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Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)

Envoyé par Renaud Camus 
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 09:52   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Oui, enfin dans ce cas, cher Reybaud, il ne faut pas avoir de forum privé, alors. Cela dit, il ne l'est pas tant que cela, privé, on le voit bien, ce n'est pas la première fois. Et pourquoi pas. Ce qui fait problème, ici, au tout départ, c'est l'indirection, la prise à témoins au lieu d'une explication directe, qui aurait tout résolu, comme toujours, aisément, et permis de surcroit une discussion de fond. Mais, bon, on ne va pas refaire l'histoire...
Au reste, j'ai moi-même donné le texte de mes interventions importantes, tant qu'on y était, et dit : que chacun se fasse son idée.

Attendons la grande scène.
Je suis le grand méchant loup, le vil petit arriviste (aïe, pourquoi "petit" ?), etc.
Il fut interrompu par le comte Leinsdorf qui, pendant ce temps, avait achevé son propre combat. « Je dois rester ici pour faire front à cette émeute, commença Son Altesse. Mais vous, mon cher, vous devriez vous rendre aussi vite que possible auprès de votre cousine, afin qu'elle n'ait pas le temps de prendre peur et, qui sait ? de confier à quelqu'un de nos journalistes une déclaration qui serait pour le moment déplacée ! Dites-lui peut-être (il réfléchit encore un instant avant de prendre une décision)... oui, j'y pense, le mieux serait de lui dire ceci : Tous les remèdes puissants ont de puissants effets ! Et dites-lui encore ceci : Celui qui veut améliorer le monde ne doit pas craindre, aux jours de crise, les grands moyens ! » Il réfléchit encore. Cela donnait à son visage un air de résolution presque inquiétant. Sa barbe montait, puis descendait à la verticale lorsqu'il se préparait à parler, et qu'il y renonçait pour s'accorder un moment de rélexion. Finalement, ce fut sa bonté naturelle qui l'emporta, et il reprit : « Mais vous lui expliquerez aussi qu'elle n'a aucun souci à se faire ! De toute façon, il ne faut jamais avoir peur des foules déchaînées. Plus leurs revendications sont réelles, plus vite elles s'accommodent des conditions réelles si on leur en donne l'occasion. Je ne sais si vous l'avez remarqué, mais on n'a jamais vu une opposition qui n'ait cessé de l'être une fois arrivée au pouvoir. Ce n'est pas simplement une lapalissade, comme on pourrait le croire ; c'est un phénomène très important, car c'est lui qui donne à la politique, si je puis m'exprimer ainsi, son caractère de fait, sa solidité rassurante et sa continuité... »

(L'Homme sans qualité, tome I, chapitre 120, L'Action parallèle provoque des troubles)
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 10:02   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Citation

il faudrait citer précisément le Journal 2010, un génie (ou quelque chose comme cela) de la synthèse, de l'esprit de synthèse

Mais vous savez bien, Didier, que vous être la mille troisième personne à qui cela arrive. La lecture du Journal depuis 26 ans montre combien nombreux furent les encensés d'un temps, sèchement remerciés ensuite.

Je vais vous dire : M. Camus ne bougera pas d'un pouce, puisque naturellement il a raison. Il ne supprimera pas ce fil et vous êtes placé pour toujours sur la liste des réprouvés pour crime de lèse-Camus. N'oubliez pas que c'est un narcissique qui vous traite de paranoïaque !

Pour le surplus, s'il en reste, je partage l'avis de M. Marche.
« Je comprends mieux aujourd'hui pourquoi Jean-Marc n'a pas été exclu. »

Merci de cette note comique très bienvenue, Cher Rogemi, même si je n’en comprends pas bien la logique.

Quant à la nécessité de faire disparaître ce fil, beuh.... Nous n’avons jamais prétendu être un parti comme un autre. Ce fil montre que nous n’avons pas peur de la vérité, et ne la poursuivons pas au fond des mines. Affirmons notre différence, comme je crois qu'on dit. M. Bolacre rappelle que ce parti a été fondé par un écrivain. Il aurait même pu préciser que cet écrivain était l’auteur de Tricks et de trente volumes d’un journal peu cachotier. « Le seul secret qui vaille c’est le secret qui reste lorsque tous les secrets sont levés ».

Quant au fond je serais assez prêt à me rallier à la motion Marche, à cette réserve près que je ne crois pas à l’opportunité d’une redistribution des rôles qui interviendrait à chaud et pourrait apparaître comme une sanction à mon égard pour m’être permis un mot parfaitement anodin de critique sur un point qui n’est plus contesté. M. le Premier-Secrétaire jouit déjà, avec mon consentement et même à ma demande, d'infiniment plus de pouvoir(s) et d’initiative qu’il n'est coutumier d'en accorder à sa fonction (dont on a déjà, pour l’honorer, changé le nom, le transformant de Secrétaire général à Premier Secrétaire). Mais je ne me laisserai pas nommer “président d'honneur à vie", comme un vieillard gâteux, du jour au lendemain, sur un coup de tête ou plutôt un coup d’État marquant je ne sais quel triomphe dans un combat où la violence a été toute du même côté. J’ajouterais que je ne vois pas bien l’opportunité, si je n’ai pas été assez présent (!) ou assez compétent (ça peut-être...) de me remplacer par un président fantoche, selon l’agréable emploi proposé à notre ami Meyer, qui reconstituerait comme par hasard la structure classique de toute bonne dictature, de Salazar à Staline (homme fort au titre modeste, chef de l’État décoratif). En bref et pour me résumer, il n’y aura pas de coup d’État, et encore moins de coup d’État sanction. Sur cette base tout est possible.
[Ce message devrait être placé après celui de Seelisberg, mais bon...]

Eh bé, je vois que tout le monde en profite maintenant pour vider son petit sac à soi... Cette assemblée est devenue décevante, à quelques exceptions près. On l'a connue plus détachée, et chacun moins attaché à se dorloter, à crier à la cantonnade et à longueur de page ses petits griefs et à faire reluire ses quelques mérites.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 10:19   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
(Tiens, un coup de théâtre...)

Il n'y a donc aucun problème (quand bien même nos versions divergent totalement quant au déroulé des choses, et sur la nature du "point contesté", mais peu importe l'anecdote, comme dirait Marche...). Il n'y avait pas de putsch, il n'y aura pas de coup d’État, c'est imparable. Ce n'était qu'une proposition, à débattre avec d'autres, en prenant tout le temps nécessaire — et que sais-je que j'ai rappelé mille fois, ici même...

Espérons que chacun saura faire preuve d'un peu plus d'humour que M. Bily, (une petite dernière au passage), cela risque d'être quand même un peu nécessaire pour penser les plaies et bosses...

Et pour apprécier la pièce.
Ah ! “M. de Seelisberg”, maintenant, il ne manquait plus que lui, qui me poursuit de sa haine depuis trente ans et qui n’a pas une seule fois manqué de venir mettre sa petite huile anonyme sur tous les conflits où j’étais partie, pour une raison originelle que j’ai oubliée si je l’ai jamais connue mais qui tient peut-être à ma capacité à assumer ce que je suis sous mon nom et en toute clarté, plutôt que de sauter minablement d'un ridicule pseudonyme à un autre sans jamais assumer ce qu’on est et ce qu’on pense. Est-ce que c’est à sa belle lumière que nous allons être éclairés ?

