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Influences sur- et subsahariennes sur la jeunesse autochtone

Envoyé par Alain Neurohr 
Les jeunes gens qui vont au bord du trottoir pour lâcher un filet de bave.
Une équipe nationale de rugby qui, en plein championnat du monde, se révèle aussi pagailleuse, infantile et indisciplinée que l'équipe "nationale" de football. Voir les récriminations de l'entraîneur.
Mon élève de Châtenay-Malabry ( Masaryk, zone sensible) dans les années 90 qui, s'appelant du genre Jean Dupont, pratiquait le ramadan.
Les émeutiers de Londres au mois d'août, ceux qui donnaient l'exemple et ceux qui le suivaient, voir les statistiques dans humstats.blogspot.com.
Le crime de Florensac, le "grand frère" boxeur qui tue à coups de poings une fille en désaccord avec sa soeur. Dans toute l'étendue de ma jeunesse et de mes souvenirs, pas de "grands frères". A la rigueur des papas qui venaient à la sortie de l'école corriger un gamin qui avait frappé leur fils.
Les files d'attente devant les cinémas qui projettent "Intouchables".
Un célèbre footballeur converti à la Soumission.
La mode de parler eux aussi en français craché.
Etc.
Le français craché pour la langue caillera, voilà une forte expression.
On nous dira, alors : "Vous voyez bien que c'est raciste de faire la différence entre les "de souche" et les "divers" puisqu'ils sont aussi violents et grossiers les uns que les autres".
Cette soudaine profusion de grands frères et de petits frères a le mérite de fusionner trois phénomènes en un seul, l'arabisation, la prolétarisation et l'infantilisation. Hier, sur France Musique, Tchaikovski écrivait à son petit frère. “De mon temps”, au-dessus de cinq ans et demie, on avait des frères aînés, des frères cadets, des frères plus jeunes mais certainement pas des grands frères ou des petits frères....
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