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La diversitude est obligatoire

Envoyé par Utilisateur anonyme 
N'est-ce point la fameuse publicité pour les chaussures : "Avec Méphisto, le monde est à votre botte" ?
14 juillet 2011, 00:14   P.A.
Henri, féministes et néanmoins bonasses, gnangnans, sucrailleuses, poisseuses et hyperprotectrices produit un être aporétique out-of-this-world qui me rend curieux de le rencontrer. Si vous en connaissez perso, n'hésitez pas à me passer leur numéro de téléphone. Je suis prêt à leur montrer mes rhododendrons et à faire la vaisselle avant de les raccompagner.
Utilisateur anonyme
14 juillet 2011, 14:30   Re : P.A.
Citation
Francis Marche
Henri, féministes et néanmoins bonasses, gnangnans, sucrailleuses, poisseuses et hyperprotectrices produit un être aporétique out-of-this-world qui me rend curieux de le rencontrer. Si vous en connaissez perso, n'hésitez pas à me passer leur numéro de téléphone. Je suis prêt à leur montrer mes rhododendrons et à faire la vaisselle avant de les raccompagner.

Vous savez, Francis, en mathématiques, discipline qui, me semble-t-il, ne vous effraie pas, ayant observé chez vous une certaine habileté à disséquer le réel à l'aide de relations formelles, on trouve une notion assez féconde que l'on appelle dualité. J'observe, pour ma part, une dualité fondamentale entre les virulentes féministes et les Big Mamma dévoreuses d'enfants : les unes ne sont que les conditions de possibilité des autres qui, quant à elles, garantissent et renforcent dans les faits l'inversion du rapport de force homme-femme exigé par les premières. En outre, partageant une même haine de la figure du père autoritaire, les unes, ayant souvent choisi de ne pas procréer, trahissent leur ressentiment par d'interminables cris d'orfraie, lorsque les autres le manifestent par une volonté d'écrasement de l'autorité de leur mari, doublée d'un maternage hyperprotecteur, destructeur et quasi dévorateur de leurs enfants.
14 juillet 2011, 19:44   Re : P.A.
C'est une dualité complexe. En ce qui me concerne, je suis en voie de réconciliation avec les féministes les plus dures car il y a en elle un atout indéniable pour les combats à venir: elles ne connaissent ni ne comprennent strictement rien aux hommes et ne veulent surtout rien y connaître et rien en comprendre, ce qui exclut en elle tout début d'empathie, donc de faiblesse, à l'égard de la figure du caïd, être duquel elles peuvent tirer égoïstement ce qui les intéresse, à l'occasion, mais à l'égard duquel elles sont ontologiquement incapables de la moindre complicité, insoupçonnables de l'ombre d'un début de collaboration. Leur défaut d'empathie dans ce domaine est souverain: il les arme pour la destruction, la déconstruction du chef musulman. Ces femmes sont des rocs sans aménité, qui dépouillent de leur regard les intentions masculines, chaudes et veules, qui animent le faible coq musulman, très souvent mâle méprisable -- la vie d'Ossama Ben Laden, si l'on croit l'écho qui s'en diffuse, révèle un profil de minus, un coq de harem très insuffisant, en dessous de tout, poltron devant ses femmes, veule et accommodant avec ses belle-familles, lâche dans la décision, etc..

J'ai toujours eu le sentiment que le féminisme devrait un jour trouver sa vocation, révéler son rôle historique pour lequel il fut appelé -- après tout Simone de Beauvoir conçut Le Deuxième sexe dans un voyage au Maghreb, à la vue de ce qui s'exposait à son regard de la condition des femmes dans ces pays --, que ses rugissements de fauve en cage qui tente de mordre la main du belluaire qui le nourrit, que ces crocs sans aménité, donc, devraient un jour s'employer utilement. Il semble que cette échéance se dessine enfin, et que le mâle occidental va pouvoir enfin respirer un peu.
Utilisateur anonyme
14 juillet 2011, 20:02   Re : P.A.
Citation
Francis Marche
...pour la destruction, la déconstruction du chef musulman... [...] J'ai toujours eu le sentiment que le féminisme devrait un jour trouver sa vocation [...] le mâle occidental va pouvoir enfin respirer un peu.

