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Vidéo à revoir dans 20 ans...

Envoyé par Francis Marche 
Il est des documents audiovisuels qui témoigneront aux générations futures. Ces documents serviront à faire connaître la nature criminelle et félone des élus de la République Française en 2013-2014; ils permettront d'instruire ces générations des causes de l'effondrement de cette République et des violentes convulsions qui auront marqué son agonie:

Ce document de 6 minutes 29 est à regarder en intégralité. Toutefois, si l'on est pressé, on pourra commencer à la séance parlementaire diffusée à partir de 2'24''. On y voit par qui et comment les Français sont gouvernés, et à quelle fin criminelle d'éviction d'un peuple de son espace et de son histoire; on lira sur les visages de ces gouvernants l'indispensable cynisme et la froide détermination que requiert pareil programme. Les Français sont gouvernés par des chiens enragés qui leur vouent une haine froide, inébranlable et résolue. L'éloquence de ces images dépasse celle de toutes les démonstrations que nous pourrions produire de la réalité de ce crime :

video: [www.youtube.com]
Je ne me sens pas encore la force de regarder la vidéo tant je l'imagine suppliciante. J'attends d'avoir un petit regain d'optimisme.
La vidéo est en couleur, on y voit la trogne militante, assassine, de la Duflot, et le flegme de parlementaires qui, en moins de deux secondes, sans un mot, sans qu'il soit même besoin d'échanger un regard, sur "avis défavorable" assénés en trois syllabes au micro par les porte-parole des commissions parlementaires et du gouvernement, écartent et enterrent deux tentatives, respectueuses et timides, couchées en termes précautionneux et conciliants, des députés Lepen-Maréchal et Collard, de rendre plus transparentes les modalités d'attributions de logements sociaux, ou de débattre des conditions d'entrée en France des clandestins et du bien-fondée d'une politique laxiste dans ce dossier.

Quand j'écris "deux secondes", j'exagère : c'est beaucoup moins, à peine plus d'une seconde.

Je précise que la video est en couleur parce que cela a son importance : sans la couleur, les regards de chien enragé de la Duflot et tout le zèle assassin des "porte-parole de commissions", la haine militante qui se donne à lire dans tous leurs gestes, dans la sémillante détermination à ne rien vouloir savoir, rien vouloir entendre ni rien vouloir penser, la patibulaire bonne conscience des parlementaires qui interrompent à peine leur sieste pour appuyer sur le bouton de leur pupitre marqué "faire taire le débat", produiraient une curieuse impression : celle de regarder un documentaire d'Arte en noir et blanc montrant des fragments des séances de LA CONFERENCE DE WANNSEE.
La politique du logement, donc de la construction de logements, donc de l'urbanisation, donc d'une part non négligeable de la "redistribution" sociale à travers la politique d'attribution des logements sociaux, et celle des incitations, positives et négatives (pénalités infligées aux municipalités qui s'écartent des directives ministérielles faites lois) qui l'accompagne, est entre les mains de l'égérie d'un mouvement politique qui, en France, représente moins de cinq pour cent de l'électorat, moins de 5% des suffrages exprimés. Autrement dit, un élément vital des conditions de vie des Français est entièrement entre les mains d'une jeune militante et de son équipe, habitées de lubies, de visions et de stratégies de civilisation (l'éclatement de la nation et de la préférence que celle-ci accorde traditionnellement et comme le font toutes nations, à ses ressortissants) que l'écrasante majorité des Français ne partagent pas. Il y a eu détournement de démocratie. Le pouvoir démocratique a été confisqué et l'oligarchie gouvernante, elle-même gouvernée, possédée, par des visions solipsistes du réel, des stratégies guidées par la haine des gouvernés qui préexistaient à son accession au pouvoir, éperdument lancée dans une refonte du réel qui doit, à ses frais, lui complaire absolument, lui seoir, lui plaire et la satisfaire, gouverne pour sa propre cause, avec rage, aveuglement, aplomb et mépris de toute opposition.

Les "heures les plus noires", ce sont ces gens qui nous les préparent.
Utilisateur anonyme
11 mars 2014, 13:34   Re : Vidéo à revoir dans 20 ans...
La rapidité et donc la brutalité avec lesquelles les amendements proposés sont rejetés me laissent sans voix !

