Le site du parti de l'In-nocence

Encore et encore... (tranches de réel)

Envoyé par Antoine de Falveras 
L'attaque s'est produite au niveau de l'un des ronds-points de l'avenue de l'Ile Brune, dans la zone industrielle de Saint-Égrève. Un fourgon blanc de type Trafic s'est engagé devant le camion, qui venait d'embarquer le fret à livrer. L'utilitaire a ensuite ralenti avant de s'immobiliser en coupant la route au poids lourd. Deux hommes, dont un armé d'un fusil, ont alors menacé le chauffeur et l'ont contraint à monter à l'arrière de la camionnette tout en lui passant un sac sur la tête.




Un couple de quinquagénaires a été violemment agressé dans la nuit de mercredi à jeudi, à son domicile de Portes-les-Valence. Il était environ 22 heures quand quelqu'un a sonné au domicile des victimes rue Gabriel Peri. Croyant qu'il s'agissait d'un membre de sa famille, le propriétaire a ouvert à ses quatre agresseurs qui se sont immédiatement déchaînés sur lui, le frappant à plusieurs reprises. Trois étaient encagoulés alors que le quatrième avait le visage découvert. Ils étaient armés de couteaux et de marteaux. Ils ont ensuite attaché le couple avec du gros ruban adhésif et ont commencé à visiter la maison.



Deux agents du commissariat de Pertuis ont échappé de peu à la mort dans la nuit de mercredi à jeudi. Il est près de 3 h 30 lorsque plusieurs fonctionnaires de police mettent en place un barrage routier.




Trois contrôleurs de la Sibra, les transports en commun de l'agglomération d'Annecy, ont été violemment pris à parti, ce mardi soir. Ils ont été attaqués, non loin de la gare, par une bande jeunes adolescents, qui ont s'en sont particulièrement pris à une femme.



l est aux environs de 10 h 45, lorsque Philippe Noiret, grand amateur de course, est sur le point de terminer le parcours. La ligne d'arrivée est toute proche lorsqu'il entend soudain « comme un bruit de très gros pétard ». Dans les secondes qui suivent, il ressent une très vive douleur sur le haut de la fesse.



La représentante du ministère public était très agacée hier. Agacée contre Adil El Gharrak et Houcine Freifer, présentés tous les deux en comparution immédiate pour une série de quatre vols à l'arraché, avec violence, commise lundi sur Valence, Portes-les-Valence, Bourg-lès-Valence et Guilherand-Granges : « Vous vous êtes attaqués à des vieilles dames, vulnérables, qui ne pouvaient pas se défendre. »
Les deux prévenus ont expliqué qu'ils devaient rembourser une dette de 400 euros à un ami. Une somme prêtée pour aller faire la fête à Marseille : « On a agi comme des ânes, c'était pas réfléchi. »



Lundi vers 19 h 35, les pompiers d'Avignon reçoivent un appel. Au bout du fil, un résident du quartier de la barbière leur signale un feu de poubelle dans le quartier.
Quelques minutes plus tard, c'est la police nationale qui est contactée. Cette fois pour un cyclomoteur en flammes. Arrivés sur place les gendarmes du feu éteignent le feu de poubelle. Puis soudain, les pompiers et les policiers sont victimes de jets de pierres.
Par soucis de sécurité, les professionnels se sont vus dans l'obligation de se replier et ont décidé de quitter les lieux.



L'attaque a duré quelques secondes. Dans la nuit de vendredi à samedi, aux environs de 1h 30 sur le parking de "Vélo Attitude" dans la zone du Tronquet au Pontet, un Avignonnais de 29 ans rejoint son véhicule. Il possède une "Renault Clio RS". Une voiture sportive et estimée à plus de 20 000 € en concession.



C’est une tendance lourde dans l’évolution de la criminalité en France, et qui frappe particulièrement notre région : les vols à main armée commis au domicile des victimes sont en pleine augmentation. Au plan national, la hausse a été de 10 % en 2009. Mais en Languedoc-Roussillon, on a constaté l’an dernier une véritable explosion statistique : 26 faits en 2008, 44 en 2009, soit 76 % d’augmentation.



Les enfants ne sont plus épargnés par les violences contre les personnes. Ce midi, une jeune mère de famille a été victime d'un vol à la portière aux Mureaux (Yvelines). La conductrice patientait à un carrefour situé à l'entrée de la ville, à deux pas de la cité sensible des Musiciens, lorsqu'un adolescent âgé d'une quinzaine d'années a brisé la vitre du côté passager pour lui voler son sac à main.

La jeune femme s'est accrochée à son sac.
Comme elle ne lâchait pas, son agresseur s'est retourné vers son fils de 2 ans et n'a pas hésité à frapper le bambin aux jambes. Immédiatement, la mère a lâché son sac à main et son agresseur s'est sauvé en direction de la cité avec son butin.

Le garçonnet ne souffre pas de blessures, mais il a été extrêmement choqué par l'agression. A l'arrivée de la police, il hurlait. Les fonctionnaires du commissariat des Mureaux ont immédiatement quadrillé le secteur. L'enquête se poursuit.
Mais non, mais non, l'insécurité n'est qu'un fantasme ; le vrai problème de ce pays, ce sont les discriminations et le racisme...
Oui, le retour du "fantasme", on l'a vu en direct dans l'mission de Durand l'autre soir, où l'écolo jetait ce mot à la face de Marine Le Pen avec une violence presque comique, tellement on avait perdu l'habitude de cet "argument", depuis quelques années.
10 avril 2010, 15:01   Les cibles faciles
Bagnolet : des bandes intouchables et des victimes menottées

La dame en pyjama qui menace la République.
Utilisateur anonyme
10 avril 2010, 16:39   Re : Na marre des faits divers !!!
(Mais qu'attend BCJean-Marc pour poster son message anti-faits divers ?...)
Mais ce sont des faits de printemps, Zendji !
Et ça continue...

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Hospitalisé à Grenoble après un lynchage "gratuit"

Un passant a été "lynché gratuitement", selon les termes de la police, vendredi soir dans le centre de Grenoble. Transporté à l'hôpital de la capitale iséroise, il se trouve dans un état critique. Les auteurs présumés de l'agression - une quinzaine de jeunes - sont en fuite.



Martin, 23 ans, se trouve depuis vendredi au CHU de Grenoble, relate Le Dauphiné Libéré, dimanche, sur son site. Ce géographe a été "lynché gratuitement", selon les termes de la police, dans le centre-ville de la capitale iséroise, alors qu'il revenait d'une soirée avec trois amis.

Le contexte ? "Vers 23h30, la bande d'agresseurs, montée à bord du tramway au niveau des quartiers sud de l'agglo, venait de se faire expulser de la rame (...) Le hasard a voulu que les quatre jeunes gens descendent également de la rame à cet endroit", raconte le quotidien régional.

S'ensuit une histoire de cigarette refusée à l'un de ses agresseurs présumés. De fait, la compagne de Martin n'en avait plus dans son paquet. Toujours est-il que les membres de la bande, une quinzaine d'individus âgés eux aussi d'une vingtaine d'années, ont alors commencé à agresser verbalement Martin et ses amis, poursuit Le Dauphiné.

