Le site du parti de l'In-nocence

cohn bendit

Envoyé par Serge Diot 
10 juin 2009, 13:54   cohn bendit
Daniel Cohn Bendit traite Franois Bayrou de minable profŽrant des ignominies et lui promet qu'il ne sera jamais prŽsident , ce dernier point devant tre pour Bayrou l'agression ultime. Celui-ci lui rŽtorque, piquŽ au vif, que question ignominie il n'a pas de conseil ˆ recevoir d'une personne ayant Žcrit ses expŽriences Žrotiques avec des enfants. (Žcrits d'ailleurs coroborŽs
par une participation ˆ "Apostrophe " en 1982, rendez-vous sur dailymotion).
Auparavant nous avions eu droit au mme scŽnario impliquant cette fois
Marine Le Pen dont Daniel Cohn Bendit venait d'accuser son pre d'avoir un passŽ de tortionnaire.
Je note que les contradicteurs de Cohn Bendit lui ressortent cet Žpisode aprs avoir ŽtŽ eux-mmes violemment agressŽs. Et alors tout l'univers mŽdatico-politique dŽnonce une faute inacceptable de Bayrou ou Le Pen.
Je ne comprends pas pourquoi. Une belle ‰me voudrait-elle m'apporter
un Žclairage sur les rgles du jeu du dŽbat politique. Merci
Le dŽbat politique, comment voulez-vous qu'il ne soit pas sous un Žclairage et même un scŽnario farceurs.
Utilisateur anonyme
10 juin 2009, 14:17   Le porc Cohn
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10 juin 2009, 15:23   Re : cohn bendit
ttt ttt ttt...
Utilisateur anonyme
10 juin 2009, 15:54   Après les phoques et les ours blancs...
Tentative de traduction de la Sainte Parole :

" S S S " ?

" Ô Ô Ô " ?

ou bien :
Utilisateur anonyme
10 juin 2009, 17:38   Re : cohn bendit
Moi je peux vous dire que traiter quelqu'un de porc est clairement injurieux, Agrippa.
Utilisateur anonyme
10 juin 2009, 17:58   Re : cohn bendit
Injure publique, je suis bon pour 12.000 euros d'amende, ça fait cher le kilo de cochon pas propre.
Utilisateur anonyme
10 juin 2009, 22:35   Re : cohn bendit
Corto écrivait:
-------------------------------------------------------
> Moi je peux vous dire que traiter quelqu'un de
> porc est clairement injurieux, Agrippa.

Corto a raison. Mieux vaut se contenter de qualifier ce symbole de la décadence de pédophile, puisque lui-même a décrit ses "jeux érotiques avec des enfants" dans son livre Le Grand Bazar, Belfond 1975.

Citation
Il m'était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : 'Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi vous m'avez choisi, moi, et pas les autres gosses ?' Mais s'ils insistaient je les caressais quand même
Utilisateur anonyme
13 juin 2009, 09:21   Un provocateur vulgaire
Je pense plutôt que c'est un provocateur. Mais il provoque avec une vulgarité toute porcine (encore que certains porcs soient bien élevés paraît-il, cf Babe).

Un vrai pédophile se serait-il vanté de ses crimes, même dans les années 70 ?

Par ailleurs, il y a aussi beaucoup d'abus aujourd'hui dans la chasse au pédophile (sans même parler d'Outreau). Giacomo Girolamo Casanova en serait sans doute taxé s'il revenait parmi nous, ce qui serait bien injuste.

Et que dire de Pierre Louÿs qui en plus ne se gêne pas pour écrire ceci en 1926 en exergue de Trois Filles de leur mère :


AVIS A LA LECTRICE
Ce petit livre n'est pas un roman. C'est une histoire vraie jusqu'aux moindres détails. Je n'ai rien changé, ni le portrait de la mère et des trois jeunes filles, ni leurs âges, ni les circonstances.


Mais il n'y a aucune vulgarité dans son livre.



Extrait



Provocante et gaie comme une enfant, elle toucha, elle empoigna l'étoffe de mon pantalon avec ce qu'elle y sut trouver, avant de fuir au fond de la chambre où elle retira sa robe, ses bas, ses bottines... Puis, tenant sa chemise des deux mains et faisant une petite moue :

« Je peux toute nue ? me demanda-t-elle.

— Voulez-vous aussi que je vous le jure ?... En mon âme et conscience...

— Vous ne me le reprocherez jamais, fit-elle en imitant mon accent dramatique.

— Jamais !