Voir cette pimbêche de ministre, avec une robe tellement laide, rejeter d'un revers de main l'amendement proposé par M. Collard en dit long. Cet amendement ne sentait pas le souffre contrairement au premier (bien que ce qu'il proposait fut parfaitement justifié).

Cher Marche, vous parlez de la couleur, elle nous permet d'opposer la beauté de Mlle Le Pen à la laideur de Mlle Duflot. Quand la laideur des idées accompagne la vulgarité vestimentaire (je n'ose parler de son physique), on est ministre de la République ?
Utilisateur anonyme
11 mars 2014, 14:18   Re : Vidéo à revoir dans 20 ans...
Cette “laideur” est due à la haine qui l'anime. Mais alors quelle haine ! Quelle haine !
Utilisateur anonyme
11 mars 2014, 17:10   Re : Vidéo à revoir dans 20 ans...
Citation
Afchine Davoudi
Cette “laideur” est due à la haine qui l'anime. Mais alors quelle haine ! Quelle haine !

Ce n'est pas tant sa haine qui me gêne ou me surprend, j'en ai autant à son service. C'est plutôt son dédain, son mépris et sa suffisance (tous les synonymes sont bons la concernant) à l'égard de ces deux députés qui, comme le nom de leur fonction l'indique, représentent la Nation, tout du moins une partie d'entre elle. Au surplus, un député, outre son travail législatif, est aussi chargé de contrôler l'action du gouvernement auquel appartient Mme Duflot.

Tout cela semble lui échapper, comme beaucoup d'autres choses (à elle et à son compagnon).
Il est très clair, à travers ces images, que toute préoccupation de nature patriotique est depuis longtemps considérée par ces hussards du Bien comme un dossier classé, un "cold case", comme on dit dans les séries américaines. Ils ont décidé de clore le débat et d'enterrer la France avec ses méphitiques défenseurs. Dans ce contexte, le problème n'est pas le choix de nos arguments, mais la possibilité même de convaincre qu'il est légitime d'argumenter, de prendre la parole, d'exister. Nous avons devant nous des froids administrateurs de l'Enfer qui ont signé notre arrêt de non-légitimité, de non-existence, et cela avec la main leste et dégagée du fonctionnaire qui paraphe un ordre de désintectisation. Terrible mur de silence et de mépris contre lequel nous buterons longtemps !
Je trouve étrange ,paradoxale, la réponse de Melle Duflot à la proposition de Maitre Collard.
Cette député écologiste ,normalement attachée à la démocratie participative,refuse laconiquement une propostion de mise en évidence publique des décisions concernant le "petit" peuple.
Les Verts sont depuis un certain temps pris dans un dilemme intéressant : leur tropisme en faveur de la démocratie participative, citoyenne ou délibérative, et leur crainte de voir celle-ci prise en otage par les populismes. Solution possible du dilemme : poser que la démocratie participative n'est acceptable que dans un cadre juridique bien défini, les questions touchant aux Droits de l'homme, au respect de la dignité humaine etc., échappant aux lubies des citoyens et à toute vélléité de votation.
Utilisateur anonyme
12 mars 2014, 10:32   Re : Vidéo à revoir dans 20 ans...
Pour en revenir à la question du logement social, nous "célébrons" en ce moment le septième anniversaire de la fameuse loi sur le droit au logement opposable (DALO).

Depuis cette loi, on a inventé la notion de "logement très social", ce qui confirme la paupérisation d'une partie de la population française et la grande pauvreté de beaucoup d'immigrés.

Et que dire du mal que peut faire une association comme le DAL (Droit au logement) ?
Utilisateur anonyme
14 mars 2014, 09:08   Re : Vidéo à revoir dans 20 ans...
Il y a une semaine, Le Monde a publié un article intéressant sur le sujet. On y a parle "ethnie" et "race".