« Encensés un temps, sèchement remerciés ensuite » ? Je crois ne vous avoir jamais encensé, “M. de Seelisberg”, m’être au contraire méfié de vous dès la première seconde, et que ma vie témoigne au contraire plus de fidélité et de constance dans l’affection et l'admiration à plus d’amis, d’amants et de maîtres que bien d'autres. Pardonnez-moi, mais ayant passé quarante-huit heures sous la terrible mitraille bourjonienne je ne suis pas tout à fait d’humeur à laisser dire n’importe quoi, et par n’importe qui, et surtout sur ce ton d’expert de la petite crotte pseudonymique
Ah oui, ça, je suis d’accord, M. Bily est bien décevant — il avait pourtant l’air de trouver que ça chauffait joliment, samedi et dimanche, quand sous un prétexte minuscule ( « Ne pourriez-vous être un peu plus doux ? ») le feu du ciel nous tombait sur la tête et que nous étions ensemble sous la mitraille, avec quelques autres — aujourd'hui on dirait que j’étais tout seul, que j’ai rêvé et qu’il faudra croire sur ma seule parole mon récit de guerre.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 10:41   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Vous avez votre parole, j'ai la mienne.

L'écho en est certes inégal, mais cela ne veut rien dire sur la teneur en vérité de chacune, cette dernière étant certainement à rechercher ailleurs encore.

Je suggère que nous ne nous répétions pas à l'infini.

(Une nouvelle scène ?)
Je ne suis guère intervenu ici, sauf pour décliner l'offre de présidence-potiche parce que j'ai été un peu désarçonné par la publication de l'extrait de journal ici, sur le forum public. Cela dit, réflexion faite et après avoir lu ce qui y a été écrit cette nuit et ce matin, je m'y résigne et le comprends (merci pour votre message, Jérôme Raybaud).

Je suis absolument d'accord avec le récit fait par Renaud Camus de l'épisode que nous avons vécu. Je l'ai écrit et réécrit à côté, et le redis ici. J'étais parfaitement d'accord avec la demande formulée par le Président au Premier Secrétaire d'être moins brutal sur le forum public, de n'y point rembarrer comme il le fait parfois les gens formulant des avis contraires aux siens. Ce travers, qu'il a depuis longtemps, je m'en étais du reste déjà plaint moi-même et je l'ai tout de suite rappelé. Les choses ont ensuite pris des proportions absurdes parce que, malgré toutes les précautions oratoires, malgré les assurances répétées que son talent et sa ligne politique n'étaient nullement en cause, Bourjon s'est cru mis en cause fondamentalement, ce qui est une réaction très typiquement paranoïaque.

Cela rappelle furieusement ceci, en moins tragique et plus bouffon.

Je demande la tenue d'une assemblée générale extraordinaire du parti.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 10:48   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Mais vous l'aurez, cher Marcel, nul besoin de vous fâcher.
(Tiens...)
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 10:53   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Ah qu'il est loin le temps heureux où Renaud Camus parcourait Rome en tous sens et s'envoyait en l'air dans la villa Médicis !

Mais qu'est-il allé faire dans cette galère du P.I. ?

Cet esprit libre me semble aussi fait pour diriger un parti politique que Ribéry pour siéger à l'académie française.

Je ne suis pas étonné de ce qui arrive et je souhaite seulement que tous ces impedimenta ne détournent pas RC de son oeuvre littéraire ; car l'artiste c'est bien lui, n'est-ce-pas ?
Quoi, « Tiens... » ? Voulez-vous cesser d'insinuer ? Exprimez-vous donc en langage clair, simple et direct, sans arrières-pensées ébauchées. Ce sont là précisément les façons de faire que vous prêtez, à grand tort dans le cas qui nous occupe, aux autres.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 10:57   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Cher Marcel, il n'est besoin que de vous lire pour constater votre colère et votre dépit.
On n'avait déjà pu noter votre mépris.
Voilà tout.
Clair, direct, simple, et tout ça. Limpide. Transparent.
Si vous pouviez tirer les conséquences de ce "dénouement" pour vous-même sans y entraîner tous les autres, ce serait bien.
Colère, dépit ? En effet, et comment !
De toute façon, ces derniers temps, je me suis fait une spécialité de décevoir tout le monde, cher Maître.

Je reconnais que mon intervention précédente est tout à fait nulle et bête, mais je dois dire que cette querelle, dont j'aimerais rien que pour le plaisir parler maintenant au passé, m'avait passablement ennuyé (dans tous les sens du terme). Mais si Didier Bourjon lui-même me demande aujourd'hui de faire preuve d'un peu plus d'humour, alors que je crois, chers amis, que nous assistons à une véritable sortie de crise : il y a des signes qui ne trompent pas.

[Ah mais non, je me trompe, le temps d'écrire ceci et ça recommence...]
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 11:01   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Non, non, là c'est une queue de crise... Une vieille histoire...
Messieurs,

Tout ceci ayant été dit et dans l'attente de l'assemblée générale qu'évoque M. Meyer, je fais appel à votre bon sens et vous suggère de supprimer ce fil, sans chercher à savoir qui a raison et qui a tort.

Pour ma part, je ne publierai plus de message sur ce fil et je suggère aux autres contributeurs de faire de même, inutile d'apporter du charbon à Newcastle.
«  Vous avez votre parole, j'ai la mienne. »

Mais j’y pense, ne l’avez-vous par gardé quelque part, ce précieux fil ? M. Beau ne pourrait-il pas le ressusciter, comme dans Le Château des Carpathes ? Cela ne manquerait pas d’intéresser notre cher public, et puis on pourrait juger sur pièce. Vous avez proposé qu’on le supprime et j’y ai consenti, pour ménager la sensibilité de MM. Veron & Chassaing et de nos dames, mais je le regrette à présent. Cela dit des messages “looping the loop” tels que : « Cher Marcel, il n'est besoin que de vous lire pour constater votre colère et votre dépit », ou « Que voulez-vous, les rancœurs, les jalousies ne sont pas pour rien de cette affaire et Dieu sait si Bourjon en a été la cible » en donnent une petite idée, très amoindrie.
« Messieurs,

« Tout ceci ayant été dit et dans l'attente de l'assemblée générale qu'évoque M. Meyer, je fais appel à votre bon sens et vous suggère de supprimer ce fil, sans chercher à savoir qui a raison et qui a tort.

« Pour ma part, je ne publierai plus de message sur ce fil et je suggère aux autres contributeurs de faire de même, inutile d'apporter du charbon à Newcastle. »

Oh non, Monsieur X, non, je vous en prie, ne nous faites pas ce coup-là, vous vous devez au parti ! Songez au chagrin d’un Rogemi !
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 11:24   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Mais Marcel confirme, cher Président (« et comment ! »).

Pour la sauvegarde, j'y ai songé mais ce ne sera pas possible : elles sont renouvelées tous les trois jours chez l'hébergeur (limite de notre contrat). Nous en faisons une nous-même très de loin en loin (lorsque nous craignons un incident, ou parce que cela n'a pas été fait depuis longtemps). De plus elle se prête à une restauration intégrale en cas de "crash", pas aisément du tout à une restauration "partielle" (un seul fil), vu la structure un peu mal fichue de la base de données (obligation de reprendre les messages un par un).