Si je vous comprends bien, Francis, vous me dites que, étant fatigué de dompter les plus "récalcitrantes", celles qui désiraient naguère votre émasculation sur la place de Grève, il vous est lénifiant de déléguer à ces êtres cruels la tâche que vous ne pourriez accomplir seul : celle de « déconstru[ire] [le] chef musulman ».

Je ne discuterai pas de l'urgence de cette tâche, somme toute assez originale. Nonobstant je me permettrais de vous dire que je trouve quelque peu déconcertant de se réjouir d'envoyer au combat des femmes, les jugeant plus aptes que les hommes pour la confrontation... Le transfert de puissance dont nous parlons dans un autre fil fut visiblement radical.

Citation
Francis Marche
C'est une dualité complexe.

Certes, mais juste, me semble-t-il. La complexité d'une relation de dualité n'entame pas sa vérité.
14 juillet 2011, 21:53   Re : P.A.
Très bien Henri, je n'y avais pas pensé: la femme occidentale comme exo-puissance de l'homme occidental. Les penchants, les capacités et les vertus de chacun ne sont pas égaux et si les féministes dans le combat qui s'annonce s'apprêtent à un rôle qui n'est pas celui du repos du guerrier, quel que soit ce dernier du reste, mais bien à celui de fer de lance contre ce qui nous menace, songez-vous à vous en plaindre ou à me reprocher d'en faire l'éloge ? Elles furent les premières, je crois, à s'élever publiquement pour condamner certaines pratiques de la Charia et dire son fait à cette religion qui n'en est pas une, ce faisant, elle éclairèrent les premières la vérité et montrent qu'elles sont de précieuses alliées. Faut-il déplorer qu'elles s'engagèrent dans cette dénonciation plus tôt et plus résolument que la plupart d'entre nous et nous re-culpabiliser de par la fausse impression que nous nous donnerions par hyper-réflexion ou hyperéflexivité de "les envoyer au charbon à notre place", en quelque sorte ? Je ne le crois pas. Certaines dualités sont déjà assez complexes sans qu'il soit besoin d'y ajouter un tour d'écrou, Henri.
Utilisateur anonyme
14 juillet 2011, 22:54   Re : P.A.
Oh, vous savez, Francis, il m'est quant à moi difficile de m'ériger en juge moral, condamnant telle ou telle pratique, tant je déplore chaque jour des mœurs qui me répugnent et me heurtent, et n'arrivant décidément pas à établir une quelconque hiérarchie de condamnation au sein de cette kyrielle d'actes que je lorgne d'un œil rétif... Tant que « la Charia » dont vous parlez n'empiète pas là où je mets les pieds, je l'oublie et la méprise comme beaucoup d'autres viles pratiques. La cruauté et l'exercice de la domination sont présents dans de si nombreux domaines que ceux de groupuscules de barbus de banlieue ne m'émeuvent pas plus que d'autres. En outre, les valeurs des féministes sont si étrangères à celles que je considère comme nécessaires à toute civilité, à toute civilisation, que combattre une forme de domination à leurs côtés m'est impossible. Je ne suis pas rétif au patriarcat — purgé de toute Charia —, bien au contraire. En somme, c'est plutôt le laisser-aller de mes pairs, que permet la Grande Falsification des valeurs en cours, qui me fâche comme aucune autre chose ne pourrait le faire.

