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Communiqué n° 1256 : Sur les inspections aux frontières dans les quartiers est de Marseille

Communiqué n° 1256, mercredi 29 juin 2011
Sur les inspections aux frontières dans les quartiers est de Marseille

Le parti de l'In-nocence se réjouit que l'écho, pour mince qu'il soit, donné par les médias à l'affaire du camion de lait de la Banque alimentaire des Bouches-du-Rhône, inspecté et fouillé par les forces coloniales à l'entrée des quartiers déjà soumis de l'est de Marseille, vienne offrir une illustration frappante et un peu publique, pour une fois, un peu médiatisée, de la réalité que lui-même, presque seul en ce combat, énonce et dénonce depuis des années : à savoir que la prétendue “mixité” et le non moins mensonger “multiculuralisme” ne sont que les noms que les lâches, les aveugles et les aveugleurs donnent à la colonisation en cours, laquelle se présente et se présentera de plus en plus en termes de territoires à soumettre, à défendre, à interdire et à exploiter, autant dire en termes militaires. La nocence — des dites “incivilités” au racket, de la loi du silence au règne de la peur — est l'instrument quotidien des campagnes de soumission de l'espace national. La publicité faite à de tels “incidents” est certes très faible et très étouffée, et pour cause. Elle n'en est pas moins exceptionnelle dans le contexte du silence imposé par le complexe médiatico-politique sur la réalité de ce qui survient dans notre pays, à notre patrie et à notre peuple. Il faut souhaiter que pareilles “fuites” finissent par ouvrir les yeux de nos compatriotes abusés par l'endoctrinement perpétuel.
Plus généralement, dans ce quartier précisément, une personne étrangère aux lieux doit souvent passer par un "péage", en indiquant le motif de sa bienvenue - "afin d'éviter les infiltrations policières..." -. Ensuite, pour s'assurer qu'elle ne se perde pas - "ou qu'elle aille à un autre endroit avec de mauvaises intentions " ! -, une aimable personne l'accompagne éventuellement sur leur territoire.

Par ailleurs, la main-mise d'un groupe de trafiquants de drogue sur ce quartier n'échapperait peut-être pas à la police ? - "qui alors le tolèrerait ?!, car mieux vaut connaître ceux-là que d'avoir à repérer le nouveau réseau qui lui prendrait immédiatement la place".
Hier soir, à quelques mêtres de chez moi , dans les quartiers nord de Marseille, un rodeo " frein à main " impliquant plusieurs voitures, a duré une bonne vingtaine de minute. C' était très impressionnant et très bruyant.
Pas un mot dans La Provence de ce matin, qui titre en revanche : " ce week-end, le préfet attend les estivants au tournant ".
Les voilà prévenus ..
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Je n’ose imaginer les graves conséquences que ce commissariat encourt pour l’arrestation de ces « jeunes indignés ».
Sans compter la caserne de je ne sais plus quel régiment qui a été attaquée il y a quelques jours.

Il y a de quoi se sentir tel un Romain aux alentours de 395 de notre ère...
03 juillet 2011, 13:08   Champignoiphobie
Les jeunes, tous originaires de Champigny,

Manifestement du racisme anti-champignois... Mais qu'attend la Licra pour attaquer l'AFP pour champignoiphobie ?
Je suis quand même allé vérifier, par acquit de conscience, la signification de "mortier", qui est une des armes utilisées par nos jeunes Champignois. Oui, oui, Aristide, il s'agit bien d'une sorte de petit canon, ou lance-mine, "bouche à feu tirant à inclinaison élevée (plus de 45°), pour effectuer des tirs indirects", utilisé aussi pour les feux d'artifice (cf. [fr.wikipedia.org]). Cela m'a rappelé entre nous que ma première rencontre avec ce mot date de ma première lecture de De la terre à la lune. La police, avec ses balles de jokari, ne devait pas en mener bien large.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Comme il n'y a plus de limite dans cette société extrême, à quand l'assaut d'une caserne de légionnaires ? (... de l'Elysée ?!)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Illustration du Djihad contre les mécréants en Képi ?
Ou acte insensé de jeunes angoissés ?

Peut-être ces jeunes angoissés laissent-ils libre-court à leur envoûtement par ce visage inconnu, mais si tyrannique, d'Allah ?

Du travail + conversion, je ne vois pas d'autre solution.
« La préfecture parle d'une simple provocation de gamins. »

Il faudra le leur rappeler quand tombera le premier policier tué par la racaille.
Citation
Marcel Meyer
« La préfecture parle d'une simple provocation de gamins. »

Il faudra le leur rappeler quand tombera le premier policier tué par la racaille.