Cela dit, croyez bien que je le regrette vivement, désormais.
En effet, je ne retire pas un iota de ce que j'ai dit et écrit ici. Et je n'appelle pas "tous les témoins" qui pensent peu ou prou la même chose à défiler devant la barre. Surtout pas. Et peu importe.
Une question qui semble n'intéresser personne : que vont donc devenir les "taupes" et autres "agents de l'Ennemi" si l'on n'a même plus besoin de leurs services pour se tenir au courant des affaires internes du parti ?
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 11:43   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Tiens... On se le demande...
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 11:46   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Citation
Rogemi
Même si ce qui est arrivé à Lilliput était largement prévisible Il faut arrêter le massacre immédiatement car autrement ce parti aura perdu en un seul fil toute crédibilité.

Je vous rassure : le Parti de l'In-nocence a perdu toute crédibilité depuis sa création, en 2002.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 11:49   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Citation

Encensés un temps, sèchement remerciés ensuite » ? Je crois ne vous avoir jamais encensé, “M. de Seelisberg”, m’être au contraire méfié de vous dès la première seconde, et que ma vie témoigne au contraire plus de fidélité et de constance dans l’affection et l'admiration à plus d’amis, d’amants et de maîtres que bien d'autres. Pardonnez-moi, mais ayant passé quarante-huit heures sous la terrible mitraille bourjonienne je ne suis pas tout à fait d’humeur à laisser dire n’importe quoi, et par n’importe qui, et surtout sur ce ton d’expert de la petite crotte pseudonymique

Mon Dieu. L'insulte, maintenant.
Je ne suis nullement en cause. Je parle uniquement de ce que j'ai lu dans votre journal. Ce qui se passe aujourd'hui n'est qu'une répétition d'un phénomène qui, pour n'être pas récurrent, a été fréquent. Et je n'aurais pas la bassesse d'expliquer pourquoi il est absurde de prétendre que je vous hais. J'admire et je me nourris de votre oeuvre depuis tant d'années. Mais cela ne m'empêche pas d'être lucide sur certains traits de caractère de l'auteur. Quant à mon nom, il vous est parfaitement connu. Il est vrai que je n'ai aucune envie de le dévoiler sur ce forum.
Bien bien bien. Je ne vois aucune nécessité de supprimer ce fil mais pense plutôt que le parti a tout intérêt à l'assumer pleinement — pour ceux qui en doutaient encore, nous ne sommes pas l’UMP. Chacun a pu se faire une idée des thèses et surtout des sensibilités en présence, du charme spécifique des personnalités et des délicates nuances de caractère.

Comme je l’ai écrit plus haut, je suis prêt à un armistice autour de la motion Marche. Toutefois, et là léger désaccord avec la position de Marcel Meyer, je ne suis pas favorable à la convocation immédiate d’une assemblée générale, qui paraîtrait homologuer le tentative de putsch confirmer l’impossibilité de la moindre remarque critique du président à l‘endroit du Premier Secrétaire. Par une heureuse coïncidence, ma présidence arrive à terme à la fin de l’année, en décembre ou janvier. Je propose donc d’attendre cette date et d’examiner alors les propositions de refonte structurelle de M. le Premier Secrétaire (décembre me va très bien).
Citation
Utilisateur anonyme
Citation
Rogemi
Même si ce qui est arrivé à Lilliput était largement prévisible Il faut arrêter le massacre immédiatement car autrement ce parti aura perdu en un seul fil toute crédibilité.

Je vous rassure : le Parti de l'In-nocence a perdu toute crédibilité depuis sa création, en 2002.

Sylvain Bourmeau, es-tu là?!
(J'ai envoyé promener le sieur "Hi")

D'accord pour attendre décembre, Cher Président.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 12:56   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
En effet, cette A.G. extraordinaire n'a pas lieu d'être.
Il n'a jamais été question d'autre chose de mon côté, c'est-à-dire d'autre chose qu'une discussion, une discussion qui devra prendre le temps nécessaire, envisager toutes les hypothèses, discuter toutes les idées à partir d'une base de départ. Comme d'habitude. J'ai fait des propositions soumises à débat, c'est noir sur blanc, tout le monde peut le relire, je l'ai redit mille fois.
Bref, et derechef : il n'y a pas de problème, nous sommes parfaitement en phase à cet égard.

Au reste, je ne me sens en rien concerné par vos considérations sur la possibilité ou pas de faire une critique du Premier Secrétaire : il n'y a aucun problème là-dessus, c'est désormais attesté : « furieux », « névrotique », putschiste et j'en passe : heureusement que je ne suis pas trop susceptible ! Le putsch, il n'y a qu'à voir...

Bref, si vous voulez m'en croire, Cher Président, dépassons une bonne fois ces petites réactions, et remettons-nous au travail, il faut recoller quelques morceaux... À moins de souhaiter revenir au troisième acte.
« À moins de souhaiter revenir au troisième acte. »

Euh, non, ça va aller, M’sieur Bourjon, j’suis nourri, là...
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 13:08   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
À la bonne heure !
Si on rate le prix Nobel de la Paix, là, c’est vraiment qu’i’ sont vendus, à Oslo...
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 13:09   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
L'In-nocence, c'est impayable !
En voilà un slogan de plus...
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 13:13   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
(Et voilà un motif supplémentaire de ne pas effacer ce fil.)
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 13:30   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Je viens de relire, c'est toujours utile.
Les premiers échanges sont bien plus intéressants, car ils touchent au cœur des problèmes, mon unique préoccupation.
"Samedi 15 septembre, onze heures et demie du soir. Voilà l’In-nocence dans une belle impasse. Je me suis permis il y a deux jours, car cela ne pouvait plus durer comme cela, de prier de M. le Premier Secrétaire, sur le forum réservé aux membres du parti, de bien vouloir user d'un ton plus amène, sur le forum public, où à la moindre divergence de vue il se montre abrupt et cassant à un degré qui nous dessert et correspond fort peu aux idéaux de courtoisie de l’In-nocence. "

Peut-être pas le coeur du problème. Mais l'origine, oui. Et ce point réglé, ne restera plus rien du problème, il me semble.
Citation
Oh non, Monsieur X, non, je vous en prie, ne nous faites pas ce coup-là, vous vous devez au parti ! Songez au chagrin d’un Rogemi !

Cher Président,

Je retire ma remarque supra (9:30) vous n'étiez pour rien dans la non-exclusion de Monsieur X.
Chuuuuutttt... L’obscurité se fait peu à peu sur la scène, l’horizon se confond dans une lumière vaporeuse et douce, on soupçonne un frémissement de nymphes, les violons flattent les feuillages embrumés par le soir dans un diminuendo délicat, le rideau descend lentement......

(Jean-Michel Leroy en costume marin, qui avait oublié son cerceau sur les planches, revient en courant le saisir et disparaît dans la nuit tombante, côté jardin)

Saisi par tant de poésie, le public se retient un moment d’applaudir.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 14:17   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Laissez, laissez, il y en a encore un ou deux sans doute à qui cela fera du bien. Il faut que la catharsis réalise toute sa puissance thérapeutique. Les confusions sont encore grandes : certains mélangent symptôme et origine... Nous reviendrons aux choses sérieuses ensuite.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2012, 16:13   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
[Ce message ayant été SUPPRIME, ce qui rajoute au scandale, je le remets sur ce fil. Il réagissait à une intervention lamentable de M. Boursier qui faisait une comparaison désobligeante entre la pensée politique de Camus Renaud, suite à une citation de Camus Albert, à la différence « de l'arrogance totalitaire d'autres intervenants de ce forum ». Si désormais seuls les chiens ont le droit d'aboyer ici, il faut le dire]

Merci à M. Boursier pour avoir remonté ce fil détestable une nouvelle fois, afin de nous délivrer sa bonne parole.

