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Coups de blues.

Envoyé par Marcel Meyer 
20 juillet 2009, 17:35   Coups de blues.
Utilisateur anonyme
20 juillet 2009, 18:03   Pas de panique !
Les mesures visant à réduire le nombre des victimes de l’auto ayant porté leurs fruits, on a fait de même pour celles du vélo ... et il paraît que quelque chose se prépare pour celles de l’immigration

A part ça, l'ami Goux à l'air bien triste. L'ami Goux, l'ami Goux... le migou !
20 juillet 2009, 19:07   Re : Coups de blues.
Merci cher Marcel, pour avoir mis ces liens sur le forum.
20 juillet 2009, 20:19   Re : Coups de blues.
Le billet de Xyr peut être un motif d'espérer, dans la mesure où je crois savoir qu'il s'agit d'un très jeune homme. Peut-être la période de stupeur est-elle en voie de terminaison ?
20 juillet 2009, 20:55   Re : Coups de blues.
Je crois avoir lu quelque part qu'il a vingt-trois ans.
20 juillet 2009, 21:09   Re : Coups de blues.
Son texte est remarquable, et la vidéo qu'il illustre est vraiment terrible.
20 juillet 2009, 21:39   Re : Coups de blues.
La période de stupeur, comme vous dites si bien, peut-elle se terminer ? Il y a des signes, très clairs. Il y en avait déjà eu au moment de la campagne des élections présidentielles. On sait que Sarkozy a trahi, absolument trahi (dans le sens le plus fort, celui qui est dans traître, traîtrise) ces aspirations qui ont fortement contribué, probablement de façon déterminante, à le faire élire. Aujourd'hui, je sens une exaspération qui déborde très nettement les milieux qui ont voté pour lui.

En soi, cela ne suffit certes pas. Rien n'est gagné, rien, même, n'est acquis. L'ennemi est puissant, d'autant qu'il est d'abord en nous. Le pire, c'est que plus on attendra, plus ce sera difficile, conflictuel, et, plus tard encore, sanglant, terrible ; puis, ce sera trop tard, il ne restera plus que la résignation de l'esclave ou du dhimmi. Alors qu'aujourd'hui, cela pourrait encore être assez facile.
20 juillet 2009, 21:42   Mauvais plans
L'épigraphe de Gide nous renvoie à ceci de Vauvenargues :

Si la gloire et le mérite ne rendent pas les hommes heureux, ce que l'on appelle bonheur mérite-t-il leurs regrets ? Une âme un peu courageuse daignerait-elle accepter ou la fortune, ou le repos d'esprit, ou la modération, s'il fallait leur sacrifier la vigueur de ses sentiments et abaisser l'essor de son génie ?
Utilisateur anonyme
20 juillet 2009, 22:13   Re : Coups de blues.


"C'est la dureté, une dureté romaine, qui naît maintenant dans le monde entier. Bientôt il n'y aura plus de place pour rien d'autre. L'art, soit, mais qu'il soit de béton et d'acier, la création poétique, soit, mais que ce soit l'oeuvre d'hommes aux nerfs d'aciers et à l'esprit d'une profondeur inexorable, la religion, soit - mais alors, prends ton livre de cantiques, et non Confucius sur papier vergé, et va-t-en à l'église. La politique, soit, mais faite par des hommes d'Etat et non des réformateurs du monde entier. Tout le reste est indigne qu'on le prenne en considération."



Oswald Spengler, Pessimisme ? (1921)
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 00:16   Re : Coups de blues.
Ah oui cher Marcel, l'ennemi est en nous.
Un des commentaires suivant ce billet, choses qui ont été dites maintes fois sur ce forum, voit juste :

La suppression du service millitaire ce sont les "nouveaux français" qui l'ont faite ?
La féminisation de la société ce sont les "nouveaux français" qui l'ont faite ?
Les organisations antiracistes (SOS Racisme, Licra, UEJF) ce sont les "nouveaux français" qui les ont créées et qui les dirigent ?
Les politiques migratoires ce sont les "nouveaux français" qui les ont votées ?
Les lois d'exception et le communautarisme ce sont les "nouveaux français" qui les ont lancées ?
Les programmes scolaire, les manuels ce sont les "nouveaux français" qui les ont faits ?

