Cher Jean-Marc, je ne suis certainement pas expert en ces matières (comme il est dommage que Bernard Lombart n'écrive plus ici !), mais il m'a toujours semblé que ces pratiques étaient en réalité un moyen de ménager en soi un état de vacance idéal approchant le plus du vide parfait, pour, soit jouir de l'apesanteur ainsi obtenue en flottant agréablement un peu dans les airs, soit faire en sorte que rien de
personnel n'empêche la pénétration en soi d'un englobant quelconque, dont la mainmise sera de la sorte facilitée.
Il s'agit donc toujours de se vider du peu de sens dont on est capable...