Arrogance totalitaire, comme vous y allez ! Cela doit vous rappeler les HLPSDNH, a quand le point godwin ?

Avec le recul, la réaction que presque tout le monde a pu avoir spontanément se confirme: ce fil est une scélératesse. Il rend voyeur ses liseurs. Sous couvert de transparence "in-nocente", il constitue une nocence de première ordre. Transparence hyperdémocratique, jetant en pâture de façon inéquitable une personne à toutes les mauvaises rancœurs qu'il a pu engendrer chez ceux qui se sont révélés bien incapables de l'affronter. Transparence imposée. Transparence totalitaire, M. Boursier, puisque vous donnez des leçons en la matière.

Et puis : jeu sur les règles du jeu, au gré du besoin, ce qui est tout sauf in-nocent. Il y a un "privé", il y a un "public", mais c'est selon, question de manipulation. Pourquoi ne pas tenir les discussions du privé directement sur le public, une fois pour toutes, au moins ce serait cohérent ! Sinon, quelque chose cloche.
Non, décidément, cela ne va pas.

Qui êtes-vous pour délivrer des brevets de totalitarisme aussi facilement ? Pourquoi pas de fascisme, allez-y, ne vous gênez pas !

M. Boursier, si vous connaissez bien Renaud Camus, vous devriez savoir qu'en matière de certitudes politiques, c'est du rigide ! Serait-il totalitaire, arrogant ?

En quoi est-ce totalitaire de défendre une ligne et des positions politiques quand on représente un parti ? Vous mélangez un peu tout pour vous faire votre petit plaisir. A part Camus, Arendt aussi, est bien.

Qui sont ces "autres" que, selon une méthode qui fait des ravages en ce moment, vous désignez courageusement ? Pas un peu totalitaire, ça ? Après les sous-entendus, les dénonciations, comme cela la boucle sera bouclée !

Encore et toujours le putsch : je crois qu'il faut revenir sur une remarque de M. Bourjon au début de ce fil : tout viendrait d'un esprit paranoïaque, ne voyant que des complots partout. Or la justification de M. Camus, c'est un prétendu "putsch" !
« joli retournement de son texte, non ? »

Répéter x fois une version des faits, l'asséner pour tout argument : ça n'en fait pas une vérité. Le point de départ de tout cela n'était pas un reproche modéré comme le prétend le texte de début de ce fil. C'était blessant, agressif. M. Bourjon y a répondu du mieux qu'il a pu, en restant raisonnable. Mais alors il y a eu une ou deux interventions mauvaises d'autres personnes, et une mini-curée, un bashing, oui. Qui en a choqué plus d'un (revoir en haut). Que cela plaise ou pas. J'ai une très bonne mémoire.

Je suis écœuré, je ne suis pas le seul. Je vais démissionner du PI.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 07:24   Pièces du dossier
Il semble bien que d'autres messages à suivre de celui-ci aient été supprimés.

Un vote a été engagé du côté privé sur la suppression de ce fil.
Avant ce caviardage (ah, transparence, quand tu nous tiens...), hier soir, une nette majorité se dégageait pour cette suppression, ou au moins un retrait du fil sur le privé
Il semble que M. Camus y voit une entorse à "l'armistice" qu'il entend poursuivre de façon armée.
Dans ces conditions, je crains que la comédie ne se termine rapidement, malgré tout mes efforts pour éviter cette issue.

***

Transparence bis, de ma part (en provenance du privé) :

« La guerre des tranchées ici avec la (petite) garde rapprochée des fidèles qui ont résisté à la tempête et entendent maintenant s'affirmer sous le haut patronage et la protection du Maître afin de rétablir l'In-nocence, sans doute, et de "gagner l'armistice", de vaincre le(s) séditieux, une armistice à couteaux tirés ici, très peu pour moi.

Mes affidés, outre que cette considération est détestable, ont fait montre d'une remarquable retenue tout au long de la pièce, je tiens à le dire, puisque personne ne le fera. Il est vrai que s'ils parlaient, ils ne pouvaient être que téléguidés, et partisans. En se taisant ils ont laissé tout loisir à la parole antagoniste de s'affirmer. J'ai donc été à peu près seul à me "défendre" sur tous les fronts, public et privé, alors que je ne suis pas isolé, bien loin de là : c'est même tout le problème... et mes "affidés" sont bien plus que ce qu'ils devraient être, si l'on veut à tout prix reprendre cette optique, odieuse et fausse comme le reste.
Pas de problème, je ne me plains pas. Mais, bon…

Jusqu'au bout, et depuis deux ou trois jours, je ne sais plus, je n'ai pas voulu provoquer la rupture, comme on l'a vu (enfin, c'est à se demander, tant les passions et l'aveuglement auront prévalu, et la parole fausse, et sa répétition obstinée). Rupture à laquelle j'étais pourtant prêt, et au fond que j'espérais.

La rupture évitée in extremis, j'ai été ensuite prêt à "raccommoder" tout ce qui pouvait l'être ici, conscient de la difficulté de la situation, et je suis revenu sur ce forum et ce fil dans cette optique. Pour moi, la tentative de "purger" si possible les choses avec M. Meyer en faisait partie. Je vois mal qu'on pouvait en faire l'économie, au vu de ses déclarations jusque sur le public. Il se dérobe en insultant, mais assez habilement pour ne pas franchir tout à fait certaines bornes, comme d'habitude.

S'il n'y a pas moyen que cela se passe autrement, et si tout ce que je dis ou fait est immédiatement problématique, on en va pas en sortir.

À chacun de savoir s'il veut vraiment "raccommoder" les choses, ou pas.
Et s'il est possible de discuter de nos désaccords, ou pas.
»
Durant quelques heures hier, l'image de Jean-Michel Leroy à son cerceau se proposait aimablement pour être la fin très acceptable d'une tragi-comédie. Le P.I. a-t-il vraiment les moyens de mépriser ce genre ?
Toute cela devient incompréhensible. Je n’ai, pour ma part, supprimé aucune entrée. M. Guillard, sur le forum privé, a demandé la suppression totale de ce fil et je m’y suis opposé. J’ai dit qu’on pouvait, mais pour ma part je n’y tenais pas du tout, bien au contraire, supprimer les entrées postérieures à “l’armistice”, qui par leur seule existence la remettaient en cause, notamment un message d’un M. Boursier, primo-intervenant si je ne me trompe, et un autre de M. Alain Eytan. Je ne sais qui peut avoir procédé à cette opération, qui ne satisfait ni l’une ni l’autre partie.

J’avoue ne voir, cette fois, pas d’issue. Je démissionnerais très volontiers et même avec un vif soulagement personnel, mais je trouve un peu regrettable de jeter par la fenêtre dix ans ans de travail qui commençaient à porter quelque fruit. D’autre part, et sans vouloir manifester de prétention excessive, je ne suis pas certain que ce parti que j’ai fondé et dont me voici à peu près chassé, puisse sans moi continuer d'exister (ce que je souhaiterais pourtant). Et doublement dommage qu’il disparaisse en un temps où ce qu’il avait toujours prédit est en train de se réaliser sous nos yeux.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 08:16   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Vraiment, non ! Vous ne pouvez pas démissionner ! Cela n'a pas de sens !
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 08:24   Re : Pièces du dossier
M. Boursier n'est pas primo-intevenant. Ce ne peut qu'être Meyer qui a effectué cette coupe. Vous avez voté contre la suppression de ce fil, on pouvait s'y attendre. Votre position, à ce moment, est nettement minoritaire sur ce sujet. Il vous reste, cela dit, votre droit de veto que tout le monde respectera comme d'habitude, moi le premier (je ne suis pas à l'origine de cette initiative).