La préfecture parlera alors d'une simple provocation de gamins qui aura mal tourné.
Un peuple va vers sa ruine quand les honnêtes gens n’ont plus qu’un courage inférieur à celui des individus malhonnêtes.
Lincoln
Petit-Détour,

Malgré mes recherches, je ne parviens pas à retrouver cette citation d' Honest Abe (voir Lil'Abner).

J'ai en revanche trouvé celle-ci, qui s'adresse à travers les siècles à M. Courtillot et à Claude A. :

“If you call a tail a leg, how many legs does a horse have? Four, calling a tail a leg does not make it a leg”.
Citation
Marcel Meyer
« La préfecture parle d'une simple provocation de gamins. »

Il faudra le leur rappeler quand tombera le premier policier tué par la racaille.

mai 2010: Aurélie Fouquet policière décède sur l'A10 après un braquage (ici)

25 mars 2011: un motard des douanes décède dans une course poursuite (ici)

Ce n'est pas pour vous démoraliser, mais j'ai souvent entendu mes parents enseignants dire qu'il se passerait quelque chose avec le seuil symbolique du premier mort (dans le corps enseignant). En fait, je pense qu'il y a déjà quelques morts dans la police, mais on sait bien qu'il suffit d'une marche blanche pour que tout le monde se mouche et voilà, il ne se passera rien.

Je suis beaucoup plus à guetter la première action de résistance souchienne qui aura un peu d'envergure. Il y a ça, qui fait plaisir à lire (j'imagine des tortues ninja), mais j'ai peur que ce ne soit pas dans la ligne du parti.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Petite variante : [www.lefigaro.fr]

Un train de marchandises est tombé dans une embuscade à Marseille.


Ce n'est pas le braquage mythique du convoi postal Glasgow-Londres en 1963, mais l'affaire est assez sérieuse pour mettre la police sur les dents. Revisitant à leur manière l'attaque de la diligence, une vingtaine de jeunes ont bloqué le train express régional (TER) qui reliait Marseille à Miramas via la Côte Bleue, à hauteur de la cité sensible du Ruisseau Mirabeau, dans le XVe arrondissement.

Lors de son passage dans les quartiers nord, il a été bloqué par des chariots de supermarchés, des poutres métalliques ainsi que de plaques de béton déposées sur les voies. Plusieurs inconnus cagoulés ont alors été repérés par les voyageurs paniqués. Brandissant des barres de fer, ils n'ont cependant pas essayé de faire irruption dans les rames. Lorsque l'encombrement du trafic a bloqué un second train de marchandises affrété par la société Euro Cargo Rail, filiale française de fret des chemins de fer allemands Deutsche Bahn, la bande s'est ruée sur son contenu. Après avoir «visité» les wagons, les voyous ont fait main basse de plusieurs cartons dont le contenu n'est pas encore déterminé.

Les voleurs ont pris la fuite avant que les forces de l'ordre ne puissent accéder au site. Cet épisode n'est pas le premier du genre. En juin 2008, toujours à Marseille, un autre transport de fret avait lui été stoppé net par des blocs de bétons jetés sur les rails, entre la zone portuaire et une cité du XVe arrondissement. Avec la même frénésie que jeudi dernier, des malfaiteurs avaient investi plusieurs wagons avant de dérober un lot de matériel informatique.

Deux mois auparavant, à Marseille encore, des jeunes venant déjà du quartier du Ruisseau-Mirabeau avaient mis des traverses sur les voies pour voler du cuivre. Ils étaient repartis bredouilles, emportant un stock de coussins décorés du lapin de Playboy. Au début de l'année, les vandales avaient saccagé sept trains en plein centre-ville de Nice en deux heures avant de se volatiliser. Avec un rare acharnement et en toute impunité, ils avaient fait voler en éclats 170 baies vitrées. À l'intérieur des cabines de conduite, ils avaient explosé tableaux de bords et écrans de contrôle pour un préjudice total de 500 000 euros. «Nous déployons des agents de la Surveillance générale (Suge) dans nos trains mais ce genre d'attaque de type Far West est totalement imprévisible, concède-t-on à la SNCF, qui «refuse de communiquer sur la sécurité de ses convois de fret ou de voyageurs ».

En janvier 2006, des passagers du train Nice-Lyon sont rançonnés par une vingtaine de jeunes venus de Marseille fêter le réveillon sur la Côte d'Azur grâce au billet à 1,20 euro offert pour le Nouvel An par la SNCF et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Une jeune femme, originaire de Besançon, avait déposé une plainte pour agression sexuelle. Devant l'émoi national, suscité par cette affaire, un nouveau Service national de la police ferroviaire a été créé et mobilise plus de 1000 fonctionnaires.




