Pendant que l'on bavarde, bavarde les spéculateurs s'en donnent à coeur joie et des fortunes s'ammoncellent sur le dos des matières matières
Fausses ou vraies pénuries? ... je crois que nous sommes les dindons de la farce en ce moment
Il y aura forcément un jour pénurie mais leur annonce prématurée ou infondée peut créer le chaos!! ... attention à ce qui pourrait être la nouvelle arme du terrorisme
Lisez ci-dessous ce que les spéculateurs balancent dans l'arêne mondiale ... de la pure manipulation ... cela fait peur ... trop même!!!!
Grâce à ces scénarios catastrophes jetés en pature les cours grimpent, grimpent et l'argent s'ammoncelle dans les poches de ces traders et banques
Lisez jusqu'au bout et vous aurez tout compris ... meditez .... les requins rôdent!!
Je cite:
La Troisième Guerre Mondiale
a déjà commencé
Découvrez 5 Investissements Bunker qui pourraient
vous rapporter des gains de 100%, 180%, 250%...
alors que le chaos s'installe
Pour tout savoir, continuez votre lecture...
Cher Investisseur,
Bienvenue dans le monde de la Guerre de Survie.
Se nourrir, se loger, se chauffer... vous n'en avez peut-être pas encore conscience, mais vos besoins de base sont menacés. Gravement.
Comme je vais vous le démontrer dans les lignes qui suivent, les moyens de vous protéger existent... mais il faut agir dès maintenant si vous ne voulez pas faire partie des "dommages collatéraux" de cette guerre mondiale d'un nouveau genre.
La situation est simple : après quatre millions d'années d'évolution, après des millénaires de civilisation -- l'humanité du 21ème siècle se retrouve à lutter pour sa survie. Les ressources planétaires font l'enjeu d'un combat sans merci entre les pays du monde entier.
Et depuis quelques années, peu à peu, les foyers de conflits se multiplient :
Rappelez-vous par exemple le début de l'année de 2005, lorsque la Russie de Poutine a tapé du point sur la table en coupant brutalement les "vivres gazières" de l'Ukraine. La raison de cette démonstration de force ? L'Ukraine refusait de payer son gaz au prix du marché, 402,6 $, à l'époque -- soit quatre fois plus que le prix négocié avec la Russie jusqu'en 2008 de 50 $ les 1 000 mètres cube. Gazprom, principale société russe, accusait de son côté l'Ukraine de détourner le gaz pour le revendre -- en faisant des profits substantiels -- à l'Union européenne. Si les cours du gaz n'avaient pas subi une envolée fulgurante ces dernières années... pensez-vous vraiment qu'une telle crise se serait produite ?
Et que dire du Venezuela ? C'est le quatrième fournisseur de pétrole des Etats-Unis, à qui il revend 65% de sa production pétrolière. Cette richesse souterraine et ce rôle-clé dans l'approvisionnement énergétique des Etats-Unis donnent un avantage considérable au Venezuela -- avantage que le président Hugo Chavez ne se prive pas d'utiliser comme arme de chantage pour imposer ses volontés aux sociétés occidentales... multiplier les déclarations belliqueuses... et faire tomber toujours plus de pétrodollars dans son escarcelle.
Et n'oublions pas la Chine ! En 2007, la Chine a mis en place un fonds d'investissement d'un milliard de dollars destiné à consolider les liens entre les entreprises chinoises et les pays africains. Elle leur a également promis trois milliards de dollars de prêts à taux préférentiels, et s'est engagée à doubler le montant de ses aides au continent africain d'ici 2009. Pure bonté d'âme de la part de l'Empire du Milieu ? Eh bien... quand on sait que l'Afrique représente désormais le deuxième fournisseur de pétrole de l'Empire du Milieu, avec 26% à 33% des importations -- un chiffre qui augmente de 30% chaque année... on peut se dire que ces largesses ne sont pas si désintéressées que ça -- mais bien une forme de colonisation masquée.
Je pourrais aussi vous parler du Nigeria... de l'Antarctique... du Tibet... des îles Kouriles qui enveniment les relations entre la Russie et le Japon... et ainsi de suite : toutes ces régions où la situation géopolitique est sur-tendue ont en commun d'être des points stratégiques en matière de ressources naturelles.
Pour l'instant, cette guerre d'un nouveau genre se déroule en majeure partie sur la scène des relations économiques, commerciales et politiques, mais il faut être lucide : les conflits armés sont inévitables -- probablement à court terme.
Vous devez également être lucide sur un autre point essentiel : cette guerre mondiale d'un nouveau genre vous affecte vous, votre famille, votre mode de vie -- et vos investissements.
De nouveaux domaines, de nouveaux marchés, de nouvelles tendances sont en train d'émerger : trois secteurs en particulier connaîtront un développement sans précédent dans les années qui viennent.
En vous positionnant dès maintenant sur les 5 "investissements bunker" que j'ai identifiés au cœur de ces secteurs, vous pourriez engranger des gains de 100%, 180%, 250%... alors que le monde sombre dans le chaos. Et je pèse mes mots -- car comme nous allons le voir tout de suite, c'est une véritable lame de fond qui s'apprête à s'abattre sur la planète.