D'abord violemment frappé à coups de pieds au visage, il a ensuite reçu deux coups de couteau au bras et dans le dos, précise une source policière, confirmant les informations parues dans le quotidien régional. Le jeune homme, dont l'un des poumons a été perforé, se trouvait dans un état stable dimanche, mais "les médecins sont réservés quant à de possibles séquelles neurologiques", a rapporté la police.

Le groupe d'amis, qui a tenté d'ignorer l'affront en poursuivant son chemin, a alors subi un assaut d'insultes avant que le compagnon de la jeune fille ne soit frappé "très violemment", selon la police. Les agresseurs présumés, qui étaient montés dans le tramway à une station située dans les quartiers sensibles de Grenoble, ont pris la fuite après leur agression.

Ces jeunes étaient toujours activement recherchés dimanche. Une enquête de flagrance conduite par la Sûreté départementale de l'Isère a été ouverte, a-t-on précisé de même source. (Source AFP/Europe 1)
A venir :

La banlieue s'ennuie

La douleur de la banlieue ne peut être discrète. Elle déborde, éclabousse et perturbe. La douleur, c'est l'ennui qui creuse le sillon du malheur dans des corps désoeuvrés ne sachant que faire de leur jeunesse, de leurs ambitions, de leurs rêves. La promiscuité, l'échec scolaire, le chômage sécrètent cet ennui qui égare et expulse ceux qui en souffrent vers la marge, un territoire occupé par les professionnels de l'illégalité. Trafics et brutalité.

De la plus haute des solitudes (les années 1960) on est passé à une forme de détresse où le corps n'est plus mutilé mais exposé à la violence. Les uns étaient des travailleurs immigrés arrivés en France sans leur femme, les autres sont des Français que ces mêmes immigrés ont faits grâce au regroupement familial (1974).

Les immigrés ne s'ennuient pas. Ils vivent ou survivent en assistant au naufrage de leur destin. Ils ont fait des enfants pour être moins seuls, pour être comme les autres et puis ils se sont rendu compte que tout leur échappe. Ils ne maîtrisent rien, ni le temps qui passe ni le mode de vie de leur progéniture. Ils se sentent largués, oubliés sur le bord de la route. Certains s'en accommodent et sont même heureux. D'autres regardent la vie se dérouler avec l'espoir qu'elle soit clémente avec eux.

Quand on leur apprend que leur fils est mort suite à une bagarre ou après un acte de délinquance, ils restent abasourdis, le ciel leur tombe sur la tête et ils ne comprennent pas pourquoi ils ont été choisis par le malheur. Quand leur cité devient le théâtre de règlements de comptes entre bandes rivales ou entre ces bandes et la police, quand des bus sont incendiés et que la police démantèle un réseau de trafiquants de drogue, les parents, ceux qui regardent par la fenêtre, sont impuissants, sans voix, sans recours. Peut-être qu'il leur arrive de se poser cette question : "Est-ce que le voyage en valait la peine ?" Tout compte fait, et sans avoir la naïveté de refaire l'histoire, la question est cruelle mais légitime. Tout ça pour ça ! Et surtout ne plus continuer à confondre les immigrés, ceux qui ont fait le voyage, avec leurs enfants, nés sur le sol français et qui sont de nationalité française. Ce sont ceux-là qui s'ennuient et ne savent que faire du temps qui les encombre. Évidemment il y en a qui s'en sortent et réussissent malgré tous les obstacles. Ceux-là s'éloignent de la banlieue. On parle à leur propos d'intégration. C'est une erreur. On intègre l'étranger, pas l'indigène, l'autochtone. Il faudrait parler de "promotion", de "reconnaissance".

L'automne chaud de 2005 a été une alerte. Des milliers de véhicules (dont beaucoup appartenant à des immigrés) ont été incendiés. C'était l'époque du "Karcher" et des promesses de nettoyage à sec. C'était un appel au secours d'une génération de Français que la France traitait comme des bâtards, des enfants nés hors mariage. Aujourd'hui, ils sont devenus, d'après les termes du ministre de l'intérieur, "des crapules". Bien, c'est entendu, des trafiquants de drogue ne sont pas de braves gens, certains ont même rejoint le crime organisé. Mais pourquoi ne pas se poser la question de savoir pourquoi Tremblay par exemple est devenue le repère des trafiquants et des bandits ? Comment devient-on délinquant puisque, jusqu'à présent, personne ne naît avec des gènes de délinquant ? La répression assouvit un désir de riposte mais ne règle pas le fond du problème. On peut "intensifier des opérations coups de poing" comme le suggère le président de la République. Cela ne résoudra pas le problème de fond. Or, la banlieue, telle qu'elle a été conçue puis négligée pour ne pas dire oubliée, est devenue un lieu pathogène. N'importe quelle population installée dans ces immeubles produirait de la délinquance et de la violence. Les Français d'origine immigrée ne sont pas condamnés à être dans le retard scolaire, à provoquer les gens dans la rue, à voler, à vendre de la drogue et à finir leurs jours en prison. Ils sont le produit d'un malaise entretenu par l'indifférence, par la pauvreté, par les accidents de la vie. C'est un corps malade et personne, ni la droite ni la gauche, ne s'est réellement préoccupé de son sort. Tout le monde a laissé la situation pourrir. Ceux qui se sont occupés de la banlieue et dans certains cas ont réussi leur mission, ce sont des islamistes. Pour donner un exemple proche de nous : ce fut de Belgique qu'étaient partis les deux étudiants tunisiens qui ont assassiné le commandant Massoud le 9 septembre 2001 dans la province de Takha.

Toutes les sonnettes d'alarme ont été tirées par des associations, des familles, des militants, des sociologues, mais il n'y a rien à faire, personne ne veut écouter les messages d'alerte.

D'autres émeutes sont à venir. Elles prendront des formes différentes, provoqueront des troubles qui finiront par embraser plusieurs cités. Jusqu'à présent, les jeunes en colère se sont défoulés sur des biens matériels, ils n'ont tué personne. Mais ils répandent la peur parmi les citoyens. Plus personne ne veut être leur voisin, et cela se comprend. C'est le cas de familles immigrées qui, comme des Français, n'en peuvent plus de vivre dans cet enfer. Alors l'État ne peut plus attendre ; les "coups de poing" même s'ils sont spectaculaires et nécessaires ne font pas une politique. Or la banlieue a besoin d'une politique de sauvetage sur le court et le long terme. Pour cela, les études et projets abondent. Il suffit de les considérer avec la ferme volonté de soigner un grand corps malade. Sinon, on sait ce qui se passera.

Ecrivain et poète, Tahar Ben Jelloun est membre de l'Académie Goncourt depuis 2008. Il a reçu le prix Goncourt pour "La Nuit sacrée" (Points Seuil) en 1987. Il a publié "Le racisme expliqué à ma fille" (Seuil, 1997). Dernier livre paru "Au pays", chez Gallimard (2009).