Par Christophe Cornevin
GRAND REPORTER, LE FIGARO
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Rien que des égarements d'ivrognes, rien de plus, nous assure-t-on sur France Inter.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Pour Bruno Beschizza, conseiller régional UMP de Seine-Saint-Denis, «l'imbrication entre l'argent sale et le système légal peut être forte dans certains quartiers». Si étroite que l'État doit agir avec discernement, s'il ne veut pas trop perturber l'économie locale.

Banlieue : la lutte antidrogue affecte le paiement des loyers
Le Figaro.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
A ranger dans la même catégorie que cette remarque d'un haut responsable UMP au Conseil général de la Loire, selon qui, je cite en substance "l'herbergement hôtelier des demandeurs d'asile sur la cassette du Conseil général soutient le secteur local de l'hôtellerie". C'est ce que nous disions: cependant que la gauche milite activement, par des discours "révolutionnaires" de plus en plus agités et allumés pour le Grand Remplacement Millénariste, la droite institutionnelle, elle, qui tient les tiroirs-caisses, fidèle à sa tradition, entend bien en faire son beurre, comme une certaine industrie française paternaliste l'avait fait des "travailleurs immigré" il y a quatre décennies et de ce point de vue milite passivement à l'accomplissement du projet, milite à l'accommodement passif et profitable de l'évolution en cours.

Leur division du travail, comme on le voit, est exemplaire.

Certains parallèles s'imposent presque malgré nous: la France ainsi connut, à une certaine époque du milieu du siècle dernier, deux classes de collaborateurs -- les collaborateurs "allumés", "révolutionnaires" (doriotistes, etc.) et les collaborateurs "marché noir", passifs et ventrus, accommodant les sauces millénaro-révolutionnaires à leur profit. Les adeptes et spécialistes des structures sociologiques, politiques et anthropologiques à l'oeuvre dans notre pays y reconnaîtront sans doute leurs petits.
Quand le collabo allumé Mélanchon-Doriot s'exalte sur "le peuple nouveau de la France d'après" et le corps d'articles de sa révolution millénariste, le collabo marché noir se rengorge : ils paieront nos retraites, etc.
"Quand le collabo allumé Mélanchon-Doriot s'exalte sur "le peuple nouveau de la France d'après" et le corps d'articles de sa révolution millénariste, le collabo marché noir se rengorge : ils paieront nos retraites, etc"
Tellement bien vu, cher Francis !
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Toujours Marseille, intarissable Marseille; Marseille, couveuse et pépinière du futur territoire français ? :

[www.lefigaro.fr]

Des voleuses libérées avec leur butin

Lefigaro.fr avec Europe 1
21/07/2011 | Mise à jour : 08:19

Deux mineures, interpellées en flagrant délit par la police municipale alors qu'elles venaient de cambrioler une villa à Plan de Cuques, ont été relâchées quelques heures plus tard faute de personnel au commissariat de Marseille, révèle ce matin Europe 1, qui précise qu'elles sont reparties avec une partie de leur butin en poche.

Arrêtées vers 17 heures dans un quartier résidentiel aux portes de Marseille, les deux voleuses n'ont été présentées au commissariat de Marseille qu'à 21h20, aucune patrouille n'étant disponible pour venir les chercher. Les trois agents municipaux, qui les ont interpellées juste après le cambriolage, décident donc au bout d'un moment de les emmener eux-mêmes au commissariat, indique Europe 1. Une fois sur place, l'officier de police judiciaire constate que le délai de présentation est largement dépassé. Conséquence: les deux voleuses sont libérées sur le champ et repartent avec une partie du butin qu'elles avaient dans leurs poches, comme elles n'ont pas été fouillées.

"La maison était sens dessus-dessous et nous avons attendu la police nationale qui n'est jamais venue", a expliqué à Europe 1 Elodie, victime du cambriolage. "J'ai l'impression qu'il y a une espèce de système qui fait que les policiers n'ont pas voulu se déplacer pour ne pas avoir à les mettre en garde-à-vue et à faire une procédure. J'ai l'impression que la police nationale n'a pas voulu faire son travail de façon délibérée", a expliqué de son côté son compagnon, Gislain.

Si la police nationale a reconnu un dysfonctionnement, elle a toutefois rappelé que les agents municipaux avaient le droit de conduire les deux voleuses dans un commissariat.
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