Pas de plan B pour l'humanité
Je ne suis pas en train de jouer les Cassandre ou les oiseaux de mauvais augure ; je me contente de constater des faits objectifs et concrets. Des faits que vous devez intégrer à votre mode de fonctionnement, en tant qu'investisseur, si vous ne voulez pas être emporté par la vague qui menace de nous engloutir. Et je voudrais vous y aider.
Voyez-vous, l'équilibre mondial est en train de changer. D'un côté, le monde développé n'est pas prêt à renoncer à son mode de vie. De l'autre côté, le monde émergent veut rattraper son retard... mais aussi égaler voire surpasser le mode de vie occidental.
Le problème, c'est que les ressources terrestres sont limitées. Il n'y aura pas assez pour tout le monde. Dans un tel scénario, les conflits religieux et politiques ne vont pas disparaître, mais vont plutôt être canalisés en affrontements dont l'enjeu sera les meilleures sources d'eau, d'énergies, la nourriture, les terres habitables.
Nous vivons en ce moment une redistribution complète des cartes planétaires : la géopolitique du pétrole et du gaz qui a dominé les 60 dernières années est en train d'être peu à peu remplacée par une géopolitique de la survie : les luttes pour le pétrole et le gaz seront intégrées à une sorte de "super-conflit" comprenant aussi des ressources vitales comme la nourriture (cultures et élevage) et l'eau.
Comme d'habitude, les pays les plus démunis seront en première ligne. Mais les pays plus avancés et plus riches ne seront pas épargnés. Les guerres pour l'accès aux ressources vitales vont devenir un phénomène global.
La base du problème est ultra-simple : le premier milliard d'êtres humains sur la planète a été atteint vers 1800 -- il a fallu des centaines de milliers d'années pour y parvenir. Mais pour doubler ce chiffre, il n'a fallu que 130 ans -- en 1930, la Terre comptait deux milliards d'habitants.
Depuis, le processus s'accélère de manière fulgurante : 30 ans pour passer à 3 milliards... 14 ans pour arriver à 4 milliards... 13 ans pour passer à 5 milliards... et 12 ans pour arriver aux 6,7 milliards d'êtres humains que nous sommes aujourd'hui.
A ce rythme, en 2023, nous serons 8 milliards d'êtres humains sur notre bonne vieille planète. Or huit milliards, selon certaines estimations, c'est la population maximum que la Terre puisse supporter. D'autres chiffres, plus optimistes, estiment qu'une stabilisation démographique se fera vers 10 à 11 milliards.
Mais qu'on parle de huit milliards ou 11 milliards... ça ne change rien à la réalité actuelle des faits : les capacités de production de notre Terre sont non-renouvelables et limitées -- je dirais même qu'elles sont en voie d'épuisement... et puisqu'on ne peut pas encore s'installer sur Mars ou sur la Lune... il n'y a pas de plan B pour l'humanité.
Je le répète : je ne suis pas un oiseau de mauvais augure, et je ne me délecte pas de la misère du monde. Même si j'estime que les conflits sont inévitables, je suis sûr que l'humanité porte en elle les solutions de sa subsistance. Des solutions existent déjà, ou seront découvertes au fil des ans.
Le problème, c'est... combien de temps prendront-elles à mettre en place ? Et quels dégâts nous faudra-t-il subir en attendant ?
Comme le dit Bruno Parmentier, professeur à l'Ecole Supérieure d'Agriculture d'Angers et auteur du livre Nourrir l'humanité :
"Ne croyons surtout pas qu'il suffise de faire le dos rond quelque temps : le problème est structurel. En 2050, il y aura 10 milliards d'êtres humains sur la planète. Or nous aurons, pour les nourrir, moins de terres, moins d'eau, moins d'énergie et moins de chimie. En 1960, nous étions seulement deux habitants pour nous partager un hectare de culture. En 2050, nous serons six".
D'autres chiffres font froid dans le dos :
Aux Etats-Unis, premier producteur et exportateur de blé au monde, la prochaine récolte devrait retomber au niveau des années 1950 -- soit un peu plus de 600 millions de tonnes. Cela suffirait tout juste à alimenter la consommation mondiale pendant quatre jours et demi ! En fait, en 2008, la production de blé devrait être inférieure à tout ce qui a été consommé en 2007.
Si l'Occident consomme la majorité de la production mondiale, les pays émergents s'y mettent aussi : la Chine aspire déjà à elle seule 5% du total des échanges mondiaux dans le secteur des céréales. Elle est le premier importateur mondial de soja... le deuxième de riz... le quatrième de lait en poudre... le cinquième de volaille... et ça continue.
Sans compter que -- paradoxe de la course aux énergies de substitution -- les biocarburants viennent désormais perturber les marchés de l'alimentation ! Ils consomment des quantités astronomiques de céréales -- ce qui a déjà provoqué des troubles sociaux dans des pays comme le Mexique. 65 millions de tonnes de maïs ont ainsi été détournés de leur utilisation alimentaire pour terminer dans des réservoirs de voitures aux Etats-Unis -- un chiffre qui devrait doubler dans les trois prochaines années.
