Communiqué n° 1251, mardi 21 juin 2011
Sur l'"affaire" du recteur d'Orléans
Le parti de l'In-nocence juge aussi exaspérantes que ridicules ces noises indéfiniment cherchées aux rares personnes qui, à l'exemple cette semaine de Mme Marie Reynier, recteur de l'académie d'Orléans, ont le courage ou l'inconscience de soulever un instant, comme par inadvertance, le voile de mensonge et d'aveuglement qu'alimentent les médias, les autorités et les prétendus experts, avec leurs statistiques absurdes, au sujet des divers aspects du Grand Remplacement, et de la Grande Déculturation qui lui est nécessairement conjointe. Mme Marie Reynier a eu le tort, aux yeux de ceux qui lui font une mauvaise querelle, de dire que les résultats de son académie, qui sont mauvais, ne le seraient pas plus que les autres « si on enlevait des résultats les enfants issus de l'immigration ». C'est là une de ces évidences que le complexe médiatico-politique n'empêchera peut-être pas éternellement d'affleurer. Sa formulation a le grand mérite de se prêter à merveille à toute sorte de pertinentes transpositions, dans le domaine de la délinquance par exemple.
Le parti de l'In-nocence ne souhaite rien tant qu'un retour de la confiance, parmi les citoyens, en leurs propres yeux, leurs propres oreilles, leurs propres observations, leur propre expérience : qu'ils cessent de s'en remettre, pour juger de ce qui survient, au mélange de mensonges, de pseudo-science et de menaces (ce qu'on a proposé d'appeler le
mucchiellisme, du nom d'un spécialiste renommé) que distillent jour après jour les contrôleurs de l'information et les formateurs de l'opinion.