Cette manœuvre, qui montre quelque peu les limites de la "transparence" in-nocence, et qui souligne le mensonge qui ne cesse d'être à l’œuvre dans ce déballage lamentable, qui vous nuit bien plus qu'à moi, et c'est autrement grave, qui nuit à l'In-nocence, et ce n'est pas le moment en effet, cette faute invite à une seule chose : (se) regarder en face.

Vous voilà "chassé", avec cela !!! Un comble.
Personne ne vous chasse, mais votre action, la perpétuation post "armistice"de l'infamie de ce fil, et ce que j'ai dit supra obligent quelques-uns à considérer qu'ils ne pourront pas continuer ainsi.
Trop, c'est trop.

Ne criez pas si fort, Leroy. Il n'y a pas de problème, je l'ai dit mille fois. L'In-nocence n'a pas besoin de moi et mes "affidés". C'est absolument vrai.
«… mais votre action, la perpétuation post "armistice"de l'infamie de ce fil, oblige quelques-uns à considérer qu'ils ne pourront pas continuer ainsi »

Qu’on ne puisse pas continuer ainsi est, je pense, l’avis général. Je ne comprends pas le syntagme « votre action, la perpétuation post-armistice de l’infamie de ce fil” ? L'arrêt de ce fil après l’armistice me convenait parfaitement, je ne suis pour rien dans les messages qui ont suivi. Me soupçonnez-vous d’en téléguider ? Je ne suis pour rien dans le moindre et certainement dans celui, que je n’approuve pas, de M. Boursier, que je ne connais en rien. Peut-être M. Eytan aurait-il la bonté de reconstituer le sien, emporté par l’effacement effectué par M. Meyer (je suppose) dans une vaine tentative pour complaire à M. Guillard qui trouvait la perpétuation de ce fil, et ce fil lui-même, ignominieux ?

Voici copie de mon intervention sur le forum privé en réponse à l’intervention de M. Guillard demandant la suppression de ce fil :

« Contre. Totalement contre. Je croyais que nous étions arrivés, grâce à ce fil qui en est le garant, à un armistice. Mais si les termes n’en sont plus valables et si les escarmouches reprennent, tout est remis en cause, ce que je ne souhaite en aucune façon. Il faudra bel et bien convoquer une assemblée générale en urgence et en finir — et quand je dis en finir ce sera bel et bien en finir.

On peut, si l’on veut, à titre de compromis, supprimer tous les messages qui suivent le dessin de M. Leroy. Que chacun mesure bien ses paroles. La paix, à ce stade, est fragilissime. Un mot de trop peut rallumer la guerre et il est certain que le parti n'y survivra pas. Mieux vaudrait revenir à présent aux affaires courantes, politiques. »
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 08:55   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
La pétition pour la défense de Renaud Camus a recueilli à cette heure 1254 signatures. De grâce, pour ne pas désespérer ce petit millier d’hommes et de femmes qui se sont rangés à vos côtés, cessez d’étaler vos divisions.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 09:03   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
« Me soupçonnez-vous d’en téléguider ? »
Voudriez-vous cesser avec ce leitmotiv ridicule ?
Je ne vous soupçonne de rien, je suis convaincu que vous n'y êtes pour rien, que Meyer s'est précipité pour appliquer ce que vous ne faisiez que suggérer, dans le cadre d'une discussion et d'un vote ouvert. D'autant que j'ai la faiblesse de croire que le message de M. Guillard, un des très rares qui soit intervenu en dehors de moi pour (r)établir les choses, était à mon sens plus que pertinent et remettait un peu de vérité dans le circuit.

« dans une vaine tentative pour complaire à M. Guillard »
Alors, ça c'est le comble, derechef... M. Meyer, pour complaire à M. Guillard, supprime son message !
Cela devient surréaliste.
Si ce fil devait rester en place, alors c'est avec ce message et ses suites, bien entendu.
S'il devait disparaitre, c'est en totalité, rapatrié ou pas sur le privé, selon le résultat du vote en cours, et votre éventuel veto.
On est embêté de devoir l'expliquer.

« mais votre action... » : retour au privé, s'il vous plait.
Je ne parlais pas du message de M. Guillard, je parlais du message de M. Boursier, inopportun, à dire le moins, après l’“armistice”.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 09:15   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
« cessez d’étaler vos divisions. »
Certes, croyez bien que j'en suis d'accord.
Seulement voilà : il ne suffit pas de "renvoyer dos à dos" les protagonistes, c'est un peu trop facile.
Il faudrait au moins tenir compte d'une chose : qui est responsable de cette situation ? de sa prolongation ?
Je vais vous le dire, moi, je ne désigne pas un homme, qui pourtant est le responsable en chef à tous égards ici : mais l'aveuglement, la partialité, la défense irraisonnée et déraisonnable de "soi".
Je n'ai pas tiré le premier, j'ai répondu mais je n'ai jamais relancé.
RALBOL. C'est clair ?
19 septembre 2012, 09:22   Du rififi à l'in-nocence !
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu chapitre 7, versets 3 à 5 :
« Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'oeil de ton frère, et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton oeil ? Ou comment peux-tu dire à ton frère : Laisse-moi ôter une paille de ton oeil, toi qui as une poutre dans le tien ? Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton oeil, et alors tu verras comment ôter la paille de l'oeil de ton frère. »
Renaud Camus devrait relire la bible : avec ses remarques courtes et blessantes, il a lui-même découragé plusieurs participants au forum !
Ce fil est le contraire de l'in-nocence, de la modération et de la politesse…
La pratique de la théorie est toujours aussi difficile !
Ceci dit, j'admire Renaud Camus pour sa lucidité et son courage, mais peut-être est-ce le propre des grands hommes de faire preuve vis à vis de leurs concitoyens d'une rugosité inamicale.
D'autre part, j'espère de tout mon coeur que le forum ne va pas disparaître : on a trop besoin de vous tous.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 09:31   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Et si vous vous taisiez, pour un moment, le temps de régler l'affaire ?
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 10:09   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Citation
Didier Bourjon
Seulement voilà : il ne suffit pas de "renvoyer dos à dos" les protagonistes, c'est un peu trop facile. C'est clair ?
Cher Didier Bourjon, je ne renvoie pas "les adversaires dos à dos", je leur demande, au nom des gens de bonne volonté qui ont pris la défense de Renaud Camus et qui assistent effarées à cette empoignade à laquelle ils ne comprennent rien mais qui les désespère tant elle ridiculise la cause et les personnes qu'ils soutiennent, de cesser d'étaler une querelle qui peut aussi bien se poursuivre entre les personnes directement concernées, ailleurs et dans l'intimité du parti. Je tiens de ma vieille éducation que l'on ne vide pas les conflits familiaux sur la place publique mais entre les murs de sa maison. Les spectateurs indifférents que l'on convie à assister à un combat fratricide n'éprouvent qu'un mépris amusé pour qui manque à ce point de pudeur et de respect de soi. Imaginez alors la jubilation de vos ennemis. Les amis et les alliés en sont eux consternés.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 10:12   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Comme vous l'avez compris, cher Alain, c'est exactement mon avis, depuis le début. Et celui de presque tout le monde.
C'est en effet moi qui ai pris l'initiative de supprimer la fin du fil. Cela me semblait une bonne idée de supprimer les relances du conflit et de rester sur l'image du cerceau.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 10:54   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Je trouvais aussi que le dessin de M. Leroy fleurissait aimablement l'armistice signée et j'ai regretté les interventions ultérieures. Celles-ci étant intervenues, mon extrait du dictateur se voulait apaisant et humoristique. Mais, comme toujours, me met en colère la suppression de messages qui ne contrevenaient en rien aux règles du forum.