Tahar Ben Jelloun
Le Monde
Citation
Tahar Ben Jelloun
Peut-être qu'il leur arrive de se poser cette question : "Est-ce que le voyage en valait la peine ?"
Ils ne sont pas les seuls à se poser la question...
Citation
Tahar Ben Jelloun
Jusqu'à présent, les jeunes en colère se sont défoulés sur des biens matériels, ils n'ont tué personne

C'est un mensonge : ils ont tué à plusieurs reprises mais les médias en ont très peu parlé !

Citation
Tahar Ben Jelloun
Mais ils répandent la peur parmi les citoyens. Plus personne ne veut être leur voisin, et cela se comprend. C'est le cas de familles immigrées qui, comme des Français, n'en peuvent plus de vivre dans cet enfer.

C'est une vérité que le " politiquement correct " refuse de reconnaître.

Y-a-t-il une solution aux problèmes des banlieues ? Malheureusement, je ne le pense pas.
J' ai vécu et travaillé de longues années au Maroc et j'ai pu constater que les Marocains ne comprennaient que les rapports de force.
A plusieurs reprises , il y a eu des émeutes dans les quartiers populaires : l'armée a tiré dans la foule en faisant beaucoup de morts ! Le calme est revenu très vite...
Ce n'est pas un hasard si aucun pays arabe musulman n'est une démocratie ; ce régime ne leur convient pas.
En réalité, M. Ben Jelloun réécrit le fameux diagnostic de Viansson-Ponté, publié dans Le Monde en mars ou en avril 1968 et intitulé "la France s'ennuie", l'ennui diagnostiqué ayant été, selon de nombreux commentateurs, mais s'exprimant a posteriori, la cause ou le symptôme annonciateur ou les avant-courriers des événements de mai 1968. En mars 1968 (ou en février : date à vérifier), Viansson-Ponté ne savait pas, au moment où il constatait que la France s'ennuyait (ce qui reste à démontrer), que, quelques mois plus tard, elle serait emportée dans de grandes festivités postmodernes. Il n'annonçait pas que les événements de mai mettraient fin à l'ennui; il n'avait ni prescience ni prémonition. Ben Jelloun, lui, fait dans la voyance. Il voit le futur à la lumière des bougies du passé, mais un passé reformulé, interprété, reconstruit. A Ben Jelloun, on pourrait répondre, si l'on était insolent et très mal pensant, ce que Marx, dans La Lutte des classes en France, 1848-1850, dit de l'histoire : qu'elle ne se répète jamais, sinon sur un mode grotesque et avec une musique de comédie bouffe.
L'ennui ! on connaît, en effet, cette antienne. Après avoir servi de prétexte à la révolte des fils à papa de 68 ( Cohn Bendit met souvent cette explication en avant ) voilà qu'il sert aujourd'hui de prétexte aux émeutes passées ou futures des banlieues de l'Afrique. Jusqu'à notre époque, les révoltes et les révolutions éclataient contre la tyranie, l'injustice ou la faim, ou les trois ensemble. Aujourd'hui elles se produiraient, donc, si l'on en croit la bouillie mielleuse de Ben Jelloul , au nom de l'ennui, ce mal de riches par excellence, d'enfants gâtés ! On n'arrête pas le progès !
Officiellement on table sur une future reprise économique pour fournir du travail à ces désœuvrés, comme s'il ne s'agissait pas de remplir encore le tonneau des Danaïdes ! C'est ce qui se passait effectivement auparavant, avec de sporadiques et coûteux replâtrages. La mise en garde (ou la menace) de Ben Jelloun n'aura pas de suite cette fois. La France est endettée, elle paie déjà des sommes gigantesques pour tout ce qui tient l'immigration, et... il n'y aura pas de reprise.
Est-ce pour cela que je crois déceler dans la conclusion de Ben Jelloun le ton de la fatalité ?
En plein centre-ville, un couple âgé d'une vingtaine d'années a vécu un véritable cauchemar, hier, peu avant cinq heures du matin. Un jeune homme et sa compagne ont été violemment pris à partie par un groupe d'individus, rue des Couteliers, alors qu'ils regagnaient tranquillement leur domicile. Quatre agresseurs ont fait subir des violences sexuelles à la jeune victime en état de choc et ont frappé son compagnon. Les suspects, des jeunes garçons, ont pris la fuite juste avant l'arrivée des secours. Malgré les recherches engagées par les policiers, les individus n'ont pas été retrouvés. La jeune femme a été hospitalisée. Cette enquête très sensible a été confiée aux policiers du service régional de police judiciaire.

(…)
En Corse.

Les malfaiteurs ne reculent devant rien, c'est même leur caractéristique première. Trois braqueurs se sont attaqués vendredi soir en Corse-du-Sud au couvent Saint-Côme-Saint-Damien situé à la périphérie de Sartène. Dans cette ville, haut-lieu de la défense de l'identité corse, c'était la semaine Sainte.

Les moines franciscains avaient fait le tour des 43 petits villages entourant Sartène et récupéré au passage des dons qu'ils n'ont pas eu «le temps de mettre à la banque», comme le souligne au parisien.fr un des trois membres de cette communauté religieuse très réduite.
Les trois braqueurs n'avaient pas lésiné sur les moyens pour mettre la main sur un butin évalué à 1 500 euros. Cagoules, armes de poing, ils disposaient du parfait attirail du malfaiteur à cette précision près que les religieux sont tous octogénaires.

(...)
Bruxelles

Lundi, vers 23h, le calme revient à Saint-Gilles

Lire aussi: Lundi, 20h, de nouvelles émeutes éclatent à Saint-Gilles: des voitures sont en feu

Lire aussi: Lundi, 19h, un bijoutier tue son braqueur à Schaerbeek

Lire aussi: Lundi, à 13h40, un bijoutier est assassiné à la Porte de Namur (Bruxelles)

Lire aussi: Lundi, à 13h, les premières émeutes éclatent à Saint-Gilles: des jeunes attaquent un commissariat

Lire aussi: Lundi matin, une fusillade mortelle se produit sur le ring de Bruxelles
Aux Ulis, dans l’Essonne, une famille, dont la fille de 14 ans a été violée trois fois, a été contrainte de quitter son logement précipitamment après plusieurs jours de harcèlement. Et pour cause : l’adolescente avait porté plainte contre ses agresseurs. Depuis le 1er avril, jour de l’arrestation des cinq agresseurs, des groupes de filles et de garçons n’ont cessé de sonner à l’interphone de l’appartement de la victime, en proférant des insultes. Dépitée, la famille a demandé à la mairie de la reloger…et a essuyé un refus.