"Un office HLM devant le tribunal pour discrimination raciale

L'affaire met en lumière les pratiques de bailleurs face au flou de la notion de " mixité sociale "

Un procès rare sur le sujet tabou de la gestion ethnique des logements sociaux doit se tenir, vendredi 7 mars, devant le tribunal de grande instance de Nanterre. La société qui comparaît est un des plus gros offices HLM d'Ile-de-France : Logirep, basée à Suresnes (Hauts-de-Seine). Sa possible condamnation pour discrimination raciale et fichage ethnique – elle risque au total jusqu'à 1,75 million d'euros d'amende – devrait être observée avec attention par les acteurs du logement social.

Le renvoi de Logirep devant le tribunal fait suite à une plainte, en 2005, de l'un de ses locataires, Frédéric Tieboyou. Cet homme d'origine ivoirienne vivait à l'époque avec sa mère dans un appartement du 20e arrondissement de Paris, qu'il considérait comme insalubre. Après une demande de changement de logement, son dossier avait été examiné en commission d'attribution. Cette dernière a notifié par courrier à M. Tieboyou le refus de son dossier, indiquant pour motif " mixité sociale ".

Furieux de cette décision, M. Tieboyou a décidé d'appeler la conseillère de Logirep qui suit son dossier. C'est alors que, selon l'ordonnance de renvoi, celle-ci lui aurait expliqué que le logement lui avait été refusé parce qu'" il était d'origine africaine et qu'il y avaitdéjà assez de Noirs dans la tour ". Cette conversation, enregistrée par le plaignant, constitue le principal élément à charge contre Logirep.

Me Christophe Pech de Laclause, l'avocat de la société, concentre sa défense sur l'objectif de mixité sociale assigné aux bailleurs sociaux et encadré par l'article 441 du code de la construction et de l'habitat. " La mixité sociale " ne passerait pas par le " mélange ethnique ", selon lui, mais aurait pour but de " tendre à l'harmonie sociale ". Une façon, pour l'avocat, de justifier le refus du dossier de M. Tieboyou car, selon lui, ce dernier amenait, avec sa mère, d'importants troubles de voisinages et avait menti sur l'insalubrité de son logement

La " mixité sociale " est en réalité une notion floue, qui sert parfois de prétexte aux bailleurs sociaux pour choisir leurs locataires. En 2012, les économistes Liliane Bonnal, Rachid Boumahdi et Pascal Favard ont démontré, dans une étude réalisée à partir des dernières données de l'Insee datant de 2006, qu'à niveau égal en termes de revenus, de composition familiale et de type de logement demandé, les ménages issus de l'immigration (1re et 2e générations) mettaient en moyenne vingt mois de plus que les ménages " européens " pour obtenir une HLM.

Mixité culturelle

" Notre étude prouve qu'il existe bien une discrimination, même s'il est difficile d'en déterminer les causes, explique M. Favard. Les bailleurs considèrent que les ménages non européens présentent plus de risques en matière d'impayés, d'insécurité ou de trouble du voisinage. Pour avoir le moins d'ennuis possible, ils servent en priorité les autres candidats. "

Le tri entre demandeurs peut aussi découler d'une volonté de maintenir une certaine mixité culturelle. Enfin, le fait que les ménages européens soient mieux informés sur les procédures et disposent d'un meilleur réseau pour accélérer l'accession à un logement est un autre élément d'explication.

Le monde HLM a encore du mal à reconnaître que son secteur n'est pas à l'abri de ces dérives. " Il n'y a pas de politique de discrimination chez les bailleurs sociaux ", affirme Marianne Louis, de l'Union sociale pour l'habitat (USH), qui représente 760 organismes HLM. " Cette question de l'inégalité dans l'attribution des logements sociaux nous est régulièrement posée alors que les bailleurs ne décident que de 20 % à 25 % des dossiers, rappelle-t-elle. Les réservataires (préfectures, communes, entreprises, administrations…), qui présentent leurs propres candidats et ont la main sur 80 % des attributions, ne sont jamais mis en cause. "

En 2009, la condamnation d'un office HLM à Saint-Etienne (Loire) pour discrimination raciale, fichage ethnique et discrimination dans l'accès au logement a néanmoins permis quelques avancées. Un recueil de bonnes pratiques élaboré avec la Haute autorité de lutte contre les discriminations a été mis à disposition des adhérents de l'USH. Des actions de formation ont aussi été mises en place.