Je m'abstiendrai de replacer mon dictateur, la guerre étant manifestement rallumée. Mais je répéterai simplement le message que j'avais fait suivre à celui de M. Guillard :

Tout cela est malheureusement inutile. Totalement inutile.

P.S. Je ne remercie pas les événements de me donner raison.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 11:00   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Discussion fermée.
En effet, j’en porte témoignage. M. le Premier Sécrétaire et ses amis ne sont en rien responsables de la présence ici de ce fil. Ils font même tout pour sa disparition selon vos vœux, M. Lamy, ou pour son apatriement dans le secret du forum réservé aux membres du parti.

Cela dit, ne vous exagérez pas son mauvais effet, Monsieur. Vous en jugez en habitué des grands partis traditionnels et d’après des personnes qui le sont aussi. Le parti de l’In-nocence n’a jamais prétendu être cela. Souffrez que nous soyons autre chose.

Je rappelle que la crise actuelle a eu pour unique origine une remarque de ma part à M. le Premier Secrétaire sur la violence trop grande à mon gré qu’il manifestait sur ce forum-ci contre les personnes exprimant des opinions divergentes des siennes, aussitôt mises en cause dans leur bonne foi et dans la pureté de leurs intentions. Depuis lors cette violence a été mutipliée par cent, par mille, en particulier contre M. Meyer, ancien président de ce parti et qui a fait énormément pour lui, et contre moi. La vérité, la clarté et, dirais-je même, la publicité du débat sont mon unique protection contre cette violence stupéfiante et tout azimut, que je ne puis attribuer qu’à une crise paranoïaque aiguë et contagieuse. La disparition de ce fil aura pour effet ma démission immédiate, que je ne désire pas mais qui sera rendue inévitable par une situation de violence extrême et de soupçon permanent qu’il n'est pas question, pour ma part, de tolérer. Tant pis, je continuerai seul le combat, par mes seuls et maigres moyens.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 11:13   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Fil relancé comme on voit.
Pour moi : stop. Je démissionne.
Alors je vais dire un peu de mon petit bout de vérité, puisque j’ai commencé. Si cette affaire est en est d’abord une entre deux géants, comme disait Cassandre, elle est aussi l’œuvre d’un minuscule faux derche de première, d’un ultra violent rentré, bouffi de haine recuite : j’ai nommé Marcel Meyer, le plus nocent des in-nocents. C’est dommage.

Je confirme d’autant ma démission, après d’autres et avec quelques autres.
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 12:11   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Ménin aeide,Théa, Pèlèïadeo Achileos,
oulomenen, e muri Achaios algé etheke
Stupéfaction et consternation.
Chez moi, on lave son linge sale en famille.
Mais grâce aux nouvelles technologies, nous venons d'assister en temps réel
à une assemblée générale avec exposition des griefs, défense, accusation,
démission.
Ce serait passionnant si ce n'était si ridicule et si triste.
J'accorde tout mon soutien à Marcel Meyer et que ceux qui ne sont pas contents aillent voir ailleurs.
Comme on disait au parti communiste de la grande époque:" deux trotskystes un parti, trois trotskystes une scission" Le PI était (?) donc bien un parti trotskiste. Quand je pense que j'aurais pu adhérer! Heureusement un onzième couteaux grincheux m'en a dissuadé en manifestant à mon égard une nocence digne d'un lambertiste., sans doute pour briller auprès du parrain. Mais je regretterai les discussions du forum, souvent de bonne tenue, et surtout les liens presque toujours intéressants. Mais
« Ce qui aide à parler davantage est de gauche. Le silence est de droite. » E. Berl. D'où...
Utilisateur anonyme
19 septembre 2012, 23:36   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Heu..., cher Bellini, le P.I. n'est pas (encore) mort, que je sache...
Ménin aeide,Théa, Pèlèïadeo Achileos,
oulomenen, e muri Achaios algé etheke


J’allais le dire !
DE Mme DE SÉVIGNÉ À Mme DE GRIGNAN.

Aux Rochers, mercredi 4 novembre 1671.

Parlons un peu de M. Nicole, il y a longtemps que nous n’en avons rien dit. Je trouve votre réflexion fort bonne et fort juste sur l’indifférence qu’il veut que nous ayons pour l’approbation ou l’improbation du prochain. Je crois, comme vous, qu’il faut un peu de grâce, et que la philosophie seule ne suffit pas. Il nous met à si haut prix la paix et l’union avec le prochain, et nous conseille de l’acquérir aux dépens de tant de choses, qu’il n’y a pas moyen après cela d’être indifférente sur ce que le monde pense de nous. Devinez ce que je fais, je recommence ce traité ; je voudrais bien en faire un bouillon et l’avaler. Ce qu’il dit de l’orgueil et de l’amour-propre, qui se trouvent dans toutes les disputes, et que l’on couvre du beau nom de l’amour de la vérité, est une chose qui me ravit. Enfin ce traité est fait pour bien du monde ; mais je crois qu’on n’a eu principalement que moi en vue. Il dit que l’éloquence et la facilité de parler donnent un certain éclat aux pensées ; cette expression m’a paru belle et nouvelle ; le mot d’éclat est bien placé, ne le trouvez-vous pas ?
Après lecture, quasi tétanisé par ces propos, je propose le slogan lacanien suivant:
"La connerie, c'est maintenant, et c'est pas analysable".
"Discussion fermée", "c'est clair ?"

Décidément, vous semblez réellement incapable de souffrir la plus petite contestation de votre divine autorité...
Je me souviens encore de Didier Bourjon éructant "On sait ce que vous pensez !" en guise d'accueil aux nouveaux adhérents dès lors que ceux-ci exprimaient leur point de vue sur le forum privé.

Nous étions sommés sans ménagement de la fermer tant que nous n'aurions pas consacré autant de temps que lui au PI - autant dire de la fermer définitivement. Je n'ai pas renouvelé mon adhésion pour cette raison, très surpris que personne n'ait alors pris au sérieux cette agressivité extrême.

Il me semble par ailleurs qu'un organigramme du PI a été publié sur ce site. "L'école de Nantes" y représentait les deux-tiers des membres décisionnaires. Voilà donc au moins deux ans que le coup d'Etat est en marche.

J'ai hâte que Renaud Camus retrouve la maîtrise du parti et du forum.
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 10:42   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Effaré par ce qui s'est passé ici, je ne souhaitais pas intervenir ni même m'exprimer une fois l'orage passé.

Mais ce que vous dites-là, "Noémie" et "Alexandre", m'oblige à sortir de ce silence. Il aurait été très probablement plus avisé de votre part de ne pas intervenir sur ce fil.

Je tiens donc à préciser quelques points :

- « Discussion fermée », "Noémie", signifiait simplement que le fil venait d'être mis en "lecture seule", le temps qu'une décision soit prise sur le forum privé quant à son avenir. Ce n'est pas Didier Bourjon qui a proposé de le faire mais un autre membre, et cela n'aura duré que quelques minutes.

