Le Figaro littéraire de ce jour, page huit :
L'histoire de la semaine - Quand Carrère fait l'éloge du bobo
Dans une lettre adressée à Renaud Camus, Emmanuel Carrère revendique sa condition de "bobo". (...) En octobre 2011, il pousse jusqu'à esquisser un éloge du
bobo. Ce plaidoyer se trouve dans un courrier adressé à Renaud Camus et que celui-ci publie dans la première livraison de sa revue
In-Nocence. L'auteur de
Limonov confie : « Il y aurait beaucoup à dire sur le bobo, sans doute le type social le plus décrié, y compris par ses propres représentants, et moi qui en suit un, un vrai, à mettre sous verre au pavillon de Sèvres, je prendrais volontiers sa défense - et par la même occasion celle du "politiquement correct", si décrié aussi et que personne n'accepte d'incarner ».
Ite missa est.
T. C.
(Thierry Clermont ?)