Résultats sportifs : Obama 2, Al Qaeda 0

Nous avions déjà eu l'épisode où M. Ben Laden connaissait une prodigieuse évolution de carrière, servant comme on dit à appaturer les requins, nous avons maintenant celui où son comparse M. Al Aulaqi est transformé en chaleur et lumière par le fameux super-héros Frapedundraunn.

Obama 2, Al Qaeda 0 et BCJM 10001. Félicitations !

Le classement général (à 20h44) :

10001 Jean-Marc
4959 M. Francis Marche
4764 Florentin
4154 M. Didier Bourjon
4128 Rogemi
3947 M. Marcel Meyer
2991 Francmoineau
2865 Ostinato
2566 Agrippa
2557 M. Orimont Bolacre
2521 Cassandre (màj)
2209 M. Stéphane Bily
1950 M. Éric Veron
1735 M. Renaud Camus

Il va sans dire qu'il s'agit ici du total des contributions dites constructives (à l'inverse de celle-ci (et peut-être d'une ou deux parmi les 10001, qui sait ?)).

On est peu de chose...

Oui, je vous accorde que ces chiffres traduisent assez mal la qualité de vos engagements respectifs (je veux dire si on les compare à 10001 (au reste on pourrait dire, en s'y trompant, que Jean-Marc a déjà fait l'aller-retour des problèmes quand les esprits les plus doués en comprennent au mieux la moitié)).

C'est, Pyrrhon, que je dois enfoncer le clou.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Oui, c'est comme l'hydre.

Voyez :

Je prie Renaud Camus de bien vouloir me pardonner de m'être — bien malgré moi — classé devant lui.

Le classement est quantitatif, pas qualitatif. C'est pourquoi Cassandre n'apparaît pas.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Didier,


Vous qui avez bien en main l'outil informatique, pourriez-vous (c'est mon goût de la statistique) nous donner ces chiffres après les avoir croisés avec la rubrique "Dearly Departed", et avoir calculé tous les ratios convenables, notamment prorata temporis ?

Mince, nous avons oublié de prévenir Jean-Marc ! Au dix millième message, vous devenez automatiquement membre du P.I. C'est la récompense. (Si ce n'est déjà fait, vous pouvez commencer à contacter les maires cher Jean-Marc !)

C'est étonnant, il y a exactement la même règle pour Air France...

Bienvenue au PI, bien cher Jean-Marc. Vous n'êtes pas sans savoir que les statuts prévoient pour les nouveaux adhérents un quota de deux messages la première année sur le forum réservé et trois la seconde si les précédents ont été jugés utiles, c'est ce qu'on appelle l'initiation.

Je saisis l'occasion pour vous dire que mon outil statistique personnel vient d'attribuer le prix "Excel" par un calcul automatique qui prend au numérateur le produit de la pertinence globale des messages élevée au cube par leur impact élevé au carré (le 3-2 étant le symbole que vous savez) et au dénominateur le logarithme du nombre de messages, à Cassandre, mais cela ne sera une surprise pour personne.

of course

J'ai l'honneur d'emmener le groupe détaché du peloton à la poursuite de Jean-Marc. C'est bien sûr Didier Bourjon, en patron de l'équipe, qui attend en embuscade les derniers kilomètres pour me ravir la deuxième place, mais il reste encore un grand nombre d'étapes avant l'arrivée triomphale sur les Champs-Elysée (ou l'Elysée tout court, qui sait) et déjà, l'on sait que la lutte sera âpre entre lui et moi dans les épreuves de montagne, déterminantes pour le classement comme chacun sait. Jean-Marc, lui, faut-il le préciser, est attendu de pied ferme au contrôle anti-dopage, ayant conservé le maillot jaune depuis le contre la montre de départ et au vu de l'écart inter-sidéral qu'il a creusé avec les aspirants Poulidor partis à sa poursuite, on ne peut douter de la sévérité des commissaires de courses chargés d'analyser ses urines à l'arrivée.

Quant à Renaud Camus, porteur du maillot rose-de-Qom (et non "de com") il préfère désormais laisser cavaler ses poulains dans les groupes de tête en se contentant de veiller à la discipline de principe qui ne doit cesser de régner dans l'équipe qu'il a créée.

Au fond du peloton, on remarque quelques jeunes talents prometteurs, qui vont s'employer à remonter au classement dans les semaines à venir: Véra (équipe féminine), Florentis, et le fougueux Henri Lesquis, qui a déjà coiffé sur le poteau, au sprint, certains vieux chevaux de retour pour remporter au moins une victoire d'étape sur Bourjon (en petite forme ce jour-là il est vrai) quand les commentateurs s'accordaient pour déclarer cela impossible.

Parfois, l'inspiration fait vraiment défaut... alors on préfère laisser les concurrents, les bavards, les qui-ont-toujours-le-dernier-mot, se contenter d'une modeste victoire d'étape.