Voyez-vous, Francis, j'ai été éduqué à la ceinture, dans une famille juive assez sévère, pratiquant le shabbat sous l'autorité du père, assistant avec gêne et étonnement aux étranges cours de Talmud Torah, acceptant sans ciller que mes tantes et mes oncles fussent strictement séparés dans les synagogues dont j'admirais et admire encore la beauté, que mes tantes se couvrissent la tête dans ces lieux sacrés et chargés d'histoire, — bref, vous comprendrez facilement pourquoi nos idiosyncrasies diffèrent quelque peu, sans qu'elles divergent absolument, bien évidemment, nos regards fixant tous deux l'horizon d'une renaissance culturelle française.
15 juillet 2011, 14:59   Re : P.A.
Quand il s'agit de défendre ses enfant la femelle en remontrerait au plus valeureux des mâles, cher Henri. Et ce n'est sans doute pas un hasard si longtemps la nation a été perçue comme la " Mère- patrie ", expression dans laquelle le mot "Mère" se taille la part du lion, une sorte de Big Mamma, en somme, mais veillant à protéger ses enfants avant tout et prête à les défendre, seule s'il le faut, becs et tongles, comme toute femelle le fait pour ses petits ainsi que leur territoire, contre les envahisseurs, les prédateurs et autres rapaces. Cette Big Mamma-là, n'a rien de gnangnan ni de sucraille et je caresse l'espoir que c'est elle qui sommeille à leur insu, chez les femmes lorsqu'elles se mobilisent contre le prédateur par excellence qu'est le musulman.
15 juillet 2011, 16:00   Re : P.A.
Cet instinct-là, chère Cassandre, est en demi-sommeil dans les milieux petit-bobos où les femmes militent massivement pour le remplacisme, dont leurs propres enfants sont pourtant en danger de souffrir. Il est vrai qu'elles trichent un peu et, de façon semi-clandestine et toute honte bue, mettant en œuvre des stratégies de protection à court terme, en tâchant par exemple de choisir des établissements scolaires où leurs rejetons seront plus ou moins à l'abri de la racaille dont elles appuient l'importation massive. Cela ne fait que renforcer leur infamie : elles savent ce qu'elles font et acceptent d'avance les effets dont elles chérissent les causes.
16 juillet 2011, 09:24   Re : P.A.
Je suis entièrement d'accord avec vous, cher Marcel. Je voulais simplement dire en réponse à Henri Lesquis, que le principe féminin ne correspond pas forcément au bisounoursisme oeucuménique gnangnan et que dans ces féministes qui combattent énergiquement l'islamisation de leur pays il y a peut-etre, à leur insu, quelque chose de cette " Mère" symbolique qui veillent âprement sur ses enfants, en l'occurrence ceux de de sa patrie, tous ses enfants, et pas seulement pour épargner aux seules femmes une nouvelle forme de soumission pire que l'ancienne. Je pense que dans leur combat elles n'oublient pas leurs compatriotes hommes contrairement à des féministes comme C. Fourest ou C. Autain.
Cassandre, vous avez raison l'instinct féminin demeure très sûr.
Mais je doute que l'instinct maternel conduise encore Mère patrie.
La mixité univoque ou dissymétrique des couples mixtes ne laisse planer aucun doute : les femmes ont pris acte que l'ancien lion est déchu. Les lionnes font parler les lois des hormones et de la politique, avec une très sûre prescience.

De façon générale, que le peuple soit la victime objective des élites ne vous conduirait pas, des fois, à le dédouaner trop vite de sa complicité? Il me paraît à la fois fataliste (il n'y a rien à faire), suffisant (le "il faut, il faut" des humanitaires) et schizophrène (la France d'hier au journal de 13h, les clochers, le défilé, la France de demain à la télé le soir même, le concert Mrap, la tour Eiffel).
La publicité ci-dessus de la Société Générale est un exemple de schizophrénie. Il y a une industrie de la nostalgie presque aussi active que l'industrie remplaciste : elle permet au mourant de finir en état d'inconscience béate et de lui inoculer, sans douleur, les principes remplacistes, car les représentations de la France d'hier sont, bien sûr, dénaturées. Les chaînes publiques se sont fait une spécialité de cette industrie. Il est vrai qu'on nota un jour dans ce forum que la démocratie est une gérontocratie.
16 juillet 2011, 21:29   Re : Va pensiero
Permettez-moi, chère Cassandre, de vous adresser ce message et cette vidéo incroyable envoyés par une amie.
Mais qui n’aimerait en ce moment, en France, en Belgique, participer à un tel événement qui nous ferait un peu - ou beaucoup - pleurer, à l‘instar de ces Italiens, debout et en larmes à l’opéra de Rome ?