Un chiffre résume bien la situation : en l'état actuel des choses, pour nourrir tout le monde, il faudrait que la production agricole double tous les 10 ans !
Partout dans le monde, les fermiers, les paysans et les agriculteurs se sont donc lancés donc une véritable course au rendement pour parvenir à nourrir l'humanité. Et sur cet immense secteur aux débouchés spectaculaires, une entreprise en particulier a retenu mon attention... et devrait retenir la vôtre aussi.
Arrivez en tête de la course au rendement
avec +100% de plus-value
N'y allons pas par quatre chemins : pour arriver à nourrir encore plus de monde dans les années à venir, il va falloir produire plus. Comment ? Eh bien... une partie de la réponse passe par l'engrais.
Eh oui, pour augmenter les rendements, rien de tel qu'un engrais adapté à la nature du sol, au type de culture, etc.
Ce n'est pas écologique ? Tant pis ! Pour augmenter le rendement, tout est bon... surtout aux Etats-Unis, où les agriculteurs ont de l'argent à dépenser, étant donné le cours actuel des céréales. Ils sont donc près à investir... et une entreprise en particulier est parfaitement positionnée pour vous faire profiter de cette ruée vers la productivité agricole.
Il s'agit d'une société canadienne, solidement implantée sur les marchés puisqu'elle a été fondée en 1931. Elle produit et commercialise des produits nutritifs, des produits de protection des récoltes (comme les fongicides, insecticides, herbicides, etc.), et des engrais dans le monde entier. Elle a aussi une activité de détail concentrée en Amérique du Nord, au Chili et en Argentine -- deux pays très prometteurs en agriculture et en élevage.
Ce n'est pas tout. Ce véritable spécialiste offre aussi à ses clients toute une gamme de services agronomiques, comme l'analyse des sols, par exemple.
Et elle ne laisse rien au hasard : cette pépite du secteur agricole a même ses propres mines de potasse et de phosphates, indispensables pour produire des engrais. Elle construit une unité de nitrogène en Egypte. Elle ne subit donc pas la hausse des ressources naturelles : elle en profite pleinement, sur toute sa chaîne de production ! En vous positionnant dès maintenant, vous pourriez profiter vous aussi de cette aubaine.
Parlons chiffres, maintenant... Pour 2007, le chiffre d'affaire de cette société atteignait 5,6 milliards de dollars, soit une croissance 25%. La marge brute est à 1,6 milliard de dollars et le résultat net de 441 millions de dollars. La dette représente moins de 30% du capital. Il en résulte que le cours s'est continuellement apprécié tout au long des 12 derniers mois -- et ce n'est pas fini.
En effet, à la fin de l'année 2007, la société a fait une acquisition stratégique qui devrait lui permettre de doubler son activité de détail. Si tout se passe comme prévu, la croissance des ventes devrait être de 70% en 2008 !
Même du point de vue concurrentiel, notre pépite est bien placée. Elle n'a qu'un concurrent principal... lequel a un PER de 47 ! Notre société a les mêmes avantages que son concurrent, mais est bien moins chère -- du moins pour l'instant.
Compte tenu de tout cela... je pense que cette société a toutes les chances de vous permettre de doubler votre investissement d'ici la fin de l'année. Et elle n'est pas la seule qui vous permettra de profiter de la hausse des matières premières agricoles : permettez-moi de vous présenter votre...
Tout le secteur agricole,
un seul investissement...
+250% de profit
Couvrir la gamme complète des produits agricoles d'un seul coup, ça vous tente ?
Rien de plus facile, grâce à cette SICAV au potentiel hors du commun. Créée il y a un an, sa performance est de +39,86% sur cette période, et -- tenez-vous bien -- de +15,94% depuis le 1er janvier 2008 ! Vous avez sûrement en mémoire ce qu'a fait le CAC 40 sur cette période ? Inutile de vous en dire plus... c'est la preuve que ce n'est pas parce que l'on investit sur du long terme que ce n'est pas profitable rapidement !
Ceci dit, il serait dommage de ne pas garder cette SICAV exceptionnelle dans votre portefeuille, parce qu'elle est encore bien loin d'avoir épuisé toutes ses possibilités.
Les gestionnaires du fonds sont encore les mieux placés pour vous expliquer leur but :
"Le fonds a pour objectif la valorisation de ses actifs à moyen terme grâce à une exposition aux matières premières agricoles via une exposition à deux grands indices, à travers une réplication synthétique : l'indice S&P Goldman Sachs Commodities Index Agriculture and Livestock (S&P GSCIAL) et l'indice Dow Jones AIG Agriculture (DJAIG Agriculture) et une exposition supplémentaire (allant jusqu'à 10% de ses actifs) aux fonds gérés activement investis dans l'agriculture (fonds autorisés à détenir uniquement des positions longues et/ou fonds d'arbitrage). Le fonds réplique la performance des indices libellés en USD directement en euro".
Au vu des conditions actuelles sur les marchés agricoles -- et surtout de ce qui se prépare dans les années à venir, je prévois un gain de 250% d'ici la fin de la décennie pour cette SICAV vraiment pas comme les autres.
