Je n'aime pas trop traîner le soir dans les rues de l'internet et les petites vidéos me font généralement l'effet de pénibles borborygmes mais là, je me suis dit que si le camarade Francis nous aiguillait, ça devait valoir son pesant de peanuts. Alors pour finir mon dimanche, après la plantation de lavandins, j'y suis allé. Et je n'ai pas été déçu. MDR ! comme ils disent. Mais une qpar Éric Veron - Forum principal
Ce que vous dites quant à la sagesse, cher Francis, est rassurant. Je demeure toujours étonné de constater la fascination qu'exerce l'hypothèse qui voudrait rabattre l'intelligence (que l'on s'empresse de ne pas définir) sur l'organe cérébral. Quelle farce ! Comme dit l'autre : dés que vous avez localisé le siège de l'idée juste, réveillez-moi.par Éric Veron - Forum principal
Très cher Francis Technicolor, une cuvée très spéciale : vous-même. Vous vous bonifiez et pourtant il semble que les processus chimiques de la jeunesse ne font que s'exacerber.par Éric Veron - Forum principal
Merci, cher Henri Bès, et bonne journée à vous.par Éric Veron - Forum principal
Merci à vous, cher Marcel Meyer, pour le lien avec cet article qui me paraît clair et solide, au contraire de <A HREF=’ ’>celui-ci</A> qui me semble bien illustrer la confusion mentale du prêt à penser actuel.par Éric Veron - Forum principal
Je comprends de moins en moins. Je ne me reconnais pas en Louis Schweitzer ; je ne reconnais pas là l'in-nocence ; sans doute manqué-je d'humour ; je suis victime d'un saut de chaîne ; auriez-vous un maillon rapide ?par Éric Veron - Forum principal
« Quelque chose me dit que son cul ne doit pas plaider plus que son cv en sa faveur. » Je ne comprends pas. Pourriez-vous avoir l’obligeance de m’expliquer, Agrippa ?par Éric Veron - Forum principal
Tout n'est pas perdu puisqu'on propose encore des sujets intelligents. Vous êtes réconfortant, cher Florentin. J'ai besoin de ces bouffées d'air au milieu d'un monde qui semble partagé entre cyniques et contempteurs.par Éric Veron - Forum principal
Chers amis, aujourd'hui commençaient les épreuves du CAPES. J'ai pensé que la lecture du sujet proposé en français, pourrait intéresser certains d'entre vous. « On renie souvent ces maîtres suprêmes ; on se révolte contre eux ; on compte leurs défauts ; on les accuse d’ennui, de longueur, de bizarrerie, de mauvais goût, en les volant et en se parant de leurs dépouillespar Éric Veron - Forum principal
Revienne mon cousin Robert... Nous vous embarquerions, cher Florentin, à bord du Renard pour envoyer par le fond cette flibuste de bobos.par Éric Veron - Forum principal
En vérité, je suis conscient que ma petite prose laisse tant à désirer et je sais gré à tous ceux qui veulent bien me reprendre gentiment mais au moins, je m'efforce. Cette sortie d'universitaire que nous propose JGL, me scandalise surtout dans son "naturel" : je ne sens aucun de mes propres scrupules, aucune de mes craintes de mal dire, c'est un lâché de chiasse.par Éric Veron - Forum principal
Citation : Passer du caillassage à la marqueterie, c'est fort! Excusez-moi, chers amis, de reprendre la balle après plusieurs rebonds, je suis débordé en ce moment. Je prie, par ailleurs, le cher Florentin, de ne pas me tenir rigueur de cette rectification : le caillassage est à l'origine de la marqueterie. La décoration et les incrustations comprenaient à l'origine des pierres préciepar Éric Veron - Forum principal
Citation : L'antiraciste n'a donc pas vu le film, mais ce qu'il voulait voir Cher Olivier, que pensez-vous que l’antiraciste dise de votre regard sur ce film ? Ce qui apparait sûrement, c’est que lui et vous, n’avez pas vu le même film. Je tiens Clint Eastwood pour l’un des plus grands metteurs en scène. J’admire l’humilité avec laquelle s’est approprié le cadre et les convpar Éric Veron - Forum principal
Cher M. Petit-Détour, j'ai beaucoup apprécié le rapprochement avec ma volonté très eastwoodienne.par Éric Veron - Forum principal
Désolé de ne pouvoir apporter qu’une fausse note aux précédentes interventions mais, tout comme pour Barbara Cassin, lorsque je lis comme incipit au papier d’Elisabeth Lévy : « Je sais, cette affaire de Rolex commence à vous courir sur le haricot. », je me sens fatigué, privé de forces pour aller plus loin. Alors, je saute à la chute : « Hypocrites lecteurs, mes semblables, mes frpar Éric Veron - Forum principal