Ecoutez le document sonore, ça vaut le déplacement !
13 avril 2010, 15:08   De la presse
Une jeune fille violée et ses parents persécutés, la presse s'en fiche, elle a trop de travail avec les quelques mauvais prêtres.
13 avril 2010, 15:15   Re : De la presse
Entièrement d'accord avec vous.
Les policiers valentinois enquêtent toujours d'arrache-pied après l'agression, vraisemblablement gratuite, dont a été victime un père de famille dans la nuit de vendredi à samedi. Vers 4 heures du matin, alors qu'il ramenait de discothèque son fils et un de ses amis, il avait été pris en chasse par une équipe de trois ou quatre individus. Après un rodéo mouvementé, le Valentinois s'était arrêté à l'entrée du centre commercial Valence 2 et était sorti de sa voiture. C'est là que délibérément, la voiture de ses agresseurs l'a percuté de face, et non en faisant marche arrière comme nous l'avions indiqué dans notre édition de dimanche.La victime est très grièvement blessée, notamment à la tête. Son état de santé suscite toujours des inquiétudes.Selon les témoignages du fils et de son ami, l'agression serait purement gratuite, ils affirment tous les deux ne pas connaître leurs assaillants.




Vous voyez, cher Jean-Marc, il ne s'agit pas de monter en épingle des faits divers, mais de montrer que toutes ces agressions sauvages, brutales et gratuites, sont révélatrices d'un climat de guerre civile à bas bruit.
Schaerbeek : le bijoutier braqué risque 30 ans de prison

Rédaction en ligne
mardi 13 avril 2010, 15:30
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Le parquet de Bruxelles a ouvert une enquête judiciaire pour meurtre et tentative de meurtre à l’encontre de Somer Y., le bijoutier turc de Schaerbeek qui a abattu ses deux agresseurs lundi soir.


© Belga
Les deux individus venaient de cambrioler le magasin de Somer Y. et s’apprêtaient à prendre la fuite à bord d’un scooter lorsque le bijoutier a tiré cinq fois dans leur direction. L’un des deux braqueurs est décédé sur place, le second est grièvement blessé.

Selon le parquet, il semble que le commerçant ne possédait pas de permis de port d’arme.

L’attaque s’est produite vers 19h10 lundi. Les deux agresseurs, Emrah O., 33 ans, et Ilker A., 27 ans, ont pénétré dans la bijouterie située chaussée de Haecht et ont menacé le gérant de 35 ans à l’aide d’au moins une arme à feu. Ils auraient tiré à une reprise mais le parquet ne dispose pas encore de toutes les certitudes à ce sujet.

Les deux individus ont mis la main sur une grande quantité de bijoux puis ont rejoint leur scooter, alors que le bijoutier allait chercher une arme à l’arrière de son magasin. Ce dernier s’est précipité dehors et a fait feu à cinq reprises sur les malfaiteurs qui prenaient la fuite. Trois, voire quatre balles ont trouvé leur cible. Ilker A. a pris deux balles, Emrah O. au moins une, dans la tête.

O. est décédé sur place tandis que Ilker A. a été emmené à l’hôpital. Il est gravement blessé mais sa vie ne serait plus en danger, selon le parquet.

Le parquet a chargé le juge d’instruction Coumans de deux enquêtes judiciaires, l’un sur le braquage, et l’autre sur les tirs. Si Somer Y. devait s’être rendu coupable de meurtre et de tentative de meurtre, il risquerait 30 ans de prison. Entre-temps, les premiers éléments de l’enquête tendent à montrer que le bijoutier ne possédait pas de permis d’arme.

Ce n’était pas la première fois que le commerçant subissait une agression puisqu’il avait déjà été la cible d’un braquage en novembre 2009.

Emrah O. et Ilker A. ne sont pas inconnus des services de police.

Ilker A. est connu pour des faits de menaces et de vols avec violence mais n’avait encore jamais été condamné. Emrah O. avait déjà été condamné deux fois, à chaque fois pour vols avec violence. Il avait été libéré depuis peu sous conditions de la prison de Merksplas.
Utilisateur anonyme
13 avril 2010, 20:40   Re : La position d'un ancien ministre
(Message supprimé à la demande de son auteur)
13 avril 2010, 20:49   Re : De la presse
Et encore ! On parle de cette histoire aussi parce que cette jeune fille fait partie des "dominés". Je ne suis pas complètement certain, sinon, que l'on se serait mobilisé pour reloger cette famille...
Un homme de race noire, âgé de 44 ans, a été appréhendé, mardi en début de soirée, à la Médiacité à Liège, à la suite d’une agression raciste.
L’homme s’en serait pris à deux dames, une mère et sa fille, qui circulaient dans un couloir de la Médiacité. Elles se sont écartées pour lui laisser le passage. Celui-ci a crié qu’il ne passait pas entre deux “blanches”, les a insultées et a également craché au visage d’une des deux dames, lui portant des coups de pied au ventre.
Cette dernière venait de subir une intervention chirurgicale. Appréhendé par la police, l’agresseur a déclaré qu’il voulait se défendre.
L’homme est connu de la justice car il a déjà été condamné pour coups et blessures, outrages et menaces. Il a été mis à la disposition du parquet de Liège. (belga)
Utilisateur anonyme
14 avril 2010, 08:20   Re : Il voulait se défendre
(Message supprimé à la demande de son auteur)
14 avril 2010, 10:31   Pauvreté (la vraie)
Je ne sais pas importer cette video, extraite d'un C dans l'air très intéressant, mais je vous la conseille.
Utilisateur anonyme
14 avril 2010, 11:14   Re : Pauvreté (la vraie)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
14 avril 2010, 11:26   KO
Un enfant de 9 ans a donné un coup de poing au visage de sa maîtresse, qui a perdu connaissance. L’écolier a été entendu lundi au commissariat d’Argenteuil, accompagné de ses parents. L’enseignante a déposé plainte, mais aucune poursuite judiciaire ne sera bien sûr engagée contre l’enfant vu son très jeune âge.

Les faits remontent à vendredi matin quand l’écolier se retrouve seul avec sa maîtresse, dans l’école Jean-Jacques-Rousseau, à Argenteuil. Les autres élèves de la classe viennent de partir pour une activité sportive mais lui doit encore terminer le travail que l’enseignante lui réclame. Elle rencontre d’ailleurs bien des difficultés pour obtenir satisfaction. Le ton monte entre l’enseignante de 27 ans et son élève. Elle tente semble-t-il de le maintenir en place, le retient par ses vêtements. Mais lui se débat violemment dans le couloir et c’est alors, en se débattant, qu’il délivre un violent coup de poing au visage de son institutrice.
14 avril 2010, 11:27   Suggestion
Je trouve la suggestion de Didier fort pertinente.
14 avril 2010, 11:27   Re : Pauvreté (la vraie)
Et un recensement sous forme de martyrologue des "de souche" ( et assimilés ) tués par des cpf depuis 25 ans, est-ce possible ? Il est évident que bien de ces assassinats n'ont pas transpiré dans la presse nationale.
C'est bien ce que j'ai entrepris de faire ici, avec mes très modestes moyens.
14 avril 2010, 11:57   Re : Pauvreté (la vraie)
Il y a aussi, sur le site FdS, une intéressante rubrique où sont rassemblés les témoignages de victimes d'agressions.
Un jeune couple d'une vingtaine d'années a été victime d'une agression nocturne en plein centre de Toulouse, alors qu'il rentrait chez lui. L'homme a été dépouillée et la femme violée. Les agresseurs étaient au nombre de quatre.