Mais la difficulté de prouver les responsabilités dans ce type de dossiers joue en faveur de l'omerta. Selon la Fédération nationale des Maisons des potes – dont fait partie SOS Racisme –, partie civile dans le procès Logirep, deux autres cas seulement sont en cours d'instruction, depuis pas moins d'une quinzaine d'années, mettant en cause un bailleur du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) et un autre d'Orléans.
Utilisateur anonyme
14 mars 2014, 09:10   Re : Vidéo à revoir dans 20 ans...
Le désormais célèbre Christophe Guilluy, géographe et consultant auprès de collectivités locales nous apprend Le Monde, a été interrogé.

On notera qu'ici, les mots "polygame" et "blanc" sont prononcés.

"Les bailleurs font du panachage ethnique sans le dire "

Comment se passe, sur le terrain, l'attribution des logements sociaux en France ?

Dans les quartiers de logements sociaux des grandes villes, cela se passe de façon a priori bienveillante et avec des objectifs souvent très pragmatiques. Les bailleurs essaient par exemple de rapprocher les familles divorcées ou polygames. Cela peut se faire au sein du même immeuble ou du même quartier. C'est logique dans un contexte où l'on est passé d'une immigration majoritairement de travail à une immigration majoritairement familiale.

Une enquête de l'Insee de 2012 a toutefois démontré que, pour un foyer " européen ", la probabilité d'obtenir un logement HLM était bien plus forte que pour un foyer issu de l'immigration…

En effet, quand on dit qu'il n'y a pas assez de " mixité sociale ", on dit souvent qu'il faut faire venir des " classes moyennes ". Mais c'est un terme qui veut dire " Blanc " et, dans la pratique, les bailleurs font du panachage ethnique sans le dire. Le cas de Logirep est emblématique. Par son travail - employé de la RATP - ,M. Tieboyou faisait partie de la " classe moyenne ", mais il était noir…

Que penser de ces méthodes ?

Les bailleurs sont dans un combat perdu d'avance. Dans les grandes métropoles, la plupart des dossiers de demande de logements sociaux viennent de familles issues de l'immigration. Il y a très peu de demandes de " Blancs ". Par ailleurs, d'autres contraintes viennent se greffer à cet objectif de mixité, notamment les logiques d'évitement résidentiel.

On assiste par exemple à l'émergence d'une classe moyenne issue de l'immigration maghrébine qui n'a pas encore les moyens de sortir du parc social, mais qui demande de plus en plus à ne pas être logée dans les logements HLM avec ceux issus de l'immigration subsaharienne, qu'elle considère comme plus précaires qu'elle.

Comment les bailleurs sociaux habillent-ils ces pratiques ?

Ce n'est jamais écrit clairement, c'est très difficile à prouver. Mais il faut toujours comparer avec ce qui se passe dans le parc privé, notamment dans les copropriétés dégradées. La concentration ethnique y est bien plus forte. Quand les pouvoirs publics ne gèrent pas le peuplement, les logiques amicales et de réseaux priment et les immeubles peuvent être totalement communautarisés. La difficulté est que le mot " mixité " recouvre sans le dire une dimension ethnique qui, elle-même, officiellement, en France, n'existe pas.
14 mars 2014, 17:52   Les analystes
Piquante "analyse", au journal de France Culture, à midi et demi, de la faible représentation du Front National dans les municipales autour de Paris. Entre 1995 et aujourd'hui, la quantité de ces listes à pratiquement diminué de moitié. Explication du journaliste sociologue (ou inversement) : en 1995, le FN pouvait s'adresser aux habitants de souche de ces villes et trouver un électorat. Or, depuis, la quantité de descendants d'immigrés a décuplé (c'est lui qui le dit) et les "petits blancs" se sont installés ailleurs. Le FN ne peut plus faire jouer une origine contre une autre car il n'y en a plus qu'une. CQFD. Voici reconnu, sur l'air du "décryptage" étourdi qui passe comme une lettre à la poste, rien moins que les thèses de Renaud Camus.
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