Un visionnaire au service de
vos investissements
Mais je me laisse un peu emporter ! Je m'aperçois que je ne me suis même pas présenté... Mon nom est Jean-Claude Périvier. Depuis toujours, je m'intéresse aux grandes tendances qui font évoluer le monde, l'économie et la société.
On peut dire que j'ai su appliquer ce sens affûté de l'anticipation dans ma vie quotidienne, puisque je me suis intéressé très tôt au secteur de l'informatique -- bien avant qu'il ne devienne un incontournable de l'économie. J'ai ensuite fondé une SSII, toujours avec une bonne longueur d'avance sur le marché. Je me suis également impliqué dans des activités d'intelligence économique.
Parallèlement, dès 1986, je me suis intéressé à la Bourse. N'étant de loin pas satisfait des placements que me proposait mon banquier... j'ai décidé de prendre les choses en main moi-même. Cela m'a réussi à tel point que mon entourage n'a pas tardé à me demander des conseils ! J'ai donc élargi mon champ d'action en lançant ma propre lettre boursière, de circulation très confidentielle à l'époque.
J'ai bien conscience que mon parcours est assez éclectique... mais que voulez-vous, ça me passionne !
Voir comment les fondamentaux planétaires se modifient... prévoir quels secteurs, quelles entreprises, quelles tendances vont se développer -- et lesquelles vont disparaître... dénicher LA perle parfaitement positionnée qui rapportera des gains à deux, voire trois chiffres... observer de quelle manière l'humanité avance et progresse... j'ai ça dans le sang.
Alors quand les Publications Agora sont venues me trouver en me proposant de lancer un service basé exactement sur ce principe... je n'ai pas hésité une seconde. Parce que plus qu'une affaire de gains, c'est une affaire de passion. Et cette passion, ces connaissances, ce sens de la Bourse... je me propose de les mettre à votre service, mois après mois et semaine après semaine... pour vous aider à détecter des opportunités comme celles que je viens de vous décrire.
Le nom de ce service, c'est Défis & Profits. Et je suis convaincu qu'il pourra vous aider non seulement à faire face aux bouleversements qui se préparent... mais bien à en profiter.
En fait, j'ai même préparé Trois Rapports Gratuits détaillant cinq "Investissements Bunker" qui ont toutes les chances de grimper alors que le chaos s'installe. J'aimerais vous les offrir lorsque vous vous inscrirez à Défis & Profits, d'abord pour vous remercier de votre confiance -- mais surtout parce qu'il est URGENT d'agir.
Permettez-moi de vous redire que je ne suis pas un vendeur d'apocalypse. Il existe des moyens de vous en sortir -- et même de vous en sortir avec des gains qui peuvent aller jusqu'à 250% grâce à mes recommandations. Mais vous devez vous protéger, et vous devez le faire MAINTENANT.
Parce que l'alimentation n'est pas la seule menace qui pèse sur l'humanité... Un autre facteur déclencheur de conflits -- liquide, celui-là -- se fait de plus en plus pressant.
La ressource qui fera couler
plus de sang que le pétrole
La demande pour cette ressource aussi unique qu'indispensable ne cesse d'augmenter. Et contrairement au pétrole, il n'y a pas de produit de substitution. C'est pourquoi la grande affaire des nations au 21ème siècle sera la capacité d'en maîtriser l'approvisionnement et la gestion.
Vous l'aurez deviné, je veux parler de l'eau. Et dans ce domaine, la situation est bien plus grave qu'on l'imagine.
En fait, paradoxalement, la planète ne manque pas de liquide ; après tout, 70% du globe est composé d'eau.
Ce qui manque cruellement, par contre... c'est de l'eau propre. Potable, sans danger pour l'être humain. Seule 2,5% de l'eau sur Terre est potable -- et encore, sous forme de glaciers et d'icebergs. Résultat : un tiers de la population mondiale n'a pas accès à l'eau propre. A
côté de cela, 20% de la population mondiale (c'est-à-dire nous) consomme et gaspille cette ressource naturelle pour laquelle d'autres se battent et meurent.
Ce ne sont pas des paroles en l'air :
La moitié des lits d'hôpitaux, dans le monde entier, est occupée par des gens souffrant de maladies liées à l'eau impropre. Les décès dans le monde à cause de l'eau contaminée, quelque soit la cause, sont supérieurs aux décès dus au SIDA ou au cancer. En fait, l'eau contaminée tue plus de personnes que les guerres mondiales du 20ème siècle !
Plus d'un tiers de la population mondiale n'a pas accès à une bonne hygiène : un milliard d'hommes sont touchés chaque année par une maladie liée à la qualité de l'eau.
Selon les Nations Unies, si la tendance actuelle en consommation d'eau se poursuit, dans moins de 25 ans, cinq milliards d'êtres humains (soit la majorité de la population planétaire) vivront dans des zones où il sera impossible de satisfaire les besoins de base pour boire, cuisiner et assurer l'hygiène minimum.
Vous vous croyez à l'abri en France, avec son climat tempéré et ses nappes phréatiques généreuses ? Détrompez-vous ! La qualité de notre eau n'est guère plus reluisante que celle des pays émergents.