Source : "La Dépêche du Midi"

[www.ladepeche.fr]


En plein centre-ville, un couple âgé d'une vingtaine d'années a vécu un véritable cauchemar, hier, peu avant cinq heures du matin. Un jeune homme et sa compagne ont été violemment pris à partie par un groupe d'individus, rue des Couteliers, alors qu'ils regagnaient tranquillement leur domicile. Quatre agresseurs ont fait subir des violences sexuelles à la jeune victime en état de choc et ont frappé son compagnon. Les suspects, des jeunes garçons, ont pris la fuite juste avant l'arrivée des secours. Malgré les recherches engagées par les policiers, les individus n'ont pas été retrouvés. La jeune femme a été hospitalisée. Cette enquête très sensible a été confiée aux policiers du service régional de police judiciaire.
Agresseurs en fuite

Il était environ 4h15, lorsque le couple rejoint son domicile après une soirée passée avec des amis. En pleine rue, au moins quatre individus se portent à hauteur de l'homme et de la femme. L'un des membres du groupe demande une cigarette au couple. Puis exige de se faire remettre un téléphone portable. Le ton monte rapidement et le jeune homme est frappé puis bloqué par deux agresseurs qui l'empêchent de se dégager. Pendant ce temps, les deux autres empoignent la jeune femme pour abuser d'elle. Dans le couloir d'un hall d'immeuble de la rue, plongé dans l'obscurité, la jeune femme est violée à deux reprises par ses agresseurs qui prennent rapidement la fuite.

Lorsque les secours arrivent, ils prodiguent les premiers soins aux deux victimes et transportent la jeune femme traumatisée à l'hôpital. Une affaire particulièrement choquante. Alors que les agressions nocturnes, déjà nombreuses après 2 heures du matin en ville, se limitent à des vols de portable ou de cartes bancaires, un palier supplémentaire dans la violence vient d'être franchi.
Un jeune homme de dix-huit ans se promenant avec sa soeur Cours Mirabeau à Aix a été agressé par cinq individus et a eu la mâchoire fracturée.

Source : "La Provence"

[www.laprovence.com]

Les faits se sont déroulés à Aix, sur le cours Mirabeau. Un homme de 18 ans marche avec sa soeur. Plusieurs jeunes passent en auto et les interpellent. Plus loin, ils descendent de voiture et se précipitent sur le jeune homme. Plus tard, un "simple regard" sera évoqué pour justifier cette attaque d'une rare violence. Le grand frère essuie des coups de poing et reçoit une canette de bière en plein visage. Sous les yeux de sa soeur, il chute au sol. Les agresseurs remontent en voiture et repartent.

Plusieurs témoignages, et l'exploitation des images de vidéosurveillance permettent d'identifier le véhicule puis ses cinq occupants. Ces jeunes, tous originaires de Manosque, seront placés en garde à vue. Parmi les suspects figurent deux mineurs de 17 ans. Tous ont été présentés devant le Parquet de Digne. Les investigations se poursuivent. La victime a été prise en charge par les pompiers et conduite à l'hôpital d'Aix. Souffrant d'une sérieuse fracture à la mâchoire, il a dû subir une opération. Un premier certificat fait état d'une ITT de quinze jours.

Un homme de trente-huit ans a été agressé à Valence d'Agen et a vu sa carte bleue et son téléphone volé. Il a quatre côtes cassées et les deux poumons perforés. L'agresseur est âgé de quinze ans.


Source : "La Dépêche"

[www.ladepeche.fr]

On en sait davantage sur la nature des blessures dont a été victime, jeudi soir dernier, un individu qui a été passé à tabac à proximité de la villa Campredon à Valence-d'Agen. L'homme âgé de 38 ans a été admis à l'hôpital de Montauban avec les deux poumons perforés et quatre côtes cassées. C'est ce que nous a affirmé, hier, la mère de ses enfants qui nous a également fait savoir que cet homme, qui nous avait été présenté comme un sans domicile fixe, est bien domicilié chez ses parents.Dont act.Toujours est-il qu'il est connu pour ses divagations dans les rues de la ville de Valence-d'Agen et que, jeudi soir dernier, il a donc fait une mauvaise rencontre en tombant nez-à-nez avec un jeune Magistérien âgé de 15 ans. Ce dernier en aurait voulu à sa carte bleue, qu'il aurait refusé de livrer, tout autant qu'à son téléphone portable. Rappelons que, dans cette affaire, le mineur a été placé en foyer et que le parquet a demandé l'ouverture d'une information.
Un couple qui cherchait un distributeur de billets a été agressé en pleine nuit à Dijon par trois individus. L'homme a été gravement blessé.

Source : "Le Bien public"

[www.bienpublic.com]

Un homme a été sérieusement blessé en défendant sa compagne, agressée par trois individus qui en voulaient à sa carte bancaire.

L'agression s'est déroulée au cours de la nuit de mercredi à jeudi derniers, mais les gendarmes, soucieux de donner un maximum de chances à l'enquête, ne l'avaient pas ébruitée.

Cette nuit-là, au cœur de la zone commerciale de Quetigny, la voiture d'une jeune femme qui cherchait un distributeur de billets a été suivie par un véhicule à bord duquel se trouvaient trois jeunes gens.

Vers 23 heures, le véhicule suiveur a bloqué celui de la victime, et trois hommes aux visages dissimulés par des capuches en sont sortis.

Ce qu'ils n'avaient pas vu, c'est que la jeune femme était accompagnée… et son ami entendait bien la défendre.

Avec une sauvagerie inouïe, les trois agresseurs s'en sont alors pris à lui, le rouant de coups avant de prendre la fuite, l'abandonnant sur le bitume, gravement blessé.

Les gendarmes ont été alertés, et pendant que l'ami de la jeune femme était conduit à l'hôpital, un dispositif de recherche a été mis en place. Sans succès. Il a été levé quelques heures plus tard.

Les gendarmes de la brigade de Quetigny et leurs collègues de la brigade des recherches de Dijon ont été chargés de l'enquête.

Hier, presqu'une semaine après l'agression, ils semblaient disposer de très peu d'éléments susceptibles de les conduire sur une piste : pas de description des agresseurs, pas d'indication sur le véhicule qu'ils utilisaient…

Il ne fait aucun doute cependant que l'affaire de la nuit de mercredi à jeudi peut être rapprochée de deux autres agressions commises ces dernières semaines : le 5 mars et le 9 mars, à 23 heures et une heure du matin, à la station-service Carrefour de Quetigny, puis à celle du magasin Cora de Marsannay-la-Côte, trois hommes cagoulés avaient agressé des femmes qui faisaient le plein aux pompes automatiques pour leur dérober leurs cartes bancaires.
Un jeune homme sans histoire a été passé à tabac par trois individus "parce qu'il leur fallait taper".