Citation : Je n'ai jamais eu l'agrégation, pas plus que notre président n'a eu son diplôme de l'Institut d'études politiques. Je n'ai pas été mariée trois fois, mais je suis plutôt fière comme citoyenne d'avoir un président qui l'a été et qui a divorcé comme on respire. Et qu'il soit à présent marié avec une étrangère, française pourtant comme lui et comme moi, c'est bon signe.par Éric Veron - Forum principal
Lucius, Môssieur Lulu pour les intimes, porte la croix de saint André sur la robe beige des ânes de Provence dont il a le pied sûr mais il développe la puissance du baudet du Poitou. L'idéal pour le portage en montagne. Si je savais insérer une photo...par Éric Veron - Forum principal
Me voilà habillé, les amis. J'ai déjà entendu parler d'ascendance germanique mais pour ce soir, je m'en tiendrais au vair, ça tient chaud. Ici, c'est la burle et je pense à mon Lucius dans son écurie qui ne doit pas avoir bien plus chaud que moi devant les braises. Couvrez-vous pour la nuit.par Éric Veron - Forum principal
Ah ! Cher ami, vous entrez là dans une querelle familiale ancestrale et quasi religieuse ! De génération en génération, c'est le sujet qui fâche. Pour moi, j'ai déterré la hache en décidant, en tant que chef de ma branche, de supprimer l'accent que mes pères avaient pourtant stabiliser deux générations durant. Deux générations, c'est peu. Vous me direz que parler de hache en même tpar Éric Veron - Forum principal
Je sens beaucoup de vérité ou une vérité très forte dans ce message de Renaud Camus. Ce qui me touche le plus, c'est : qui n'est ni l'orthographe ni la syntaxe, ni exactement la ponctuation quoiqu'il s'en rapproche davantage car je crois voir par là que ses pénibles maniaqueries visent toujours au delà de la forme. Et je me demande si une part de ses déboires ne vient pas (outre son talepar Éric Veron - Forum principal
On a toujours qu'un seul choix (ce qui revient à dire qu'on en a pas)par Éric Veron - Forum principal
Florentin, votre inquiétude me va droit au cœur. Je me sens si bien ici. Je nourris même le secret espoir que se glissent dans le brouillard que crée ces va-et-vient d’identités, quelques ombres de chers disparus [ non, je n’ai pas écrit disparu(e)s ] . Esprit de Corto es-tu là ? Un seul être vous manque…par Éric Veron - Forum principal
J’aurais donc un style, et même un esprit ! Vous flattez cher orimont, c’est votre sagacité qui se joue des masques et des écrans. Allez, faites nous vite le coup du phénix, nous guettons.par Éric Veron - Forum principal
Tant se sont perdus dans la mise en abîme durassienne.par Éric Veron - Forum principal
Si, si, cher orimont bolacre, vous êtes le Hercule Poirot de la toile. La majuscule « a tuer » petit basho. Et à tant faire, pourquoi ne pas se dévoiler ? Le jeune loup écoute toujours le vieux loup.par Éric Veron - Forum principal
Quand même, première réaction des abonnés : « Quel titre ! Bravo le Monde, vous arrivez à dire exactement l'inverse de ce que vous voulez exprimer... » S'agirait-il d'un in-nocent ?par Éric Veron - Forum principal
Le corps du délit n’a pas disparu, c’est le leurre qui s’en est allé. Cher Monsieur Renaud Camus, votre message redouble d’intérêt. J’avoue que j’aurais sans doute lu ce titre non seulement sans rien y déceler d’incorrect qui puisse m’arrêter, mais pire : j’en aurais compris le sens, je veux dire le sens que le rédacteur lui donne. Alors que, bien évidemment, quand Renaupar Éric Veron - Forum principal
Cher Francis Technicolor, vous êtes pour moi comme l’Ecole Universelle : je n’ai qu’un regret, c’est de ne pas l’avoir connue plus tôt. Vous devez avoir suffisamment vécu pour ne plus avoir que si peu à faire du qu’en-dira-t-on et du quant-à-soi. J’admire votre impudeur et votre liberté joyeuse.par Éric Veron - Forum principal
Je me permets de trouver —comment dirai-je ?—hâtif, de fonder le communiqué d'un si noble parti, traitant d'une question cruciale, sur un fait divers ambigu, mal assuré et qui peut encore réserver bien des surprises.par Éric Veron - Forum principal
Citation : Reste une question : pourquoi les amis du désastre encensent ce film? C’est une bonne question. Croire que ces gens sont tellement bêtes qu’ils n’ont pas bien compris le propos, qu’ils n’ont pas vu le bon film, qu’ils sont tombés dans le piège (propos qui ne nous a pas échappé, film qui est bien celui que nous avons vu, piège qui ne nous concernait pas) est rasspar Éric Veron - Forum principal