien-pensante ne pouvait pas jeter la pierre sur les immigrés en leur demandant de faire plus d'efforts d'intégration ! Il fallait rejeter la faute sur le système assimilationiste, un peu comme quand on évoque systématiquement les causes sociales pour expliquer la délinquance : toujours la faute de la société, jamais celle des individus...
Dans son livre Le Puzzle de l'intégration, Malika Sorel explique bien que les premières vagues d'immigration maghrébine n'avaient aucune intention de s'intégrer, et que le fait d'être naturalisé était très mal vu au sein de la communauté. Mais comme ils était des nouveaux arrivants, la préoccupation principale visant à subvenir avant tout à leurs besoins vitaux faisait qu'ils étaient obligés de faire profil bas, ce qui n'a plus été le cas avec les générations suivantes.
Ensuite, il est vrai que le "culte de la différence" et le renoncement à l'assimilation n'a fait que précipiter les choses, d'autant plus que la montée de l'islamisme a favorisé le repli communautaire et la haine de la France.

Le résultat est encore pire en Angleterre étant donné qu'ils ont un système communautariste : en effet, plus on laisse aux individus le champ libre pour développer leur propre culture et exiger des droits spéciaux, et plus se renforcera la contre-société hostile au pays d'accueil. Les restants de laïcité et d'assimilationisme que nous avons en France nous laissent un peu moins démunis.

J'avais lu un témoignage d'un Anglais ayant vécu dans un quartier musulman de Bristol qui résume assez bien le problème (voir ici) :
Citation

J’ai vécu avec des musulmans, et ce que j’ai appris, c’est qu’ils n’ont aucune envie de s’intégrer à la culture européenne, aucune envie d’adopter les valeurs occidentales et qu’ils n’ont pas le moindre intérêt pour la culture britannique ou pour quoi que ce soit d’autre.

Ils ont l’islam. L’islam les consume, les possède, ils SONT l’islam. Ils sont musulmans, et les musulmans sont fidèles à l’islam. Et c’est tout. C’est une idéologie qui les remplit tout entier. Leur but est de faire selon la volonté d’Allah, et c’est là leur objectif principal. Les musulmans ont des relations avec nous, les “kuffar”, mais pas parce qu’ils le souhaitent , seulement parce qu’ils y sont obligés. S’ils pouvaient faire autrement,ils nous ignoreraient complètement.