Dans l'Hexagone, près de 30% des eaux superficielles ont encore aujourd'hui une mauvaise ou très mauvaise qualité due à leur teneur excessive en nitrate. En fait, 20% de la population française consomme une eau de boisson dont les quantités de pesticides excèdent les normes souhaitables.
Et puisqu'on parle de nitrates, saviez-vous que 22% des points de surveillance des eaux douces sont menacés... et 11% sont fortement pollués ? En d'autres termes, un tiers des eaux de notre pays est impropre à la consommation !
L'or bleu : un élément vital pour la planète...
et pour vos investissements
Croyez-moi, qu'on le veuille ou non, nous sommes tous concernés par la raréfaction et la dégradation de l'eau -- directement ou indirectement. Là encore, c'est un facteur que vous devez prendre en compte dans votre stratégie d'investissement, parce que ce bouleversement, comme tous les bouleversements, fait naître des opportunités à côté desquelles il ne faut pas passer.
En effet, en tant que ressource non-substituable, l'eau est essentielle à la vie sur Terre. Et je ne parle pas uniquement de votre litre d'eau quotidien. "L'or bleu" est vital pour entretenir quasiment toutes les formes de vie sur terre. Il est essentiel pour l'agriculture, l'industrie, le nettoyage, les conditions sanitaires, etc...
Nous n'en sommes qu'au début, mais l'eau douce de surface deviendra de plus en plus un enjeu stratégique à mesure qu'elle se fera rare.
Pour les pays avancés, l'eau est un problème majeur en termes de changements climatiques, de pollution, de vieillissement des réseaux et de pertes d'exploitation.
Pour les pays du Tiers-Monde, la pénurie d'eau est mortelle.
Pour les pays en développement, c'est une situation de crise, car le manque d'eau propre engendre des maladies et des décès qui freinent le développement économique.
Et dans la lutte pour l'or bleu, tous les coups sont permis.
Après la Guerre du Feu...
la Guerre de l'Eau ?
Prenez le Moyen-Orient, par exemple : la Turquie est en train de construire pas moins de 22 barrages et 19 centrales électriques sur les fleuves Tigre et Euphrate et sur leurs nombreux affluents. Objectifs : produire 30 milliards de Kw/H, irriguer 1,7 milliards d'hectares de terres arides et enrichir cette région qui représente 10% de la Turquie. L'enjeu est considérable, car ainsi la Turquie contrôlera 28% de son potentiel en eau et sera autosuffisante en 2010, tant sur le plan alimentaire qu'énergétique.
Mais l'enjeu est aussi géopolitique. En effet, la Turquie peut stocker des quantités d'eau considérables derrière ses barrages, limitant l'approvisionnement en aval, c'est-à-dire celui des pays comme la Syrie et l'Irak. Des accords ont bien été signés entre eux, mais ces deux pays jugent le débit des fleuves en aval insuffisant pour leurs besoins. Et en plus, cette eau est de qualité médiocre, polluée par les engrais et les rejets industriels.
C'est un exemple parfait d'utilisation potentielle de l'eau comme arme stratégique. On pourrait tout à fait envisager de voir un jour des pays réduire leurs "exportations d'eau" comme le fait déjà la Russie pour le gaz ou le pétrole, afin d'exercer une pression politique ou un chantage sur d'autres pays dépendants.
Sans faire un mauvais roman d'anticipation, que se passera-t-il vraiment si un jour la pénurie d'eau douce issue des lacs, des rivières, des glaciers, des nappes souterraines, met en péril la survivance de populations entières ?
A l'autre bout du globe, le Groenland, propriété du Danemark, donc de l'Europe, se voit convoité par les Russes, les Américains et les Canadiens. Certes en raison de ses richesses supposées en pétrole et en gaz, mais aussi en raison de la quantité énorme d'eau douce que renferment ses glaciers.
Il ne fait aucun doute que des conflits, même entre "bons voisins" (Mexique, USA) se produiront à l'échéance d'une décennie. Si tôt ? Oui, car il y a urgence !
Rappelez-vous qu'une guerre russo-chinoise a failli se produire au sujet du fleuve Amour, et pas uniquement parce qu'il s'agissait d'une frontière naturelle... mais aussi pour son exploitation.
Autre point essentiel : l'eau n'est pas une matière première comme une autre -- il n'y a pas de produit de substitution, et surtout, elle est décorrélée des autres matières premières (contrairement à l'or et au pétrole, ou à l'argent par exemple). Elle est également décorrélée des devises dans son utilisation primaire.
Cela en fait un secteur d'investissement de premier plan sur le moyen/long terme. Comme les matières premières soft, le prix de l'eau est tiré par la croissance inexorable de la population mondiale, à laquelle il faut ajouter l'élévation globale du niveau de vie.
Purifier, filtrer, transporter, stocker, distribuer et même embouteiller l'eau seront des activités de plus en plus importantes dans l'économie mondiale. Et qui prendront de plus en plus de valeur.
Les pays dépenseront des milliards de dollars au cours des deux prochaines décennies afin d'installer et d'améliorer les infrastructures de traitement et de distribution d'eau. Les Etats-Unis à eux seuls dépenseront 1 000 milliards de dollars au cours de cette période afin d'améliorer leur infrastructure qui se détériore.
