Radio Courtoisie

Le Premier Secrétaire du P.I. sera l'invité de Paul-Marie Coûteaux sur Radio Courtoisie ce soir à 21 heures 30.

Je serai à l'écoute. Merci de l'information.

Moi non, mais je suis preneur d'un lien pour réécoute.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Ha... si vous avez été tranchant avec Coûteaux...

(Message supprimé à la demande de son auteur)

L'émission peut être (ré)écoutée ci-dessous :

Nous devrions débattre devant un micro, Didier.

Ou plutôt, deux micros.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Un conseil, Didier : à la radio, simplifiez, simplifiez, simplifiez. Répétez, Répétez, Répétez. Entrainez-vous, entrainez-vous, entrainez-vous.

Souvenez-vous de Heifetz qui est à l'origine du fameux KISS (Keep It Simple, Stupid).

Autre propos prêté à Heifetz :

"Could you tell me how to get to Carnegie Hall?" "Yes, Practice!"

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Oui, c'est lui.

Cher Didier, vous passez très bien, ce qui n'est pas le cas de Couteaux qui aurait besoin d'être affuté. Ses heu... intempestifs finissent par agacer. C'est dommage car c'est quelqu'un d'intelligent et de pertinent.

Je partage l'avis de Florentin.

Moi aussi.
Je dois avouer que j'ai trouvé la première partie de cette émission consternante, parfaitement plate et à hauteur de l'herbe rase. On se demande à quoi bon tant d'"érudition", si c'est pour donner des coups de couteau dans l'eau, sans aucune analyse un peu plus fine, sans aucune vue un peu profonde de ce peuvent impliquer les rapports entre religion et Loi, et l'abrogation de cette dernière, dans les trois monothéismes. Seuls moments où il se passait quelque chose, c'est lorsque Didier intervenait.
Enfin, peut-être n'est-ce qu'un avis très partial...

Que les marques de sympathie sournoises des camps réputés alliés peuvent être traîtresses ! Mais ce peuvent être aussi de bons exercices préparatoires.
Didier s'en est fort bien tiré.

Tout à fait d'accord. Qui aurait cru que même sur cette radio-là il serait aussi difficile de ne pas se laisser acculer dans le coin du méchant islamophobe...

Dans ce genre de cas, il faut avoir à disposition un message simple, et le répéter. L'interlocuteur est ainsi remis sur les rails.

Je vous ai trouvé très bien, cher Didier. L'autre invité a tenté de noyer les problèmes de l'immigration et de l'islam et vous avez très bien répondu sur les deux questions. L'ancien inspecteur général paraît très marqué par ses années dans la maison "éradication nationale" : islam n'est pas islamisme et les immigrés sont mauvais parce que pauvres, deux vieilles lunes qu'on s'attend peu à entendre sur Radio Courtoisie.

Pour Paul-Marie Coûteaux, il devrait faire des émissions où il serait le seul invité ET le seul hôte : il pourrait ainsi parler et développer ses vues sans risque de contradiction ni d'interruption. Il peut être très intéressant, mais il est aussi souvent très agaçant : il coupe ses invités, passe du coq à l'âne, revient sans cesse à ses vieilles marottes et a le compliment si facile qu'il en perd son poids.

L'ancien inspecteur général paraît très marqué par ses années dans la maison "éradication nationale"

Ou le ministère de l'Égalisation nationale, avec comme devise « Tous égaux parce que tous idiots ».

Paul-Marie Couteaux est bien meilleur devant une caméra, son self-control fonctionne mieux.

Le propos de Philippe Barret est bien décevant, et ne m'incite guère à acheter son ouvrage : il ne cesse d'enchaîner les vérités banales pour lesquelles il existe déjà tant de livres dont on se passe, et les contre-vérités qui dénotent une incompréhension profonde des trois sujets sur lesquels il disserte. Je suis bien d'accord avec Didier sur ce point.

Paul-Marie Coûteaux ne m'irrite pas tant qu'il semble le faire pour Virgil. Je le trouve beaucoup moins désagréablement impérieux que ne peut l'être, par exemple, Henry de Lesquen, qu'il m'est devenu pénible d'écouter...

Citation
Il peut être très intéressant, mais il est aussi souvent très agaçant : il coupe ses invités, passe du coq à l'âne, revient sans cesse à ses vieilles marottes et a le compliment si facile qu'il en perd son poids.

C'est vrai mais cela dépend de l'invité. Il faut s'imposer et lui couper la parole ce que peu de gens sont capables de faire et surtout pas Renaud Camus. Même Zemmour a eu du mal à en placer une lors de son dernier passage.

Paul-Marie Couteaux est très amoureux de lui-même et il s'aime à la folie.

Cher William vous n'avez pas tort en ce qui concerne Mr. de Lesquen qui est d'un coupant assez désagréable. Avant-hier il a tenu des propos sur le libéralisme complétement inconvenants.

Journaliste de radio, c'est un métier, notamment pour ce qui est de la conduite des "interviews".

Cela demande :

- une grande pratique du journalisme, au bon sens du terme (choix des sujets, durée suffisante de l'émission, des intervenants, curiosité d'esprit...) ;

- une culture générale solide permettant de comprendre l'interlocuteur et de relancer le débat par des questions pertinentes, mais aussi une réelle humilité (éviter l'étalage de culture, le journaliste n'est pas la vedette) ;

- une formation spécifique (diction, empathie, modulation, "cadrage"...).

Si vous voulez entendre un bon journaliste dans ses oeuvres, allez écouter sur NPR Neal Conan, l'animateur de "Talk of the Nation". Les Français ont des progrès à faire.

Une transcription et un podcast, sur un sujet difficile et bien expliqué, les comportements étudiants du style "Getting Wasted" :

[www.npr.org]

[www.npr.org]



J'ai notamment le souvenir de Neal Conan recevant un intellectuel (un chercheur) remarquable mais bègue, ce qui n'est pas un grand avantage à la radio, et arrivant à permettre à ce monsieur de dire ce qu'il avait à dire.