« Silvio Berlusconi renversé par Giuseppe Verdi

Le 12 mars dernier, Silvio Berlusconi a dû faire face à la réalité.
L’Italie fêtait le 150ème anniversaire de sa création et à cette occasion fut donnée, à l’opéra de Rome, une représentation de l’opéra le plus symbolique de cette unification : Nabucco de Giuseppe Verdi, dirigé par Riccardo Muti.

Nabucco de Verdi est une œuvre autant musicale que politique : elle évoque l'épisode de l'esclavage des juifs à Babylone, et le fameux chant « Va pensiero » est celui du Chœur des esclaves opprimés. En Italie, ce chant est le symbole de la quête de liberté du peuple, qui dans les années 1840 - époque où l'opéra fut écrit - était opprimé par l'empire des Habsbourg, et qui se battit jusqu'à la création de l’Italie unifiée.

Avant la représentation, Gianni Alemanno, le maire de Rome, est monté sur scène pour prononcer un discours dénonçant les coupes dans le budget de la culture du gouvernement. Et ce, alors qu’Alemanno est un membre du parti au pouvoir et un ancien ministre de Berlusconi.

Cette intervention politique, dans un moment culturel des plus symboliques pour l’Italie, allait produire un effet inattendu, d’autant plus que Sylvio Berlusconi en personne assistait à la représentation…

Repris par le Times, Riccardo Muti, le chef d'orchestre, raconte ce qui fut une véritable soirée de révolution : « Au tout début, il y a eu une grande ovation dans le public. Puis nous avons commencé l’opéra. Il se déroula très bien, mais lorsque nous en sommes arrivés au fameux chant Va Pensiero, j’ai immédiatement senti que l’atmosphère devenait tendue dans le public. Il y a des choses que vous ne pouvez pas décrire, mais que vous sentez. Auparavant, c’est le silence du public qui régnait. Mais au moment où les gens ont réalisé que le Va Pensiero allait démarrer, le silence s’est rempli d’une véritable ferveur. On pouvait sentir la réaction viscérale du public à la lamentation des esclaves qui chantent : « Oh ma patrie, si belle et perdue ! ».

Alors que le Chœur arrivait à sa fin, dans le public certains s’écriaient déjà : « Bis ! » Le public commençait à crier « Vive l’Italie ! » et « Vive Verdi ! » Des gens du poulailler (places tout en haut de l’opéra) commencèrent à jeter des papiers remplis de messages patriotiques – certains demandant « Muti, sénateur à vie ».

Bien qu’il l’eut déjà fait une seule fois à La Scala de Milan en 1986, Muti hésita à accorder le « bis » pour le Va pensiero. Pour lui, un opéra doit aller du début à la fin. « Je ne voulais pas faire simplement jouer un bis. Il fallait qu’il y ait une intention particulière. », raconte-t-il.

Mais le public avait déjà réveillé son sentiment patriotique. Dans un geste théâtral, le chef d’orchestre s’est alors retourné sur son podium, faisant face à la fois au public et à M. Berlusconi, et voilà ce qui s'est produit :
[Après que les appels pour un "bis" du "Va Pensiero" se soient tus, on entend dans le public : "Longue vie à l'Italie !"]
Le chef d'orchestre Riccardo Muti : Oui, je suis d'accord avec ça, "Longue vie à l'Italie" mais...
[applaudissements]