Pour profiter de cette tendance qui se développe à vitesse exponentielle, mes recherches m'ont permis de dénicher un investissement simplissime... mais plein de promesses :
L'eau dans tous ses états...
et 50% de gains !
L'investissement ne devrait pas vous compliquer la vie -- voilà pourquoi j'ai choisi pour vous un fonds d'investissement qui vous permettra de profiter de toute la gamme des sociétés du secteur de l'eau.
Vous serez positionné dans les différents compartiments de l'industrie et des services de l'eau, et vous bénéficierez en plus d'une diversification géographique... en toute simplicité.
Ce fonds a progressé jusqu'à 14% en 2007... Et même avec la déprime des marchés, il a fini à environ +5% sur l'ensemble de l'année dernière. Ca vous semble peu ? Rappelez-vous que la performance totale du CAC 40, sur la même période, était de... +1,31% !
Les parts de ce fonds cotaient 101,9 euros au début de l'année 2008... et si mes prévisions s'avèrent exactes, il pourrait atteindre 155 euros dans les mois qui viennent : +50% de gains faciles et sans danger pour votre portefeuille !
Je vous révélerai tous les détails pour vous positionner dans un rapport spécial consacré à l'eau : je vous dirai comment le recevoir dans quelques instants -- mais pour l'instant, intéressons-nous à une nouvelle tendance de fond qui pourrait vous permettre de récolter de coquets profits...
Votre poubelle vaut de l'or !
Nos sociétés assoiffées de consommation produisent de plus en plus de déchets -- et les pays émergents sont en train de nous rattraper dans ce domaine aussi :
Rien qu'en France, on produit pas moins de 600 millions de tonnes de déchets. Au niveau individuel, le poids des déchets est passé de 217 kg/habitant/an en 1975 à 373 kg en 2000... et environ 450 kg aujourd'hui ! Vous et moi, nous rejetons en moyenne chaque année six fois notre poids !
Dans l'ensemble, selon une étude CyclOpe/Veolia, le gisement de déchets collectés dans le monde atteint 2,5 milliards de tonnes par an. Autrement dit, la société actuelle produit chaque année à peu près autant de déchets que de céréales ! Vertigineux...
Bien entendu, ces déchets varient selon les zones géographiques. Plus les pays sont riches... plus ils consomment... plus cette consommation est chargée d'emballages... et plus ils rejettent. Ainsi, un Américain produit en moyenne 700 kg de déchets par an contre 150 kg pour un Indien.
Vous vous en doutez, à mesure que les pays émergents se développeront, la quantité de déchets augmentera. Et ces déchets... il faudra bien les traiter et les recycler. Ce marché exponentiel intéresse de plus en plus de monde -- gouvernements compris -- parce qu'il pourrait en plus fournir une réponse quasi-providentielle à un autre problème de ressources croissant : l'énergie.
Eh oui : beaucoup de déchets, un peu partout dans le monde sont incinérés -- et cela libère une quantité phénoménale d'énergie.
Jugez plutôt : on compte plus de 600 unités d'incinération avec récupération d'énergie, réparties dans 35 pays. Environ 50% de ces volumes sont incinérés en Europe et au Japon. La quantité d'énergie issue de cette valorisation énergétique équivaudrait à 600 000 barils de pétrole par jour !
En Europe, les 400 unités d'incinération approvisionnent 27 millions d'habitants en électricité − ou 13 millions d'habitants en chaleur !
Et l'énergie n'est pas la seule concernée : le recyclage concerne beaucoup d'autres matériaux -- à commencer par le verre, l'acier et l'aluminium, qui sont recyclables à l'infini, tandis que les papiers et cartons d'emballages sont recyclables à 90%.
Je ne vais pas m'étendre trop longtemps sur la question : sachez simplement que globalement, les marchés des matériaux issus de la récupération progressent et s'internationalisent. Ils pèsent actuellement plus de 600 millions de tonnes, emploient 1,5 million de personnes et représentent un chiffre d'affaires de 160 milliards de dollars.
Pas question de passer à côté d'une telle opportunité ! Voilà pourquoi je vous ai préparé un troisième rapport spécial, où vous découvrirez deux autres bunkers au potentiel explosif.
Une seule position pour maîtriser
tout le secteur du recyclage européen
Là encore, il s'agit d'un FCP -- où vous pourrez donc investir en toute sécurité et en toute simplicité, puisqu'il est éligible au PEA. D'un point de vue sectoriel, ce fonds est investi en majeure partie dans le traitement des déchets (à hauteur de 37% du portefeuille).
L'investissement du fonds est concentré sur l'Europe ; la France représente 25% du portefeuille. A cette diversification géographique s'ajoute une répartition du risque entre grandes capitalisations (55% du portefeuille), moyennes valeurs (39%) et petites valeurs. Cet assortiment permet d'optimiser le fonds : les mid et small caps dopent la performance... tandis que les grandes valeurs jouent un rôle de stabilisateurs.
Et puisqu'on parle performance, restons-y : celles de 2005 et 2006 ont été respectivement de +52,8% et + 32,83%. 2007, par contre, a été plus problématique : la crise du subprime a conduit à une baisse de valorisation des actions en portefeuille suite aux ventes massives d'investisseurs en mal de liquidités. Résultat : une performance historiquement basse de +3,9%... ce qui est tout de même deux fois mieux que le CAC 40.
