Le plus fort, à propos du ramdam, c’est l'affaire des vacances. Le ramdam tombe en été, vous allez donc prendre vos congés, puisque vous n’êtes pas en état de travailler (vous êtes à jeun, cette nuit, vous avez repris trois fois de la tarte aux carottes et au cannabis, et vous n’avez pas dormi). Ah non, pas du tout. Je négocie avec mon entreprise le fait que je fonctionne à 15% de mes capacités. Faudra donc pas trop m’en demander d’autant que, quand je ne suis pas comateux, je deviens très agressif. Les vacances, je les prendrai après le ramdam, justement, pour me refaire une santé.
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(Et on vérifie au passage à quoi sert l’idéologie de la réclamation et de la déploration victimaire, parce que, pour les gens ordinaires, en cas d’inaptitude, de mise en danger d’autrui, etc., il n’y a pas de discussion, c’est le licenciement. Tandis que là, ce qui prime, ce sont les
convictions religieuses du salarié.)
Si j’ai bien compris, compte tenu de l’avancée annuelle de dix jours de leur sauterie, les années qui viennent ça va tomber en plein dans les examens. On va bien rire. Mais comptons sur l’institution pour être accommodante. Comment, mon petit, tu as boxé le surveillant de salle ? Mais c’est certainement parce qu’il t’a stigmatisé, le sale islamophobe. Pour ta peine, on va mettre 20/20 à ta copie. Ah ben ça, elle est toute blanche !