Muti : Je n'ai plus 30 ans et j'ai vécu ma vie, mais en tant qu'Italien qui a beaucoup parcouru le monde, j'ai honte de ce qui se passe dans mon pays. Donc j'acquiesce à votre demande de bis pour le "Va Pensiero" à nouveau. Ce n'est pas seulement pour la joie patriotique que je ressens, mais parce que ce soir, alors que je dirigeais le Choeur qui chantait "O mon pays, beau et perdu", j'ai pensé que si nous continuons ainsi, nous allons tuer la culture surlaquelle l'histoire de l'Italie est bâtie. Auquel cas, nous, notre patrie, serait vraiment "belle et perdue".
[Applaudissements à tout rompre, y compris des artistes sur scène]

Muti : Depuis que règne par ici un "climat italien", moi, Muti, je me suis tu depuis de trop longues années. Je voudrais maintenant... nous devrions donner du sens à ce chant ; comme nous sommes dans notre Maison, le théatre de la capitale, et avec un Choeur qui a chanté magnifiquement, et qui est accompagné magnifiquement, si vous le voulez bien, je vous propose de vous joindre à nous pour chanter tous ensemble.

C’est alors qu’il invita le public à chanter avec le Chœur des esclaves. « J’ai vu des groupes de gens se lever. Tout l’opéra de Rome s’est levé. Et le Chœur s’est lui aussi levé. Ce fut un moment magique dans l’opéra. »

« Ce soir-là fut non seulement une représentation du Nabucco, mais également une déclaration du théâtre de la capitale à l’attention des politiciens. »

Voici une vidéo de ce moment plein d'émotion »

[www.youtube.com]


Je ne sais pas qui a écrit le récit de cette soirée, voici un des liens.

[www.politique-actu.com]
Citation
Pierre Henri
La publicité ci-dessus de la Société Générale est un exemple de schizophrénie. Il y a une industrie de la nostalgie presque aussi active que l'industrie remplaciste : elle permet au mourant de finir en état d'inconscience béate et de lui inoculer, sans douleur, les principes remplacistes, car les représentations de la France d'hier sont, bien sûr, dénaturées. Les chaînes publiques se sont fait une spécialité de cette industrie. Il est vrai qu'on nota un jour dans ce forum que la démocratie est une gérontocratie.

Précisément les banques, pour attirer notre argent, doivent nous rassurer, d'où l'utilisation ci-dessus de l'image charmante d'une réunion d'enfants. Ces belles publicités montrent qu'elles connaissent bien notre attente : (re)voir la France d'hier.

On peut d'ailleurs savourer cela : la majorité des Français éprouve un sentiment positif devant de telles représentations .

Mais votre conclusion est juste. Quand on met en parallèle leur complicité dans l'actuel Grand Remplacement, tel cette façade d'un établissement bancaire marseillais sous-titré en langue étrangère, on est alors en droit de penser qu'elles agissent en parfaite connaissance de cause : elles collaborent sournoisement, activement et pleinement à cette véritable mascarade.
Utilisateur anonyme
17 juillet 2011, 00:02   Re : La diversitude est obligatoire
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Merci beaucoup, chère Aline. C'est très beau et très émouvant.
Cela me remémore ce charmant souvenir :



En ce beau dimanche (!), voici deux autres morceaux choisis de génies Français (visiblement fort appréciés ailleurs) :






Pour en revenir au sujet :

L’université est à la diversité, en qualité, ce que le convergence est à la divergence, en dynamique, ce que la concorde est à la discorde, pour l’état social, ou encore ce que l’unification est à la division, pour la société.

Si le courant du diversalisme français n'a jamais pu produire la moindre doctrine sensée, cela ne l'empêche pas pour autant d'avoir un accès illimité aux hauts-parleurs médiatiques.

De la France des universités, à la France des diversités...

L'université ne saurait contenir en son sein de parties en contradiction les unes des autres, car elle finirait par se scinder. L'université ne peut donc contenir que des fonctions complémentaires, dont les buts particuliers participent au même but, le bien commun. Faire université, c'est faire monade.
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