- Il ne me semble pas qu'il faille faire, "Alexandre", de votre cas une généralité. J'ai été témoin de nombreux accueils de nouveaux membres qui, et sans doute est-ce là la différence avec vous, ont pris le temps de lire les fils les plus importants et de comprendre les règles du forum privé avant d'intervenir progressivement. Leur introduction et leur participation n'a jamais été un problème, et je ne peux pas croire qu'ils se soient sentis « mal accueillis ».

- Puisque le ton est à la "transparence", je vais vous faire une confidence : l'organigramme du PI est en grande partie "bidon", il s'agissait, suite à une décision collective, de donner une représentation « sérieuse et conventionnelle » du parti de l'In-nocence. Ainsi, par exemple, votre serviteur serait bien incapable d'assumer les fonctions de « Secrétaire national à l'économie, à l'industrie et aux NTIC ». Mais rassurez-vous, cet "organigramme" qui ne présente que des membres ayant bien voulu "apparaître" sera bientôt remplacé par un autre, ou tout simplement supprimé ; vous ne verrez plus les hideux visages de l'« École de Nantes » qui, soit-dit en passant, comporte plus de trois membres (tiens, d'ailleurs, 3/8 ça fait pas vraiment « deux-tiers »).

- Enfin, vous dites : « J'ai hâte que Renaud Camus retrouve la maîtrise du parti et du forum » et j'avoue ne pas bien comprendre. Ce forum appartient, à juste titre, au parti de l'In-nocence et donc le président et les membres de celui-ci en ont légitimement la maîtrise, où voyez-vous que cela n'a pas été le cas ? Quant à la maîtrise du parti...

Je ne souhaitais vraiment pas poursuivre ce fil, mais j'espère que ma contribution permettra de rétablir un peu de vérité suite à ces deux dernières interventions.
Cher "Julien Beau", le fait que vous nous disiez de ne pas intervenir prouve bel et bien que le forum n'appartient pas à l'ensemble de ses participants... Notre point de vu n'est donc pas le bienvenu, et nous devrions pratiquer l'autocensure parce que nous ne faisons pas partie du bon fanclub?

Je vous remercierait de ne pas me prendre pour une "n00b", comme on dit sur le net 2.0, je sais ce que signifie une "discussion fermée", et je comprends ce que cela implique.
Je vois que vous ne répondez pas sur les autres marques d'énervement autoritaire.
Faites moi confiance, nous sommes jeunes mais cela ne nous empêche pas de lire les fils principaux. Vous critiquez sans savoir à qui vous vous adressez, vos remarques n'ont pas de fondement de ce point de vue là, peut être est ce vous qui devriez garder le silence dans ces conditions.

Pour répondre à M. Bourjon :

Citation
Didier Bourjon
Mon « ton », et les propos que j'ai tenus sur le forum public, sont en relation directe avec la conduite que j'ai pensé souhaitable pour notre action. On peut n'en n'être pas d'accord, bien entendu ! Mais il aurait fallu en discuter sur le plan politique, pas personnel, et selon des modalités convenables.

Permettez moi de marquer là encore mon désaccord (promis, c'est la dernière fois). Il vous est souvent arrivé, à mon encontre ou contre d'autres participants, de devenir agressif, de clore des discussions, de devenir méprisant... pour de petits sujets, dans des discussions n'ayant aucune influence sur la vie politique du parti.
Il s'agit donc pour ma part de complaintes personnelles, contre votre comportement "personnel" et non "politique".
Je comprends tout à fait qu'on puisse vous demander de changer de ton, si vous devenez responsable de la fuite de participants du forum public (et non privé). Cela n'a rien à voir avec "l'action" du parti politique (quelle action de toute façon?) quand nous discutions d'agriculture biologique ou de traite des vaches par exemple.

Le fond du problème à ce sujet est peut être que vous considérez que toute contribution de votre part à une valeur politique engageant le parti? Autrement je ne vois pas comment vous justifier.

Cependant, je limite là mes critiques, je n'ai jamais été inscrite au forum privé, et je ne mets pas votre parole en doute concernant les soucis que vous semblez rencontrer avec le président. Je réagis simplement à la demande de changement de ton.
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 11:55   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Chère "Noémie", si j'emploie ici les guillemets c'est que je n'ai qu'un prénom (ou peut-être un pseudonyme ?) à qui m'adresser.

Je vous ai simplement indiqué qu'« il aurait été très probablement plus avisé de votre part de ne pas intervenir sur ce fil » (et non ce forum), qu'il me semblait inutile de relancer, les personnes concernées directement s'étant pleinement exprimées. Il s'agit là plutôt de décence que d'auto-censure.

Je ne vous prends pas pour une "n00b", je ne me le permettrais pas ; mon propos visait principalement à indiquer que la fugace fermeture du fil n'était pas la manifestation d'une « autorité divine » que Didier Bourjon, selon votre courte diatribe, ne supporterais pas de voir contestée. Cela-dit je rappelle que nous ne sommes pas seuls et que votre message laissait largement les termes « discussion fermée » ambigus, pardonnez-moi d'avoir voulu que chacun comprenne bien.

Enfin je vous remercie de me proposer de garder le silence, il est vrai que mes interventions sur ce forum sont assourdissantes et détestables, de même que le fait d'avoir été un membre du parti de l'In-nocence et d'avoir alors lu les interventions d'"Alexandre" sur le forum privé lorsqu'il était lui-même membre (avec son père) ne constitue pas un fondement à mes violentes remarques.
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 11:59   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Je ne vois que rochers, et si rien se peut dire
Pire que des rochers le heurt audacieux :
Et le phare jadis favorable à mes yeux
De mon cours égaré sa lanterne retire.
Eh bien, ce qu'il ne faut pas lire... Je me demande si "Noémie" et "Alexandre" mesurent à quel point leurs témoignages grossièrement vindicatifs n'aident certainement pas Renaud Camus. Enfin non, je ne me le demande pas. La réponse est évidemment négative. Tout cela ne donne qu'une envie : fuir.
"Julien Beau" n'est qu'un pseudonyme. Aucune pièce d'identité valable n'y étant rattaché, permettez moi de poursuivre moi aussi l'usage des guillemets... Que je vais donc devoir emprunter avec absolument tout le monde ici maintenant, en suivant votre logique.

Nous sommes sur internet monsieur. Pourquoi devrais je justifier de mon identité réelle avec passeport biométrique à l'appuis? Qui l'a fait ici? Vous peut être?

Bref, le débat se perd en effet en futilités. Excusez mon intervention contenant des citations de Didier Bourjon (même si vous ne répondez toujours pas sur son charmant ton, cloturant ses ordres par des "c'est clair?"), j'aurais du me limiter à la simple expression de mes sentiments et mon soutiens à Renaud Camus.
Mais si j'en crois vos réponses, votre mépris (vous êtes bien le seul et le premier à mettre mon nom entre guillemets), et les messages critiques de ma "petite personne" dont je donnerais mauvaise image sur ma boite privée, aucun apport n'aurait été le bienvenu.

Encore une illustration flagrante de l'ambiance mortifère qui reigne en ces lieux.

J'en profite pour remercier sincèrement Francis Marche pour sa simple compréhension de mon intervention sur l'autre fil.
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 13:12   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Madame,

mettre votre appellation entre guillemets ne relève pas d'un mépris de ma part, il s'agit plutôt d'un mien embarras pour m'adresser à vous avec la convenance que j'aimerais avoir, et sans la note de pédantisme que je vois à l'utilisation d'un « Madame ».