— Alors... la voilà, Mauricette ! »

Nous tombâmes tous deux sur mon grand lit, dans les bras l'un de l'autre. Elle me heurta de sa bouche. Elle me poussait les lèvres avec force, donnait sa langue avec élan... Elle fermait presque les yeux, puis les ouvrait en sursaut... Tout en elle avait quatorze ans, le regard, le baiser, la narine... A la fin, j'entendis un cri étouffé, comme d'une petite bête impatiente. Nos bouches se quittèrent, se reprirent, se séparèrent encore...

Et, ne sachant pas très bien quelles mystérieuses vertus elle m'avait fait jurer de ne pas lui ravir, je dis au hasard quelques balivernes pour apprendre ses secrets sans les lui demander.

« Comme c'est joli, ce que tu t'es mis sur la poitrine ! Quel nom cela prend- il chez les fleuristes ?

— Des nichons.

— Et ce petit Karakul que tu as sous le ventre ? C'est la mode, maintenant, de porter des fourrures au mois de juillet ? Tu as froid là-dessous ?

— Ah ! non ! pas souvent !

— Et ça ! je ne devine pas du tout ce que ça peut être.

— Tu ne devines pas, répéta-t-elle d'un air malin. Tu vas le dire toi-même, ce que c'est. »

Avec l'impudeur de la jeunesse, elle écarquilla les cuisses, les dressa des deux mains, ouvrit sa chair... Ma surprise fut d'autant plus vive que la hardiesse de la posture ne me préparait guère à une telle révélation.

« Un pucelage ! m'écriai-je.

— Et un beau !

— II est pour moi ? »

Je pensais qu'elle me dirait non. J'avouerai même que je l'espérais. C'était un de ces pucelages impénétrables comme il m'est arrivé d'en prendre deux. Hélas ! J'ai bien souffert.

Néanmoins je me piquai de voir Mauricette répondre à ma question en se passant un doigt sous le nez, avec une bouche moqueuse qui voulait dire « Flûte » ou même pis. Et comme elle ouvrait toujours sous mes yeux ce que je ne devais pas toucher, une taquinerie me fit dire : « Vous avez de bien mauvaises habitudes, mademoiselle, quand vous êtes toute seule.

— Oh ! à quoi vois-tu ça ? » dit-elle en fermant les jambes.

Ce mot fit plus que tout le reste pour la mettre à l'aise. Puisque je l'avais deviné, rien ne servait plus de le taire : elle s'en vanta. D'un air gamin, frottant à chaque fois sa bouche sur ma bouche, elle me répéta tout bas :

« Oui. Je me branle. Je me branle. Je me branle. Je me branle. Je me branle. Je me branle. Je me branle. Je me branle. »

Plus elle le disait, plus elle était gaie. Et ce premier mot lâché, tous les autres suivirent comme s'ils n'attendaient qu'un signe pour s'envoler :

« Tu vas voir comment je décharge.

— Je voudrais bien le savoir, en effet.

— Donne-moi ta queue.

— Où cela ?

— Trouve.

— Qu'est-ce qui est défendu ?

— Mon pucelage et ma bouche. »

Comme on ne peut aller au cœur féminin que par trois avenues... et comme j'ai une intelligence prodigieusement exercée à la divination des énigmes très difficiles... je compris.

Mais cette nouvelle surprise me coupait la parole : je ne répondis rien. Je donnai même à ce mutisme un air d'imbécillité pour laisser Mauricette expliquer elle- même son mystère. Elle soupira en souriant, me jeta un regard de détresse qui signifiait : « Dieu ! que les hommes sont bêtes ! » puis elle s'inquiéta ; et ce fut elle qui me posa des questions.

« Qu'est-ce que tu aimes faire ? qu'est-ce que tu aimes le mieux ?

— L'amour, mademoiselle.

— Mais c'est défendu... Et qu'est-ce que tu n'aimes pas du tout, du tout ?

— Cette petite main-là, qui est pourtant jolie. Je n'en veux pour rien au monde.

— C'est pas de chance que je... fit-elle avec un trouble extrême... que je peux pas sucer... Tu aurais voulu ma bouche ?

— Tu me l'as donnée », fis-je en la reprenant.

Non, ce n'était plus la même bouche. Mauricette perdait contenance, n'osait plus parler, croyait tout perdu. Il n'était que temps de ramener un sourire sur ce visage désolé. Une de mes deux mains qui la tenaient serrée contre moi se posa tout simplement sur ce qu'elle désespérait de me faire accepter et même de me faire comprendre.

