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Communiqué n° 1251 : Sur l'"affaire" du recteur d'Orléans

Communiqué n° 1251, mardi 21 juin 2011
Sur l'"affaire" du recteur d'Orléans

Le parti de l'In-nocence juge aussi exaspérantes que ridicules ces noises indéfiniment cherchées aux rares personnes qui, à l'exemple cette semaine de Mme Marie Reynier, recteur de l'académie d'Orléans, ont le courage ou l'inconscience de soulever un instant, comme par inadvertance, le voile de mensonge et d'aveuglement qu'alimentent les médias, les autorités et les prétendus experts, avec leurs statistiques absurdes, au sujet des divers aspects du Grand Remplacement, et de la Grande Déculturation qui lui est nécessairement conjointe. Mme Marie Reynier a eu le tort, aux yeux de ceux qui lui font une mauvaise querelle, de dire que les résultats de son académie, qui sont mauvais, ne le seraient pas plus que les autres « si on enlevait des résultats les enfants issus de l'immigration ». C'est là une de ces évidences que le complexe médiatico-politique n'empêchera peut-être pas éternellement d'affleurer. Sa formulation a le grand mérite de se prêter à merveille à toute sorte de pertinentes transpositions, dans le domaine de la délinquance par exemple.

Le parti de l'In-nocence ne souhaite rien tant qu'un retour de la confiance, parmi les citoyens, en leurs propres yeux, leurs propres oreilles, leurs propres observations, leur propre expérience : qu'ils cessent de s'en remettre, pour juger de ce qui survient, au mélange de mensonges, de pseudo-science et de menaces (ce qu'on a proposé d'appeler le mucchiellisme, du nom d'un spécialiste renommé) que distillent jour après jour les contrôleurs de l'information et les formateurs de l'opinion.
Utilisateur anonyme
22 juin 2011, 01:59   Re : Communiqué n° 1251 : Sur l'"affaire" du recteur d'Orléans
Ô Grand Remplacement, puisses-tu épargner à mes proches et mes pairs de croupir parmi les ombres du tombeau des Français !

...Prions en silence, loin du vacarme des rues, et goûtons dans l'obscurité ces quelques larmes de monsieur de Sainte-Colombe : Extrait du Tombeau des regrets (contenant Les Pleurs (de 2:40 à 4:58)).
Utilisateur anonyme
22 juin 2011, 07:49   Re : Communiqué n° 1251 : Sur l'"affaire" du recteur d'Orléans
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Une mienne amie a fait une partie de ses études à Orléans, où elle était en classe préparatoire, me semble-t-il. Elle m'a toujours parlé de cette ville comme d'un lieu où il ne fait pas bon sortir seul le soir, en particulier lorsque l'on est une femme, et ce même dans son centre, tant le harcèlement des voyous et des marginaux y est pressant. Ça me surprenait de la part d'une ville de province que je croyais semblable à la Metz bourgeoise et sûre de mes propres années de faculté...
Mme Marie Reynier ne fait que décrire ce qu'un bon nombre des personnes de ma génération constatâmes lors de notre scolarité. La plupart des élèves issus de l'immigration figuraient parmi les plus mauvais élèves des classes où j'ai étudié, et les plus insolents. Il pouvait y avoir de notables exceptions, mais qui n'infirmaient pas cette règle tacitement reconnue de tous. J'ai souvenir d'un jeune camarade dont les parents étaient gabonais et qui, à l'école primaire, occupait le haut du tableau en ma compagnie. A l'entrée au collège, nos chemins se séparèrent. Je ne l'ai revu que bien plus tard ; il appartenait à une bande, était connu pour s'être battu au couteau, et je sais qu'il avait plusieurs fois connu la garde-à-vue. A mes yeux, et au ressouvenir, rien ne résume mieux le sentiment de gâchis que cette vie-là.
Utilisateur anonyme
22 juin 2011, 13:06   Re : Communiqué n° 1251 : Sur l'"affaire" du recteur d'Orléans
Citation
Didier Bourjon
D'un recteur à l'autre : [tempsreel.nouvelobs.com]
J'ai eu l'occasion, il y a quelques temps, de passer par la ville d'Orléans, que je ne connaissais pas. J'ai été effrayé par l'état de cette ville.

J'y suis arrivé début 1988 et n'y ai vécu qu'un an. Je n'y suis plus jamais retourné depuis. Une connaissance m'a dernièrement confirmé ce que vous écrivez et soulignait la présence visible et pesante des nouveaux français.
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