La réponse de xyr est sensée (peu importe ce qui nous a conduit ici, telle est la situation, préparons-nous à en sortir en ne comptant que sur nous) mais je déplore sa brutalité.
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 00:20   Re : Coups de blues.
Vivement la dureté Romaine ! Mais pourvu que ce soit sans l'âme de la milice.
21 juillet 2009, 02:19   Re : Coups de blues.
Ce que j'observe autour de moi, c'est que les langues se délient ; mais ce n'est qu'une première marche vers l'Action. Il faut encore que les discours politiques s'imprègnent du réel, et redonnent confiance à la majorité silencieuse.
21 juillet 2009, 10:52   Re : Coups de blues.
Je crains, cher Guillaume, que plus le temps passe, plus la réaction sera brutale, par nécessité comme par effet de la colère, de la honte et de l'humiliation rentrées.

J'observe la même chose qu'Olivier : les langues se délient.
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 11:06   Re : Coups de blues.
Oui, cher Olivier, mais à force de s’entendre répéter par des maîtres qu’il n’a pas souhaités (quoique...) qu’il ne vaut rien, qu’il n’a aucun droit, qu’il a toutes les tares, le FDS ne trouve pas de meilleure réponse que de leur donner (un peu) raison. Alors, bien sûr, parfois il se plaint (rarement en public), et on le croirait presque sur le point de réagir : "si ça continue, môa, j'vais voter Le Pen !, na marre maint'nant !", et puis plus rien... car au fond, il sait qu'il a la trouille (surtout de voter Le Pen) - voyez-le donc baisser la voix en parlant des “Arabes”, changer de trottoir parce que là, "il y en a trop", se traîner sur la route en pestant contre les radars, s’indigner des mauvaises manières de certains…
Je crois qu'il est trop tard, et que chacun continuera de se débrouiller comme il peut.
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 11:13   Re : Coups de blues.
M. Meyer les larves (oh, sorry ) ne se mettent JAMAIS en colère !
21 juillet 2009, 13:03   Re : Coups de blues.
Je ne comprends rien à ce fil : le film n'ethnicise pas le désastre, d'une part. (Orange mécanique avait fait mieux que ce court-métrage, du reste, et là non plus, rien à voir avec un conflit ethnique). D'autre part, voudriez-vous que des siècles de monopole de la violence par l'Etat soient effacés et qu'on se remette à la vendetta et au réglement de comptes de rue ? Et la police, c'est fait pour qui ? Nous avons intériorisé la lâcheté, qui est le prix à payer pour la paix civile et la fin de la guerre de tous contre tous, non ?
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 14:51   Re : Coups de blues.
Bien sûr, cher Bruno Chaouat, mais lorsqu'il n'y a plus de police (ce qui, en de certaines zones du territoire, est de fait le cas), que donc l'Etat ne joue plus son rôle le plus fondamental, qui est d'assurer la paix civile, on revient à l'état de nature, c'est-à-dire la guerre de tous contre tous.
C'était comme cela au Moyen-Age, et encore dans les campagnes d'Europe du sud jusqu'à récemment; il se pourrait bien, efffectivement, qu'on y revienne, progressivement.
La faute à qui?
21 juillet 2009, 14:52   Re : Coups de blues.
Personne ne souhaite la guerre civile, en tout cas pas moi ; mais plus nous attendons sans rien faire, plus nous laissons la situation pourrir, moins elle deviendra improbable. Ou, plus exactement, plus notre avenir se résumera au choix entre la guerre civile et la dhimmitude.

La police ? Elle est dans la même situation que la justice : totalement débordée, vous le savez bien ; et gagnée par le politiquement correct presque autant qu'elle ; et bridée par tous les bataillons du droit-de-l'hommisme (voir les déclarations du nouveau président de la commission consultative des droits de l'homme dont je parle ailleurs).