Alors oui, j’ai rencontré des musulmans courtois et agréables. Et je suis sur qu’il existe toutes sortes de musulmans différents. Mais l’islam écrase toutes ces différences. L’islam homogénéise des nations entières, élimine la raison, les individualités et les libertés. Je l’ai lu dans les yeux des femmes pakistanaises incultes qui débarquent à Glasgow de leur lointain Kashmir. Je l’ai lu dans les yeux des musulmans de 2e et 3e génération : tout simplement, ils n’aiment pas l’occident ; ils baignent dans un monde qui est totalement incompatible avec les valeurs européennes. Ils cherchent le réconfort dans une religion sécrétée par les sables du désert il y a 14 siècles, ils cherchent une consolation dans des mosquées payés par les dollars du pétrole wahabite… Ils veulent le mode de vie ocidentales, mais en même temps, ils nous détestent.
09 mai 2010, 07:03   Assimilation
Ce qui est curieux, ajouterais-je, c'est que ces mêmes populations venues de pays à tradition autoritaire adoptent dans le mode de vie occidental ce qu'il a de plus occidental, à savoir le droit individuel de vivre plus ou moins à sa guise, de décider seul de son espace privé. Autrement dit, elles choisissent librement ce qui nous semble une servitude communautaire, au nom du principe même qui rend ce genre de servitude impossible. La communauté musulmane, en terre occidentale, est donc le résultat d'un choix des individus, choix réversible car la société globale reste ouverte et n'empêche personne de se dévoiler ou de n'aller plus à la mosquée (il n'y a que les antiracistes parmi les Européens pour respecter l'islam au point de tout accepter de lui). La communauté musulmane "en exil" est donc en danger perpétuel de se dissoudre, puisqu'elle est le produit de particules élémentaires qui s'agrègent sans jamais perdre le droit de revenir à leur indépendance. Cela peut expliquer, peut-être, les crispations identitaires, pour causer sociologue, des musulmans d'ici, et ce paradoxe assez amusant de femmes qui se voilent elles-mêmes, non pour passer inaperçues, mais pour qu'on les remarque. Je me demande si l'assimilation aux valeurs occidentales n'est pas allée très loin parmi les musulmans issus de l'immigration, même si l'apparence et leur influence dans la vie quotidienne paraissent montrer le contraire. Le nombre, l'effet de masse, la rue arabe, contribuent à recréer ici des communautés par nature autoritaires, mais la loi n'est pas encore du côté des pères, des frères et des maris. Ce n'est pas qu'un détail, je crois : dans mes souvenirs de professeur de banlieue, se détachent des figures de jeunes filles qui comptaient bien profiter des ouvertures de ce monde pour filer. Aucun garçon, en revanche : les adolescents réfléchissent moins, sont englués dans le groupe au point de lui faire de lourds sacrifices, et la tradition est de leur côté.
09 mai 2010, 11:34   Re : Assimilation
" Je pense que c'est également l'inverse qui s'est produit : comme les nouvelles populations de culture musulmane ne se sont pas intégrées dès le départ, l'antiracisme a inventé ce concept selon lequel l'assimilation républicaine serait raciste, colonialiste, etc. En effet, l'idéologie bien-pensante ne pouvait pas jeter la pierre sur les immigrés en leur demandant de faire plus d'efforts d'intégration ! Il fallait rejeter la faute sur le système assimilationiste, un peu comme quand on évoque systématiquement les causes sociales pour expliquer la délinquance : toujours la faute de la société, jamais celle des individus... "
Je suis absolument d'accord .
Le premiers signes du refus d'intégration se sont fait sentir peu après l'arrivée de Khomeiny au pouvoir en Iran. C'est cette révolution islamique qui a réveillé le cagot qui sommeille dans tout musulman ,ou presque. Dès 82, j'ai vu des élèves de sixième refuser de lire, en classe, des textes de la Bible sous prétexte qu'un bon musulman n'avait pas le droit de les lire .
09 mai 2010, 13:13   Re : Assimilation
Chère Cassandre, grands dieux! Vous aviez des élèves de sixième en 1982 qui se rebellaient contre vous pour raisons religieuses? Et vous leur faisiez lire des textes de la Bible en cours de français ? (ou bien de judéo-grec?). Décidément vous avez été de toutes les avant gardes.
09 mai 2010, 13:15   Re : Assimilation
Citation
Henri Bès
Ce qui est curieux, ajouterais-je, c'est que ces mêmes populations venues de pays à tradition autoritaire adoptent dans le mode de vie occidental ce qu'il a de plus occidental, à savoir le droit individuel de vivre plus ou moins à sa guise, de décider seul de son espace privé. Autrement dit, elles choisissent librement ce qui nous semble une servitude communautaire, au nom du principe même qui rend ce genre de servitude impossible. La communauté musulmane, en terre occidentale, est donc le résultat d'un choix des individus, choix réversible car la société globale reste ouverte et n'empêche personne de se dévoiler ou de n'aller plus à la mosquée.

Je crois que vous portez là-dessus un regard typiquement occidental. Il faut comprendre la mentalité de la culture islamique pour expliquer ce que vous remarquez comme étant un paradoxe.
Ce que je remarque, c'est que l'islam est une religion au fonctionnement différent des autres religions : c'est avant tout une idéologie politico-religieuse totalisante, mais c'est aussi et surtout une religion de la loi. Ce qui fait que l'islam (et je parle là de l'islam originel, radical, et non de l'islam philosophique et humaniste présenté par certains intellectuels musulmans) va davantage faire appel à tout ce qui relève de la loi plutôt qu'à ce qui a trait à la foi pure. L'islamisation d'une société se fait alors selon deux mouvements qui s'autoalimentent en faisant boule de neige : d'une part la montée de la religiosité chez les individus fait qu'ils influencent leur environnement (séparation des sexes, femmes qui se voilent, nourriture hallal qui se généralise, etc.), et d'autre part l'environnement islamisé va faire pression sur les individus pour faire monter en eux la religiosité. C'est à mon avis une erreur de parler de choix individuels car la notion d'individualité est typiquement occidentale et n'existe pas dans l'islam : l'individu doit avant tout se plier aux codes du groupe, de la communauté. C'est pour ça que dans les quartiers islamisés, il y a une forte pression pour que chacun ne mange pas de porc, que les filles se voilent, etc.

Là où l'Occidental voit le choix de vivre à sa guise comme étant un droit individuel, l'islam ne le tolère pas en tant que de droit, simplement il se trouve que cette caractéristique occidentale de laisser les gens faire ce qu'ils veulent constitue une formidable aubaine pour quiconque veut mettre en place une contre-société islamisée.
C'est pour ça que quand vous dites "elles choisissent librement ce qui nous semble une servitude communautaire", vous n'avez qu'à moitié raison, car c'est avant tout les codes de la communauté qui prévalent de manière inconsciente, ce qui fait que les individus n'ont en fait pas vraiment de libre choix individuel. Le fait de vivre en occident selon la coutume islamique résulte d’une adhésion aux codes culturels de la communauté musulmane qui tendent à s’imposer d’eux-mêmes et non d’un acquiescement aux lois occidentales de vivre comme on l’entend.