Mais il y a une bonne nouvelle : la baisse a fait de ce fonds une opportunité d'achat incroyable. Que vous importent quelques semaines de mauvaises performances... puisque vous serez positionné sur une tendance ultra-solide, qui n'en est qu'à ses débuts. Je pense que rien n'empêche ce fonds de vous rapporter 180% de plus-value d'ici quelques années !
Et ce n'est pas tout ! Pour vous positionner directement et surperformer la tendance du secteur du traitement et du recyclage des déchets... j'ai également déniché pour vous une valeur française au potentiel spectaculaire.
Investissez dans cet
acteur incontournable du recyclage français
pour un gain de 100%
Jugez plutôt : cette pépite se classe dans le trio de tête français du traitement, du
recyclage et du stockage de déchets (hors radioactifs), qu'ils soient issus de l'industrie ou des collectivités locales. Traitement et stockage de déchets, mais aussi dépollution de sites, tri et transferts de déchets ainsi que décontamination des sols font partie de ses activités.
Cette société s'est organisée en services spécialisés pour traiter tous les types de déchets dans des conditions optimales de sécurité.
Et avec l'eau, la société a pris une toute nouvelle dimension : en effet, sans traitement ou préservation de l'eau, pas de traitement de déchets, ni de préservation des milieux naturels.
Par conséquent, les clients (collectivités locales et industriels), soucieux d'excellence environnementale, exigent désormais des offres alliant l'ensemble des traitements eau et déchets. Notre société a effectué en 2007 un rachat stratégique dans ce secteur, qui lui permettra de se positionner en excellente place dans cette double offre eau/déchets.
En plus de cette manœuvre stratégique, notre pépite se lance à l'assaut de l'énergie. Sa production d'énergies renouvelables est déjà suffisante pour satisfaire ses besoins, et les énergies renouvelables deviendront rapidement un des ressorts essentiels du développement de l'entreprise. Elle se donne ainsi progressivement tous les moyens d'être un acteur incontournable sur les marchés globaux de l'environnement.
La croissance du groupe reflète parfaitement cette stratégie avisée et solide : pour 2007, on enregistre un chiffre d'affaires à 373,7 millions d'euros, dont 98,1 millions au quatrième trimestre (10,5% de croissance au 2ème semestre). La marge opérationnelle est à plus de 17%. Pour 2008, le groupe anticipe une croissance de l'ordre de 7%.
Et il y a un autre avantage, de taille : il s'agit d'un groupe familial. Par expérience, je sais que ces sociétés sont souvent les mieux gérées, puisque la direction est personnellement impliquée dans l'activité et la bonne marche de l'entreprise.
Selon moi, cette société a toutes les chances de voir son cours doubler dans les mois et les années qui viennent. La baisse qui a frappé les marchés début 2008 constitue une excellente occasion de vous positionner à bon compte : ne la manquez pas -- je vous dirait exactement comment vous positionner dans votre troisième rapport spécial, réservé aux lecteurs de Défis & Profits.
L'objectif de Défis & Profits est simple : identifier les tendances qui dominent les marchés d'investissement. Plus important pour VOUS, je transformerai ces grandes tendances en recommandations spécifiques et profitables.
Comme je vous le disais au début de cette lettre, la Troisième guerre mondiale a bel et bien commencé. C'est une lutte pour la survie même -- et elle va causer des bouleversements considérables pour l'économie... pour votre mode de vie... et pour vos investissements.
Je vous aiderai à éviter les situations dangereuses. En fait, mon but est de vous permettre d' augmenter votre richesse et votre sécurité personnelle... alors que la plupart des investisseurs perdent les leurs. Et voilà comment je vais m'y prendre, très concrètement...
Avec Défis & Profits,
investissez en toute connaissance de cause
dans les tendances de demain
Vous recevrez :
Un bulletin mensuel complet envoyé par e-mail (puis par courrier) identifiant les grandes tendances du moment et les opportunités qu'elles ouvrent pour les investisseurs. Je vous ai parlé de l'eau, de l'agriculture et des déchets jusqu'à présent -- et ils feront partie des thèmes récurrents de mon service. Mais croyez-moi, nous explorerons bien d'autres gisements de profits : haute technologie, Afrique, infrastructures, pharmaceutiques, nouveaux enjeux géopolitiques... de nombreux investissements passionnants nous attendent.
Bien entendu, je ne me limiterai pas à l'analyse pure : chaque mois, j'identifierai environ trois opportunités, selon les conditions de marché pour vous positionner sur le secteur exploré. Des conseils simples, clairs et sans jargon incompréhensible. Je vous donnerai le seuil d'entrée, l'objectif, un seuil de sécurité -- et jusqu'au code de la valeur. La seule chose qui vous restera à faire, c'est de vous positionner.
Pas question non plus de vous laisser dans le noir quant à l'évolution des valeurs que nous avons en portefeuille. Chacun des bulletins mensuels de Défis & Profits contiendra ainsi un suivi de nos positions : vous connaîtrez ainsi les dernières nouvelles des sociétés sur lesquelles nous sommes positionnés, et vous saurez comment y adapter votre stratégie.