Le film n'ethnicise pas ? A cela il y a deux explications. La première c'est qu'en Angleterre il y a une tradition solidement enracinée de hooliganisme blanc : les hooligans ont fait souche là-bas, bien davantage que les blousons noirs, leurs équivalents français, ici. Mais bien entendu, ce n'est pas tout : là-bas comme ici, la majorité des incivilités, des délits et des crimes est due à la population d'origine immigrée. Mais là-bas comme ici, cela n'est pas dicible et à la télévision le méchant est, dans l'immense majorité des cas, un blanc. Voyez cette fiction que s'apprête à diffuser TF1 ; chacun sait que tous les cas d'esclavage "moderne" découverts en France ces dernières années étaient le fait d'étrangers, souvent de haut niveau social ; mais ici les esclavagistes s'appellent Christine et Alain Leroy et la victime est une jeune marocaine. C'est du pur Goebbels (ou Jdanov ou Mme Mao), mais cela ne prend plus, tous les gens qui ont le sens des réalités voient ce film dont vous parlez en transposant, de même que l'on traduit automatiquement, sans même y penser, "jeune" en "racaille immigrée".

Enfin, permettez-moi de contester votre idée selon laquelle l'intériorisation de la lâcheté serait le prix à payer pour la paix civile. Les décennies de plus grande paix civile, de plus grande sécurité ont été celles des années 1945 - 1970. Les gens étaient nettement moins lâches vis à vis de l'incivilité alors qu'aujourd'hui. Et c'est aujourd'hui, après l'explosion de la délinquance pendant les années 1970 - 1990, que la lâcheté est devenue universelle, jusqu'à ne plus oser porter plainte par peur des représailles. A la rigueur, on pourrait avancer l’idée que la lâcheté est la conséquence de la paix civile mais même cela je ne le crois pas. Notre lâcheté vient d’ailleurs, de plus loin, de plus profond.
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 15:10   Re : Coups de blues.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 15:34   Chute libre
21 juillet 2009, 15:37   Tarif d'antan
Extrait de la taxe de la chancellerie, publiée en 1319 par le pape Jean XXII, en Avignon :


"Si outre les péchés de fornication [un ecclésiastique] demande l'absolution du péché contre nature ou de bestialité, il paiera 219 livres, 13 sous ; cependant s'il n'a commis de péché qu'avec de jeunes garçons ou avec des bêtes, et non avec des femmes, l'amende sera réduite à 131 livres, 15 sous.

Une religieuse qui se sera abandonnée à plusieurs hommes, simultanément ou successivement, dans son monastère ou au dehors, et qui voudra obtenir la dignité d'abbesse, paiera 131 livres, 15 sous.

Pour tout péché de luxure commis par un laïque, l'absolution coûtera 27 livres, 1 sou ; pour les incestes, on ajoutera en conscience 4 livres.

La femme adultère, qui demande l'absolution pour être à l'abri de toute poursuite et avoir large dispense de continuer des relations coupables, paiera au pape 87 livres, 5 sous.

L'absolution du meurtre simple commis sur un laïque est taxée à 15 livres, 4 sous, 3 deniers ; si l'assassin a tué plusieurs personnes dans la journée, il n'en paiera pas davantage.

Un mari qui aura tué sa femme paiera 17 livres, 15 sous ; s'il a commis ce crime pour épouser une autre femme, il paiera en sus 52 livres, 9 sous. Ceux qui auront assisté le mari dans le meurtre seront absous moyennant 2 livres par tête.

Celui qui aura étouffé son enfant paiera 17 livres, 15 sous.

Celui qui aura tué un évêque ou un prélat supérieur paiera 131 livres, 14 sous, 6 deniers.

Un évêque ou un abbé qui aura commis un meurtre par guet-apens, ou par accident, ou par necessité, paiera l'absolution de ce délit 179 livres, 14 sous."
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 15:54   Re : Tarif d'antan
Si outre les péchés de fornication [un ecclésiastique] demande l'absolution du péché contre nature ou de bestialité, il paiera 219 livres, 13 sous ; cependant s'il n'a commis de péché qu'avec de jeunes garçons ou avec des bêtes, et non avec des femmes, l'amende sera réduite à 131 livres, 15 sous.
Une religieuse qui se sera abandonnée à plusieurs hommes, simultanément ou successivement, dans son monastère ou au dehors, et qui voudra obtenir la dignité d'abbesse, paiera 131 livres, 15 sous. Pour tout péché de luxure commis par un laïque, l'absolution coûtera 27 livres, 1 sou ; pour les incestes, on ajoutera en conscience 4 livres.