Source : Paris-Normandie

[www.paris-normandie.fr]

C'est à peine si Anthony en revient. Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 3 h du matin alors qu'il regagnait son véhicule, ce jeune homme tout juste majeur s'est fait « attraper » comme il le dit par une sorte de « trio fou » dans la rue. « Au départ, c'était pour une cigarette. Mais on n'en avait pas. En fait, ils étaient ivres et semblaient en transe. Je crois qu'il leur fallait taper, c'est tout », murmure-t-il au tribunal correctionnel de Rouen, où il était convoqué hier pour témoigner au procès de Julien L. qui, des trois suspects, est le seul prévenu majeur. Souci : pour un problème de procédure, l'affaire a été renvoyée au 12 mai prochain, au lendemain de l'audience réservée aux deux mineurs, qui comparaîtront à huis clos devant le juge des enfants.

Interpellé en flagrant délit
Les faits à juger se déroulent en deux temps. Dans la nuit du 3 au 4 avril, Julien L. est interpellé suite à une rixe rue du Gros-Horloge dans le centre-ville de Rouen. Le jeune homme est ivre : les policiers le placent en cellule de dégrisement. Mais au moment de lui faire intégrer sa geôle, un gardien reçoit un violent « coup de boule ». Bilan : un jour d'interruption totale du travail (ITT), des insultes et des menaces comme « Je vais brûler ta maison […] Te défoncer la g… ». A l'audience, le prévenu ne tergiverse pas : « Oui, c'est vrai ». Deuxième série de faits. Celle-ci se déroule elle aussi en deux temps, dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Julien L., son petit frère et un autre adolescent sortent d'une discothèque lorsqu'ils croisent Anthony et un copain avenue du Général-Leclerc. Les deux groupes ne se connaissent pas. « On s'est fait courser. Son frère m'a fait une balayette, je suis tombé et en me relevant, j'ai reçu un coup de tête. Les deux autres sont arrivés et tandis que l'un me tenait, lui, m'a tapé, sur le torse », raconte Anthony à la barre, le nez cassé (lui a 10 jours d'ITT), en regardant celui qu'il désigne comme étant son agresseur. Julien L. est interpellé aussitôt près du palais de justice. La police l'a surpris en flagrant délit de « tabassage ». Il s'en prenait à un sans domicile fixe. En attendant l'examen de ce dossier, le tribunal a décerné un mandat de dépôt contre ce Rouennais de 25 ans, successivement animateur, aide-livreur puis déménageur. Désormais chômeur - depuis août -, il est retourné hier soir à la maison d'arrêt Bonne-Nouvelle. Une prison qu'il connaît bien puisqu'il a déjà été condamné à sept reprises. Dimanche prochain d'ailleurs, il devait s'y rendre pour y purger neuf mois pour des… violences.
Plusieurs musiciens ont été agressés sans raison par deux "jeunes" lors d'une fête.

Source : l'Aisne nouvelle.

[www.aisnenouvelle.fr]



Lundi, devant le tribunal correctionnel de Valenciennes, leurs agresseurs ont été condamnés en procédure de comparution immédiate à douze mois de prison avec sursis. « Le carnaval touchait à sa fin. J'ai vu deux jeunes de 25 ans arriver, explique le président du groupe Jean-Michel Vasseur. Malheureusement, passablement éméchés. Ils insultaient les musiciens tchèques qui étaient devant nous, et ont commencé à donner des coups. J'ai fait signe : ça va pas, non ? Ils m'ont répondu : Qu'est-ce que t'as, le gros ? »
Bilan, quelques noms d'oiseaux plus tard : l'un des jeunes s'est emparé d'une barrière et a frappé violemment. Trois membres de la troupe saint-quentinoise, dont un grièvement blessé, ont été conduits à l'hôpital de Denain. « Pascal Le Corre a été projeté au sol, reprend Jean-Michel Vasseur. Il a l'œil gauche tuméfié et une fracture à la mâchoire. Gérard Helin a reçu des coups de poings. Ils ont respectivement trois semaines et trois jours d'incapacité de travail. En ce qui me concerne, j'ai reçu trois coups de pied dans le ventre et eu des hématomes. »
Le comité organisateur du carnaval, la ville de Denain et la troupe des Stimulants ont porté

plainte. C'est la première fois que ce genre d'incident se produit au cours du carnaval. Une première aussi pour les Stimulants, qui existent depuis 1994. « Pas mal de musiciens sont traumatisés ; ça choque quand même. Il y a des jeunes dans le groupe. Tout ça dû à l'alcool ! » Cela ne les empêchera pas de sortir encore, dimanche prochain à Ham. Après avoir participé ce week-end à la fête du boudin.
« Tout ça dû à l'alcool ! »

Mais ils ont bu ou quoi ?
J'approuve tout-à-fait votre initiative, cher Antoine. Je suis même étonnée que personne n'ait eu cett eidée avant. Je me demandais simplement s'il n'était pas possible de remonter jusqu'au début du Grand Remplacement, à l'époque où internet et les sites de réinformations n'existant pas encore, les crimes des cpf passaient quasiment inaperçus.
L'idée que vous proposez est séduisante, Cassandre, mais comment la mettre en oeuvre ? Cela me paraît compliqué ! (Mais c'est peut-être parce que je ne suis pas un as de l'internet...)
14 avril 2010, 15:45   Bus incendiés
Vers 11 h 40, ce matin, un bus Sénart Express a été incendié alors qu'il était garé sur le parking du dépôt Véolia à Moissy-Cramayel. Les flammes se sont propagées à un autre bus, qui a été partiellement brûlé.

«On ne pourra pas voir qui a mis le feu», déplorait Thomas Bodel, le directeur du dépôt, tandis que policiers et pompiers s'activaient sur place.

En effet, une coupure d'éléctricté généralisée sur le site a rendu la vidéosurveillance inopérante.
L'incendie survient dans un contexte de tension social important puisque près de 80% des chauffeurs sont en grève depuis le 4 avril. Ils réclament notamment des hausses de salaire. Environ une heure avant l'incendie, les cinq syndicats avaient claqué la porte des négociations, qui avaient commencé à 10 heures avec la direction départementale de Véolia.

Le Parisien
14 avril 2010, 16:00   Cette France là
A défaut de pouvoir faire ce que préconise Cassandre. On pourrait, à l'image de ce que font les sans papiéristes de Cette France là, publier une sorte de rapport annuel, d'état des lieux des contributions de la diversité en acte à la vie nationale.On n'aurait même pas à se creuser la tête pour le titre dudit rapport. On pourrait l'intituler Cette France là.
14 avril 2010, 16:05   "déversoir"
Quant à ce fil "déversoir", si on tient vraiment à tenir à jour la survenue de ce type de faits divers, pourquoi ne pas créer une rubrique distincte du forum ? Faute de quoi j'imagine que ce "fil" sera perpétuellement en tête de liste et, par son "gonflement" ininterrompu, risque de dénaturer le forum, sans grand profit.