Mais cela illustre peut-être l'un des mécanismes qui ont été à l’œuvre dans cette affaire : le côté épistolaire autant qu'instantané des échanges sur un forum se prête à de mauvaises interprétations de tons et de fins.

Quant à l'authenticité de mon identité, je crois pouvoir faire confiance aux principaux acteurs et dirigeants du parti de l'In-nocence pour attester de celle-ci. Mais le problème ne me semble pas tout à fait être celui-ci.

Enfin, j'avoue n'avoir pas compris : « et les messages critiques de ma "petite personne" dont je donnerais mauvaise image sur ma boite privée ». Je n'ai pas souvenir de vous avoir jamais laissé un quelconque message, de cette teneur de surcroît, sur votre « boîte privée ».

Ah ! et moi aussi, agacé, je pourrais terminer mon message par un « RALBOL. C'est clair ? », mais je ne vois pas en quoi cela constituerait un ordre émanant d'une « autorité divine ». C'est pourquoi je n'avais pas relevé.
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 14:00   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Citation
Noémie X.

Nous sommes sur internet monsieur. Pourquoi devrais je justifier de mon identité réelle avec passeport biométrique à l'appuis? Qui l'a fait ici? Vous peut être?

Heu... êtes-vous sûre et certaine, chère Noémie, d'avoir bien lu Renaud Camus et en particulier les passages qui traitent du nom, de l'honneur, de l'anonymat, du pseudonymat ?
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 14:05   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Citation
Phénarète
Eh bien, ce qu'il ne faut pas lire... Je me demande si "Noémie" et "Alexandre" mesurent à quel point leurs témoignages grossièrement vindicatifs n'aident certainement pas Renaud Camus. Enfin non, je ne me le demande pas. La réponse est évidemment négative. Tout cela ne donne qu'une envie : fuir.

Entièrement d'accord, tout cela me fait penser à ces scènes de comédie où le pleutre de service s'en vient donner de grands coups de pieds au cadavre du combattant qui vient d'être défait. C’est ridicule et pitoyable.
L'absence de toute modération du forum est très distrayante à défaut de faire avancer quoi que ce soit. "Il se passe toujours quelque chose aux Galeries Lafayette". Tous à vos rancoeurs ! Tous à votre subjectivité ! Sachez bien que tout mécontentement est bien fondé, traduit certainement des errances caractérisées de ce forum dont certains participants (précisez qui c'est mieux), ont gravement fauté à votre égard. N'hésitez pas, car vous avez raison. On a toujours raison de se révolter.
Citation
Phénarète
Entièrement d'accord, tout cela me fait penser à ces scènes de comédie où le pleutre de service s'en vient donner de grands coups de pieds au cadavre du combattant qui vient d'être défait.

Il a certes bien combattu les nouveaux arrivants (à moins que vous ne parliez de son combat contre Renaud Camus ?).
Citation
Julien Beau

- Puisque le ton est à la "transparence", je vais vous faire une confidence : l'organigramme du PI est en grande partie "bidon", il s'agissait, suite à une décision collective, de donner une représentation « sérieuse et conventionnelle » du parti de l'In-nocence.[/size].

J'en conclus donc que le sérieux et les conventions sont selon vous en grande partie bidons.
Citation
Jean-Michel Leroy
Citation
Noémie X.

Nous sommes sur internet monsieur. Pourquoi devrais je justifier de mon identité réelle avec passeport biométrique à l'appuis? Qui l'a fait ici? Vous peut être?

Heu... êtes-vous sûre et certaine, chère Noémie, d'avoir bien lu Renaud Camus et en particulier les passages qui traitent du nom, de l'honneur, de l'anonymat, du pseudonymat ?

Oh, alors, pourquoi pas "Cassandre", "Alain L", "Ostinato", "Rogemi", "André G", "Phénarète", "Bellini", "Chatterton"....?

Eux ça va, parce qu'ils ne critiquent pas votre idole? Ou bien allez vous me pardonner si je me renomme Noémie B. ?
Pourquoi ne pas leur faire la leçon? Ils n'ont visiblement pas lu Renaud Camus!

En tout cas votre défense du maître dans le texte me rassure. Il en reste quelque uns pour se souvenir de son existence apparemment.
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 18:16   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Citation
Alexandre
J'en conclus donc que le sérieux et les conventions sont selon vous en grande partie bidons.

Je vois mal comment on peut arriver à une telle conclusion.

Si la publication d'un organigramme donne assurément une représentation « sérieuse et conventionnelle » du parti de l'In-nocence, il n'en est pas moins vrai, et cela se comprend en considérant qu'il ne s'agit pas d'un « parti de masse », que ledit organigramme est constitué des quelques rares membres qui auront bien voulu apparaître, sous leur "vrai" nom. Vous comprendrez alors que les rôles "secondaires" auront été distribués "au mieux" (j'espère que vous percevrez l'euphémisme).

Mais est-ce là votre seule réponse ? celle d'attaquer ma moralité ?
« Oh, alors, pourquoi pas "Cassandre", "Alain L", "Ostinato", "Rogemi", "André G", "Phénarète", "Bellini", "Chatterton"....? Pourquoi ne pas leur faire la leçon? Ils n'ont visiblement pas lu Renaud Camus! »

Ah mais, ah mais ! Renaud Camus est aussi mon idole, chère Noémie. Et c'est vous qui ne m'avez pas lue, foi de Fanny Seguin ! (voir le fil de Remi Pellet).
Utilisateur anonyme
23 septembre 2012, 19:01   Re : Révolution de palais à Lilliput (extrait du Journal)
Chère Noémie,

Le cas de Cassandre est particulier puisque tout le monde connaît sa véritable identité et qu'elle ne la cache pas par ailleurs. Pour les autres, je n'ai rien à ajouter. Je suis personnellement très hostile à l'usage de pseudonymes et je pense suivre ainsi la ligne la plus camusienne qui soit (sur ce sujet). Je conçois que d'aucuns usent de pseudonymes eu égard à leur profession (le fameux “devoir de réserve” des fonctionnaires). Sinon, je suis parfaitement d'accord avec M. Rémi Pellet. L'In-nocence doit tout faire pour qu'un maximun des contributeurs (notamment les potentiels nouveaux) de son Forum y écrivent sous leur nom — étant entendu qu'il peut y avoir des exceptions.

Ceci étant dit, je ne comprends pas vos reproches à l'endroit de M. Beau, qui écrit visiblement sous son vrai nom...

Enfin, je vous assure que vous n'avez pas besoin de répondre (à moi en tout cas) en étant sur la défensive : je ne vous veux que du bien, je puis vous l'assurer.
"Ceci étant dit, je ne comprends pas vos reproches à l'endroit de M. Beau, qui écrit visiblement sous son vrai nom... "

Moi non plus.

"Enfin, je vous assure que vous n'avez pas besoin de répondre (à moi en tout cas) en étant sur la défensive : je ne vous veux que du bien, je puis vous l'assurer. "

Pareil.
24 septembre 2012, 01:04   Chiasme
» que ledit organigramme est constitué des quelques rares membres qui auront bien voulu apparaître, sous leur "vrai" nom. Vous comprendrez alors que les rôles "secondaires" auront été distribués "au mieux"

Alors là, cher Julien Beau, c'est vraiment... je cherche le mot, et ne trouve rien d'autre que "bathmologique" : on prône l'authenticité onomastique d'une apparence pour mieux préserver l'anonymat des réels décisionnaires de l'ombre.
C'est du joli !
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