La timide enfant me regarda, vit que ma physionomie n'était pas sérieuse ; et, avec une brusquerie de métamorphose qui me fit tressaillir :

« Oh ! Crapule ! s'écria- t-elle. Animal ! Brute ! Putain ! Cochon !

— Mais veux-tu te taire !

— Depuis un quart d'heure il fait semblant de ne pas deviner et il se fiche de moi parce que je ne sais comment le dire. »

Elle reprit son air de gosse en bonne humeur, et, sans élever la voix, mais nez à nez :

« Si je n'en avais pas envie, tu mériterais que je me rhabille.

— Envie de quoi ?

— Que tu m'encules ! fit-elle en riant. Je te l'ai dit. Et avec moi, tu n'as pas fini d'en entendre. Je ne sais pas tout faire, mais je sais parler.

— C'est que... je ne suis pas sûr d'avoir bien entendu.

— J'ai envie de me faire enculer et de me faire mordre ! J'aime mieux un homme méchant qu'un homme taquin.

— Chut ! chut ! mais que tu es nerveuse, Mauricette !

— Et puis on m'appelle Ricette quand on m'encule.

— Pour ne pas dire le « Mau »... Allons ! calme-toi.

— Il n'y a qu'un moyen. Vite ! Tu veux ? »

Pas fâchée, peut-être même plus ardente, elle me rendit à pleine bouche le baiser que je lui donnais et, pour m'encourager sans doute, elle me dit :

« Tu bandes comme du fer, mais je ne suis pas douillette et j'ai le trou du cul solide.

— Pas de vaseline ? Tant mieux.

— Oh ! là ! là ! pourquoi pas une pince à gants ! »

Par une virevolte, elle me tourna le dos, se coucha sur le côté droit, et joua au doigt mouillé avec elle-même, sans autre préambule au sacrifice de sa pudeur. Puis, d'un geste qui m'amusa, elle ferma les lèvres de son pucelage, et elle fit bien car j'aurais pu croire que j'y pénétrais malgré mes serments. Ce doigt mouillé, c'était assez pour elle, c'était peu pour moi. Je trouvai qu'en effet elle n'était « pas douillette », ainsi qu'elle venait de me le faire savoir.

Et j'allais lui demander si je ne la blessais pas, quand, tournant sa bouche vers la mienne, elle me dit tout le contraire :

« Toi, tu as déjà enculé des pucelles.

— A quoi sens-tu cela ?

— Je te le dirai quand tu m'auras dit à quoi tu as vu que je me branlais.

— Petite saleté ! tu as le bouton le plus rouge et le plus gros que j'aie Jamais vu sur un pucelage.

— Il bande ! murmura-t-elle en faisant les yeux doux. Il n'est pas toujours si gros... N'y touche pas... Laisse-le-moi... Tu voulais savoir à quoi je sens... que tu as enculé des pucelles ?

— Non. Plus tard.

— Eh bien ! la voilà, la preuve ! tu sais qu'il ne faut rien demander à une pucelle qui se branle pendant qu'on l'encule. Elle n'est pas foutue de répondre. »

Son rire s'éteignit. Ses yeux s'allongèrent. Elle serra les dents et ouvrit les lèvres. Après un silence elle dit :

« Mords-moi... Je veux que tu me mordes... Là, dans le cou, sous les cheveux, comme les chats font aux chattes... »

Elle dit ensuite :

« Je me retiens... Je me touche à peine... mais... je ne peux plus, je vais jouir... Oh ! je vais jouir, mon... comment t'appelles-tu ?... mon chéri... Va comme tu veux !... de toutes tes forces ! comme si tu baisais !... J'aime ça !... Encore !... Encore ! » Le spasme la raidit, la tint frémissante... Puis la tête retomba et je serrai le petit corps tout faible contre moi.
Utilisateur anonyme
13 juin 2009, 13:48   Re : cohn bendit
Citation
Un vrai pédophile se serait-il vanté de ses crimes, même dans les années 70 ?

La réalité de son discours et du récit de ses "expériences" dans un jardin d'enfants - d'enfants, pas de jeunes adolescents - ne laisse planer aucun doute sur sa pédophilie. Les faits sont relatés par l'auteur, le crime est bien réel.
La carrière de Daniel Cohn-Bendit est toute entière imprégnée de ce sentiment d'impunité qu'on pouvait lire sur son visage hilare, face à un CRS, dans une célèbre photographie de 1968. Se vanter de ses actes en public et jouir malgré tout d'une telle impunité est sans doute assez jouissif pour un pervers.
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