Sur le fond, la survenue d'un tel "fil" me semble vraiment caractéristique du tour que prennent les choses et de l'instauration d'une guerre civile chronique, telle que préfigurée par les émeutes de 2005. C'est dans un tel contexte que je songeais à la dangerosité d'un événement tel que la Coupe du Monde de football.
Mécontent de la réception qui leur était faite par le service d'insertion, un jeune condamné et son ami rossent les fonctionnaires.


Source : Le Figaro

[www.lefigaro.fr]

Un jeune homme de 19 ans sous le coup d'une condamnation à huit mois de prison avec sursis a été placé en garde à vue après avoir molesté deux conseillers d'insertion et de probation mardi à Créteil, a-t-on appris mercredi de sources concordantes. La personne qui l'accompagnait et qui a participé à la rixe a également été placée en garde à vue, a-t-on appris de source policière.

L'agression s'est déroulée dans les locaux du Service pénitentiaire d'insertion et de probation (SPIP) de Créteil quand la personne qui accompagnait le condamné a refusé de quitter la salle où devait se tenir un rendez-vous avec un conseiller, a-t-on appris auprès du syndicat FO Pénitentiaire.

Le ton est monté et les deux hommes ont alors violemment frappé deux conseillers d'insertion et une personne chargée de la surveillance des lieux, selon le syndicat. Toutes trois ont été conduites à l'hôpital.
Le jeune homme de 19 ans avait écopé d'une peine de huit mois de prison pour une affaire de stupéfiants, a précisé une source judiciaire.

"Le ministère de la Justice doit réfléchir au plus vite aux moyens adaptés pour sécuriser ces lieux et donner aux personnels d’insertion et de probation (...) les moyens de travailler convenablement, tout en garantissant leur intégrité physique", a affirmé le syndicat dans un communiqué.

Les SPIP sont notamment chargés de veiller au respect des obligations imposées aux personnes faisant l’objet de sanctions pénales alternatives à l’incarcération (sursis avec mise à l’épreuve, libération conditionnelle, travail d’intérêt général...)
16 avril 2010, 00:55   Une dernière
Elle a 72 ans et encore assez d'énergie pour tenir son sac fermement.

Mardi à 18 h 15 deux amies âgées de 61 et 72 ans se promènent sur la place du palais des papes à Avignon. Un individu s'approche et leur détourne l'attention. Sans trop de réussite. Peu importe. L'homme s'empare des deux sacs à main et tente de s'enfuir. Mais c'était sans compter la forte poigne des deux dames. Si la plus jeune cède rapidement, la seconde s'agrippe fermement à sa sacoche. Sous la pression, elle chute et est traînée sur quelques mètres par le malfrat. Quelques minutes plus tard, des policiers interpellent un jeune homme de 14 ans en pleine course près de la place Crillion. Ce dernier détenait le sac volé. Originaire de Marseille, il a été remis à une infirmière du foyer dans lequel il réside. Il sera convoqué devant le tribunal pour enfant.



Je n'insiste pas. Je ne veux pas chagriner certaines âmes sensibles et de haute volée.
16 avril 2010, 01:25   Re : Une dernière
S'il s'agissait de signaler des faits graves entièrement passés sous silence, leur révélation s'imposerait. Mais quelle est l'utilité de compiler des extraits d'organes de presse que chacun, dans sa région, peut lire tout à loisir ? Quand j'aurais épluché consciencieusement "Nice-Matin" tous les jours et trouvé sans difficulté de quoi alimenter ce fameux "fil", qu'aurais-je appris à quiconque ? Qu'il peut se passer à Nice ce qui peut se passer à Pampelune ou Maubeuge ?

Pardonnez-moi mais je ne comprends pas le but recherché par ces listes de faits divers.
16 avril 2010, 05:35   Re : Une dernière
Je me demande si ce fil consacré aux faits divers, constamment en tête du forum, ne va pas devenir un repoussoir démoralisant, finalement contre-productif pour nos idées ?
D'autre part, est-on vraiment sûr que tous ces faits divers sont imputables à des CPF ?
« On croit volontiers que l’insécurité est toujours et nécessairement en elle-même une calamité. Mais c’est là une vue trop étroite du problème. »

En réalité elle joue un rôle important dans le maintien de la stabilité du système. Elle concourt utilement par exemple à démoraliser les populations, et par là même aussi à les convaincre de la vanité qu’il y aurait à vouloir s’opposer au "sens de l’histoire" (tel que le définissent les autorités).
On pourrait dire aussi qu’elle a une fonction rééducative. Elle achève de réduire les individus à l’impuissance et de les mettre dans l’incapacité de rien entreprendre contre la nomenklatura en place. Bref, c’est un instrument efficace de contrôle social. On lui est redevable de soustraire les autorités aux désagréments liés à une hypothétique et toujours aléatoire contestation venue de la base.
On comprend dès lors le soin tout particulier qu’elles mett­ent à la laisser se développer comme elle le fait. Elles ne disent naturellement pas qu’elles sont pour l’insécurité (non quand même), mais elles ne s’emploient pas moins à la favoriser discrètement. L’insécurité a parallèlement encore une autre fonction pédagogique: celle d’habituer progressivement les populations à l’absence de droit.
La croyance en l’existence du droit n’a en effet de sens que dans un Etat de droit. Dans un Etat qui n’est pas de droit ou l’est de moins en moins, parce que les autorités elles-mêmes en pren­nent de plus en plus à leur aise avec le droit (quand elles n’en viennent pas purement et simplement, comme c’est souvent le cas, à se mettre au-dessus du droit), une telle croyance perd évidemment toute raison d’être. A la limite même, elle pourrait passer pour subversive.»

Eric Werner – De l’extermination, Editions Thael – 1993.
C'est curieux, cet extrait, plutôt bien vu, cité par Antoine, pourrait passer pour un argument contre l'instauration de ce "fil déversoir", alors que ce même Antoine y est favorable.
Non, vous m'avez mal lu, si je puis me permettre, cher Orimont. J'ai voulu montrer justement que c'était insupportable, je voulais faire affleurer ce sentiment de "trop-plein", mais je ne crois pas utile de poursuivre dans cette voie.
Ah, oui, je crois (sans en être tout à fait certain (je me sens un peu idiot, ces derniers temps)), que ce "fil déversoir" montrerait, par son trop-plein, l'insupportable... du trop-plein.
Article publié dans l'hebdomadaire l'Opinion Indépendante le 23 avril 2010.


Insécurité : la grande peur des Toulousains

Le viol d’une jeune fille et l’agression de son compagnon survenus le dimanche 11 avril en plein centre-ville ont marqué les esprits. Le débat sur la vidéoprotection est relancé sur fond d’augmentation de la délinquance.