Toujours pour vous permettre d'avoir un portefeuille optimal quelles que soient les circonstances, je vous enverrai tous les vendredis un e-mail exclusif : il vous révélera les dernières évolutions de notre portefeuille et des tendances auxquelles nous nous intéressons, avec des analyses complémentaires et des conseils concrets pour faire évoluer vos positions au mieux.
Et pour que vous puissiez commencer sur le bon pied, je vous enverrai aussi l'Arsenal Défis & Profits. Cette incroyable somme d'informations, de conseils et de recommandations vous permettra d'agir sans plus attendre pour profiter des tendances qui changent la donne en ce moment même partout dans le monde. Il contient :
Le rapport spécial n°1 : Surpopulation, ressources limitées et répartition inégale -- la lutte pour la subsistance a planté le décor idéal pour un véritable boom de l'agriculture. Et grâce aux deux valeurs dont je vous parlais plus haut, vous serez en bonne place pour profiter de cette tendance, plutôt que de la subir, avec des gains potentiels de 250% et 100%.
Le rapport spécial n°2 : L'eau est une denrée de plus en plus rare... et de plus en plus cher. Les foyers de tensions et conflits potentiels se multiplient autour de l'or bleu -- tout comme les sommes investies dans ce secteur. Avec ce "placement bunker", vous avez toutes les chances d'engranger un gain de 50% en quelques mois : n'attendez pas pour vous positionner !
Le rapport spécial n°3 : Les déchets menacent d'étouffer la planète... tout en représentant une alternative énergétique providentielle. Ce rapport vous expliquera précisément comment investir dans ce secteur incontournable. Comme nous l'avons vu, des gains de 180% et 100% vous attendent.
Les grands enjeux du 21ème siècle et comment en profiter : ce guide ultra-complet justifie à lui seul de vous inscrire à Défis & Profits. Il s'agit d'une étude géopolitique, économique et financière du monde d'aujourd'hui. J'y identifie pour vous les principales tendances de notre siècle, leur potentiel, mais aussi les dangers qu'elles représentent pour votre argent. Bref, une lecture indispensable pour tout investisseur aujourd'hui.
La liste des meilleurs courtiers : Dans Défis & Profits, il m'arrivera de recommander des valeurs cotées sur des marchés étrangers. Rassurez-vous, elles seront toujours simples d'accès, sur des places sûres et solides ; mais pour vous faciliter encore plus la tâche, je vous offre également une liste complète de courtiers qui vous permettront de vous positionner en toute facilité, et présentant le meilleur rapport qualité/prix.
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Mais mon but n'est pas de vous faire payer le même tarif que les professionnels... même si vous obtenez des recommandations de professionnel ! Voilà pourquoi Défis & Profits coût normalement 144 euros par an.
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Eh oui : vous pouvez essayer Défis & Profits pendant trois mois. Découvrez l'Arsenal Défis & Profits à votre rythme, lisez mes conseils et mes analyses, profitez des e-mails hebdomadaires.
Ensuite, si pour quelque raison que ce soit vous n'êtes pas complètement satisfait de mon système à la fin des trois premiers mois, je vous rembourserai jusqu'au dernier centime -- l'intégralité des 36 euros que vous aurez versés.
Par contre, si Défis & Profits vous convient, vous n'aurez rien à faire : 36 euros seront débités automatiquement de votre compte tous les trois mois, et ce jusqu'à ce que vous souhaitiez arrêter. Je ne fais pas ce genre d'offre habituellement, mais j'ai décidé de faire une exception -- parce que je ne voudrais pas que quelques euros vous empêchent de profiter de toutes les opportunités que j'identifie dans Défis & Profits.
Bien entendu, si vous le souhaitez, vous pouvez également décider de vous engager directement pour un an, et régler les 144 euros par chèque -- dans ce cas, il vous suffit d'envoyer votre paiement, libellé à l'ordre des publications Agora, à l'adresse suivante :
Publications Agora - Libre Réponse 38099 - 75919 Paris Cedex 19
Et rappelez-vous...
Même si vous décidez d'annuler votre adhésion à Défis & Profits, vous GARDEZ TOUT ce que vous aurez reçu... y compris vos cadeaux de bienvenue.
J'espère que vous n'attendrez pas pour profiter de mon invitation spéciale. Pour l'humanité, la Guerre de Survie est bel et bien en cours -- et les choses vont aller en s'accélérant.
La plupart des gens manqueront le coche. Quelques-uns, par contre, réagiront aujourd'hui... et s'en sortiront largement gagnants.
Agissez sans plus attendre pour faire partie de la seconde catégorie !
Meilleures salutations,
Jean-Claude Périvier
Rédacteur en chef
Défis & Profits
PS : La Troisième guerre mondiale a DEJA commencé. Soit vous ignorez cette réalité, comme la plupart des investisseurs... soit vous reconnaissez dès aujourd'hui que des tendances majeures sont enclenchées -- et qu'elles pourraient vous rendre bien plus riche. C'est aussi simple que ça... et pour en profiter, il vous suffit de cliquer ici.
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