Voilà de bien belles prescriptions autant propres à exciter les esprits qu'à réorienter les fidèles dans le droit chemin.
Qu'attend donc la Curie pour les remettre à l’ordre du jour ?
21 juillet 2009, 16:01   23 ans
Le jeune homme a 23 ans. Il est "Tigre", (comme l'était De Gaulle); l'année prochaine, c'est l'année du Tigre, tout ça pourrait être de bon augure, s'il n'y avait les petit lapins, les millions de petits lapins semblables à ce jeune homme inoubliable du Noctilien, se mortifiant à la presse sur le fait qu'il n'aurait pas dû paraître riche ce soir là, et allant ramper sous son rocher en province, histoire de se faire oublier après sa démonstration de petit lapin sous les caméras de surveillance puis, à tête reposée, aux magazines bien pensants.

Et il y a les vieux cons, les très vieux cons, qui, après avoir dorloté le FLN il y a un demi siècle, animent aujourd'hui les "réseaux éducation sans frontières" et s'en vont, les vieux tocards, entonner l'Internationale devant les cordons de CRS qui tentent de contenir des manifestations de squatteurs sans-papiers.

Si les Tigres l'emportent un jour, croyez-moi, ce sera de justesse.
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 16:45   Re : Coups de blues.
Tant qu'il y aura Francis Marche pour raconter ça, quel que soit le destin de cette grande ménagerie, ça vaudra la peine de serrer les dents et de regarder jusqu'à la fin !
21 juillet 2009, 17:10   Tigre et tocards
Bien cher Francis,

Vos vieux tocards riment dans mon esprit à vieux connards.
Bien cher Orimont,

Etes-vous certain qu'il soit bien question d'antan ?
Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 19:27   Re : Coups de blues.
Il y a aussi un certain silence, un silence de fond. Celui du corps qui ne fait pas mal. Pas encore. Avez-vous remarqués, en plus des langues qui se délient, ces silences, percés de temps en temps par quelques cris singuliers, en place de ceux de la meute qui poursuivait de ses crocs sans cesse et partout ceux qui se rendaient compte et osaient dire une part de la réalité ?
21 juillet 2009, 19:45   Re : Coups de blues.
La meute est toujours là. Ne prenons pas nos désirs pour des réalités.
21 juillet 2009, 20:06   Silence de l'amer
Bien cher Obi,

J'ai aussi remarqué cela.

Certes, comme le dit Marcel, la meute est là, mais il semblerait que le troupeau se rend compte qu'il a sinon des cornes mais au moins des sabots. Marcel nous signale par ailleurs avoir déjà noté des inflexions.

Je ne sais si vous vous intéressez au théâtre espagnol du Siècle d'or.

Je pense à ces vers relatifs à Font-aux-cabres :

Y basta con que despierte
una mañana cualquiera
y el manso se vuelve fiera
y el débil se vuelve fuerte.

Y verán con qué premura
deja en el campo la azada
y aprende que con la espada
mejor sus males conjura.

Que se truecan en un día
los aperos de labranza
por la pica y por la lanza,
la humildad por la osadía.

Pues basta que un hombre entienda
que para seguir viviendo
y seguir un hombre siendo
es fatal que se defienda.

Es triste pero es preciso
tener un arma en la mano
para ser su soberano
y no un esclavo sumiso.

Utilisateur anonyme
21 juillet 2009, 20:37   Re : Coups de blues.
J'en suis bien conscient et travaille avec vous, cher Marcel Meyer. Ce silence, c'est aussi un fait nouveau, qui veut dire bien plus qu'il n'en a l'air. Un petit encouragement sans baisser la garde.

La police ? Elle est dans la même situation que la justice : totalement débordée, vous le savez bien ; et gagnée par le politiquement correct presque autant qu'elle ; et bridée par tous les bataillons du droit-de-l'hommisme (voir les déclarations du nouveau président de la commission consultative des droits de l'homme dont je parle ailleurs).

Et la Justice, et l'État.