Vous dites que "La communauté musulmane "en exil" est donc en danger perpétuel de se dissoudre, puisqu'elle est le produit de particules élémentaires qui s'agrègent sans jamais perdre le droit de revenir à leur indépendance." Là encore, le droit de revenir à l'indépendance que vous évoquez est un droit purement théorique, occidental. Dans la pratique, l'islam exerce des pressions considérables sur les individus pour justement les empêcher de s'émanciper. Quand au danger qu’a la communauté de se dissoudre, il est présent non seulement chez les musulmans « en exil » mais aussi en terre d’islam : voilà pourquoi dans tous les pays musulmans il est interdit de critiquer la religion, il est très difficile d’en changer ; car si l’islam laissait les individus exercer leur libre arbitre et leur esprit critique, ceux –ci se rendraient compte de la véritable nature de leur religion et finiraient par l’abandonner. Je pense que le mode de fonctionnement inconscient de l’idéologie islamique est, par certains aspects, comparable à celui d’une secte, dans laquelle les individus doivent sans cesse être en groupe, étudier et éviter les contacts avec les étrangers pour justement éviter les influences extérieures qui leur permettrait de prendre conscience par eux-mêmes de la nocivité de l’idéologie dont ils sont victimes. C’est un peu ce que disait Lévi-Strauss dans Tristes Tropiques quand il faisait remarquer que « le seul moyen pour eux [les musulmans] de se mettre à l’abri du doute et de l’humiliation consiste dans une “néantisation” d’autrui, considéré comme témoin d’une autre foi et d’une autre conduite. La fraternité islamique est la converse d’une exclusive contre les infidèles qui ne peut pas s’avouer, puisque, en se reconnaissant comme telle, elle équivaudrait à les reconnaître eux-mêmes comme existants. »


Quand vous dites que « la loi n’est pas encore du côté des pères », là encore, vous parlez de la loi occidentale et non des lois du groupe, mais n’oubliez pas que celles-ci ont tendance à s’imposer sur les premières : regardez ce qui se passe dans certaines banlieues islamisées, regardez comment en Angleterre certains groupes radicaux veulent imposer la charia de façon légale et vous verrez que, dans ce cas, les lois tendent à être le produit de ce que ce sont les individus bien plus que ce ne sont les individus qui sont influencés par les lois.

Quant au fait que les jeunes filles soient plus enclines à vivre à l’occidentale que les garçons, cela provient tout simplement du fait que la culture musulmane est incroyablement plus défavorable pour les femmes que pour les hommes ; il est donc normal que les premiers à se révolter contre un système, quel qu’il soit, en sont ceux qui en sont les premières victimes.
Il y a seulement dix ans on comptais sur les filles pour faire avancer les choses; la plupart ont cédé aux menaces.
Je vous remercie pour votre reprise détaillée de mon paragraphe, cher Félix. Il me semblait qu'une culture comme celle-là ne pouvait qu'être modifiée par sa transplantation dans un environnement différent, loin des tyrannies traditionnelles, quand bien même elle tendrait à les reproduire "en exil". Votre réfutation très convaincante me donne à penser.
09 mai 2010, 14:18   Re : Assimilation
Coucou, cher Jbrunet ! je m'attendais à vous lire . A vrai dire vous me manquiez un peu !
Pas en cours de français, en cours d'histoire, quand j'enseignais celle des Hébreux !
Je me rappelle une élève de cinquième, de quatorze, quinze ans qui, déjà, s'était insurgée, avec cette arrogance et cet illogisme typiques de ses correligionnaires, contre l'idée que Mahomet avait avait des guerres aux infidèles tout en estimant qu'il avait eu raison puisque c'était "pour Dieu ".
09 mai 2010, 14:26   Re : Assimilation
" C'est à mon avis une erreur de parler de choix individuels car la notion d'individualité est typiquement occidentale et n'existe pas dans l'islam "

Très juste. Le musulman ne pense pas par lui-même, il est, en quelque sorte pensé par l'umma, car ni son existence ni son avis en tant qu'individu n'ont le moindre intérêt aux yeux de celle-ci.

" Quant au fait que les jeunes filles soient plus enclines à vivre à l’occidentale que les garçons, cela provient tout simplement du fait que la culture musulmane est incroyablement plus défavorable pour les femmes que pour les hommes ; il est donc normal que les premiers à se révolter contre un système, quel qu’il soit, en sont ceux qui en sont les premières victimes. "

De moins en moins. Elles aussi, sentent le vent tourner en faveur de leur religion .
Utilisateur anonyme
09 mai 2010, 14:43   Re : Assimilation
(Message supprimé à la demande de son auteur)
09 mai 2010, 16:43   Re : Assimilation
Cher Didier, je n'ai rein trouvé de ce dont vous m'avertissez.
Utilisateur anonyme
09 mai 2010, 17:06   Re : Assimilation
(Message supprimé à la demande de son auteur)
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