En se penchant sur les chiffres de la délinquance en Haute-Garonne (évolution portant sur le mois de février 2010 en comparaison avec février 2009), on note que le nombre total de faits constatés a augmenté de 1,75 %, les atteintes aux biens de 4,89 %, les atteintes volontaires à l’intégrité physique de 15,05 %, les vols avec violence sans arme à feu de 57,44 %, les vols avec entrée par ruse de 15 %, les vols liés à l’automobile et aux deux roues à moteur de 15,22 %, les violences physiques crapuleuses de 51,90 %, les violences sexuelles de 12,50 %. Et la traduction dramatique de ces chiffres dans la réalité effraie bon nombre de Toulousains. Une tragédie survenue en plein centre-ville le dimanche 11 avril a ainsi retenu l’attention. Il est environ 4h15, au matin. Un couple d’une vingtaine d’années rejoint son domicile après une soirée passée avec des amis. Au milieu de la rue des Couteliers, un groupe d’individus demande une cigarette puis un téléphone portable. Le jeune homme est alors frappé et immobilisé ; la jeune fille violée à deux reprises dans le hall d’un immeuble.

«Je suis consterné. Ces gens sont des barbares». Paco est artisan-commerçant, travaille dans cette rue depuis 10 ans, et cette histoire terrible l’a visiblement bouleversé. «Je ressens beaucoup de colère. C’est vrai que cela zone dans le quartier mais là, c’est un acte cruel, gratuit, honteux. On se sent mal pour ces jeunes. J’espère qu’ils pourront se rétablir», confie-t-il. Christine, elle, tient une brasserie quelques mètres plus loin. Sa rage est la même. «Cela empire !», juge-t-elle, «j’en vois passer… Ils évitent le quai de Tounis car ils savent pertinemment que les policiers y font des rondes. Comment ces choses peuvent-elles arriver ? Certains clients qui sont aussi riverains se sentent coupables de n’avoir rien entendu... Il y a un climat malsain en ce moment à Toulouse. Je refuse d’avoir peur mais je suis moins spontanée. Jusqu’à présent, je ne faisais pas attention en fermant le restaurant. Désormais, je suis sur mes gardes». Dans la Ville rose, on croise aisément de jeunes filles promenant leurs silhouettes graciles. Manon a vingt ans et le drame de la rue des Couteliers l’a «choquée».
Le violeur de Pâques arrêté grâce aux caméras
Comme plus de 30 000 personnes (chiffre relevé à l’heure où nous écrivons ces lignes), cette étudiante est devenue membre sur Facebook du groupe «Soutenons les : un homme agressé, son amie violée à Toulouse, plein centre» (une manifestation ou une marche silencieuse pourraient être organisées si le couple donnait son accord au-delà de ce rassemblement virtuel) car le «traitement médiatique n’a pas été suffisant» à ses yeux (il n’y a pas lieu de comparer les souffrances mais il est vrai que le «lynchage» de Grenoble a suscité des centaines d’articles contre une petite dizaine pour l’affaire de la rue des Couteliers). «Je me suis sentie anéantie quand j’ai entendu parler de cette histoire», ajoute-t-elle, «cela peut m’arriver, cela peut arriver à l’une de mes copines. J’ai un sentiment de révolte et de peur ! J’habite du côté de la place Saint-Pierre, je suis donc concernée par l’insécurité. Les taxis, le soir, ne veulent même plus venir ici ! Et hier soir, je suis rentrée chez moi vers 22h30… Sur le trajet, j’étais paniquée. Je ne suis pourtant pas peureuse mais aujourd’hui, notre quotidien est gâché. Je me dis que la vidéoprotection a du bon pour trouver les auteurs de tels faits». Voilà un débat relancé.
Samedi 3 avril, veille du dimanche de Pâques, vers 5h30. Une femme de 21 ans est abordée par un homme sur le pont Saint-Pierre. Il la sollicite, la suit avant de la saisir à la gorge et de la violer. Au terme du calvaire, la victime voit l’inconnu se diriger vers une station de métro. N’a-t-il pas été interpellé quelques jours plus tard grâce aux images des caméras du métro qui avaient été isolées à partir du signalement livré par la jeune femme ? Récemment interrogés par La Dépêche du Midi, le secrétaire adjoint pour le sud-ouest du syndicat national des officiers de police (SNOP) et l’adjoint au maire de Toulouse en charge de la prévention et de la sécurité ont apporté leurs points de vue. «Au-delà des exploitations politiques qui sont faites, je trouve intéressants deux aspects : le préventif, la présence des caméras dans certains lieux, magasins, qui peut dissuader des délinquants de passer à l’acte, et l’aide à l’enquête, quand des images peuvent être exploitées a posteriori», a estimé Christophe Rouget. «On ne remplacera pas la présence policière par des caméras. La vidéosurveillance n’est pas la solution. Elle ne peut être qu’un outil au cœur d’un dispositif beaucoup plus large qui prend en compte tous les aspects», a répondu Jean-Pierre Havrin. Rappelons que les maires PS de Paris, Lyon, Rennes, Grenoble, Evry ou Tournefeuille ont adopté ce système.

Vincent Aufrère
Le problème vient de la Municipalité qui nie tous les problèmes.

La Dépêche
Utilisateur anonyme
24 avril 2010, 11:24   Re : L'un des jeunes lui a crié: "Aujourd'hui, c'est ton tour"!
Mon père s’est retourné et leur a demandé : "Mais qu’est-ce que je vous ai fait ?"

Aux yeux de ces nettoyeurs ethniques, il avait bien fait quelquechose : naître, respirer, vivre.
Cela ressemble hélas à un réveil : comment, il y aurait ici, sur le sol de France, des gens qui vous jettent des pierres - et vous tuent, si l'envie leur en prend - parce que vous êtes ce que vous êtes (blanc, en l'occurence) ?
Utilisateur anonyme
24 avril 2010, 14:08   Rue poulet : ils sont
"Mercredi, en fin d'après-midi, trois policiers ont été blessés par un individu. L'altercation s'est produite rue Poulet, dans le 18e. Alors que les policiers contrôlaient des vendeurs de fruits à la sauvette, l'un d'entre eux se rebelle. Il ameute les passants tentant de monter la foule contre les fonctionnaires. Des jets de bouteille fusent. L'homme, visiblement très violent, met à terre les trois policiers, leur porte des coups et tente même d'en étrangler un, poursuit cette source. Il finit par être maîtrisé et emmené dans le véhicule. «Il s'est débattu dans le fourgon et a fait tomber les collègues», précise le lieutenant Timothé Artale, de SGP-Unité Police, le premier syndicat de gardiens de la paix. Conséquences de l'altercation: treize jours, six jours et trois jours d'interruption temporaire de travail pour les trois fonctionnaires blessés à l'épaule et au genou. Placé en garde à vue, il a été déféré au parquet."

La rue Poulet : ICI
24 avril 2010, 17:42   Kung fu
Diable...

Un seul agresseur, trois policiers blessés, et le tout "rue Poulet"...
Utilisateur anonyme
24 avril 2010, 18:57   Re : Encore et encore... (tranches de réel)
Mon dieu mais c'est "afro" cette rue !!
Utilisateur anonyme
24 avril 2010, 19:43   Re : Encore et encore... (tranches de réel)
Je dirais même plus, c'est affreux.
Et dire que j'y ai habité...
Il y a bon nombre de quartiers du XVIIIe où il vaut mieux ne pas s'attarder, la nuit venue.
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