Voici un court article paru d'ans La Meuse, journal populaire liégeois, surnommé la Feuille de chou, experte en fautes de français de tous ordres, aux ordres, mais laissant parfois échapper un fait dérangeant.

L'Etat floué de millions d'euros

Chaque jour qui passe voit l'État grugé de milliers d'euros. Des sociétés bidons procurent des avantages à des travailleurs étrangers. Et il semble difficile d'enrayer l'hémorragie, tant les instigateurs du système avancent sur une voie pavée d'une certaine impunité.
Patrice ANTOONS
Les ingrédients: quelques comptables avides d'argent, deux ou trois notaires peu scrupuleux, l'un ou l'autre banquier pas trop regardant.
La recette: créer une SPRL, base de l'édifice. Les créateurs officiels, hommes de paille des comptables, se présentent chez le notaire avec une vraie attestation bancaire selon laquelle ils disposent du montant légal de 6.200€. Les notaires passent l'acte et empochent au passage les frais. Les hommes de paille se retirent pour d'autres prête-noms, dont personne ne vérifie ni l'identité, ni l'existence.
La SPRL fait alors venir des étrangers en leur procurant d'emblée les (faux) documents nécessaires: un contrat de bail et une attestation de l'employeur (la SPRL bidon). Sur base de ces documents, la commune délivre les documents d'inscription pour l'Office des Étrangers: le séjour est devenu légal.
Puis, la SPRL remplit une “ DIMONA ”, une déclaration immédiate à l'emploi pour “ régulariser ” la situation du travailleur mais antidatée de plusieurs mois. Suit immédiatement un C4 qui permet à l'étranger d'avoir droit aux allocations de chômage, à la mutuelle, aux enfants d'être bénéficiaires d'allocations familiales. Et de toucher, l'année suivante, un pécule de vacances... qui n'a jamais été payé par l'employeur, qui n'a jamais non plus payé ni l'ONSS ni le précompte.
Inutile de dire que les sociétés passent assez rapidement à la moulinette pour être remplacées par d'autres, avec le même argent entre-temps libéré par la banque pour être reversée sur un nouveau compte.
Depuis que le système a été découvert par les enquêteurs, début 2005, plus de 600 sociétés ont été créées dans la seule filière concernée par cette enquête qui va de Neufchâteau à Bruxelles (Molenbeek), en passant par le Brabant wallon. Au moins 5.000 familles étrangères ont vu leur situation “ régularisée ” de cette manière et profitent aujourd'hui des bienfaits de notre législation sociale. Depuis 2004, l'État a déjà été grugé d'une trentaine de millions€. Et il y aurait cinq à six filières similaires...
Le système va plus loin: les instigateurs en veulent toujours plus, notamment en prélevant, outre un fixe de départ, un pourcentage sur les prêts que leurs protégés ont pu obtenir grâce à eux. Et les emploient au noir via des sociétés intermédiaires qui récupèrent au passage la TVA sur les factures... Certains ont des rentrées de 10.000€ par semaine! Coincés par la saisine du juge d'instruction, les enquêteurs se sentent impuissants.

De plus l'article ne mentionne pas "L'Aide à la Création d'Entreprises" de la Région Wallonne pompée bien avant avant de disparaître dans la nature (située surtout à l'Est).
A vrai dire, je cherchais une autre tarification, que je n'ai pas retrouvée, portant sur le coût d'un œil crevé, un bras arraché etc., sans rapport particulier avec la papauté avignonaise ni avec l'Eglise en général, manière d'illustrer que la violence des mœurs, pour ne pas dire une nette sauvagerie dans les rapports humains, a pu être contemporaine de hauts moments de civilisation, de création artistique, de connaissance claire du bien et du mal, de châtiments exemplaires des criminels.

Même comparé au XIXème siècle, notre "réensauvagement", tout réel qu'il puisse être, offre l'image d'un temps encore bien paisible, à peu près comme se distingue une épidémie de peste d'une épidémie de "grippe porcine".

