Didier,
Sur le fond, l'idée du PI est bonne. Le problème tient à ses possibilités d'application dans le cadre du secteur public.
Un tel système est sans doute possible dans l'enseignement privé, pas dans l'enseignement public compte-tenu du gouvernement de l'Education nationale par et pour les syndicats.
Le système du triple volontariat (professeurs, élèves, parents) et des établissements à objectif repensé me plait beaucoup, pourquoi alors ne pas sauter le pas et affirmer que ces établissements auront un statut de droit privé, libéré des Commissions administratives paritaires, avec affectation des moyens à proportion du nombre d'élèves ? pourquoi leur attacher d'emblée à la cheville le boulet du "public" ? qu'est-ce que cela apporte ?