Mais enfin qui ? QUI bon sang à donné à ces gens le droit, le mandat, de fabriquer la société comme une pâtisserie en argumentant comme ils le font sur le dosage de ses ingrédients ?
Le principe démocratique est autre, il pose la volonté active des peuples, donc des "ingrédients", comme souveraine. Le vol, le viol de ce principe est constant, patent, il est dans les institutions européennes et dans les discours de ces officines qu'elle subventionne, et ce discours consiste à vouloir cuisiner la société, les peuples comme matière inerte, ingrédient passif dans un Grand Oeuvre qui ne leur appartient pas, dont ils sont exclus en tant qu'acteurs et décideurs.
Mais enfin ça crève les yeux et personne ne le voit, personne ne le dit, ne s'en insurge. CES GENS N'ONT AUCUN DROIT SUR NOUS ! Ils ne sont pas chefs cuisiniers, ni pâtissiers, ni alchimistes, ni "êtres de lumière" et nous ne sommes point pâte inerte entre leurs mains, et rien, sous aucune constitution ne les autorise à juger et décréter quels dosages migratoires sont souhaitables, sont les bons pour l'harmonie et l'avenir d'une société. Ils ont le droit d'avoir une opinion sur la question mais aucun droit de la transcrire dans un acte d'ingénierie sociale et humaine dont nous ferions les frais. Ils ne disposent pas de ce droit parce que personne, jamais, chez les premiers concernés, ne le leur a délégué.
Le peuple n'est pas
à faire. Il est un donné, il n'est pas un projet de confection ou de confiserie bien intentionné ou sournoisement intentionné.
Ces petits sociologues pro-migrations, remplacistes, ne connaissent pas le Mal, ou plus précisément, ils sont incapables de penser la négativité, le tragique, le fatal, le retors et l'irrationnel (celui de l'apocalyptique islamiste notamment) et leurs idées, et à fortiori les décisions politiques qu'ils inspirent aux gouvernants, sont ineptes, systématiquement catastrophiques, et leurs recettes d'apprentis sorciers produisent immanquablement les explosions que l'on doit en craindre, comme le mois dernier à Paris.
Quand va-t-on enfin se réveiller et commencer par faire fermer sa gueule à cette engeance qui nous prend pour des riens, pour des morts ?