D'autre part, je trouve plaisant ceux qui ne ratent jamais une occasion de reprendre en chœur les sarcasmes contre "l'Empire du bien" avant de se mettre à pousser les hauts cris quand ils découvrent que leurs filles ne peuvent pas se promener comme elles le veulent dans certains quartiers, comme si ce désir de promenades à volonté avait jamais été exaucé et qu'il n'était pas une des chimères d'un monde où "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil."
Je crois que vous parlez du Wergeld, qui vient du droit barbare apporté par les envahisseurs germains (comme la "loi salique" des Francs) et qui a un temps coexisté avec le droit romain avant d'être supplanté par celui-ci.
22 juillet 2009, 03:13   La triple action
Merci à Obi Wan et à sa feuille de chou de nous lever un peu le voile sur un des mécanismes mafieux à l'oeuvre dans l'Invasion. On s'étonne souvent que les "sans-papiers" revendiquant leurs "droits" (droit au logement désormais "opposable", notamment) tiennent des emplois d'apparence "réguliers". On sait mieux comment après avoir lu cet entrefilet.

Un pillage multiple (économique, civilisationnel, sociétal) s'organise, dans lequel des intérêts pécuniaires considérables sont en jeu; il s'opère par la ruse (celle qui inspire de tels montages juridico-financiers) soutenue par la force physique (les manifestations de rue violentes, les squats, etc.) et la supercherie morale (celle, par exemple, des idiots utiles des réseaux de souteneurs de l'Invasion comme RESF).

Le modus operandi de l'invasion possède une assise tripodale qui sera très difficile à ébranler: i) ruse mafieuse avec hommes de paille et montages juridico-financiers; ii) violence plébéienne et rebellocrâte des manifestations de rue; iii) moraline enfumeuse déversée à la louche par des bataillons d'idiots utiles qui travestissent l'escroquerie en "combat".

Rien ne pourra se faire pour abattre ce dispositif si l'on ne commence par dissocier, désolidariser ces trois piliers de la machine infernale en les faisant se dénoncer les uns les autres: user de la moraline qui coule épaisse dans les veines des uns pour dénoncer les mafias; retourner la violence plébéienne contre les deux autres, etc. La Machine, sinon, restera invincible jusqu'à la mort définitive des sociétés qu'elle attaque.
22 juillet 2009, 08:52   Re : La triple action
Notons que cette "ruse mafieuse avec hommes de paille et montages juridico-financiers" tient elle-même sur la moraline suprême de nos sociétés : le culte désespéré pour le "travail", l'empoi, la "création d'activité", toutes ces images pieuses devant lesquelles on s'incline.

Qui travaille est innocent, inoffensif, gentil : on ne saurait être colonisé par des "travailleurs", des "entrepreneurs", allons donc ! La colonisation, c'est l'affaire des riches oisifs d'autrefois, venus faire suer le burnous aux indigènes, voilà ce que disent implicitement les promoteurs de toutes ces dispositions réglementaires visant à aider à la création d'entreprise aussi bien que les idiots utiles "qui travestissent l'escroquerie en "combat"".
Utilisateur anonyme
22 juillet 2009, 09:03   Re : La triple action
"le culte désespéré pour le "travail"

C'est bien vrai, là est sans doute l'origine de tous nos maux. La religion du travail est la plaie de notre temps. A-t-on déjà vu un paresseux faire du mal à quelqu'un ?
22 juillet 2009, 09:13   Re : La triple action
Travail est entre guillemets, vous l'avez remarqué. Il faudrait que paresseux le soit aussi.
22 juillet 2009, 11:36   Re : La triple action
Ceux qui tiennent les murs et occupent les cages d'escalier dans nos cités sont le contre exemple absolu, cher Agrippa. l'islam , en vérité, méprise tous ceux en qui on peut voir des besogneux, c'est-à-diredire ceux qui se salissent les mains ou qui travaillent durement. Comme je l'ai déjà dit : le bricoleur du dimanche, par exemple, est un quasi inconnu en terre d'islam, sauf pour trafiquer les bagnoles. Il n'y a pas plus oisif que le mâle musulman qui peut passer des journées entières à siroter son caoua à la terrasse d'un café maure ni, forcément, plus avide de rumeur, celle, en particulier, qui le mobilisera en un instant pour quelque émeute destructrice ou pour pogromiser quelques malheureux dhimmis accusés par la vox populi d'avoir souillé un coran ou blasphémé le prophète. Les musulmans ne nous en veulent pas tant de nos richesses que de leur ennui aggravé par l'impossibilité du moindre flirt avec leurs congénères féminines.
Utilisateur anonyme
22 juillet 2009, 11:45   Re : Coups de blues.
Cher jmarc, no entiendo, sentirlo mucho !
Source
22 juillet 2009, 12:13   Re : La triple action
Excusez-moi d'enfoncer le clou. Je vais faire mon Elisséivna, reprendre l'idée que j'ai développée sur un autre fil.
Même si les langues se délient un peu, elle ne se délieront pas longtemps. Le "Vivrensemble" aura des yeux et des oreilles partout qui nous contraindront à nous taire. Il m'est " arrivé d'éviter des "gaffes" de justesse auprès de "de souche" que je croyais absolument fiables. J'ignorais que le "Vivrensemble" les avait rattrappés : j'apprenais, en effet, au hasard de la conversation que leur fille avait pour petit ami ou était en ménage avec un cpf. Si j'avais gaffé , rien ne me grantissait que mes propos n'auraient pas atteint les oreilles du cpf en question et rien ne me garantissait, non plus, qu'il ne me l'aurait pas faitpayer, un jour, à sa façon. J'ai du reste constaté que souvent les parents, même les moins bien disposés à l'égard des néo-Français, se mettent, dansces circonstances, à faire une sorte de surenchère antiraciste façon méthode Coué destinée à les rassurer. Cette disposition dure jusqu'à ce que le couple se sépare ou se déprenne, ce qui arrive assez vite, en génral. Alors la famille reprend sa liberté de paroles et ses convictions habituelles surtout si la vie de couple mixte vire au drame pour la fille, ce qui est assez souvent le cas aussi.
Moi-même ai vu le boulet passer près : ma petit-fille a eu un été, un flirt sérieux avec un jeune beur. Nous l'avons mise en garde et nous avons essuyé, bien entendu, l'accusation de racistes. Si ma petit-fille nous avait moins aimés , ou si elle avait été à l'âge de la révolte adolescente imbécile contre la famille, qui sait si elle ne nous êût pas mouchardés à son ami ? et qui peut savoir de nos jours, les choses étant ce qu'eles sont, les résultats de ce genre de mouchardage surtou en cas de rupture?
Bien chère Cassandre,

Le mariage musulman / non musulmane relève pour moi de l'impossibilité, sauf évidemment dans les cultures pour lesquelles il est normal (par exemple la pratique albanaise, due à des raisons d'exogamie).

Je déconseillerais (et, je pense, ainsi que feraient l'église catholique et les responsables religieux musulmans) fortement un tel mariage.
Ils sont assez fréquents en Indonésie: homme musulman, femme chrétienne, laquelle qui doit "renoncer" à sa foi et embrasser celle de l'époux, sans qu'apparent jamais elle ne doive porter le fichu des musulmanes "de naissance". Souvente fois, l'on voit ainsi de jolies jeunes femmes, d'origine chinoise ou de provinces proches des Philippines où les femmes ont la peau claire tant convoitée, qui avaient longtemps fait briller leur foi chrétienne sous forme d'une petite croix de métal précieux accrochée à la base du cou, se résigner à épouser en troisièmes, en quatrièmess noce, un homme mûr musulman, enrichi, qui tolèrera que son petit trophée aille tête nue, mais aussi, cou nu, et même, parfois, secrètement, à la messe.

L'inverse, homme chrétien, femme musulmane, existe aussi, mais est beaucoup plus rare.
Je crois qu'il est constant, dans les religions monothéistes, que les mariages "mixtes" soient tolérés, à la condition expresse que le conjoint adopte la "bonne" religion...
Cela reste des transgressions tolérées tant qu'elles ne sont pas trop nombreuses. De plus si les chrétiens acceptent volontiers que leurs épouses ou maris restent de confession musulmane, les musulamns acceptent mal l'inverse pour ne pas dire pas du tout, surtout dans le petit peuple.
Je ne parle pas « des chrétiens », en général assez mous à cet égard, en effet, mais des textes canoniques de l'Église...
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